Cette histoire s’est déroulé alors que je n’étais qu’un jeune étudiant en fac d’économie. Lors d’une matinée ennuyeuse au possible, je décidais finalement de ne pas assister pour une fois au cours de l’après-midi, qui étant en amphi n’était pas obligatoire à l’inverse des TD du matin, pour rentrer chez moi.
De ce fait, après avoir mangé avec des amis, je montais dans le bus devant me ramener chez moi, j’en avais pour une grosse demie-heure de trajet environ. Comme d’habitude avec ce bus, il se remplie assez vite mais heureusement pour moi, j’avais trouver une place au fond.
Quelques arrêts plus loin, une femme blonde, assez mince, et ayant sûrement la cinquantaine monta dans le bus et vint se placer à coté de moi vu que c’était la seule place encore disponible dans le bus. Alors que j’avais des écouteurs pour écouter la musique de mon téléphone, au bout de quelques secondes, son téléphone sonna, elle décrocha et une phrase retint mon attention.
– Non, là je suis dans le bus qui est archi plein mais heureusement je suis assise, et en prime, à coté d’un très beau jeune homme…
A ce moment là je ne savais pas si elle disait cela en pensant que je n’entendrais rien du fait de mes écouteurs dans mes oreilles mais une chose était sure, mon égo était plus que flatté, c’était la première fois que j’entendais une femme ayant l’âge de ma mère parler de moi ainsi. Je continuais d’écouter sa conversation.
– … C’est de plus en plus rare de voir des jeunes de nos jours aussi bien habillé que lui…
Lorsqu’elle finit sa communication, nos regards se croisèrent pour la première fois, elle me fit alors un sourire auquel je répondis également. Je continuais alors à me demander si elle me draguait ou si elle jouait le temps du trajet.
Alors que je faisais semblant de regarder un truc sur mon téléphone, je sentis tout à coup sa main main se poser sur ma jambe.
– Dites moi jeune homme, vous avez quel âge ?
Je ne m’attendais absolument pas à ce qu’elle me parle et encore moins à ce qu’elle place sa main sur mon genou.
– 19 ans, lui répondis-je timidement.
– Intéressant.
Je dois avouer qu’à ce stade, j’étais excité par la situation mais également ultra gêné car autant, draguer des filles de mon âge je savais faire, autant j’étais très timide devant une femme de cet âge. Je ne savais pas du tout comment m’y prendre.
– Vous avez une petite amie ?
– Oui mais…
– Mais quoi ?
– Je ne l’ai pas vu depuis 4 mois car elle étudie à Londres actuellement.
– Mince, ça ne doit pas être facile.
– Euh… Oui, en effet.
– J’habite deux arrêts plus loin, donc si vous n’avez rien de prévu cet après-midi, on peut continuer cette discussion autour d’un bon café chez moi.
Je déteste le café mais je ne voulais pas passer pour un enfant devant elle.
– Avec plaisir.
Nous finîmes alors par descendre de ce bus, je la suivie pour arriver devant son appartement dans un immeuble de beau standing. Tout en montant les escaliers, je me posais mille questions vu que j’étais actuellement en couple mais dans le même temps, je pouvais voir qu’elle avait vraiment de belle fesse qui me faisait envie. Arrivé devant la porte d’entrée de son appartement, elle se retourna, me plaqua contre le mur et m’embrassa tendrement.
Pendant qu’on s’embrassait, je me disais qu’avec mon âge elle pourrait être ma mère, mais je ne pouvais lui résister, je fis alors glisser ma main jusqu’à ses fesses bien arrondis. On finit par rentrer dans son appartement, elle me dit de m’installer dans le salon pendant qu’elle préparait le café.
Quelques minutes plus tard, elle revint habillé d’une simple nuisette qui mettait ses formes grandement en valeur. Je distinguais aisément ses seins et sa culotte. D’ailleurs, je n’aurais jamais cru qu’elle avait une poitrine aussi grosse, ceux de ma copine semblaient bien petit à coté.
Nous nous assîmes donc sur son canapé et bûmes le café. Au bout de quelques minutes, je ne pouvais plus résister à l’envie de l’embrasser. Je prenais sa tête entre mes mains et posais mes lèvres sur sa bouche. Elle ouvrit la sienne et fourra sa langue entre mes lèvres. Nos langues se cherchaient, se touchaient, s’enroulaient, on s’embrassait chaleureusement pendant de longue minutes. Puis je me mis à penser à ma copine. Du coup, pris de remord, j’eus un mouvement de recul.
– Laisse moi t’aimer juste pour aujourd’hui, me murmura t-elle à l’oreille.
Je ne savais pas quoi lui répondre.
– Je sais que je te fais de l’effet.
En effet, on pouvait distinguer assez facilement une grosse bosse dans mon pantalon.
– Tu vas prendre ton pied comme jamais tu l’as pris avec ta copine. Et en plus de mon expérience, je n’ai aucun tabou !
A ces mots, je m’approchais de cette femme, dont j’ignorais toujours le prénom, mon cœur battait la chamade et mon pénis allait exploser. Je la pris dans mes bras, l’enlaçais et l’embrassais de nouveau. Puis, je lui retirais sa nuisette. J’avais en face moi un corps somptueux. Elle me pris alors par la main pour me conduire à sa chambre.
Une fois dans sa chambre, j’embrassais ses seins et suçais ses tétons qui se réveillaient à mes coups de langue. Puis, je descendais vers son ventre, embrassais son nombril au passage avant que mon visage ne se pose devant sa culotte. Je posais mes mains sur ses fesses, mes doigts passaient sous sa culotte et chatouillaient ses fesses, je la sentais frémir. Je fis alors descendre sa culotte afin de lui retirer. Je découvrais alors son sexe, une chatte pulpeuse et un peu poilue, je distinguaient ses grosses lèvres déjà humides.
