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Abusée Chapitre 01

Abusée Chapitre 01



Traduction d’une histoire de Jessiebnh.

Ce récit est une FICTION contenant chantage, contraintes et humiliations. Ne continuez pas à lire si vous n’aimez pas.

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Je m’appelle Jessie, j’ai trente-trois ans, je suis une femme mariée. Je vis dans une petite ville du nord-est des États-Unis. Par nature je suis très timide. Bien que je sois un garçon manqué, sous mes jeans et mes pulls, j’ai un corps sexy. J’ai de longs cheveux blonds et un joli sourire.

J’ai été élevée dans une petite ville et mes parents n’étaient pas très ouverts sexuellement. En conséquence, je suis toujours réticente à discuter de sexe avec Mike, mon mari depuis quatre ans. Mais ne vous méprenez pas, j’aime Mike et nous nous amusons sexuellement. Mais j’avoue qu’il a fallu beaucoup de temps avant de le laisser me voir nue.

Je suppose que ma timidité et ma pudeur envers la sexualité ont un peu entravé ma vie amoureuse. Pour être honnête, j’ai rarement, voire jamais d’orgasme lorsque l’on fait l’amour. Et parfois, après que Mike ait fini, se soit retourné et endormi, je me masturbe pour « finir ».

Je ne blâme pas Mike car je sais que c’est de ma faute. J’hésite toujours à lui demander ce que je veux vraiment. Et quand il suggère que nous essayons quelque chose de différent, comme la fellation, ou que je m’habille plus sexy, je me ferme comme une huître et mon langage corporel indique que je ne veux pas en parler plus. Il est très doux et jamais il ne me forcera à faire des choses contre mon gré. Pourtant parfois je souhaiterai qu’il soit un peu plus brusque et qu’il me traite plus durement.

Mike aime le sport. Il était une star dans son équipe de base-ball. Donc, pendant la saison, il entraîne l’équipe locale de notre petite ville : les Aigles. La plupart des joueurs qu’il entraîne sont diplômés de l’école secondaire où je donne des cours. Ils cherchent tous à faire partie de l’équipe universitaire où mon mari était joueur vedette. Mike aime être un mentor pour tous ces jeunes et il est heureux lorsque l’un d’eux entre dans l’équipe. Et d’avoir aidé certains jeunes à rejoindre l’équipe universitaire lui donne une réelle satisfaction.

A la fin de la saison, Mike et moi organisons un grand barbecue pour les jeunes de l’équipe et leurs copines. Comme vous pouvez le deviner, nous nous attachons à ces garçons, et comme nous n’avons pas d’enfants, nous avons l’impression de les adopter.

C’est là que commence mon histoire. C’est au barbecue de la fin de l’année dernière que ma vie a changé d’une manière que je n’aurais jamais pu imaginer même dans mes rêves les plus fous. Au moment où j’écris ceci, je n’arrive toujours pas à croire ce qui m’est arrivée. Je rougis en pensant à tout cela. Mais je sais que je dois l’écrire pour comprendre exactement ce qui m’est arrivée et ce que je dois faire ensuite.

*******

Nous avions préparé toute la semaine pour le barbecue de fin de saison. Mike et moi avions passé des heures à emmagasiner de la nourriture et des boissons ainsi que nettoyer notre petite maison et notre jardin dont nous sommes très fiers.

Le jour du dernier match, je suis restée à la maison alors que d’habitude je suis dans les tribunes pour encourager l’équipe de mon mari. Mais je voulais être sûre que tout serait prêt lorsque tout le monde arriverait.

Nous avions une grande bassine remplie de bière et de soda. La plupart des membres de l’équipe avaient entre 18 et 20 ans donc nous leur permettions de boire du vin ou de la bière.

