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Belle-maman, enfin ! (1)

Belle-maman, enfin ! (1)



Bonjour,En découvrant ce site, j’ai compris que j’allais pouvoir écrire mon premier récit « X », il s’agit d’un fantasme qui concerne ma belle-mère.
Je m’appelle Jean, 38 ans et je suis marié depuis des années à une charmante femme. Depuis ma rencontre avec cette dernière, je fantasme sur sa mère Huguette. Ma belle-mère, âgée d’un petite soixantaine d’années, est petite, très gracieuse et reste bien conservée malgré son âge. Les cheveux blonds, elle porte des lunettes et ses tenues vestimentaires sont souvent strictes, type tailleur, jupe serrée, chemisier… Elle est dotée d’une poitrine généreuse et ses fesses proéminentes semblent délicieuses.
Nous nous rencontrons régulièrement lors de fêtes familiales et j’avoue que j’épie discrètement ses gestes et ses déplacements notamment lorsqu’elle se baisse pour dévoiler ses seins. Avant l’événement que je vais vous conter, j’ai quelquefois effleuré son corps dans des situations particulières sans jamais penser aller plus loin de peur du scandale.
Je me suis souvent retrouvé en érection en la voyant évoluer et à de nombreuses reprises, elle est apparue dans mes pensées lors de séances de masturbation où je l’imaginais à ma merci.
Voilà une semaine, alors que mon épouse et moi passions quelques jours chez mes beaux-parents et que j’étais seul au domicile, la famille s’étant rendue au marché local, j’ai décidé d’explorer l’intimité d’Huguette.
J’ai commencé à fouiller sa chambre et plus précisément l’armoire où elle rangeait ses vêtements. J’ai rapidement découvert le tiroir renfermant sa lingerie et j’ai été émerveillé par mes trouvailles. Des culottes de toutes les couleurs en dentelle et en satin se mélangeaient aux soutiens-gorges de toute forme, des bas et des porte-jarretelles étaient également présents dans le tiroir. Très existé et bandant dur, je me suis rendu dans la salle de bains pour fouiller le linge sale, par chance, j’ai trouvé un de ses culottes, de couleur jaune, qu’elle avait du porter la veille. J’ai porté le slip près de mes narines et l’odeur de son intimité s’est complètement révélée.
Dans un état second, je me suis dirigé dans la chambre que nous occupions avec ma femme et je suis dévêtu. J’ai enfilé la culotte sale et avec la photo de ma belle-mère posée près de moi, j’ai commencé à me « branler ». J’étais dans un autre monde et rien n’avait plus d’importance, j’étais complètement déconnecté de mon environnement.
Tout à coup, alors que j’astiquais mon membre, Huguette a fait irruption dans la pièce, elle était rentrée seule à la maison pour récupérer un document. Elle s’est immédiatement figée en m’apercevant, quant à moi je ne savais plus où me mettre, la catastrophe était intervenue.
Puis, elle est entrée dans une colère terrible en reconnaissant sa culotte, elle m’a alors traité de tous les noms « Pervers, dégueulasse, vicieux, cochon » et a stipulé qu’elle allait avertir sa fille de mon comportement. Devant ma détresse, elle s’est calmée un peu et là, je lui ai avouée le désir que j’avais pour elle, elle m’a rétorqué que j’étais malade, qu’une telle relation ne pouvait exister et que sa fille pourrait être malheureuse.
Je l’ai sentie alors un peu déstabilisée et troublée, j’ai repris un peu la situation à mon avantage et j’ai décidé de me jeter à l’eau en l’interpellant ainsi:
– » Belle-maman, j’ai tellement envie de vous et je pense que je ne vous suis pas indifférent, venez me rejoindre sur le lit. J’avais lancé le pavé et tout pouvait arriver.
A ma surprise, en me regardant dans les yeux, elle a commencé à déboutonner son chemisier blanc pour l’enlever totalement, ses gros seins étaient serrés dans un magnifique soutien-gorge pigeonnant bleu. Ensuite, elle a dégrafé sa jupe noire qui est tombée au sol et elle s’est retrouvée en petite culotte de dentelle harmonieusement combinée au haut. Elle a gardé ses sous-vêtements, ses lunettes et ses talons hauts noirs pour s’allonger près de moi.
