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VU SUR LE NET: De relation mere-fils à aman

VU SUR LE NET: De relation mere-fils à aman



Le lendemain matin, samedi, tout le mode se retrouva autour de la table du petit déjeuner. Les discussions était éparses mais au final Hélène se tourna vers Zoé.
-Zoé, tu as prévu quelque chose aujourd’hui.
-Oui maman j’ai un compte avec un des garçons et il m’a promis d’aller à la plage.
J’étais le premier étonné en regardant Zoé me sourire et maman eut aussi un petit sourire.
-Peut être que les jumeaux veulent se joindre à nous? demanda t’elle.
-Vous êtes partant les garçons leur demanda Anne.
Un oui unanime valida le planning de la journée.
-Tu nous prépare un petit quelque chose pour ce midi maman? demanda Zoé.
-Allez vous préparer je vous fais ce qu’il faut, et nous nous allons papoter entre soeur lui répondit Hélène.
-Moi ça me va commenta maman.
-Moi aussi ajouta Anne.
Je suivais alors Zoé jusqu’à sa chambre et l’attrapais juste avant l’entrée.
-Tu est gonflé toi quand même lui dis je.
-Fallait pas me le proposer maintenant on verra qui assumera le plus et elle entra dans sa chambre.
La journée avais donc de forte chance de s’animer et finalement cela me plaisais bien.
Avant de partir maman me fis un bisou et un bonne journée amuse toi bien accompagné d’un sourire chargé de sous entendus…..
Nous avons pris des vélos car la circulation était impossible à cette époque, donc 4km de petite route pour atteindre un chemin et un petit kilomètre de plus en sous bois.
-Allez, on va attacher les vélo là et finir à pieds nous dits Zoé.
500 mètres après nous sommes arrivés sur une petite plage d’une vingtaine de mètres de long sur 6 de large, un vrai petit paradis.
-Nous voilà arrivés, ça vous plait.
Le oui fut clairement unanime. Nous avons installé nos serviettes les unes à côté des autres, les deux jumeaux ensemble, Zoé puis moi.
Rapidement tout le monde fut en maillot de bain et Zoé retira son haut.
-Je pense que cela ne dérange personne, j’aime pas les traces de bronzage.
Effectivement cet ustensile ne devait pas beaucoup lui servir car elle n’avait aucune trace et elle était définitivement canon avec une chute de rein et cambrure inoubliable.
Nous avons discuté pendant quelques minutes de tout et de rien. Personnellement étant assez blanc, je n’enduits de crème de la tête au pieds ce qui eu le don de faire rire Zoé. Lorsque que j’eus fini elle me dit.
-Passe moi ton truc.
Je lui passais alors la crème et elle en mit au creux de sa main.
-C’est marrant sur toi mais qu’est ce que cela fait sur d’autre.
Elle se retourna vers Marc, posa la main sur son ventre et commença à le tartiner. Comme elle eut tendance à insister, ce dernier ce retrouva rapidement avec un problème dans son maillot de bain. Sans plus de tracas, elle passa la mains sous son maillot pour libérer une queue qui au demeurant était un modèle assez large. Nous la regardions faire avec un mélange d’étonnement et d’excitation.
Elle commença alors à lui caresser la queue, puis descendit pour la prendre en bouche. Je passais alors une main entre ses cuisses qui instinctivement s’écartèrent, elle était visiblement chaude.
Ses mains se placèrent alors sur ses hanches, attrapèrent les noeuds qui tenaient son maillot et tirèrent dessus. Ce dernier tombe immédiatement, laissant apparaître son petit cul rebondi et une bien jolie vulve.
Pendant ce temps elle continuait à s’occuper de Marc mais elle dut y allez tranquillement car ce dernier ne devait être habitué à ce genre de traitement et montait rapidement dans les tours.
Je plaçais alors ma tête entre ses jambes et elle m’offrit immédiatement son abricot. Ma langue s’introduit dans la fente qui était déjà bien humide et commença à lui titiller le clito ce qui à ses ronronnement semblait ne pas lui déplaire.