Vers 15 heures, Mike et son équipe arrivèrent. Il y avait environ treize jeunes hommes et quatre petites amies, nous deux et un autre entraîneur. Je connaissais la plupart des jeunes car ils étaient passés par l’école où j’enseigne. La plupart d’entre eux avaient obtenu leur diplôme en juin. Il faisait chaud et Mike cuisinait sur le barbecue pendant que je m’assurais que tout le monde avait assez à manger ou à boire. Il fallait qu’ils se sentent bien et s’amusent.

Comme vous pouvez l’imaginer, ces jeunes sont assez excités. Et il faisait très chaud. Si bien qu’un des jeunes a attrapé notre tuyau d’arrosage et a commencé une bataille d’eau avec d’autres membres de l’équipe et une fille. Bientôt, tous ces jeunes furent trempés. Ils enlevèrent leur chemise et se mirent pieds nus. Ils burent, s’amusèrent et plaisantèrent. Je dois admettre, qu’après plusieurs bières, ces garçons jeunes et musclés étaient sexy et je flirtais un peu avec eux tandis que Mike cuisinait.

Le capitaine de l’équipe, Glen, était l’un des joueurs les plus anciens de l’équipe. Bien qu’il soit juste diplômé, il avait 19 ans.

Il avait apporté son appareil photo numérique et avait fait des photos de l’équipe pour le journal local. Il prenait des photos par surprise et il me les montrait, certaines étant plus drôles que d’autre. Alors qu’il essayait de me montrer les images sur le petit écran de l’appareil, il mit sa main autour de ma taille et plaça son visage contre le mien. Soudain, je réalisai à quel point ce jeune homme était sexy. Je me figeai en faisant semblant de m’intéresser aux photos qu’il faisait défiler sur l’écran. Mais je ne pouvais m’empêcher de sentir ses bras musclés et son corps à travers mon Tee-shirt et mon short alors qu’il me serrait plus. Finalement, je me suis détachée de lui avec un petit rire et je lui lançai un regard. Tout en souriant, je lui faisais passer le message qu’il avait été trop loin et que j’avais été mal à l’aise d’être si proche de lui.

Un jour, Mike m’avait dit qu’il était sûr que les bras et la capacité de frappe de Glen lui permettrait de décrocher une place au sein de l’équipe universitaire à l’automne. En plus d’être un des joueurs vedette de l’équipe, le jeune homme était un gars très « macho ». Alors je ne fus pas surprise lorsqu’il me fixa avec une lueur vicieuse dans les yeux et qu’il me déshabilla du regard. Il flirtait avec toutes les filles de l’école et il semblait qu’il n’acceptait jamais un « non » comme réponse. Pour je ne sais quelle raison, je commençai à frémir et je pus sentir l’entrejambe de ma culotte devenir humide. Je rougis et je me détournai de lui pour entamer une conversation avec une des jeunes filles. Alors que je lui parlais, je pouvais voir du coin de l’œil, que Glen me fixait toujours, dévorant mon corps avec ses yeux.

Quand il fut parti pour continuer à prendre des photos, je fis semblant de suivre la conversation des jeunes filles. Mais je pensais à lui et à son corps touchant le mien. Finalement je me débarrassai de ces pensées et je redevins l’hôtesse se préoccupant de ses invités. Je ne pensai plus à l’incident.

Vers 20 heures, seulement quatre garçons et une fille étaient encore présents dans notre jardin. Nous étions tous épuisés et c’était le désordre. Sur chaque mètre carré du sol trainaient canettes de bière ou assiettes en carton. Découragée, je mis mes mains sur les hanches en disant :

– Qui va nettoyer ce gâchis?

A cause de la chaleur et de la bière que j’avais bue, je n’étais pas d’humeur à nettoyer. Je voulais rentrer dans ma maison fraîche et m’asseoir quelques minutes. Mike semblait lui aussi épuisé et était étalé sur une chaise de jardin.

