Le lendemain, j’ouvre les yeux, je suis seul dans le lit. J’entends du bruit a l’extérieur, je me lève et vais à la porte. Parrain est en train de préparer le déjeuner et me voit
– bon mati, lapin, bien dormi ?
– oui merci
nous déjeunons sans parler de cette nuit, après, nous mettons notre équipement dans la chaloupe et partons pêcher. Nous passons une bonne partie de la journée sur l’eau. Nos prises, de beaux brochets, six pour lui et quatre pour moi, mais c’est moi qui ai la plus grosse prise, un brochet de 14 livres. Vers 16 hrs, nous revenons au chalet
– une bière filleul en préparant les filets ?
– s’il te plaît
Il revient avec les boissons et nous préparons ce que sera notre souper accompagné d’une fricassée de légumes et du vin. On parle de notre journée et encore comme quoi il est content que je sois avec lui. On finis par boire deux bouteilles de vins, je ne suis pas habitué a boire autant, je me sens un peu saoul. À la fin du repas, il me dit
– va prendre ta douche pendant que je fais la vaisselle
Je me lève et en passant près de lui, il me donne une petite tape sur les fesses. Je passe de longues minutes sous l’eau tiède. Une fois fini, je ne resors qu’avec une serviette autour de la taille
– ça fait du bien ?
– oh que oui
Je passe près d lui et d’un coup sec, m’enlève la serviette, je fige
– tu sais que tu es un beau bonhomme, me dit-il en me prenant la queue
– heuuu, merci, dis-je en rougissant
– a mon tour de passer sous la douche, met une buche et savoure la nature
Au bout de quelques minutes, il ressort, nu avec deux verres de rhum assez pleins et m’en tend un
– merci mais que vont dire les voisins ?
– les voisins ?, as-tu vu des voisines ?
– heuuu non
– c’est une place pour hommes seulement
Les chalets sont quand même assez éloignés des uns des autres et je ne vois que des hommes d’un certain âges. Il s’assied près de moi et pose sa main sur ma cuisse
– enlève ta serviette
J’obtempère et me voilà comme lui, nu et j’apprécie le petit courant d’air chaud caresser mon corps, j’ai un début d’érection
– tu aimes être nu à ce que je vois
– je ne peux pas dire non
– lève-toi et places-toi devant moi
Je fais comme demander et il gobe ma queue et commence à me sucer. Je suis gêner, je regarde autour de nous et des hommes qui nous regardent et j’entends
– hey Jean-Marie, un nouveau
– c’est mon filleul
– beau garçon
– oui je sais
– tu vas faire comme avec les autres, nous offrir un spectacle
– oui
Je ne comprends rien
– quel spectacle ?
– tu vas apprendre à te faire mettre, je vais t’enculer et tu vas tellement aimé, laisse-moi aller chercher une grande serviette
Parrain revient avec, l’étend sur le gazon
– mets-toi à quatre pattes
J’obéis, lui aussi, même position, vient me manger le cul, bien me le mouiller et m’insère un doigt, puis un deuxième et un autre pour bien me dilater
– et puis Jean-Marie ?
– une bonne pute bien dilater
C’est moi la pute et je bande fort. Parrain colle son gland à ma rondelle, pose ses mains sur mes hanches et doucement posse sa queue en moi, je me raidie
– relaxe mon lapin
Il s’arrête un peu pour laisse mon cul s’habituer pour que la douleur s’estompe. Il pousse un peu, je sens bien sa bite me pénétrer et la douleur laisse place à une belle sensation. Il augmente la cadence des coups qu’il me donne, ses couilles se cognent aux miennes, je commence à gémir
– le filleul commence à apprécier de se faire baiser par parrain
– oui, il fera une bonne pute ce petit
À un moment, une décharge électrique me traverse le corps, je pousse un grand cri et j’éjacule, quel orgasme il m’offre, lui aussi éjacule, nous nous laissons tomber pour reprendre notre souffle, les gars applaudissent. Quelques instants après, nous reprenons nos chaises pour finir le rhum pour aller au pieu, vive la pêche
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