Je vis par les ombres Antoine s’approcher de Zoé avec sa queue, sans demander son reste elle commença lui aussi à le sucer, les deux étant assez réactif, elle passait de l’un à l’autre pour éviter qu’il ne vienne. La chienne avait une sacrée habitude. Personnellement je continuais à m’occuper de sa vulve ce qui lui donnait un certain plaisir.
Au bout de quelques minutes elle arrêta de sucer les garçons et posa un main sur ma tête pour que je la libère.
Elle se mit sur le dos, écarta les cuisses et nous regarda.
-Maintenant j’ai envie que vous me preniez, me fassiez jouir mais n’éjaculer pas je veux votre sève après.
Les jumeaux ne bougeais pas et je vins me présenter entre les cuisses de Zoé.
-Ca m’étonne ça ? me dit elle
-Tu préfères peut être que je passe mon tour?
Non mais tu as plutôt intérêt à me faire jouir toi?
Elle attrapa alors ma queue et la présenta dans sa vulve. La pénétrer fut d’une facilité exemplaire et je commençais gentiment à la limer.
-Vas y tu peux y aller, te retiens pas me dit elle droit dans les yeux.
Je raffermis, alors pour son plus grand plaisir, les coup de rein. Au bout d’un moment malgré ses râles, je m’arrêtais et laissais ma place.
Marc pris alors ma place dans sa chatte et commença à la limer. Au bout d’un moment il accéléra le rythme mais rapidement elle le ralentit car elle le sentait partir. Il se retira et Antoine pris sa place. Ce dernier était plus cool et au bout d’un moment il se retira de Zoé. Elle me fixa.
-Toi pas de quartier.
Je l’enfilais alors d’un coup brusque et commençais à lui labourer la vulve. Petit à petit elle commençait à ronronner et prit mes avant bras, chaque coup de rein lui donnait maintenant des frissons. Je m’arrêtais alors pour laisser ma place. Elle me lâcha les bras en me disant.
-Salaud.
Marc puis Antoine continuèrent à la bourrer, puis je revins en elle et la pris sauvagement. La tournante était partie et elle semblait pleinement la combler.
Après l’avoir prise une bonne quinzaine de fois chacun elle se remit à genoux en nous faisant face.
-Maintenant je veux votre foutre, venez.
Nous lui avons alors tendu nos queues et elle repris ses fellations. Après un petit tour, elle se concentra sur Antoine qui monta dans les tours et lui envoya 5 gros jets de foutre dans la bouche et sur le visage. Elle lui pompa la bitte jusqu’à la dernière goutte, une vrai pro, et avala tout ce quelle réussi à récupérer. Elle passa alors à Marc et eu aussi rapidement gain de cause. Puis elle se pris ma queue en bouche. Malgré qu’elle soit fort douée dans cet exercice je me concentrais pour résister le plus possible, je lisais dans ces yeux l’excitation, elle prit alors ma queue complètement en bouche puis elle passa sa main entre mes cuisses et vint positionner son majeur sur mon anus et commença à le titiller. Cette action me surprit et je lui expédiais de gros jets en pleine gorge. Elle avala tout sans broncher en me regardant droit dans la yeux. Elle libéra alors ma queue.
-Salope lui lançais je.
-Merci du compliment répondit elle.
Et si on allais se baigner maintenant lançât elle.
Rapidement tout le monde fut à l’eau et nous avons profité de ce moment. En sortant nous avons pris quelques minutes de soleil pour nous sécher et nous nous sommes dirigé en sous bois pour allez manger. Les discussion étaient maintenant bien plus libres et légères.
Malgré leur âge, sexuellement, les jumeaux n’étaient pas très expérimenté par contre, nous étions avec Zoé assez sur la même longueur d’onde. Pour ne pas les laisser de côté les discussions basculèrent sur d’autres sujet et furent assez animées.
Au bout d’un moment, Zoé s’arrêta de parler et la discussion s’estompa. Elle nous regarda et lança:
Je me prendrais bien deux queues dans la chatte.
