Avec Marc, je me découvrais, plus on baisait ensemble et j’avais envie, chaque occasion était bonne, je me donnais à lui sans retenue que ce soit quand mon mari partait en déplacement, il me rejoignait vers 23 heures et nous baisions une bonne partie de la nuit, autrement ça pouvait être partout, dans des toilettes de restaurant, de café.
Dès que je pouvais me libérer, je le rejoignais chez lui quand il n’avait pas la garde de sa fille, je suis même parvenue à passer des nuits entières chez lui en faisant croire à mon mari que je dormais chez une amie.
Il obtenait tout de moi, ainsi quand il me demanda de ne plus mettre de dessous lors de nos rendez vous, je m’exécutais sans la moindre objection, je découvris le plaisir d’être nue sous une robe, de sentir le vent caresser ma croupe et ma chatte, d’être en état d’excitation permanente.
Un jour c’était au printemps, alors que j’étais nue sous une fine robe assez courte, nous primes le bus en pleine heure d’affluence.
Nous étions tous serrés les uns contre les autres, et dès que le bus a démarré, il a glissé sa main sous ma robe, ses doigts se sont mis à fouiller mon sexe, je suis devenue rouge comme une pivoine,mes jambes tremblaient, ma mouille coulait entre mes cuisses, et lui continuait à me branler comme si de rien n’était et chaque secousse du bus me provoquait des mini orgasmes, la mâchoire crispée pour ne crier mon plaisir, le souffle court, je sentis que j’allais partir, et lui le sentit aussi, car ses doigts quittèrent ma chatte, et il me soutint pour ne pas que je ne m’affaisse, mon ventre était douloureux, j’avais été si prêt de l’orgasme que de me laisser ainsi était inhumain, heureusement nous arrivions à un arrêt, nous descendîmes du bus et il m’entraina sous une porte cochère dans un coin à l’abri des regards, il descendit son pantalon, remonta ma robe et me pénétra d’un coup, adossée au mur je l’accueillis avec un premier cri, j’étais si excitée que je le suppliais de mon prendre, de me baiser comme une chienne, mes mots crus lui firent beaucoup d’effet, il me donnait de violents coups de queues, il me limait avec rage, il était aussi excité que moi, je fus la première à jouir, et quelques secondes plus tard, il éjaculait dans mon ventre.
La première fois qu’il m’a sodomisée c’était plus de 3 mois après notre première fois, nous étions chez lui, il était en train de me prendre en levrette quand il a sorti sa queue de ma chatte pour la frotter contre mon anus, je lui ai dit que je ne voulais pas, mais loin de m’écouter, il a continué à frotter son gland contre mon anus, le trempant de temps en temps dans ma chatte pour récupérer ma mouille, puis en me tournant je l’ai vu se mettre une sorte de gel sur sa queue, il avait donc tout prévu, avec un doigt il fit pénétrer du gel lubrifiant dans mon petit trou, à nouveau je lui intimais l’ordre d’arrêter, que je ne voulais pas , mais comme toute réponse, après bien enduit mon petit trou, son gland força l’entrée de mon anus et quand il commença à progresser je ressentis une vive douleur, je me mis à le supplier, mais rien à faire, centimètre par centimètre, il progressait, s’enfonçait de plus en plus jusqu’à ce que je ressente son bassin contre mes fesses.
Autant je ne me rappelle plus avoir souffert pour mon dépucelage, autant là, j’avais mal. Une fois tout au fond de mon cul, il ne bougea plus, il glissa une main entre mes cuisses, et très doucement il commença à me caresser, au début seule la douleur était présente, et il fallut un bon laps de temps avant que je ressente les bienfaits de ses doigts de fée sur mon clitoris, petit à petit j’eus moins mal, et petit à petit je sentis une douce chaleur m’envahir.
Sous l’effet magique de ses doigts je me mis à gémir à onduler d’avant en arrière, mon anus se dilatait de plus en plus, lui ne bougeait toujours, c’était moi qui m’enculait sur sa queue dure, et puis l’orgasme clitoridien m’emporta, mes mouvements devinrent de moins ne moins coordonnés et alors il se mit en mouvement, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement, et de plus en plus profondément, je dus mordre l’oreiller pour ne pas hurler, je n’étais plus que jouissance, en principe dès que le pic de l’orgasme clitoridien est atteint, je redescend, là non, me tenant fermement par les hanches, il défonçait consciencieusement mon petit trou, son bassin claquait contre mes fesses, et quand il sentit qu’il allait éjaculer, il m’attrapa par les cheveux, me forçant à me redresser et m’infligeât de violents coups de queue en éjaculant dans le fond de mon anus, après il s’écroulât sur moi, sa queue toujours plantée dans mon cul.
Nous restâmes un long moment sans bouger, le souffle court, tout dégoulinant, totalement hébétés par le plaisir que nous avions ressenti. Il m’avoua ensuite que depuis que nous baisions ensemble, il avait beaucoup fantasmé sur mon cul, plus d’une fois il s’était imaginé en train de m’enculer, il me dit que si certaines femmes étaient faites pour être bonne sœur, moi j’étais faite pour prendre et donner du plaisir sans retenue et qu’avec un tel cul celà aurait été un sacrilège de ne pas essayer.
De ce jour la sodomie fut présente à chaque fois que le lieu le permettait. au bout de quelques mois, nous n’avions plus besoin de gel, mon anus se dilatait de plus en plus rapidement et comme tu as pu le voir dans mes vidéos c’est bien l’acte que je préfère, je comprends complètement les gays qui se sodomisent, pour ma part quand un homme m’encule je prends un plaisir bestial, peut être est ce du au fait que mon partenaire me prend souvent en levrette ou à 4 pattes comme une chienne, que ce côté qui peut paraître dégradant a sur moi un effet totalement contraire.
Nous sommes restés amants un peu plus de deux ans ensembles, puis il a voulu vivre avec moi, c’est vrai que côté cul c’était le nirvana, mais j’étais loin d’éprouver pour lui les sentiments que je ressentais pour mon mari, et comme il devenait de plus en plus insistant, jaloux, allant même jusqu’à me faire des scènes car je dormais avec mon mari, je finis par mettre fin à notre relation.
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