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Comment j’ai su que j’aimais être forcée

Comment j’ai su que j’aimais être forcée



Anna et moi avions un jeu. Elle habite en France, moi en Belgique. Elle aime que des mecs se branlent sur sa photo, en photographient le résultat et lui envoient.
J’avais donc imprimé une photo d’elle nue, avec son mail. Elle a un groupe sur une plate forme connue : concoursejac

J’en avais imprimé quelques exemplaires avec son adresse mail en superposition.
J’en ai mis dans des boites aux lettres, notamment. Plus bêtement, j’en ai laissé traîner une sur l’imprimante laser couleur de l’étage.
Le lendemain, Anna m’a fait savoir qu’un mec, Hendrik, avait réagi. Elle était enchantée d’avoir eu ce mail. Hendrik est un collègue de la boite.
Elle m’a demandé si elle pouvait lui envoyer des photos de copines dont une de moi, visage flouté. J’ai dit oui, excitée à l’idée qu’un collègue allait me voir nue même sans me reconnaître.
C’était un vendredi. Anna m’a annoncé la cata : Hendrik m’avait reconnue. J’ai su par après que, vu l’heure du dépôt, il a pensé que seules deux personnes avaient pu le faire, Peter et moi. Peter a dit que ce n’était pas lui. Avec un floutage trop faible, il a eu facile de m’identifier.
Hendrik a dit à Anna qu’il était inutile de flouter et qu’elle pouvait envoyer ma photo sans floutage. Elle m’a contactée.
Avant de répondre, j’ai téléphoné à mon mari. Il m’a dit que j’en crevais d’envie et que je n’avais qu’à le faire.
J’ai dit à Anna d’envoyer tout mon album, sans restriction.
C’était fait.
Je suis restée tard au bureau. Hendrik aussi. Nous étions les derniers. Je devais passer devant son bureau pour sortir.
Pas vous faire un dessin…
Nous sommes restés intimes depuis. Les folies des premiers temps se sont un peu calmées.
Le seul problème qui est apparu c’est Peter. Il a quitté pour une big 4 et j’en suis bien contente. Il avait la délicatesse d’un cosaque du Don. Forcément, la question d’Hendrik l’avait alerté. Hendrik a eu le côté idiot du mec qui aime se vanter et qui a expliqué à Peter les détails.
Quelques jours plus tard, j’étais au local photocopies et Peter aussi. Il s’est approché de moi en me disant qu’il avait envie de me baiser. Primo, c’est un inférieur hiérarchique, secundo, il ne m’a jamais tutoyée ! J’ai failli faire un esclandre, mais il m’a vite ramenée à la raison. Il m’a dit que quand on se fout à poil sur le web, on se tait. En me disant ça, il avait empoigné mon sein gauche et pas en douceur. Dans la foulée, il pinçait le téton entre le pouce et l’index et le faisait rouler sans douceur.
Je savais que le risque était maximum pour le boulot. C’est très sérieux comme endroit : imaginer une relation extra professionnelle est impensable, enfin, si l’on peut dire.
J’ai posé la question rhétorique de « que veux-tu ? ». Il a été clair…
À midi, nous sommes partis, un peu à pied, le métro, un peu à pied. Quartier Luxembourg.
On arrive à l’hôtel. On monte. À peine dans la chambre, il me dit de me foutre à poil, sans ménagement. Je regrette d’être comme d’habitude ; j’ai un PJ blanc, des bas, un soutif seins nus (c’est juste un jeu de rubans qui entourent chaque sein, en triangle). Quand j’ai tiré le chemisier et la jupe, les commentaires fusent. « Une vraie pute, quelle salope, … » j’en passe.
Il me fait mettre à quatre pattes sur le lit. Il veut voir mes seins pendre. Il vient devant moi et me dit qu’il va me montrer comment on trait une vache. Leçon pratique. C’est horrible d’être traitée comme ça et pourtant, je mouille et je le sais. Il traite mes seins comme des tétins de vache et ils ne sont que deux !
Il sort la queue, pantalon et slip baissés. Il me la fourre entre les dents et s’amuse maintenant à tirer sur mes seins et à les faire claquer l’un contre l’autre. C’est désagréable au possible. Je suce du mieux que je peux. Il gicle, j’avale. Il faut croire que je suis excitante, il récupère vite. Je reste en position mais il me prend en levrette.
Rien d’original.
Les fois suivantes, on a fait l’économie de l’hôtel. Il m’a baisée dans le local des archives, le garage, la voiture. Toujours sous la menace que tout le monde sache qui j’étais. Hendrik était furieux et malheureux, d’autant que Peter lui racontait tout en détails mais c’était de sa faute.
Il a enfin quitté la boite pour aller sur Londres.

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