Cette histoire-là, c’est moi qui vais l’écrire. Sinon je sens bien que j’aurai pas le beau rôle, vu la façon qu’il a de raconter cette aventure.
Mon mari était à son entrainement de foot, comme tous les vendredi soirs. J’en profitais pour bronzer un peu, le soleil est assez généreux cette année. Puis évidemment il me téléphone pour que je lui apporte son essuie qu’il a oublié.
Ca m’étonne qu’à moitié, il est plutôt tête en l’air. Queue aussi, mais ça c’est moins grave. Donc j’arrive au terrain, personne. Tu vas voir qu’ils sont déjà à la buvette. Personne non plus. Je vais voir dans le vestiaire : je frappe à la porte, pas de réponse.
Je jette un oeil discret, j’entends bien les douches mais il fait assez sombre. J’appelle, toujours pas de réponse. Il le veut son essuie oui ou non ? Bon j’entre.
Ils sont tous dans les douches ? Tant pis s’il y en a un à poil, moi je vais voir. Et là le traquenard. Les salauds, ils avaient bien préparé leur coup. Ils m’attendaient à quatre pour me mettre sous la douche. Tous en essuies de bain, il me ceinturent et me portent jusque sous le jet heureusement chaud d’une des douches.
Je me débats : il ne m’auront pas si facilement. J’en fous deux à poil mais je suis trempée. T-shirt, soutien et culotte dégoulinant, me voilà belle. Ce qui les fait beaucoup fait rire. Quand j’ai commencé à me déshabiller, les rires se sont tus d’un coup.
J’avais à peine enlevé mon T-shirt que le plus jeune bandait déjà comme un taureau. C’est le fils du voisin. Dix-sept ans et déjà bien bâti. J’avais déjà vu ses yeux se poser sur mes décolletés, mais là je pouvoir l’effet que je lui faisais. Et j’ai continué mon strip tease sous la douche.
Passant doucement les bretelles de mon soutien autour de mes bras, je leur ai dévoilé mes seins. Comme ils sont déjà en photos sur le site de mon mari, pas besoin de les décrire. J’ai un peu pincé mes tétons pour les faire sortir, je sais que les hommes aiment ça.
« Va lui enlever sa culotte » a crié mon mari en s’adressant au jeune. Il s’est précipité sur moi, et l’a même déchirée dans son empressement. Pfff. Les jeunes ne savent plus prendre le temps.
Bref, on se retrouve à cinq à poil. La situation n’était pas des plus désagréables. On a coupé l’eau et mon mari a commencé à me caresser les seins, vite rejoint par ses coéquipiers. Je sentais leurs queues sur moi, et j’ai fait la connaissance avec chacune. Une bien grosse, que je sentais pour la première fois, deux moins grandes et une bien longue.
Moi j’étais pas mouillée qu’à l’extérieur. Tu penses, quatre queues pour moi toute seule. Je me suis mise à genoux pour les avoir à bonne hauteur. Une en bouche et une dans chaque main. J’ai commencé par sucer le jeune, pour qui c’était la première pipe, je l’ai bien senti.
Toujours aussi pressé il a joui tout de suite. Pas grave, il rebandera avant que j’aie fini les autres. J’en ai voulu un dans le cul tout de suite. J’ai couché celui avec le gros dard par terre et je me suis enfoncé sur lui. Quel bonheur.
Là j’étais prête à tout. Une bite dans le cul et je fais tout ce que vous voulez. Ils en ont profité les lourds. Surtout celui qui m’a pincé les tétons. Sur le moment la douleur était agréable mais je l’ai senti passer le lendemain.
Puis ils ont vidé leurs couilles sur mes seins. Faut croire qu’ils attirent le sperme. J’ai bien tenté d’avaler un jet ou deux mais ils préfèrent sortir de ma bouche pour jouir entre mes nichons.
Quant au jeune, il a eu droit au meilleur. Je lui ai montré comment lécher une chatte et je dois bien dire qu’il est doué. Il m’a fait jouir comme un dieu. C’est pas compliqué de trouver le clitoris, la preuve.
On a encore bien ri quand tout le monde s’est mis à pisser sur le mur des douches, moi y compris. Y’a pas à dire, c’est quand même plus facile pour vous.
Puis tout le monde s’est rhabillé sauf moi évidemment avec mes vêtements trempés. Je me suis donc contentée d’un essuie, et l’un des hommes nous a reconduit en voiture.
Depuis, le fils du voisin vient assez souvent tondre la pelouse. Et s’il fait chaud, je lui fais couler une petite douche…
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