Je ne la connaissez pas beaucoup mais cela ne m’étonnait pas d’elle. Elle se dirigea vers Antoine et commença à le caresser. Il s’allongea légèrement et elle se mit à le sucer. Elle redonna vigueur à sa queue et se retourna vers moi.
-Approche moi la tienne. Et toi Marc caresse moi et met moi un doigt.
Je plaçais ma queue au niveau de son visage et elle la goba comme une morte de faim.
Marc s’occupais de son minou qui semblait déjà bien humide.
-Vas y mets un deuxième.
Ce deuxième n’eut aucun mal à entrer.
-Un autre.
Celui ci fut un peu plus difficile mais finit par trouver sa place. Pendant ce temps elle s’occupait buccalement et manuellement de maintenir nos queues en état. Elle commençait aussi à apprécier les mouvement de Marc.
-Vas y: mets en un dernier.
Il hésita mais fini par délicatement entrer un quatrième doigt. Sa chatte était maintenant toute béante et chaque mouvement de Marc lui donnait des frissons.
-Allez mettez vous tête bêche nous lança t’elle.
Nous nous sommes mis face à face, en croisant nos cuisses et avons approché nos queues.
-Encore, nous dit elle, il faut que vos queues soient collées.
Nous n’avions ni l’un ni l’autre l’expérience de cela et le contact de l’autre n’était absolument pas familier. Nos anatomies ne faisaient maintenant plus qu’une. Elle demanda à Marc de se retirer gentiment puis elle vint s’accroupir au dessus de nous en me faisant face. Elle rassembla nos queues, les positionna à l’entrée de sa vulve et commença à descendre dessus. Lentement sa chatte se dilatait et elle continuait à s’empaler. Sa vulve céda et laissa entrer nos gland mais lui faire pousser un petit cri de douleur que je pouvais lire sur son visage. Elle libéra alors nos queues pour prendre un appui plus stable et continua sa descente. Lentement elle amorça un petit va et vient en s’empalant chaque fois un peu plus. Nos bittes étaient littéralement comprimées dans sa chatte et nous ressentions ses moindres tensions, contractions…… Petit à petit sa descente continuait et finalement elle arriva à totalement s’empaler, ce qui eut pour effet de lui afficher un petit sourire sur le visage. Elle amplifia ses va et vient avec un cri pour chaque descente. Elle était de plus en plus trempée et ses sécrétions coulaient sur les testicules. Elle maintenait ce rythme quelque temps, le temps de se sentir «à l’aise». Puis elle accéléra le rythme, son visage était plein de douleur et de plaisir en même temps et les cris n’avaient plus de fin. Son vagin jouait la chamade sur nos queues et à ce traitement de fou Antoine ne résista pas longtemps et lui envoya quelques bonnes salves qui la firent hurler et eurent le don d’encore plus contracter son vagin. Elle finit par se calmer, se relever et libérer nos queues qui étaient bardées d’un mélange de foutre et de ses sécrétions. Elle se mit alors à genoux, pris nos deux queues en mains puis en bouche pour une en avaler ce jus. Lorsqu’elle eut fini la mienne elle constata qu’elle était encore bien dure, ce qui la ravissait et elle y déposa un petit bisou.
Malgré l’intensité du moment, elle se dirigea vers son sac, en sortit quelque chose puis alla vers Marc et commença à le sucer. Le travail ne fut pas bien difficile car ce dernier avait été au premier rang d’un spectacle bien chaud. Elle le repoussa sur le dos et vint, sans logiquement, sans aucune difficultés s’empaler sur lui. Alors qu’elle gesticulait sur la queue de Marc, elle porta sa main à sa bouche, puis vers son cul. Elle tenait en main un petit gode qu’elle présenta à l’entrée de son anus. C’était vraiment une sacrée chaudasse et ma queue ne s’y trompait pas et affichait fièrement le cap. Son cul ne résista pas longtemps à la pénétration du gode. La salope elle devait avoir une sacrée habitude pour être aussi facilement ouverte.
