Karine et moi pendant le stage 3
Au cours de mon stage, j’ai été invité par la société à me déplacer sur un salon professionnel où chaque industriel expose ses produits et ses nouveautés car le sujet de mon stage allait y être exposé. Une partie du personnel est naturellement convié pour animer le stand et exposer les produits de l’entreprise. Il y a deux techniciens, un ingénieur, trois commerciaux, Karine pour l’administratif et l’aspect financier, le directeur et moi. Enfin il y a aussi Cécile qui est conviée pour assister le directeur lors de conférences ou de démonstrations. En fait c’est surtout pour lui vider les couilles le soir car elle n’a rien à faire de la journée.
Une large partie de l’équipe est partie depuis quelques jours pour monter le stand. Karine, Cécile, le directeur et moi-même, nous les rejoignons en train. Nous sommes donc à la gare et nous découvrons que le directeur a eu la classe de prendre deux billets en Première Classe pour lui et Cécile et deux en Seconde Classe pour Karine et moi. J’avais remarqué depuis quelques temps qu’il était de plus en plus odieux avec son personnel mais là je trouve qu’on touche le fond. Je ne serais pas étonné que ce soit en partie à cause de sa femme qui doit lui pourrir la vie depuis la conversation que nous avons eu pendant la dernière soirée d’entreprise. Du coup nous montons dans notre wagon avec Karine. Nous avons deux places cote à cote qui se situent près de l’entré du wagon. Karine s’assoie près de la fenêtre et donc moi coté couloir. Le voyage va être assez long puisqu’il dure plusieurs heures. Il va être d’autant plus long que le train est plein à craquer et qu’en plus il y a plusieurs familles avec des enfants en bas âges qui commencent déjà à pleurer et à faire du bruit (par pitié la SNCF, il faudrait inventer des wagons réservés aux familles avec enfants !).
Le train démarre et nous partons donc pour plusieurs heures de voyage. Nous discutons avec Karine. Au bout d’un moment, la conversation revient sur le plus gros point commun que nous avons, c’est-à-dire le sexe. Tout en parlant, Karine a pris ma main et nous nous sommes rapprochés afin de pouvoir parler sans être surpris par les passagers autour de nous.
«
– J’espère que le directeur a été aussi radin sur les chambres d’hôtel et que je vais devoir partager mon lit avec toi.
– Ne t’inquiète pas, même si nous avons chacun une chambre, j’ai envie de m’envoyer en l’air et je compte sur toi mon petit stagiaire !
– Tu ne voudrais quand même pas que tout le monde soit au courant que tu te tape le stagiaire ?
– Au pire je crois que je m’en fiche.
– T’es sérieuse ?
– Oui !
– Et ton mari ?
– Honnêtement, ça fait un moment qu’il ne me fait plus vibrer. Il doit me prendre une fois par semaine et encore il le fait plus par obligation que par plaisir. Il donne vraiment l’impression de s’en foutre et de me prendre juste pour pas que je lui fasse de reproche. Depuis que je te connais j’ai vraiment repris goût au sexe et mon mari ne me satisfait pas du tout. Il est à des années lumières de toi !
– Tu vas le quitter ?
– Je ne sais pas. S’il n’y avait pas les enfants surement que je le ferais mais là c’est plus compliqué. Et puis de toute manière tu es là alors je prends mon pied !
– Je sais pas si je serais dans la région pour longtemps.
