La berline, une grosse Jaguar XF, roule sur une route de campagne. Le chauffeur, placide et pourtant habitué aux désirs de sa patronne, ne manque pas de jeter des coups d’œil dans le rétroviseur. Sur la banquette arrière, Leslie, une bourgeoise salope. Toujours insatiable, jamais rassasiée de bites, la belle a toujours envie de sperme, que ce soit sur ses bas couture, sa bouche ou son cul. Leslie dirige une agence immobilière et sa réputation de putain a franchi les frontières de son bureau. Elle a choisi ses employés en fonction de leurs compétences professionnelles mais aussi sexuelles.
Aujourd’hui, Leslie souhaite réaliser un vieux fantasme. À l’arrière de la Jaguar, elle a relevé une robe de mariée en crinoline blanche, faisant apparaître des bas couture blancs retenus par un porte-jarretelles de la même teinte. La belle salope est chaussée d’escarpins blancs aux talons vertigineux de douze centimètres. Ses mains, habituées à branler tant de bites, sont parées de gants de soie.
Depuis une dizaine de kilomètres, Leslie se caresse, accentuant plus ou moins sa gestuelle et ses soupirs. Le pilote, qui éprouve le plus grand mal à conserver sa concentration, bande sévèrement. Leslie le sait car la conduite du conducteur est moins souple.
– Arnaud, dès que vous voyez un chemin, vous vous arrêtez. J’ai envie de votre queue.
– Bien, madame.
Le chauffeur accélère un peu, pressé lui aussi de défoncer sa patronne. Il repère un sentier qui s’enfonce dans les profondeurs de la forêt et arrête le véhicule au pied d’un arbre. Arnaud quitte l’habitacle, le pantalon tendu par son érection et s’empresse pour ouvrir la portière passager. Leslie descend de la berline et vient s’appuyer contre l’arbre, après avoir relevé sa robe.
Arnaud sort sa bite tendue et la pénètre d’un coup sec. La chatte de sa patronne est totalement trempée. Le pilote entreprend de la défoncer avec vigueur.
– Vas-y, baise-moi fort, mon salaud !
Le chauffeur ne se fait pas prier et accélère même un peu la cadence.
– Encule-moi à fond !
Arnaud obtempère et pénètre l’anus dilaté de Leslie avec aisance. Il pilonne le cul de sa patronne avec bonheur. La bourgeoise prend du plaisir, elle aussi, et crie son bonheur d’être défoncée en pleine forêt. Au rythme qui gagne en vitesse, elle sent que son employé ne va pas tarder à gicler. Elle le repousse, s’accroupit face à lui, le branle de ses mains gantées. Elle ouvre la bouche en grand pour que le foutre vienne s’y répandre en paquets épais. Leslie avale l’intégralité de la semence.
La putain des beaux quartiers se relève et remet de l’ordre dans sa robe.
– On y va, Arnaud.
Le conducteur redémarre la belle berline. La Jaguar roule pendant près d’une demi-heure, longeant des champs, des villages endormis, d’autres forêts.
Ils arrivent au pied d’une chapelle désaffectée. Dans le champ voisin, une Mercedes patiente. Ses passagers en descendent quand ils voient la Jaguar se garer à côté. Deux couples à l’avant, deux couples à l’arrière. Deux hommes, deux femmes. Les mâles sont en costume. En ce qui concerne le duo de salopes, elles arborent la même tenue. Chapeau noir à voilette, tailleur de même teinte avec jupe fendue. Des bas couture noirs et des Louboutin vernis au vertigineux talon de quatorze centimètres. Les deux bourgeoises portent chacune une chaîne de cheville.
Leslie reconnaît sa fille Chloé qui porte un panier plein de fraises. Aussi salopes l’une et l’autre. Aussi avides de sperme chaud. En revanche, celle qui l’accompagne et qui s’avance vers elle lui est totalement inconnue.
– Bonjour Leslie, votre fille m’a beaucoup parlée de vous. Je suis Sophie.
– Enchantée.
