J’étais étudiante et j’étais montée à Paris pour un stage scolaire d’un mois. Avec de belles formes généreuses, j’attirais le regards des hommes. Mon maître de stage, est un bel homme d’une cinquantaine d’année. C’est un beau parleur et un fieffé dragueur. J’ai remarqué qu’il n’arrêtait pas de reluquer mes fesses et mon décolleté plongeant. Moi aussi sous le charme de ce bellâtre qui aurait pu être mon père, je fus surprise de me sentir flatter de son regard. Ce jeu de séduction m’excitait même. Après la première semaine, j’ai vu qu’il s’était aperçu de mon jeu mais amusée et insouciante, je continuais à lui dévoiler mes charmes en mettant des jupes courtes et exhibant de jolie décolletés. Il m’effleurait parfois les fesses ou me complimentait sur ma poitrine mise en valeur. Une après midi, alors que j’étais prés de la photocopieuse, il s’est plaqué contre moi prétextant vouloir m’aider. Il fit tomber un stylo et profitât de regarder sous ma jupe en le ramassant. Tout ce qu’il faisait m’excitait. En fait, je ne savait pas qu’il me faisait passer pour une jeune salope qui aimait se faire peloter le cul et les seins. Curieusement, régulièrement des mecs ne se gênaient pas pour me passer la main au fesses ou empaumer un sein. J’étais morte de honte et d’excitation à la fois. Un soir, un stagiaire nous invite tous à prendre un verre chez lui.
Nous étions deux filles et cinq garçons dont le maître de stage. Dés le début de la soirée, un des gars à enlevé la fille qui était avec moi pour l’emmener dans une chambre. Je me retrouvais la seule fille et le maître de stage en a profité pour se rapprocher de moi et m’a lancé :
« Michèle ! Tu te souviens de toute les fois que tu m’as allumées ? Et le temps est venu pour toi de payer ton insolence ! »
J’étais horrifié. Les autres me regardaient d’un air amusé. C’était en fait un traquenard pour abuser de moi. Les quatre autres mecs d’ailleurs commençaient déjà à se déshabiller. Le maître de stage me prend alors les mains pour me les mettre dans le dos. Un autre me les emprisonne avec du scotch américain et me bâillonne la bouche. Le vieux ensuite entreprend de me découper mes vêtement avec des ciseaux. Je me retrouve rapidement nue devant ces vicelards. Je ne peux pas expliquer à cet instant comment j’ai pu avoir un sentiment de plaisir en me sentant humiliée de la sorte et malgré la peur qui me tenaillait. Les quatres commençaient à se masturber ostensiblement devant moi. L’ancien, pour amuser la galerie, commença par me pétrir les seins et tortiller les tétons.
« Une vilaine allumeuse comme toi mérite la fessée ! N’est ce pas les gars ? »
Dans la foulée et bien sûr à l’aprobation de tous, il entreprit de me donner la fessée. Je serrais les dents pour ne pas leurs faire le plaisir de voir ma douleur.
Il me tire les cheveux et me dit :
« Tu résiste petite salope ! Tu vas voir ce qu’on va te mettre sale petite allumeuse ! C’était bien au bureau quand tu me mettais tes gros seins sous le nez ! Maintenant c’est moi le Maître et tu va manger putain ! »
Et il accompagna ces paroles de deux baffes sur mes seins qui m’ont fait cette fois crier. Il voulait me faire souffrir et comme il me l’avait dit, je n’étais pour lui qu’une jeune salope assoiffée de queues. Maintenant, il me doigtait l’anus en m’administrant des claques sur les fesses.
Il demandât à un des étudiant :
« Vas chercher dans la salle de bain la bombe de déo ! On va lui ouvrir la chatte avec : »
Il pris le tube et me l’enfonçat dans la chatte. Heureusement que je mouillait beaucoup car il me baisa avec sans ménagement me faisant pousser des cri de plaisir et couler des pleurs d’humiliation.
« Si tu aimes les grosses bites salope ! Tu vas être servie ! » On va tous te la bourrer ta chatte ! »
Il laissa le flacon dans ma chatte et m’introduit un tube de dentifrice dans l’anus pour m’humilier un peu plus. Il laissa ces deux objets dans mes trous pour que les autres profitent du spectacle. Le vieux m’enleva les objets en disant :
« Messieurs, elle est a vous ! »
Ils se ruèrent sur moi et me retrouvais pénétré sauvagement. Ils éjaculèrent rapidement me remplissant de leurs foutres puis ils partirent pour me laisser seule avec mon bourreau. Toute la nuit, il s’est amusé avec moi. Ce vieux m’a godé la chatte et l’anus avec tout ce qui lui tombait sous la main. Il a passé toute la soirée et une partie de la nuit à me violer, à me cracher dessus, m’éjaculer sur la figure pour ensuite m’étaler le sperme sur le corps. J’étais souillée et humiliée. Lui riait de me voir ainsi. Plus tard dans la nuit, mon violeur sort quelques instant pour revenir avec deux black à qui il demande de me sodomiser. Bien sûr les deux salops ne font pas prier. Ils éjaculent à tour de rôle dans mon cul. Le reste de la nuit, ils se sont amusé à me fouetter comme çà leurs piquait jusqu’à ce que je perde conscience. Le matin, Je me réveillais dans ma chambre propre comme un sou neuf. Si je n’avais pas mal au cul et si il n’avait pas les trace de fouet sur ma peau, j’aurais pu croire à un cauchemar.
Très mal écrit 🙁