– On verra ! Pour le moment tu es là alors autant en profiter ! »
En terminant sa phrase, elle pose ma main sur sa cuisse. Elle porte une jupe mais aussi des collants car il fait plutôt frais. Elle fait glisser sa veste qu’elle avait posée sur la tablette devant elle sur son ventre et ses cuisses. De mon coté, je pose mon sac à dos sur ma cuisse coté couloir et je le bloque avec la tablette. Je pose aussi ma veste sur mon sac et sur moi. Nos vestes se touchent. Ainsi nous sommes plus à l’abri du regard des autres même s’ils sont tous occupés à leurs propres occupations. Ma main remonte doucement le long de la cuisse de Karine. Pour ne pas éveiller les soupons, nous nous redressons chacun sur nos sièges. Mais ma main continue d’avancer sur la cuisse de Karine et je remonte doucement sa jupe jusqu’à atteindre sa culotte. Je commence à caresser son clito. Je pénètre ensuite sa chatte avec un premier doigt puis rapidement un second. Karine commence à prendre beaucoup de plaisir et pour ne pas se trahir, elle tourne la tête vers la fenêtre. Je la pénètre avec deux doigts mais visiblement pas assez rapidement à son gout puisqu’elle me prend le poigné pour accélérer la cadence. Après de longues minutes, je vois Karine se mordre les lèvres. Son corps se cambre et sa main se crispe sur mon avant bras. Puis elle me regarde et me fait un grand sourire. Elle s’approche alors de mon oreille et me dit :
«
– Je viens d’avoir mon premier orgasme en publique !
– Si tu veux on va aux toilettes et je t’en donne un encore meilleur.
– Ca va pas la tête ! Y a trop de monde et on va forcement se faire griller !
– Mais moi tu ne m’as pas encore fait jouir.
– Pas encore mais ça va venir ! »
Karine se redresse mais rapidement sa main arrive sur ma braguette. Elle l’ouvre puis elle défait le bouton. Ainsi elle peut passer sa main dans mon boxer. Ma bite durcie rapidement entre ses doigts qui me branle avec dextérité. Karine regarde par la fenêtre tout en continuant de me branler lentement. Ses doigts caressent aussi mes couilles de temps en temps. Je regarde autour de moi et je peux voir que personne ne semble de se douter que cette femme qui regarde par la fenêtre est en train de me branler. Au bout d’un moment, elle accélère la cadence. Je remarque que cela fait près d’une demi-heure qu’elle me branle. Le plaisir augmente et pour ne pas me faire griller, je pose mon coude sur la tablette et je mets ma tête dans ma main. Finalement je fini par gicler sur la main de Karine qui la retire alors de mon boxer. Elle se tourne vers moi et avale tout en me regardant droit dans les yeux. Puis elle se rapproche de moi et pose sa tête contre la mienne.
«
– Il était tant que tu gicles, je commençais à avoir mal au poigné.
– Tu me branlais tellement bien, j’avais envie que sa dure !
– Tu crois que les gens se sont doutaient de quelques choses ?
– Non je ne pense pas.
– J’ai quand même vu un mec qui regardait vers nous pendant un moment.
– Il te matait parce que tu es trop belle !
– Je sais pas il avait un regard du genre : je sais ce que tu fais cochonne.
– Tu te fais des idées.
– Tu crois qu’ils pensent quoi les gens quand ils nous regardent et qu’ils nous voient tête contre tête ?
– Ils doivent se dire que tu es une coquine de cougar qui part en voyage dans le dos de son mec avec son amant !
– Tu es bête ! Si c’est comme ça, je vais dormir dans mon coin.
– Mais non reste comme ça. On s’en fou des autres. Et au pire c’est vrai ce que je viens de dire.
– Oui ! Alors passes ton bras autour de moi et laisses moi dormir pour me remettre de cet orgasme ! »
Karine se blottit encore plus contre moi et je passe mon bras autour d’elle. Finalement elle dort jusqu’à notre arrivée à la gare. Une fois à la gare, nous retrouvons le directeur et Cécile. Nous allons récupérer les voitures de location. Nous en prenons deux pour, je cite, « simplifier nos déplacements une fois sur le site ». Je crois surtout qu’il veut une voiture pour lui et sa salope afin d’être tranquille. Nous prenons la route car nous avons encore une heure de voyage. Evidement, Cécile est avec le directeur et Karine avec moi. Inutile non plus de préciser que nous avons une Clio alors qu’eux on une Mercedes.