Il restait un couple qui était vraiment gentil. Steve et Rose nous dirent qu’avec les trois autres gars restants ils allaient nettoyer pendant que nous irions dans la maison pour nous reposer et nous détendre. Je me suis dit que Mike et moi pourrions nettoyer la cuisine pendant que les jeunes s’attaquaient au jardin. Donc mon mari et moi sommes allés dans la maison et avons commencé à ranger la cuisine. Alors que nous étions seuls, Mike mit ses bras autour de moi et commença à m’embrasser dans le cou tout en pelotant mes seins. Je me rendis compte qu’il avait beaucoup bu et qu’il était un peu ivre et… excité. Mais je commençai à penser à Glen alors que Mike caressait mon corps. Alors, en riant je repoussai mon mari et je lui rappelai que nous avions beaucoup de travail dans la cuisine. Il rit lui aussi et tous les deux nous commençâmes à ranger. Je vis que Mike était de moins en moins efficace alors que nous finissions de nettoyer.

– Pourquoi ne vas-tu pas prendre une douche chéri? Lui demandai-je.

J’espérai qu’il se rafraîchisse et qu’il soit capable de continuer ce qu’il avait commencé avec moi plus tôt.

– Merci Jess, ça serait vraiment génial. Mais tu es sûre que ça ne te dérange pas de finir ça toute seule?

Je donnai un baiser à mon mari en lui disant que ça ne me gênait pas et qu’il méritait de se détendre un peu. Il monta à la salle de bain pour prendre une douche et je finis de nettoyer la cuisine. Tandis que j’entendais l’eau couler à l’étage, je regardai par la fenêtre de la cuisine les cinq jeunes qui s’affairaient à rendre notre jardin propre. Je fus contente de me rendre compte que je n’aurai pas à le faire. Debout derrière la fenêtre, inconsciemment je regardai Glen, qui était un des garçons qui étaient restés.

En regardant sa poitrine musclée et ses abdominaux bien formés, je sentis que ma culotte s’humidifiait à nouveau. Mais je sortis de ma rêverie en me disant qu’une femme mariée ne devrait pas se comporter ainsi. Je m’essuyai les mains sur la serviette et je montai les escaliers pour voir si mon mari avait fini de prendre sa douche. Tout avait l’air calme en haut. Je jetai un coup d’œil dans la chambre. Mike était endormi en travers de notre grand lit, un serviette blanche entourée autour de lui. Il était si épuisé qu’il s’était endormi après sa douche. Il ronflait lentement.

Je le regardai avec amour et je le couvris d’un plaid qui se trouvait au pied de notre lit. Puis je descendis pour vérifier l’avancement du nettoyage. Steve et Rose serraient la main de >Glen et des deux autres jeunes, Ron et John. Je les entendis dire qu’ils devaient partir. Les trois autres garçons leur ont assuré qu’ils allaient finir de ranger le jardin.

Heureuse que les choses se passent bien, je passai dans notre salon où il faisait frais et je m’étendis sur le canapé avec un verre de vin dans la main. J’étais fière d’avoir organisé cette fête et que tout le monde se soit bien amusé. J’étais contente aussi de ne pas avoir eu à faire tout le nettoyage. En m’asseyant sur le canapé, je me rendis compte à quel point j’étais fatiguée. Bientôt, je tombai dans un sommeil profond, presque hypnotique. Le soleil, l’alcool et maintenant l’air frais eurent le même effet sur moi que sur mon mari. J’étais partie dans un monde de rêves.

*****

Même s’il faisait encore jour quand je me suis assise sur le canapé, quand je me réveillai, le salon était sombre. Je fus surprise. J’avais dû dormir quelques heures. Je me demandai si quelqu’un d’autre était encore là. J’étais un peu dans les vapes et je sentis un froid humide sur mon corps. Je tendis la main et je réalisai que mon tee-shirt ainsi que mon soutien-gorge étaient remontés au-dessus de mes seins. Sur ma poitrine ainsi que sur mon visage, il y avait une substance collante. Il y en avait même dans mes cheveux et sur une oreille.