Elle se tourna alors vers moi, et constata l’état de ma verge. Immédiatement, elle ôtât le gode, s’écarta les fesses et me fit un grand sourire. L’invitation était clair et ne pouvait se refuser. Je me plaçais derrière elle, humectais ma queue et la présentais dans son cul. Ce dernier ne résista quasiment pas à l’entrée de ma queue qui se trouvait maintenant en elle. Elle gloussait de plaisir.
-Deux queues c’est que du bonheur, allez les gars défoncer moi, faites moi jouir nous dit elle.
Alternativement nous la pistonnions pour ne lui laissez aucun répit. Elle ondulait sur nos queues et tapait le sol. Au bout d’un moment Marc eut son orgasme et lui gicla dans la chatte lui arrachant au passage de bonnes convulsions et cris. Il se retira alors d’elle et s’écarta alors que je restais en elle. Elle s’installa alors solidement sur ses genoux et sur ses coudes et tourna la tête.
-Mon salaud, je crois que je vais prendre mais j’aime alors ne te retiens pas.
Je repris alors mes va et vient, l’empoignais par les hanches et la pistonnais vigoureusement. Elle commençait à bien crier maintenant, l’excitation me gagnait et ma queue devenait raide comme un tronc ce qui n’arrangeait rien à nos cas. Elle hurlait maintenant à chaque lacération de ma bitte. Je n’en pouvais plus non plus et lui envoyais un bon jet au fond du cul qui nous valut un belle contraction du sphincter qui immobilisa ma queue dans son cul. Au bout de quelques secondes je parvins à sortir de son anatomie rectal. Nous étions tous les deux à bout.
-Ca va Zoé lui demandais je.
Et bien mon salaud, je pensais en prendre un bonne mais une comme ça…..ouf ça va oui mais il va me falloir un peu de temps pour me remettre.
Nous nous sommes allongés quelques minutes, bu un petit coup et repris nos discussions d’avant.
Au bout d’une bonne heure nous avons été profiter de la fraîcheur de l’eau qui nous permis aussi de faire un brun de ménage….. Après un petit moment, les deux jumeaux sont sortis de l’eau pour aller prendre le soleil. Nous avons alors continué à nager et nous amuser.
Au bout d’un moment Zoé m’enserra les cuisses autour de la taille et commença à me poser des questions.
-Y longtemps que tu baise avec ta mère.
-Quelques mois.
-Et c’est venu comment?
-Le hasard, les circonstances de ce jour là plus sans doute un moment d’égarement.
Elle me tendis alors les bras, je la tirais vers moi. Elle se retrouva alors contre moi et passa ses bras autour de mon cou.
-Peut être mais on s’égard pas quelques fois, il y a sans doute…….
Mais elle ne finit pas sa phrase.
-Y a sans doute quoi ? lui demandais je
-Et bien je me posais la question de savoir pourquoi cela pouvait durer mais je pense que je viens de sentir pourquoi?
-Pourquoi alors?
-Et bien si ce que je viens de sentir sur mes fesses est bien ta bitte je viens de comprendre que ce doit être une femme comblée.
Effectivement, l’eau, plus le contact immédiat de son corps avait réveillé quelques pulsions et duretés du bas ventre.
Il va falloir que j’assume alors? me dit elle.
Ca à pas l’air de beaucoup de te gêner.
Qu’est ce que tu sous entends ?
Rien si non que tu sembles apprécier les relations humaines.
Elle desserra alors légèrement son étreinte sur les hanches, passa la mains entre nos corps et dirigea ma queue vers sa chatte. Lorsque cette dernière trouva sa vulve, elle resserra les cuisses et s’empala sur ma queue. Nous nous sommes alors regardés quelques secondes et nous sommes langoureusement embrassés alors qu’elle commençait à se tortiller autour de ma queue. Nous sommes un peu remontés vers la plage puis elle est sortie de sur ma queue, s’est retournée et dit.