Avec Karine, nous suivons la voiture du directeur. Nous sommes sur une 2×2 voies. Nous roulons depuis quelques minutes lorsque Karine me dit qu’elle va pouvoir faire plus que me branler car nous avons de l’intimité. Elle commence alors à ouvrir ma braguette et à baisser mon boxer comme elle l’a fait dans le train. Mais cette fois elle sort carrément ma bite. Après l’avoir un peu branler, elle me rappelle qu’elle a mal au poigné et pour l’économiser, elle se penche et elle commence à me sucer. Au départ elle me suce doucement puis elle me suce goulument. Je dois faire des efforts pour rester concentrer sur la route et pour ne pas nous tuer. Nous doublons des camions et les chauffeurs ne manquent pas de remarquer qu’elle est en train de me sucer. Cela nous vaut de nombreux appels de phares et coups de klaxon. Karine s’occupe tellement bien de moi que lors d’un ralentissement, je manque de peu d’emboutir la voiture du patron. Nous nous sommes fait une belle frayeur. Karine décide de me sucer plus fort et j’éjacule rapidement dans sa bouche. Pour la deuxième fois de la journée, elle boit mon sperme. Karine se redresse mais elle relève sa jupe et elle prend un malin plaisir à allumer les routiers qui ne restent pas insensible à son charme. Finalement, nous arrivons au salon et nous rejoignons le reste de l’équipe.
La journée se passe tranquillement mais longuement. Finalement, il est temps de rentrer à l’hôtel. A notre grande surprise, le directeur dort dans le même hôtel que nous. Mais il prétexte un repas d’affaire pour ne pas manger avec nous et diner à l’extérieur. Forcément, il a besoin de Cécile pour l’accompagner s’il y a besoin de signer des contrats ! Chacun monte ses affaires dans sa chambre. Je ne sais pas comment les réservations ont été faite, mais nous sommes répartis aux quatre coins de l’hôtel. Puis on se retrouve au restaurant de l’hôtel pour manger. La conversation arrive rapidement sur le comportement du directeur :
« (Pour le dialogue suivant, K sera Karine, J sera moi et X seront les autres)
X : – Je ne sais pas ce qu’il a en ce moment mais il est de plus en plus insupportable !
X : – Pourtant les affaires vont bien. Toi qui gère la compta, tu peux le confirmer non ?
K : – Oui les chiffres sont bons ! Il doit avoir autre chose.
X : – Ca doit être un problème de cul.
X : – Carrément, ça doit faire un moment qu’il a pas du se vider !
X : – Allons un peu de classe, il y a Karine avec nous. Tu n’es pas dans ton atelier !
K :- T’inquiète je suis pas pucelle non plus et à force de vous fréquentez je me suis habituée !
X : – Dis qu’on est des pervers tant que tu y es !
K : – Mais non vous êtes juste des hommes !
J : – Vous la choquez même plus les gars.
X : – En attendant je suis sur que c’est parce qu’il fourre plus le vieux cul de sa femme qu’il est comme ça. Il doit être en manque.
X : – En manque ! Laisse-moi rire. Pourquoi tu crois qu’il est parti à un soit disant repas d’affaire uniquement avec Cécile ?
X : – Tu crois qu’il la saute ? (Nous nous regardons avec un regard complice Karine et moi)
X : – Tu crois que c’est Cécile qui va expliquer le fonctionnement des machines au client ou qui va rédiger le devis ? Elle arrive juste à répondre au téléphone !
J : – Elle a peut être d’autres talents ! C’est pour cela que le directeur l’apprécie.
X : – Tu vois même le stagiaire qui est là depuis quelques mois à compris ! Sors les yeux de ton masque de protection des fois.
X : – Quel vieux déguelasse !
K : – Et quelle salope !
X : – Vas y Karine lâche toi !
K : – Je parle comme vous pour que vous me compreniez mieux !
X : – C’est efficace et excitant aussi.
X : – Calme-toi ! Karine c’est pas Cécile.
X : – Tu te taperais pas le vieux toi ?
K : – Ca va pas la tête !
X : – Même pour une belle prime ?
K : – Même pour une belle prime. Rien que de l’imaginer… Beurk quelle horreur !
X : – Et qui tu te taperais alors ?
K : – Je suis mariée moi monsieur !