Immédiatement, je l’ai collée contre mon torse en la prenant par les cheveux, j’avais décidé qu’elle serait mienne.
J’étais aux anges, mes lèvres se sont approchées des siennes et nous nous sommes embrassés fougueusement en mélangeant goulûment nos langues. J’ai pris sa main et l’ai posée sur mon « chibre » en lui demandant de me masturber, habilement elle a effectué des rapides va et vient. N’y tenant plus, j’ai commencé à lui proférer des mots un peu plus crus:
-« Belle-maman, écartez vos grosses cuisses (Même si elles sont magnifiques) afin que m’occupe de votre petite chatte de salope! »
Répondant à mes vœux, elle a libéré ses jambes et j’ai glissé une main dans son slip tout en léchant ses gros nibards que j’avais sortis du soutien. Elle était complètement mouillée et son souffle était court, je titillais son clitoris et enfonçais mes doigts dans son vagin. Elle se tordait de plaisir et j’ai compris que je devait la mettre complètement sous mon emprise.
-« Alors Huguette, grosse salope, il vous fait du bien votre gendre! »
-« Oui, oui, tu t’occupes bien de moi mon salaud, je désire être ta chose, ta pute, je veux que tu me baises à fond! »
-« C’est bien belle-mère, je vois que vous êtes beaucoup plus cochonne que votre fille.
-« Je suis à toi, je suis ta grosse truie, viens me défoncer, j’aimerais bien qu’un jour tu me sautes en même temps que ta femme, nous pourrions nous « gouiner » pour ton plaisir.
Elle était magnifique en sous-vêtements et avec ses talons, j’avais maintenant envie de la baiser comme une chienne et en lui enlevant sa culotte, je lui ai dit:
-« Je vais vous tringler, vieille salope mais avant vous allez me sucer ».
– » Tout ce que tu veux mon chéri, donnes-moi ta bite, je veux ta queue au fond de ma bouche ».
Elle me pompait comme une reine, léchant mes couilles et remontant le long de ma hampe, je la tenais par les cheveux et lui donnais des grands coups au fond de la gorge, Huguette était en transe mais je savais qu’elle prenait du plaisir. Pendant la fellation, je la traitais de tous les noms, « salope, pute , cochonne, garce » et elle me disait de continuer, elle était devenue totalement dépendante.
Quelques instants plus tard, je l’ai bousculée pour la coucher sur le dos, il était temps que je baise enfin belle-maman. Je lui ai relevée les jambes et ai introduit mon sexe dans sa belle chatte, le passage était facile et chaud. Je me suis mis à la limer comme un fou, elle gémissait et en redemandait, j’avais mes mains sous son gros cul et mes couilles frappaient ses cuisses à chaque coup de gourdin, elle me suppliait:
-« Tronches-moi chéri, j’adore que mon gendre me nique comme une grosse salope ».
Tout à coup, je lui ai intimée de se placer à quatre pattes comme une chienne pour la prendre en levrette. Aussitôt, elle a pris la posture et a demandé que je la démonte comme une catin.
Je la travaillais tout en claquant ses grosses fesses, je pétrissais également ses nichons que j’avais totalement libérés en arrachant le soutien-gorge. Nous étions comme des bêtes et la vue d’Huguette dans cette position augmentait mon plaisir. Au bout de tant d’années, j’étais enfin arrivé à mes fins en baisant ma belle-mère tant convoitée.
Après de nombreux assaut dans le con de ma »putasse » de belle-maman, elle me branla entre ses grosse mamelles jusqu’à l’éjaculation qui gicla non seulement surs ses seins mais aussi sur son visage.
Exténués tous les deux, nous nous sommes enlacés et d’un commun accord, chacun a glissé un doigt dans l’anus de l’autre tout en le tournant délicieusement pour une dernière salve de plaisir. Nous avons joui comme des fous car le contact du doigt dans nos culs a décuplé nos sensations.
Voilà la fin cette histoire, soyez indulgents, il s’agit de mon premier récit, si ce dernier vous a plus, pourquoi pas de nouvelles aventures familiales.

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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