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— Chap VII —
Après ma séparation de Sonia, que j’avoue j’ai eu beaucoup de mal à accepter. J’avais pour elle et au fond de moi j’ai encore un véritable amour pour elle, tourner la page ne fut vraiment pas facile ce qui me fit m’engager un peu plus encore dans la descente vers les profondeurs de la dépravation soyons francs. Vous comprendrez que sans Sonia, avec le souvenir de l’enfant que nous n’avons pas eu j’ai tenté d’oublier de diverses manières.
Et surtout la culpabilité.. celle d’avoir laissé mourir.. d’avoir tué un petit être qui ne demandait qu’a vivre.. Même encore aujourd’hui j’y pense et je m’en veut.. Certes Sonia avait peut être raison.. il n’ était peut être pas de moi compte tenu de notre vie, de nos nuits de débauche sans la moindre protection ne l’oublions pas.. Mais peu m’importait il était en elle, cela me suffisait.. Jamais je n’aurais du la laisser me convaincre.. Mais si je suis assez con pour être capable de mourir pour une idée, ou de ne pas céder quelque soit les conséquences.. Jamais je n’ai su dire non aux femmes. Surtout à celles que j’ai dans le cœur..
Avec la séparation un autre compagnon était venu partager mes soirées.. enfin ils était plusieurs.. Gin Whisky et Vodka .. en quantité non négligeables.. Surtout les soirs de cafard ou je pleurais comme un gosse.. ou quand je prenais ma voiture et me plantais à côté de chez elle, regardant la lumière aux fenêtres. Puis quand elle s’éteignait.. je rentrais le cœur déchiré..
On dit se taper la tête contre le mur.. c’est vrai un soir de déprime cela m’a valu 4 point de suture.. A ce moment tout était possible.. je marchais sur le fil d’un rasoir.
Oh bien sur l’idée de dire stop et de me faire péter le crâne je l’ai eu.. J’aurais pu y céder surtout qu’une de mes passions étant les armes j’avais tout loisir pour me faire exploser le caisson..
Personne n’a jamais rien su de tout çà.. J’ai tout gardé pour moi.. je n’avais pas d’épaules pour pleureur.. mes amis de débauche je les aimait trop pour leur imposer çà.. Les M&M redoublaient d’effort pour me consoler, mais ils avaient comprit que j’étais inconsolable.. Au fond ils m’ont sans doute sauvé la mise car j’oubliais.. un peu mes malheurs..
J’aurais du écouter Michelle quand elle me prenait par le cou, me câlinant et en me disant que si je voulais je pouvais lui parler me confier. J’aurais du pleurer sur son épaule cela m’aurait soulagé.
Mais non.. j’ai tenu bon et j’ai préféré me plonger dans les aventures sans lendemain, recherche du plaisir sans sentiments. Baiser de toutes les façons possibles, avec qui voulait était devenu mon passe temps. Découvrir aussi de nouvelles choses, plus perverses, de nouvelles sensations.. savoir si on osera.. si on aura le cran d’aller au bout. Voilà ce qui occupa un bon moment dans ma vie. Et célibataire par force j’avais les coudées franches.. Et toujours mon compagnon de débauche préféré j’ai cité Minitel
Cela faisait maintenant un moment que j’avais compris que ma sexualité ne se limitait pas à l’amour immodéré des femmes mais aussi des hommes. J’avais sauté le pas un peu contraint et forcé par jeu et pour répondre à un défi et je m’étais rendu compte que j’avais des prédispositions et que j’aimais autant faire l’amour a un homme qu’a une femme. Je le dis nettement et sans détour je prend autant de plaisir avec un homme qu’avec une femme. C’est un plaisir différent, on ne se comporte pas pareil, les caresses sont différentes. Avec les hommes c’est moins doux, plus physique parfois et moins finaud aussi. Certes je n’apprécies pas vraiment les baisers avec les garçons.. encore que quand on est en partie avec des hommes et des femmes je n’aime pas les roulage de pelle entre garçon.. Mais il faut bien admettre que quand je suis avec 1 ou plusieurs hommes je me laisse aller et j’y prend quand même du plaisir. C’est surtout vrai dans les rencontres a plusieurs mecs, un peu musclées et basées sur un jeu de domination soumission.. là le baiser me plait.. ajoutons que dans cette configuration je suis plutôt soumis et passif.