X : – Ca empêche pas. Aller dis nous ! (les autres lui mettent la pression)
K : – Ok je vais être franche.
X : – Qui alors ?
K : – Notre petit stagiaire ici présent.
X : – Il est là depuis moins longtemps que nous c’est pas juste. Nous on te supporte depuis plus longtemps et on n’est pas remercié !
K : – Ecoute, si je devais tromper mon mari, je préfère autant le faire avec le mec le plus mignon de la boite ! T’as qu’a être plus beau !
X : – C’est pas de sa faute Karine. Même s’il est moche il a le droit de baiser !
X : – Oui c’est vrai. Mais du coup notre jeune ami sait ce qu’il va faire cette nuit !
K : – Eh j’ai dis : si je devais tromper mon mari. J’ai pas dis que j’allais le faire (elle me jette un regard complice)
K : – Tant pis, tu n’aura qu’a te branler tout seul dans ton lit mon ami ! »
Il commence à se faire tard et nous montons nous coucher sur cette joyeuse conversation. J’ai très envie de me faire Karine mais elle n’est pas au même étage que moi et comme il y avait encore d’autres collègues avec elle dans l’ascenseur, je n’ai pas pu lui demander son numéro de chambre. Je vais me doucher. En sortant de la douche, je vois que j’ai reçu un sms. C’est Karine qui m’envoi le message suivant : Chambre 214. Fait gaffe Franck est dans la 211. Je m’habille et je prends la direction de l’étage supérieur. En sortant de l’ascenseur, je tombe nez à nez avec deux collègues :
«
X : – Qu’est ce que tu fou là ?
J : – Bah je vais tenter ma chance avec Karine !
X : – Non sérieux ?
X : – T’es con tu vois bien qu’il se moque de toi !
J – Mais oui je vais juste lui rapporter son chargeur qu’elle m’avait prêté cet aprem.
X : – Ah ok !
J : – Et vous vous faites quoi ici ?
X :- On a vu Cécile et le dirlo arriver alors on est allé voir si Cécile était dans sa chambre mais elle n’y est pas ! Je suis sur qu’elle est avec le directeur en train de se faire prendre.
X : – Dommage parce que moi j’aurais bien passé la nuit avec elle pour lui bouffer ses gros seins et lui bourrer son putain de gros cul.
J : – T’aurais du faire directeur et pas soudeur pour ça !
X : – Elle doit préférer les mecs riches aux mecs comme toi !
X : – Je sais me servir de mes mains moi au moins !
J : – Tu pourras te branler en pensant à elle alors !
X : – Essai donc de sauter Karine au lieu de te foutre de moi. Viens on va se poster près de la chambre du directeur pour écouter. »
Je vais jusqu’à la porte de Karine qui m’ouvre. Elle porte une nuisette noire et assez transparente qui laisse ses petits seins bien visible. Elle a son regard de salope. Elle vérifie que personne ne m’a vu entrer puis elle referme la porte. Elle me plaque contre le mur et nous nous embrassons. Je caresse ses cuisses puis je remonte sur ses fesses tandis qu’elle me déshabille lentement. Après quelques minutes, nous sommes tous les deux nus. Nous allons sur le lit et nous continuons de nous embrasser tendrement. Nos langues s’entremêlent. C’est la première fois que nous passons tant de temps à nous embrasser et surtout aussi tendrement. Karine qui est allongé sur moi, prend mon visage entre ses mains et me dit :
«
– Ce soir je veux que ce soit différent.
– Comment ça ?
– D’habitude tu me baises sauvagement comme la dernière des salopes et j’adore ça. Mais là j’ai envie de tendresse. Je ne veux pas que tu me baises. Je veux que tu me fasses l’amour comme si j’étais ta femme.
– Ok si tu veux. J’espère que tu vas pas t’ennuyer !
– Ca risque pas. Tu sais tout à l‘heure en disant aux autres que c’est avec toi que je coucherais, je me suis rendu compte que je tiens vraiment à toi et que j’ai des sentiments pour toi. C’est pour cela que je veux que tu me fasses l’amour tendrement toute la nuit !