Je ne me souvenais pas d’avoir exposé mes seins. Tout d’un coup, je fus terriblement embarrassée. Je courus à la salle de bain. Quand j’allumai la lumière je pus voir à quoi je ressemblais. Mon tee-shirt était enroulé au-dessus de mes seins et mon soutien-gorge avait été relevé. Ma poitrine était exposée de façon obscène et un liquide blanc la recouvrait. Ce liquide se retrouvait sur mes joues et le long de mon nez. Avec un doigt, je pris un peu de cette substance en espérant que ce ne soit que du vin. L’odeur était musquée. Puis je devinai de quoi il s’agissait! Mon cœur commença à battre furieusement dans ma poitrine. Est-ce que Mike m’aurait fait une blague? Est-ce que quelqu’un d’autre m’a vu comme ça? Je fus énervée. J’attrapai une serviette pour rapidement enlever cette substance. Puis je remis mes seins dans le soutien-gorge et baissai mon tee-shirt. Je pouvais encore sentir le reste de liquide coller à mon soutien-gorge pendant que je nettoyais mon visage et que j’enlevais des filaments blancs de mon oreille et de mes cheveux.

Ensuite, je me hâtai de monter les escaliers pour rejoindre la chambre. Mais ce que je vis me glaça le sang. Restant dans l’encadrement de la porte je vis que Mike dormait encore profondément, dans la même position dans laquelle je l’avais laissé quelques heures plus tôt. Je paniquai! Qui m’avait fait ça? Qui avait remonté mon tee-shirt et mon soutien-gorge pour exposer mes seins? Qui m’avait vu à moitié nue?

Je me laissai tomber contre le chambranle de la porte et je commençai à sangloter. Mon esprit était dans la tourmente et je n’arrivai pas à penser correctement. Je savais très bien que je n’avais pas été assez ivre pour faire quelque chose dont je serai désolée. Je m’étais endormie! C’était sûrement arrivé alors que je dormais profondément. Tout d’un coup j’eus peur. Supposons que Mike soit descendu et qu’il m’ait vu dans cet état. Oh mon Dieu, c’est déshonorant! Qu’aurait-il pensé?

« Calme-toi Jess » pensai-je alors que je me battais pour que mon cœur ralentisse. Manifestement, Mike n’avait pas bougé depuis qu’il avait pris sa douche. C’était bien que je me réveille avant lui. Alors que j’essayai de réfléchir au pourquoi de cette situation, ma tête commença à tourner. Je me dis que je devais prendre une douche et laver ma honte avant que mon mari se réveille. J’étais persuadée que la pièce empestait le sperme qui couvrait tout le haut de mon corps.

Affolée, je me précipitai en bas et je récupérai les serviettes avec lesquelles je m’étais essuyée. J’enlevai mes vêtements et je mis le tout dans la machine à laver. J’y ajoutai les torchons sales qui traînaient dans la cuisine pour que ça ait l’air plus innocent. Comme si Mike allait regarder dans la machine à laver! Je me promenai nue dans la maison, à ma grande stupéfaction, pour voir si je n’avais rien oublié.

Lorsque le lave-linge commença son cycle, j’allumai les lumières du salon et, avec une éponge humide, je m’assurai d’enlever toutes traces de ce qui avait pu se passer. Je ne trouvai rien et je fus paniquée de nouveau. Et si je ratais quelque chose et que Mike la trouve? Bien évidemment mes pensées étaient exagérées mais à l’époque ce que je faisais était logique. Je me sentais comme une criminelle revenant sur la scène du crime pour éliminer les preuves.

Quand j’eus fini, j’allai doucement à l’étage en essayant de ne pas réveiller mon mari. J’entrai dans la salle de bain et fermai doucement la porte. Je passai sous la douche et je laissai l’eau couler sur mon corps pendant ce qui me parut une heure. Je dus me laver les cheveux et le visage au moins trois fois avant de me calmer et de sortir. Pendant que je me séchai, je me jurai de ne plus penser à ce qui pouvait arriver ou à qui m’avait fait ça. Je me glissai doucement sous la couverture avec mon mari en faisant attention de ne pas le réveiller.