Une idée me tarabustait donc.. oserais-je me taper un mec en tête à tête. Je n’avais jamais eu de relations entre mecs que devant et avec les filles. C’est très différent de se retrouver dans son appart avec un mec, seul avec lequel on se dit je vais baiser, on va tout se faire.. Oserais-je ? Ou vais-je me sauver en courant? Comme on le dit.. la seule façon de savoir c’est d’essayer. Donc décision prise j’essaye.. Maintenant avec qui? Un de mes potes de débauche, Marc Jacky.. ce ne serais pas probant on se connait trop et c’est bien trop facile. D’autant que je sais que même si on s’amuse a deux ensuite on se retrouvera avec Michelle ou Monique, donc exit cette idée. Il me reste mon fidèle Minitel et trouver un mec ne sera pas trop dur.
Déjà, je me rendis compte que trouver un type seul c’est pas aussi évident que cela. Soit le gars est homo et ils sont aussi exigeants et difficiles sur le physique.. Souvent ils aiment les beaux garçons sveltes et musclés, imberbes.. Je suis aux antipodes, plutôt rondouillard, velu et barbu.. C’est pas le top pour draguer les mecs..
Mais je ne me laisse pas abattre et continue ma recherche en m’orientant plutôt vers des types bisex mais ayant envie uniquement de mecs. Et je fini par trouver quelques contacts régionaux. Et en particulier ce soir là d’un gars plutôt sympa, pas compliqué qui semble avoir un peu la même vision que moi sur les relations. Comme moi son idée c’était prendre et donner du plaisir sans se compliquer la vie en plus il est dispo et pas loin de chez moi.. Il vient.
Yves, c’était son prénom arrive sur le coup de 21h00 à la maison. On s’installe pour boire un verre et bavarder.. on ne va pas se jeter l’un sur l’autre et nous violer mutuellement. On discute de nos gouts de nos attentes.. Je l’ai prévenu dès le départ que c’était une première pour moi en dehors du cadre d’une partouze.. Il sait que j’ai eu des aventures avec déjà pas mal de mecs mais uniquement lors de soirée et jamais en tête à tête.. Lui si, il alterne, homme et femme.. mais n’a jamais fait de partouze et d’ailleurs il n’est pas très chaud pour l’idée d’y participer un jour. Il est actif et passif au gré de l’envie et du partenaire.. Moi également, j’aime être l’un ou l’autre. Il apprécie la fellation donner et recevoir, la sodo dans les mêmes conditions, tous les jeux qu’on eut pratiquer à deux.. Un petit peu branché par les jeux soumissions domination mais sans v******e et il ajout et bien sur roulage de pelle etc.. Je n’avais pas abordé ce sujet épineux car les baisers entre hommes c’est ce qui me pose le plus de problème.. Ça m’est arrivé bien sur mais je n’y prend pas de plaisir et sans être dégouté je suis gêné. Je décide de me faire v******e je ne dis rien et j’assumerais.. C’est une gêne pas un dégout physique heureusement.
On boit notre verre tranquillement.. Et gentiment Yves propose de faire le premier pas, car j’avoue que là j’ai eu un peu de mal.. je ne savais pas comment embrayer.. Il est châtain frisé et un peu plus grand que moi, plutôt mince monsieur tout le monde en sorte. Il s’approche et lentement il pose une main derrière mon cou, approchant son visage du mien il entrouvre les lèvres.. c’est prati je ne peux pas reculer.. Pour m’aider je lance ma main entre ses cuisses et trouve son sexe ,et l’agrippe au moment ou nos lèvres se touchent. Il fait de même et pose sa main entre mes cuisse, je m’offre à la caresse avançant vers sa main. Instantanément sous ce contact ma queue se met à gonfler.. Nos lèvres s’ouvrent et nos langues se trouvent.. Et commence un vrai baiser, un baiser auquel je prend plaisir..c’est la premiére fois que je trouve çà agréable avec un homme. Yves est doux, et il embrasse vraiment bien, pas mal de nanas pourraient en apprendre.. Sous ma main je sent sa queue qui commence à réagir, moi par contre je suis déjà au garde a vous.. Quand nos lèvres se séparent il me regarde et me dit « Tu bande toujours aussi vite ou c’est juste aujourd’hui.. »
Je lui avoue que il me faut un souffle d’air pour me faire bander..
« Génial… ca ouvre des possibilités tout çà.. » dit-il..