– Alors allons y !
Nous nous embrassons à nouveau. Puis Karine descend lentement le long de mon cou. Je sens sa langue parcourir la peau de mon cou. Elle dépose aussi des baisers au passage. Puis elle arrive sur mon torse. Elle continue de promener sa langue tout me caressant avec ses mains. Elle s’attarde un peu sur mes tétons. Sa langue joue avec eux puis elle continue sa descente. Cela fait une dizaine de minutes que sa langue a quitté la mienne et elle arrive enfin sur ma bite. Elle passe sa langue dessus puis elle la pose sur mes couilles. Pendant qu’elle les lèche, sa main s’empare de ma bite et elle me branle doucement. Je reste allongé les jambes bien écartées et je laisse Karine se régaler de ma bite. Elle me suce vraiment très bien. Je profite de ce moment de plaisir. Karine a maintenant ma bite entièrement dans ma bouche. Elle me fait une pipe lente mais à chaque aller-retour, ma bite s’engouffre jusqu’au fond de sa gorge. Elle me fait un bien fou et je ne vais pas tarder à jouir. Je pose ma main sur sa joue. Elle me regarde et elle comprend que je vais gicler. Elle accélère un peu le rythme. Ma bite s’enfonce dans sa bouche et ses yeux sont plantés dans les miens. Finalement j’explose. Elle avale toutes les giclés qui sortent de ma bite. Puis elle revient se placer sur moi pour m’embrasser encore une fois.
Nous roulons sur le lit et je me retrouve au dessus d’elle. A mon tour, j’entame une longue descente vers sa chatte. Ma langue se promène d’abord sur son cou puis sur ses épaules. Ses seins sont petits mais je m’attarde sur ses tétons qui pointent fièrement. C’est ensuite au tour de son nombril et de son ventre d’être lécher. J’arrive alors entre ses cuisses. J’embrasse l’intérieur de ses cuisses puis ma langue arrive enfin sur son clito. Avec mes doigts, je commence à caresser ses lèvres et à les écarter doucement. Puis ma langue entre dans son vagin. Je lui bouffe la chatte avec douceur. Ma langue va et viens dans sa vulve et mes doigts se promènent entre son clito et l’intérieur de sa chatte. Karine enroule ses jambes autour de mon dos et ses bras autour de ma tête. Elle me plaque contre sa chatte. Sa tête est en arrière et sa respiration est très forte. Elle pousse même des gémissements. Ils s’intensifient tout comme la quantité de mouille qui dégouline d’elle. Elle gémie de plus en plus et je sens son corps se raidir. Finalement elle atteint l’orgasme. Elle me serre encore plus fort contre elle puis me relâche. Je viens me blottir contre elle. Nous reprenons nos baisers en nous regardant les yeux dans les yeux.
Je bande toujours comme un âne. Elle se redresse et elle s’assoie sur moi. Elle frotte doucement sa chatte contre mon corps puis elle vient s’empaler sur ma bite. La pénétration est lente. Elle garde le rythme qu’elle avait tout à l’heure pendant sa pipe. Elle prend son pied. Elle se cambre en arrière et pose ses mains sur mes tibias. Elle commence à gémir doucement. Elle accélère un peu. Soudain elle se penche sur moi pour m’embrasser. Je la serre contre moi. Nous basculons pour que je me retrouve sur elle. Ma bite ne quitte pas son trou. Nous sommes maintenant en missionnaire. Je la culbute doucement mais quand même plus rapidement qu’elle ne le faisait. Je plonge ma tête dans son cou pour le lui lécher. Elle balance sa tête en arrière. Ses mains quittent mon dos pour prendre les miennes. Elle écarte les bras pour m’offrir sa poitrine que j’embrasse tout en la prenant doucement. Elle pousse des gémissements de plaisir. Elle me demande de la prendre plus fort. J’augmente la cadence et je la prends maintenant assez fort. Ma langue est toujours dans son cou. Nos mains sont toujours liées de chaque coté de sa tête. Je la bourre de plus en plus fort. Finalement, je la culbute encore comme la dernière des salopes ! Elle crie de bonheur et elle ne pense maintenant plus aux voisins et surtout au collègue qui est dans une chambre toute proche. Nous atteignons l’orgasme ensemble. Je me déverse en elle. Elle plaque ma tête contre ses seins et nous restons un long moment dans cette position pour récupérer.