-Prends moi comme ça.
Je l’ai alors prise en levrette, il n’y eut pas de quartier, je la labourais vigoureusement.
-Oui fais moi encore jouir avec ta queue lâcha t’elle.
T’aimes bien te faire bourrer.
Oh oui j’adore une bitte bien dure dans la chatte.
Nous nous sommes rapidement tous les deux mis dans le rouge et je lui envoyais les dernières gouttes de foutre qu’il me restait.
Elle se retourna alors. Nous nous sommes pris par les hanches et tendrement embrassés.
-Je pense que tes vacances vont être un bon moment me dit elle alors.
-C’est ce que je pense aussi.
Nous sommes alors partis nous mettre au soleil pour reprendre des forces et nous sécher.
Vers 17H nous avons pris le chemin du retour. Nous avons retrouvé nos mères en train de discuter tranquillement assise à l’ombre.
-Alors les jeunes, la journée a été bonne demanda Hélène.
-Très bien lui répondit avec aplomb Zoé. Pas vrai les garçons.
-Parfaite répondions nous presque simultanément.
Maman se leva alors et vint vers moi.
-Tu as pris quelques couleurs mon coeur.
-Et oui vu le soleil.
-Vas prendre une petit douche, je passe après pour t’aider à mettre de la crème.
Cette dernière remarque de maman tira un petit sourire à Zoé. Chacun rangea son vélo et je me dirigeais vers la salle de bain. Zoé était devant la porte.
-Je crois qu’elle va devoir être persuasive me lança t’elle.
-De ?
-Devine.
Il est clair qu’elle avait largement mis à mal mes forces vitales mais bon une petite douche ferait de toute manière du bien.
Après ce moment rafraîchissant, dessalant et dessablant, je commençais à m’appliquer un peu d’après solaire réparateur. Maman arriva alors rapidement. Sans un mot elle attrapa le tube et commença à m’en enduire langoureusement les épaules puis le dos. La sensation était fort agréable. A la fin de cette séance, elle passa la main dans l’ouverture de la serviette qui était autour de mes hanches et se rapprocha de ma queue qui malgré ses attention n’était pas très vigoureuse.
-Et bien mon coeur?
-De?
-C’est le climat qui te rend tout mou.
-Peut être mais….
-Mais quoi.
Je lui racontais alors le déroulement de la journée avec Zoé. Elle ne perdait pas une miette de mon récit qui semblait ne faire qu’amplifier son état initiale d’excitation.
-Et bien me dit elle, pendant que nous discutions tranquillement vous la défonciez à bride abattue. Et bien c’est du propre. Les vacances vont être bien remplies alors mon coeur.
-C’est étrange c’est aussi ce qu’elle m’a dit.
-Heureusement que je te connais bien alors.
Elle tira alors ma serviette, ôta son maillot de bain, me pris dans ses bras et m’embrassa lentement. Nos langues se trouvèrent rapidement. Au bout d’un moment elle se plaqua sur la gauche, pris ma bitte en main, commença à la branler lentement et approcha ses lèvres de mon oreille et se mis à murmurer.
-Je vais la faire durcir cette bitte, elle va devenir bien dur avant de me défoncer ma chatte toute baveuse. Tu vas encore venir fourrer ta maman mon salaud mais j’adore te sentir en moi, sentir ta queue bien dur me pilonner la chatte, hum…. j’en suis toute trempée.
Ces mots, en plus de ces caresses redonnaient petit à petit vigueur à mon attribut qui finit pas devenir utilisable.
De son autre main elle s’était elle même caressée. Elle se remit alors sur le meuble de salle de bain et je n’insérais entre ses cuisses puis dans son intimité.
-Ah j’ai eu peur de ne pouvoir avoir moi aussi mon orgasme, vas y mon coeur.
Le retour dans l’intimité connue finit de durcir ma queue et je réussis à satisfaire maman.
Les vacances s’annonçaient donc sous les meilleurs auspices sexuels mais j’étais à ce moment bien loin d’imaginer la suite.

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