Mais je ne pus m’endormir, pensant encore à ce qui s’était passé. Pour ma plus grande honte, j’étais sexuellement excitée par mes pensées. Je descendis mes doigts jusqu’à mon sexe et je le trouvai déjà moite. Je commençai à caresser mon clitoris et de douces vagues de plaisir commencèrent à m’apaiser. Mike dû se rendre compte de quelque chose car soudainement il bougea. Encore à moitié endormi, il se leva, repoussant la couverture sur le côté et laissant tomber sa serviette sur le sol.

– Je dois faire pipi. Murmura-t-il.

Alors que mon mari allait aux toilettes, je m’installai plus confortablement sous les draps du lit. Quand il revint, je lui dis :

– Dis donc, tu étais vraiment fatigué!

– Quelle heure est-il? demanda-t-il.

– Une heure à peu près. Reviens te coucher.

Mike grimpa dans le lit et se colla contre mon dos, son pénis mou entre mes fesses. J’appréciai la protection et l’affection de ce contact si bien que je m’endormis rapidement.

*****

Le lendemain matin je me réveillai tôt comme d’habitude même si nous étions dimanche. J’ai l’habitude d’aller à l’école chaque matin à 7 heures 30 pour mon travail, alors je me lève toujours tôt. Par contre, le dimanche, Mike fait la grasse matinée, surtout après un gros match. J’apprécie toujours ce petit moment de calme. C’était un matin ensoleillé. J’allai à la cuisine pour me faire du café et prendre le journal. Alors que je me tenais devant la fenêtre de la cuisine, mon agitation de la veille me reprit. J’espérai que ce soit seulement un mauvais rêve du au soleil et à la boisson.

Alors que je sirotais mon café, le téléphone sonna. Je l’attrapai rapidement en espérant que la sonnerie n’ait pas dérangé mon mari. C’était Glen au bout du fil.

– Jess? Bonjour! Dit-il d’une voix joyeuse.

Mon cœur commença à battre rapidement et je me sentis un peu étourdie.

– Glen?

– Oui c’est moi. Mike est-il là?

– Non il dort. Murmurai-je même s’il n’y avait aucune chance que mon mari m’entende de l’étage.

– Euhhh bon… Bien… je voulais lui dire que j’avais posté les photos de l’équipe sur notre site internet. Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt.

Je restai silencieuse pendant une trentaine de secondes. Je commençai à penser à Glen avec son foutu appareil photo numérique. Et je pensai à mon état lorsque je me suis réveillée la veille. Mon estomac commença à se tordre et je craignis le pire.

– Oh? Dis-je faiblement en espérant qu’il parle en premier.

– Oui, les photos sont géniales et prises sur le vif. Mike aimera. Je crois qu’il devrait être le premier à les voir. C’est l’entraîneur après tout.

Je n’aimai pas le ton de la voix de Glen. Je fus persuadée qu’il y avait quelque chose de caché derrière ses mots. Ma bouche était sèche et je ne pouvais pas parler. Je bégayai dans le téléphone :

– euhh… ah bon….

– De toute façon, vous pouvez les voir avant que Mike ne se lève. Dites-moi seulement ce que vous en pensez.

– D’accord. Répondis-je faiblement.

Il y eut un silence puis il raccrocha. Je courus dans notre petit bureau à côté du salon et j’allumai l’ordinateur. J’étais paniquée et impatiente qu’il démarre. Enfin l’écran d’accueil apparut. Je cliquai sur l’icône d’Internet Explorer. J’attendis avec impatience le chargement de la page puis j’allai dans les favoris de Mike. Je cliquai sur le site de l’équipe et j’attendis que la page d’accueil apparaisse.

Lorsqu’elle se présenta, je remarquai qu’elle avait changé. La photo de l’équipe était celle que Glen avait pris hier au barbecue. Et il y avait un nouveau lien en rouge qui indiquait « Photos du barbecue de fin d’année ».