Soudain, le portable de Karine sonne. C’est son mari et elle doit prendre l’appel. Elle est assise au bord du lit en train de lui parler. Je la regarde et elle me fait envie. Je me place derrière elle et j’embrasse ses épaules et son cou. Karine me repousse dans un premier temps mais elle ne peut pas résister au plaisir que je lui apporte. Je bande de nouveau et je frotte ma bite contre son dos. Puis je me lève. Je suis toujours derrière elle et je frotte ma bite contre sa joue qui est opposé au téléphone. Elle att**** alors ma bite et elle me force à passer devant elle. Elle reste assise et je suis debout face à elle. Elle commence alors à me branler tout en téléphonant à son mari. Elle devient encore plus coquine lorsqu’elle enfile ma bite dans sa bouche. Elle fait quelques va et vient pendant que son mari parle et elle retire ma bite de sa bouche pour lui répondre. Je suis très excité de l’entendre lui dire des « je t’aime » et des « tu me manques » alors qu’elle est en train de me sucer. Elle fini par raccrocher. Elle se lève et m’embrasse en m’enlaçant. Mes mains arrivent sur ses fesses que je n’ai pas encore bourrées aujourd’hui. Elle se dégage de mes bras pour poser son portable sur la table qui est dans la chambre. Alors qu’elle me tourne toujours le dos, je la plaque sur la table.
Son cul m’est alors offert. Je me mets à genou entre ses jambes qu’elle a écarté. Je commence à embrasser ses fesses, puis ma langue arrive sur son petit trou. Je le lèche un long moment puis j’enfonce un peu ma langue dedans. C’est ensuite mes doigts qui prennent le relais. J’insère deux doigts dans son cul et je fais des mouvements assez rapides car je sais qu’elle adore ça depuis que j’ai dépucelé son cul dans notre abri en carton. Karine me dit alors :
«
– C’est trop bon chéri. Défonce moi sur la table je t’en supplie !
– Je croyais que tu voulais de la douceur !
– J’en ai eu plein. Mais tu es le seul à avoir bourré mon cul et j’aime quand c’est violent par là !
– Ok Karine, je vais te déglinguer ! »
J’ai à peine fini ma phrase que j’enfonce ma bite d’un coup sec jusqu’au fond de son cul. J’att**** ses hanches et je la bourre violement comme elle le veut. Comme je sais que cela l’excite, je plaque sa tête sur la table avec ma main. Elle m’est totalement offerte. Je la défonce sans retenu et elle hurle de plaisir. Ses gémissements sont hyper excitants. Tout en la culbutant, je lui demande si elle en veut encore plus. Evidement, elle répond que oui. Je la tire par les cheveux pour qu’elle se redresse et je la pousse sur le lit. Puis je l’att**** à nouveau et je l’oblige à poser le haut de son dos par terre. Ainsi, le lit bloque le reste de son dos et son cul m’est parfaitement offert. Je me place à cheval sur elle. Elle pose une main sur mes fesses qui sont en face de son visage. Puis je place ma bite devant son trou et je le fourre encore violement. La position est acrobatique mais qu’est ce que c’est bon. Karine gémi encore plus fort. J’entends des coups dans le mur qui nous disent que le voisin semble dérangé. Mais Karine ne baisse pas le volume pour autant. Je continue de la prendre aussi violement que possible. Karine est terrassée par un orgasme très violent qui la laisse presque inconsciente. Comme je n’ai pas encore joui et que Karine ne semble pas en état de me sucer, je fais pivoter son corps sur le coté et je me place derrière elle. Je me remets dans son cul et je la saute encore une fois. Elle est complètement dans les vapes mais elle pousse de petits gémissements. Je la saute en cuillère à même le sol. Cette pénétration ne dure pas très longtemps puisque je fini par me vider dans son cul totalement explosé par ma bite.