Du coup, je me levais afin de me déshabiller complètement puis elle m’embrassa à nouveau avant de se mettre à genoux devant moi. Elle prit mon pénis dans sa main et le caressa lentement, puis elle lécha ma hampe sur toute la longueur avec sa langue tout en me caressant les testicules.
Enfin, elle me pris en bouche, sa langue tournait autour de mon sexe, puis elle l’enfonça complètement dans sa bouche, c’était la première fois qu’une femme me faisait une gorge profonde et je dus me concentrer pour ne pas jouir trop vite. Du coup, je le lui dis. Elle s’allongea alors sur le dos et écarta légèrement ses jambes.
– Bouffe moi la chatte ! Fais-moi jouir !
Cette femme à l’allure si conventionnel se lâchait complètement. Je ne la fis pas attendre. Je mis ma tête entre ses jambes avant de commencer à lécher son minou déjà mouillé, sa cyprine avait un goût plus fort que celui de ma copine et j’adorais ça ! Je sortis son clito de son capuchon et le titillais avec ma langue. Puis, j’écartais ses lèvres lentement et y introduit ma langue tout en jouant avec son clito entre mes doigts.
Son corps ondulait, elle gémissait de plaisir, puis je retirais ma langue pour lui mettre deux doigts. Je la masturbais ardemment pendant plusieurs minutes, elle criait de plus en plus fort tandis que j’introduisais un troisième doigt. L’entendre crier son plaisir m’excitais encore plus.
– Je veux ta bite en moi ! Fais de moi ta chienne du jour !
Sans plus attendre, j’introduis alors mon sexe dans sa chatte, la sensation était fantastique. Je commençais des vas-et-vient rapide, je tapais jusqu’au fond de sa grotte. Dans le même temps, je jouais avec son clito et ses tétons durs, je pelotais ses seins avec mes mains.
– Oui vas-y ! Je vais jouir ! N’arrêtes surtout pas !
Au bout de quelques minutes, on finit par changer de position, elle se mit en levrette. Je fis alors de nouveau de violent vas-et-vient dans son vagin. Mes testicules tapaient contre le haut de ses cuisses. Dans le même temps, je massais son anus avec l’un de mes doigts.
– Ah, mon salaud, tu me la mets bien. Oh oui, baise-moi. Baise bien ta pute du jour !
Je récupérais de sa mouille puis, j’enfonçais un doigt dans son petit trou, tout en continuant de limer son vagin avec ma verge avant d’en enfoncer un deuxième. Ce qui fit immédiatement effet vu ses cries. D’ailleurs, j’étais étonné qu’aucun de ses voisins ne viennent se plaindre tant on devait faire du bruit.
– Putain c’est trop bon !
Je n’étais pas habitué à faire l’amour à une femme qui parlé autant pendant l’acte, ça me galvanisais et me poussais aussi à lui parler !
– Avoues que tu aime te faire démonter par un jeune !
– Oh oui j’adore ça plus que tout ! Alors continus ! Fais regretter à ta copine d’être partie si loin !
Cela dura encore de longues minutes jusqu’à ce que je sentis que je n’allais pas tarder à exploser. J’enfonçais alors mon sexe au fond de sa grotte une dernière fois avant de décharger une quantité assez énorme de mon sperme en elle. Mon éjaculation provoqua un nouvel orgasme chez elle.
– Putain oui ! C’est fantastique d’être remplie à ce point !!!
Elle se dirigea vers la salle de bain, cela me permis de reprendre mon souffle et mes esprits. Puis, elle fit enfin son retour pour s’allonger à coté de moi. On s’embrassa pendant quelques minutes avant qu’elle ne vit mon pénis de nouveau opérationnel. Du coup, elle me prit à pleine bouche, me suçant jusqu’aux testicules.
– Pour être aussi douée, je n’imagines même pas combien de bite tu as sucé dans ta vie !
Elle sourit et continua sa fellation, prenant de plus en plus de mon sexe dans sa bouche, je plaçais mes mains sur sa tête afin de suivre son mouvement dans un premier temps, mais je commençais à lui imposer mon rythme à coups de bassin dans sa bouche, la poussant à prendre toujours plus de mon sexe en bouche.
Elle ne faisait que des râles de plaisir étouffé. Mais tout à coup, elle arrêta sa fellation à ma grande surprise. Elle me prit par la main et m’entraîna vers son salon. Elle s’allongea sur le dos, la nuque sur l’accoudoir du canapé, mettant sa tête bien en arrière.
– Baise moi la bouche comme une salope le mérite !
Ni une, ni deux, Je mis mon sexe dans sa bouche et repris mes va-et-vient. Elle avalait goulûment pendant que je la baisais de plus en plus profondément. Elle mit ensuite une main sur mes fesses pour me tirer vers elle et enfoncer encore plus mon pénis dans sa gorge. C’était tellement bon de sentir sa gorge serré sur mon sexe.
J’étais au bord de la jouissance. Après quelque va-et-vient supplémentaire, je ne pouvais plus résister, je jouis comme jamais. Tout mon corps se raidi et j’éjaculais de gros jet directement dans sa gorge. Elle parvint, avec difficulté, à tout avaler.
Après un petit moment à être resté allongé à ses cotés, je pris mes vêtements afin de me rhabiller. Elle me raccompagna devant la porte d’entrée, on s’embrassa une dernière fois avant que je ne rentre chez moi. Je ne revus jamais cette belle inconnue qui m’a offert à ce jour l’une des meilleures, si ce n’est la meilleure, partie de jambe en l’air de ma jeune vie.
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