Mon estomac se serra lorsque je cliquai sur ce lien. Un nouvel écran apparut. Il proposait une série de miniatures avec un lien à côté de chacune. Le premier lien s’intitulait « Jeu final » et la petite image représentait un joueur avec le maillot de l’équipe. Le deuxième indiquait « photos de l’équipe » avec une miniature de l’ensemble de l’équipe. Le troisième et dernier lien disait « Barbecue ». Immédiatement je cliquai dessus et apparurent les photos que Glen avait pris lors de la fête. Les jeunes buvaient et s’amusaient, il n’y avait rien d’extraordinaire. Mais je vis qu’il y avait deux autres liens : un intitulé « Notre entraîneur » avec un gros plan de Mike tenant une grande fourchette près du grill, et souriant à l’appareil, le deuxième indiquant « Jess ». Mon cœur s’arrêta de battre pendant quelques secondes. Ma main trembla quand je déplaçai la sourire sur le lien. Je cliquai et attendis le pire. Les premières photos étaient de moi. Quand je descendis jusqu’en bas de l’écran, j’aperçus un petit lien qui disait « Pour adultes seulement ». Je faillis m’évanouir. Je positionnai le curseur de la souris sur le lien, mais je n’arrivai pas à me décider d’appuyer sur le bouton de la souris. J’avais mal au ventre et j’étais paniquée. Je cliquai enfin…

Au milieu de l’écran, apparut une boite de dialogue intitulée « Mot de passe ». Mince, quel était ce mot de passe? Je tapai « Jess » puis je validai. Alors l’écran suivant apparut.

Elles étaient là, en grand format! les images! les images que j’avais imaginées! les images que Glen avait prises pendant mon sommeil! En regardant chacune d’elles, je rougis, morte de honte. Bien que la maison fût silencieuse, je regardai vers la porte pour vérifier que Mike n’était pas là.

La première photo me montrait endormie avec mes seins exposés. La deuxième montrait un gros pénis près de ma bouche. Même si mes yeux étaient fermés, j’avais l’air de sourire. Je regardai ce pénis. Une chose était sûre, il ne s’agissait pas de celui de Mike. Il était long et plus épais, beaucoup plus que celui de mon mari.

La photo suivante montrait la bite en train d’éjaculer sur mon visage. On pouvait voir le filet de sperme tomber sur mes lèvres et mes joues. Mon visage avait l’air de grimacer comme on peut s’y attendre quand on reçoit une douche de sperme. Le fait que mes yeux soient fermés semblait normal dans cette situation. Si je n’avais pas été au courant, on pourrait penser que je participais volontairement à cet acte obscène.

La photo suivante montra deux pénis, pas aussi gros que le premier. Ils étaient disposés de chaque côté de mon visage. Encore une fois, il y avait une expression étrange sur mon visage et même si mes yeux étaient fermés, on pouvait croire que je ne dormais pas vraiment.

La dernière photo montrait de nouveau les deux pénis. Mais cette fois, ils avaient manifestement éjaculé sur mes seins. Les gouttes de sperme blanc et frais étaient bien visibles sur l’image.

Rapidement j’éteignis l’ordinateur comme s’il allait exploser. J’étais à la fois en colère, gênée et honteuse et bien d’autres émotions déchirantes. Je me levai du bureau et je me mis à arpenter la pièce. Quel salaud ce Glen! Il n’allait pas s’en tirer comme ça! Pourquoi a-t-il fait ça? Que voulait-il faire avec? J’eux l’impression qu’il me voulait du mal et ruiner mon mariage. Je fis les cent pas sans m’arrêter de penser, encore et encore. Mon esprit tournait en rond. Je ne savais pas quoi faire. Mais je savais que je devais retirer ces images du site internet de l’équipe et les détruire.

J’allai à la cuisine et je trouvai le numéro de téléphone de Glen. Alors que la sonnerie retentissait à l’autre bout, j’essayai de me calmer. Il répondit :

– Bonjour.

– Glen?