Je porte Karine sur le lit. Je m’allonge près d’elle et elle se blottit contre moi. Elle est comme anesthésié par l’orgasme.
«
– C’était génial ! Jamais je n’avais eu un si gros orgasme. Merci beaucoup.
– De rien ça m’a fait plaisir. C’est vrai que c’était bon !
– Je crois que j’ai fait beaucoup de bruit non ?
– Un peu ! Heureusement que tu n’hurles pas comme ça quand on est dans notre cachette !
– En même temps c’est pas tout les jours qu’on peut prendre notre temps et ensuite se faire enculer aussi violement !
– Je t’avais dit qu’avec que de la tendresse tu allais t’ennuyer !
– Faut croire que tu avais raison, je suis faite pour être soumise et violentée !
– Oui peut être !
– En tout cas merci beaucoup. Je t’aime »
Sur ces mots, Karine s’est endormie. Je me suis réveillé dans la nuit et j’ai préféré retourner dans ma chambre pour limiter les risques d’être surpris dans celle de Karine. Le lendemain, on se retrouve tous pour le petit déjeuné. Je retrouve Karine dans l’ascenseur. Nous sommes seuls. Elle m’embrasse tendrement jusqu’à ce que la porte s’ouvre. Puis nous rejoignons les autres qui sont en pleine conversation :
«
X : – Ah bah vous arrivez ensemble comme par hasard !
J : – Bah vu ce que Karine a dit hier, j’allais pas la laisser seule dans sa chambre !
X : – Salaud tu te l’ai vraiment faite. Dis donc Karine je croyais que tu étais pas comme Cécile.
K : – Mais arrête d’être aussi naïf et de croire tout ce qu’on te dit ! (elle me jette un regard complice)
X : – Ah c’était une blague !
J : – Bon et votre mission d’espionnage ?
X : – Vous aviez raison. On a entendu Cécile couiner comme une salope.
K : – Vous avez été l’espionner ?
X : – Bah on voulait en avoir le cœur net. C’est bien le dirlo qui dit qu’il ne faut pas avoir de doute.
X : – Il lui met cher à cette salope. Elle m’a tellement excité que je me suis branlé en rentrant !
K : – On est content de le savoir !
X : – Ah bah enfin voila Franck. Bah t’as une tête mon vieux !
F : – J’ai pas dormi avant 1h du matin.
J : – Pourquoi ?
F : – Y a une espèce de salope qui a couiner enfin plutôt qui à gueuler pendant des heures.
K : – Je l’ai entendu moi aussi !
X : – C’était pas Cécile que tu entendais ? Elle a du casser les tympans des voisins elle aussi.
F : – Je sais pas qui s’était mais elle doit avoir mal au cul aujourd’hui tellement elle s’est faite fourrée !
X : – T’as pas mal au cul Karine ?
K : – T’es con ! Tu vois bien que non.
X : – Aller avoue.
K : Bon d’accord. En fait notre petit stagiaire est venu me rendre visite et on a baisé toute la nuit. Et comme c’est le meilleur coup de toute ma vie et bien j’ai été bruyante !
X : – Cette fois je te crois pas. T’as vu je fais des progrès !
K : – Oui c’est bien. (On rigole tous mais avec Karine nous ne rions pas pour la même raison) »
Notre conversation s’interrompt lorsque le directeur arrive et nous dit que nous devons aller bosser. Cécile est derrière lui et ils ont les traits tirés ! Nous retournons au salon pour une nouvelle journée de boulot. J’attendais le soir avec impatience pour rebaiser Karine mais une urgence de la société l’oblige à retourner au siège. Elle repart donc en train en début d’après midi. J’aurais aimé la ramener à la gare mais c’est un autre collègue qui en a été chargé. Le soir, Karine m’envoie un sms pour me dire que le voyage aller était bien mieux que le retour. Le salon dure encore deux jours mais je sais que je la retrouverai à mon retour ! N’hésitez pas à rejoindre le groupe facebook ou à me contacter : [email protected]
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