Les trois femmes rejoignent l’arrière de la chapelle. Les trois hommes sont déjà en place et attendent que les trois superbes salopes prennent position. À la vue du trio de mâles, Leslie sent que sa corolle, déjà bien inondée, mouille encore plus. Son envie de queues est irrépressible. Elle s’accroupit dans l’herbe franchement tondue et fouille dans le pantalon de l’homme qui lui fait face pour en retirer une bite bien épaisse.
Leslie pompe fiévreusement le gros chibre. Ses complices font de même. Chloé manque même de s’étouffer en voulant avaler l’intégralité de la grosse queue. À côté d’elle, Sophie suce plus lentement, ne manquant pas de caresser les couilles offerts à son appétit.
Leslie marque une légère pause, le temps de regarder sa fille lécher la grosse queue d’Arnaud avec gourmandise puis repart à l’assaut du gland turgescent. Toujours plus excitée, sentant que sa corolle s’inonde encore plus, la belle bourgeoise gobe la bite en intégralité. Son menton vient buter contre les testicules gonflés.
De son côté, Chloé continue de se goinfrer de l’énorme verge qui remplit sa bouche alors que Sophie prend tout son temps et y va par petits coups de langue appliqués.
Pendant qu’elle continue de sucer, Leslie passe une main gantée sur sa chatte dégoulinante de jus. Sans prévenir son partenaire, elle se relève et va prendre appui contre le mur de la chapelle. L’homme prend position derrière ses fesses et la pénètre avec fermeté. Il s’agrippe au porte-jarretelles qui retient tant bien que mal les bas couture blancs.
Chloé s’est, elle aussi, placée contre le mur. Elle tend encore plus son cul que sa mère. Prête à être enculée. La veste de son tailleur s’est ouverte sur sa poitrine nue. Des gros seins magnifiques, offerts aux regards concupiscents. Son amant d’un jour pétrit ses tétons, prend le temps de jouer avec eux avant de pénétrer son anus fiévreux. Chloé se fait défoncer comme elle aime, sans préambule, ni manière. Plus elle se fait fait enculer avec intensité, plus elle jouit.
Sophie délaisse son partenaire qui en profite pour se faire sucer par Leslie et, se plaçant entre les cuisses de Chloé, s’agenouille pour lui lécher la chatte. La situation excite encore un peu plus Leslie.
La belle bourgeoise invite l’homme qu’elle était en train de sucer goulûment à s’allonger dans l’herbe. Robe complètement relevée, elle s’assoit sur lui, la queue du mâle trouvant directement le chemin de son cul. Celui qui, jusqu’alors, prenait un plaisir fou à l’enculer, se place face à elle et investit sa chatte enfiévrée. Une double pénétration, Leslie est secouée de toutes parts. Mais qu’est-ce-qu’elle adore ça ! Pour un peu, le troisième homme, son chauffeur Arnaud occupé à besogner Chloé, viendrait planter sa bite dans sa bouche de salope, elle serait totalement comblée.
– Arnaud ! Viens me défoncer la bouche et apporte les fraises !
Le pilote, qui n’a jamais refusé les envies de sa patronne, abandonne l’accueillant cul de Chloé, et plante sa queue jusqu’à la garde dans la bouche gourmande de Leslie après avoir ramené le panier de fruits.
Tous les orifices de la belle bourgeoise sont investis. Abandonnées par les hommes, Chloé et Sophie se sont allongées dans le gazon. Elle en profitent pour se bouffer la chatte et le cul, tout en léchant leurs bas couture. Leurs cris de plaisir se mêlent à ceux de Leslie.
Dans sa bouche, sa chatte et son anus, la salope des beaux quartiers sent que les bites des hommes sont à point. Ils se retirent, et à coups de jets chauds et puissants, aspergent le visage de la garce. Arnaud s’est mis en retrait et inonde les fraises de son sperme épais.
– Le dessert est prêt ! crie Chloé.
Les trois femmes se jettent sur le panier et dégustent les fraises avec délicatesse.
– Depuis le temps que j’en avais envie, commente Leslie, satisfaite de la bonne dose de foutre sur les fruits frais.
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