Je ne suis pas peur fier du fiston. Il a de qui tenir. Un queutard sans pareil. Il collectionne les filles. Il en ramène des fois à la maison. Cela change tout le temps. A donner le tournis. Ma femme s’en offusque pas mal. Elle aimerait qu’il se range et se fixe un peu. Disant cela elle me jette un œil furibard. Elle a trop souffert de son mari volage. Elle ne croit pas qu’avec l’âge je me sois rasséréné. Elle n’a pas tort. Ma bite me tourmente toujours autant. Avec l’assentiment du fils j’ai récemment sauté l’une de ses petites amies. Un charmant bouton de rose de dix-sept ans.
Cela suce encore malhabilement à cet âge. Cependant j’ai adoré son corps ferme et elle m’a abandonné son cul après une vaine résistance. Bref mon goût va plutôt aux salopes d’âge mûr. Il en est peu alentour hormis Emma une voisine dont le mari est un bon copain. N’empêche il porte des cornes jusqu’au ciel. Je sais que nombre ont tiré sa girl hormis moi et à mon grand dépit. Pourtant elle n’a eu de cesse de m’allumer. Je ne pense pas que mon physique la rebute. J’ai de notables succès et qui plus est elle a couché avec des types vraiment vilains genre repoussant.
Je pense que cela l’amuse. Elle se venge sur moi de son mari, coureur notoire lui aussi. Elle me réfute volontairement. Elle doit jouir que j’enrage. Elle sait que je la mate l’été derrière les rideaux de mes fenêtres. Sans vergogne elle se bronze à poil au bord de sa piscine. Elle sait que mon rejeton en fait autant. Il se branle sur elle depuis l’âge de treize ans. Maintenant il en a quatre de plus. Elle m’a loué récemment qu’il était trop mignon et devenu baraqué. Flatté au début j’ai vite déchanté quand j’ai deviné qu’elle voulait l’ajouter à son tableau de chasse.
J’avoue en avoir conçu une certaine jalousie. Là aussi elle l’a du faire exprès. Quelle humiliation que le fils réussisse là où le père échouât. Je me serais consolé que tout cela ne se fut maintenu qu’à des hypothèses et à un jeu simple de séduction. Puis une après-midi, il n’y eût plus de doute. J’étais revenu prématurément à la maison après avoir déposé madame chez son coiffeur. Machinalement et sous pareille chaleur j’avais jeté un œil vers la piscine de la voisine. Celle-ci était à poil et à mon grand dam à côté du fiston toute en grande discussion.
Tous devaient nous croire absents. Muni de mes jumelles je n’en loupais nulle miette. Après que mon fils fut remonté mouillé de l’eau de la piscine, ils s’enlacèrent et s’embrassèrent. Ces deux-là allaient vite en besogne. Elle le branlait. De ce côté mon fils était plutôt bien pourvu. Je le répète il a de qui tenir. Bientôt la garce s’enquit de le sucer. Moi-même accompagnant ce geste je m’astiquais. Cela finit par un coït. Il la bourra sauvagement entre les cuisses. Elle le tirant par la main, l’entraîna peu après dans la maison. La suite fut interdite. Je convins que mon fils l’avait chopé.
Il se garda de s’en vanter. Il avait perçu depuis ma rage de n’avoir pas baisé cette putain. C’est moi qui obtins de lui faire cracher le morceau. Je lui fis remarquer benoîtement que j’avais surpris l’autre salope entrain de sucer près du canal un de ses bons potes. Je lui savais une prédilection autant pour les mômes que les vieux grigous comme moi. Percevant un léger embarras du fils à me répondre, je lui demandais si par hasard lui-même n’en avait pas profité. Sa défense fut faible et cela me fut comme un demi-aveu. J’affectais cependant de prendre cela en bonne part.
Je pus observer cependant que mon fils n’allait jamais chez sa garce en notre présence. Par contre pour peu qu’il nous crut absents, ils se hasardaient des fois tous deux au bord de la piscine et forniquaient comme l’autre fois. Je pus admirer un jour une frénétique sodomie. Cela augmentât mon dépit. J’enrageais de ne pouvoir défoncer ce cul si prodigalement offert alentour. Il me fallait à tout prix entrer dans les bons offices du fils. Ainsi mis-je un matin les pieds dans le plat. Je lui dis de go que je les avais maté par la fenêtre. Mon fils s’abstint de nier les faits.
Sardoniquement je lui glissais que je n’en toucherais aucun mot à sa mère. Que cela resterait entre nous. J’enchaînais aussitôt. Tu penses qu’on pourrait se la choper ensemble. Mon fils comprit qu’il ne pourrait échapper à mon stratagème. Pouvait-il refuser une telle bonne fortune à son papa ? Il perçut au contraire que tout cela été à son honneur de me faire ainsi la courte échelle. Cette garce s’était moquée trop longtemps de son père. Celui-ci avait droit à s’en dédommager. Il fallait lui donner une leçon en la bernant et l’humiliant. Notre plan fut rapidement arrêté.
Ce fut encore un jour de canicule. Je devais débarquer peu après le début de leurs étreintes au bord de la piscine. Le fiston s’était assuré que la maison fut accessible pour moi. En effet je pus arriver tandis que le rejeton depuis cinq bonnes minutes limer dans le cul de la salope et que celle-ci subjuguée râlait sans discontinuer. D’abord elle ne perçut pas mon ombre approchant. Quelle ne fut alors sa stupéfaction lorsqu’elle ouvrit les yeux me voyant à si peu de mètres d’eux. Elle ne pouvait décemment se dégager. La sodomie devant aller à son terme. Je souris et attendis.
En guise de jeu j’applaudis. Je persiflais notamment : « Bravo fiston ! » Celui-ci tout en préméditation m’invita alors à partager leur orangeade. La garce encore sous le coup de la surprise ne put nous refuser. Elle ne savait sur quel pied balancer. Je renchéris lui faisant le compliment qu’elle était bien gaulée et encore plus belle qu’avant. Le compliment ne coûtait rien. Mon fils profitât pour l’embrasser et la caresser de nouveau. Nous avions décidé à dessein qu’il l’échauffât. En effet la salope fut bientôt ranimée. Elle se donnât rapidement à l’un et l’autre.
En effet peu après je fus installé entre ses fesses besognant et soufflant à la fois. La pute n’avait cure que ce fut moi ou un autre. Le plan avait marché. J’étais dans la place. J’escomptais ce jour-là me dédouaner de tant d’années. Le fils à propos s’éclipsa au motif de répondre au téléphone. La salope acceptât que je pus continuer à me vider les couilles en tous ses orifices. Sa légende n’était pas galvaudée. Elle était insatiable. J’eus volontiers poursuivi mais je n’avais pas la santé du fiston. Elle ne m’en loua pas moins. J’étais endurant au contraire de ceux de mon âge.
Bref ce jour-là je fus adoubé. J’étais invité à venir la visiter moi aussi. Au bout d’un temps je lui rappelais mon sort ancien. Elle convint qu’elle avait été trop injuste. Mon fils se lassa de la salope me laissant le champ libre. Celle-ci n’ayant pas nécessairement un amant sous la main trouva bon que son voisin put venir la sauter lorsqu’elle bronzait nue et seule au bord de la piscine. A présent cette jolie femme ne m’appartenait pas moins qu’aux autres. Je conservais cependant l’avantage de venir à propos la baiser et qu’elle ne s’en plaignit jamais. J’en pouvais remercier un bon fils.
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