– Oh, salut Jess! Vous avez regardé les nouvelles photos sur le site?

– Oui Glen je l’ai fait!

J’essayai d’utiliser mon ton sévère de professeur. Je continuai :

– Que crois-tu faire?

– Que voulez-vous dire Jess? Demanda Glen innocemment mais avec un léger rictus dans la voix.

– Tu sais ce que je veux dire. Je les ai vues.

– Vu quoi?

Cette fois, Glen ricana au téléphone.

– Les images que tu as affichées, les putains de photos que tu as prises de moi!

Je ne pus me retenir. Je commençai à sangloter tout en continuant à parler :

– Tu dois les enlever du site MAINTENANT. Et tu dois les détruire, comprends-tu?

– Calmez-vous Jess! Dit Glen d’une voix forte et autoritaire.

Puis il continua :

– Peut-être que nous devrions en discuter en tête à tête. Pouvez-vous venir maintenant?

– Oui j’arrive. Sanglotai-je.

Je raccrochai. Soudain je vis la lumière au bout du tunnel. J’allais pouvoir gérer le problème. J’allais voir Glen et exiger qu’il détruise ces images. Je courus à l’étage, enlevai ma robe de nuit et enfilai un bas et un haut de vieux survêtement. J’étais tellement pressée que je ne mis pas de sous-vêtements. J’étais énervée. Je regardai l’heure. Il était neuf heures. Je griffonnai un mot pour Mike lui disant que j’allais à l’épicerie. Je laissai le mot sur le comptoir de la cuisine au cas où il se réveillerait avant mon retour.

J’attrapai les clés et je sautai dans ma voiture. Je conduisis rapidement vers la maison de Glen qui se trouvait de l’autre côté de la ville, à environ sept minutes de chez moi. J’étais sûre de pouvoir régler le problème et revenir avant que mon mari ne se réveille. Il n’avait pas besoin de savoir quoi que ce soit.

Je tremblai tout en conduisant. Je continuai à penser aux photos et je répétai ce que j’allais dire. Tout d’un coup j’eus une boule à l’estomac. Le vin et la bière! Les photos sur le site montraient que l’on avait donné de l’alcool à des jeunes. Si quelqu’un se plaignait que nous avions servi de l’alcool à des jeunes de moins de 21 ans, je pourrai perdre mon travail. Et sans parler des photos de moi nue! Glen devait détruire toutes les images, sinon je serai foutue. Au mieux je perdrai mon travail, au pire je serai arrêtée. Merde!

Alors que je me garai devant la maison des parents de Glen, je remarquai qu’il n’y avait pas de voiture dans l’allée. Peut-être qu’il se moquait de moi et qu’il n’était pas chez lui. Je restai assise dans ma voiture pendant une minute afin de me remettre les idées en place. Finalement je sortis et je marchai jusqu’à la porte d’entrée. Je sonnai. Glen ouvrit la porte juste assez pour que je puisse voir son visage.

– Eh bien, Qui vois-je ici? Dit-il avec un petit rire méchant tout en ouvrant complètement la porte.

Je ne dis rien. Avec colère, je le poussai dans la pièce et je commençai à m’énerver contre lui.

– Vous allez avoir de gros problèmes Monsieur. Pensez-y!

Alors Glen m’attrapa par le bras, me bouscula et ferma la porte. Puis il dit :

– Écoute bien salope! Tu ne me parles pas comme ça. C’est moi qui contrôle tout et c’est toi qui risque d’avoir des problèmes si tu ne te calmes pas. C’est à toi de réfléchir.

Je le regardai qui me dévisageait avec colère. Alors toute ma détermination s’évanouit et je crois que je devins toute pâle. Mon esprit se brouilla et j’oubliai tout ce que j’avais répété sur le chemin. Puis je me rendis compte que le garçon me faisait mal au bras, il serrait si fort. A ce moment je me sentis comme une proie. Je ne pouvais pas parler et je savais que Glen avait toutes les cartes en main.

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