Comme chacune de mes histoires, cette histoire est réelle. Elle a eu lieu lorsque je vivais sur Paris pendant quelques années. Elle n’a pas été arrangé, fantasmée ou déformée. Par soucis de discrétion les prénoms et les lieux ont pu être changé.
Nous sommes toujours dimanche et notre journée ensemble touche à sa fin. Il est 17h et Yasmina doit prendre le train de banlieue vers 18h pour pouvoir rentrer, Yasmina fini de prendre sa douche et se prépare tranquillement après un weekend éprouvant… mais elle ne sait pas que je n’en ai pas fini avec elle…
J’habite à 5 minutes de la gare en voiture mais je voulais lui laisser un souvenir inoubliable de ce weekend. Vers 17h20 je la presse pour partir en prétextant que j’ai des choses à faire après et qu’il faut que je la dépose avant. Bien-sûr elle n’y croit pas une seconde et me regarde avec un sourire en coin la coquine…
Elle prend ses affaires et on sort de chez moi. Nous sommes côtes à côte dans l’ascenseur qui nous emmène au garage et n’échangeons pas un mot. Nous sortons de l’ascenseur, traversons le couloir qui mène au parking. On s’approche de la voiture et lorsque nous sommes juste a côté je la tourne vers moi et la plaque contre la portière. Elle me regarde avec un grand sourire et me dit :
• Je le savais…
• Ah bon ? Alors tu sais ce que tu dois faire
Elle me regarde impassible tandis que mes mains appuis sur ses épaules pour la mettre à genoux devant moi. Sans me quitter du regard une seconde elle sort ma queue, crache dessus et commence à me branler.
• Pour une fois je vais être gentil avec toi et je ne vais pas te dégueulasser, alors profites en…
Sans me quitter du regard et sans s’arrêter de me branler elle commence à me pomper pendant une bonne minute sans s’arrêter. Je suis debout dans le garage de mon immeuble, le pantalon aux pieds avec une petite salope à genoux entre moi et ma voiture qui m’astique le dard, le rêve. Je ne pense pas une seule seconde à être potentiellement surpris, je ne crois jamais personne dans ce parking.
• Relève-toi ma belle
Elle s’exécute sans me lâcher la bite et se tient devant moi en continuant de me branler. Je l’embrasse fougueusement une quinzaine de seconde, lorsque j’arrête elle laisse couler un long filet de bave qui tombe en partie sur ma queue et sa main. Je défais le bouton de son pantalon et je commence à le baisser. Cette salope avait tout prévu, elle ne porte pas de culotte !!
• Alors comme ça on ne porte rien ?
• Je voulais être prête au cas où tu me veuille…
Je l’embrasse à nouveau et baisse son jean à la moitié de ses cuisses, elle s’arrête alors de me branler et commence à se tourner.
• Oh non pas si vite, moi aussi j’ai faim…
Bloqué par le jean elle ne peut pas trop bouger, je la décale sur le côté et la pousse en arrière pour que son dos atterrisse sur le capot et lui lève les fesses pour qu’elle soit bien allongé dessus. Je relève ses jambes en l’air pour ne voir que sa petite chatte serré et coincé entre ses cuisses. Je m’approche, lui agrippe les cuisses avec mes mains, écarte légèrement ses cuisses au niveau de sa chatte et commence à lui aspirer le clito et lui bouffer la chatte. Je sors ma langue en pointe et commence à lui fourrer à l’intérieur. Je l’entends gémir doucement. Je me relève et lui l’allonge sur le côté, prends ma bite en main et commence à frotter mon gland à l’entrée de sa chatte. Elle me regarde, toujours avec son regard de glace, stoïque, impassible et me dit :
• Je te veux en moi.
Je pousse doucement mon gland en elle et commence à la prendre sur le capot pendant quelques minutes. Elle gémit, au rythme de mes vas et viens et son regard bestial réapparait petit à petit. Je la relève debout avant de la retourner et du lui plaquer le ventre sur la portière et commence à la baiser debout en lui prenant sa queue de cheval en main.
• Putain c’est booooon, putain oui
• Oh oui ta chatte est tellement bonne
Je continue de la bourré encore quelques minutes.
• Han putain, han ouii, jee … je vais louper mon train si ça continue.
• Han putain t’es bonne je veux pas arrêter.
• Vas-y bébé je veux te sentir jouir en moi, décharge tes couilles, vas-y je veux te sentir.
Sous ses encouragements je lui envoie des décharges de sperme au fond de la chatte sous des hurlements de plaisir. Après quelques secondes j’enlève ma bite de son vagin et elle remets aussi tôt son jean.
• Je veux te garder en moi et te sentir couler de ma chatte pendant les prochaines minutes a venir
Je la regarde bouche bé, cette fille est… ouah
Elle monte aussi tôt dans la voiture et nous arrivons a la gare quelques minutes avant le départ de son train. Je l’ai embrassé et lorsqu’elle s’est tournée j’ai vu une tâche bien visible a son entrejambe.
• Yasmina, tu…
Elle s’est retourné avec un grand sourire et m’a embrassé a nouveau.
• Tu te repend partout sur moi… j’aime ça
• On se revoit vite…
Une dizaine de minutes après être rentré chez moi j’ai reçu une photo… de son jean et de la tâche de sperme ayant coulé de son sexe jusqu’à la moitié de sa cuisse a l’intérieur… j’ai eu une érection incroyable.. encore quelques minutes plus tard j’ai reçu une photo similaires mais cette fois avec en premier plan ses doigts mouillé et la mention « je peux te goûter même quand tu n’es pas là 😉
Ce weekend est le début d’une longue série d’aventures plus excitant les unes que les autres…
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