Ma main fais glisser la fermeture de son pantalon et se glisse dans sa braguette, j’y trouve une queue un peu paresseuse, de très belle taille que j’extirpe sans difficultée.. JE sais maintenant que tout va baigner.. je suis à l’aise et ne le cachons pas très excité. J’ai vraiment envie de lui, envie de le voir nu de le caresser, qu’il me caresse.. Pour l’instant je veux le sucer, vous le comprenez sans doute j’adore pomper les mecs et les faire jouir dans ma bouche. Je me laisse glisser à ces genoux, et je caresse son engin, il à la peau très douce. Je fait un anneau de mon pouce et de mon index et lentement je fais coulisser cette peau de bébé pour enfin voir son gland. Il est gros mais surtout long très long. Il n’est pas encore totalement en érection. Yves fait partie de ces hommes qui mettent un certain temps avant d’arriver à la rigidité appréciée. Il apprécie et salue par un petit gémissement le moment ou le gland est totalement décalotté. Je tire la langue et pose doucement le gland sur celle ci.. Il frissonne et je sent sa queue durcir un peu plus. Je lèche sous le gland, fais le tour avec ma langue, explorant le sillon taquinant le frein. Le sucer ainsi me fait bander..
Yves aimes au point de dire « Tu suces comme une nana, c’est génial » c’est un compliment que j’apprécie. Petit à petit nous faisons tomber nos fringues.. On se caresse vraiment ,enlacés, frottant maintenant nos queues l’une contre l’autre on se mange la bouche, on se pince les tétons. Nos mains pétrissent nos fesses, les écartes, se glissent dans le sillon, des doigts fureteurs trouve les anus les caresse les pénètre. Maintenant c’est Yves qui se laisse couler le long de moi pour prendre ma queue en bouche. Je suis dur, tendu comme toujours il m’avales a fond, avec art et en même temps il me malaxe mes couilles.. fort, virilement oserais-je dire.. Il me fait mal mais c’est excitant.. J’aime sa façon de m ‘étirer le sac, de faire rouler les prunes l’une contre l’autre.
Nous étions maintenant à poil.
Direction le lit quand même , j’appréciais franchement les caresses que nous nous prodiguions et je bandais comme un âne. Yves lui avait une érection moins virulente que moi mais il était vraiment bien monté il approchait les 18 cm au moins.. longue et douce, et ce gland oblong, très long.. Je me demandais si j’allais pouvoir prendre toute sa queue en moi.. dans ma bouche déjà je n’arrivais pas à l’avaler entièrement..
Comme moi il avait les tétons sensible, et nous nous les triturions en nous embrassant et frottant nos sexes l’un contre l’autre. Yves me poussa contre le lit, je me laissais tomber en arrière.. Il empoigna mes chevilles et me releva les jambes..et mon cul. Il s’installa alors et se mit à me faire une langue que je n’oublierais jamais.. J’adore sentir une langue fouiller mon anus, mais là il était doué et mettait du cœur à l’ouvrage. Il me léchait remontant vers ma queue.. mouillant mes couilles et ma tige dure..
Une fois qu’il m’avait bien mangé.. il se mit a genoux et tenant toujours mes chevilles il posa son gland contre mon anus.. Et il se mit à pousser doucement, je me détendais au maximum.. pour qu’il entre en moi.. Et je sentais mon cul s’ouvrir , sensation que j’aime particulièrement.. Il était doux et me pénétrais lentement. Il délaissa mes chevilles, je restait en position, et il prit ma queue dans sa main. A ce contact je crus défaillir.. je crois même que j’étais sur le point de jouir. Il le sentit et me pressa les couilles très fort.. c’était bon aussi mais interrompit mon ascension vers l’orgasme. J’étais vraiment excité comme un dingue. Il m’enfilait lentement sa queue s’enfonçait en moi.. Cette position c’était la première fois.. jusque là je me faisais toujours prendre en levrette ou assis sur la queue.. là je me sentais plus « femelle » encore.. je voyais son expression alors qu’il me défonçait.. car maintenant il me pistonnait fort.. Il plongeait en moi a fond.. toujours ma queue dans sa main.. j’étais gonflé, dur..j’accompagnais ses mouvements.. et comme sa queue frottait de temps en temps le bon endroit.. mas queue commença a couler.. abondamment.. Il s’en rendit compte et me dit « Mais tu mouilles salope !!! » en me plantant sa queue a fond.. je poussais un gémissement .. et entre deux coups de queue je lui dit tout excité « Oui vas y défonce moi le cul.. fait moi mouiller encore »
Il me pénétrait si fort que ses couilles claquaient contre mes fesses. Il me serrait la queue, les couilles dans sa main. Mon gland suintait.. laissant pendre un fil épais entre mon ventre et le sommet de ma queue.. Il se cambrait, soufflait e plus en plus fort.. lui aussi était plus loin.. moi j’étais au bord de l’orgasme.. c’était fort.. je me retenais.. espérant jouir quand il se déverserait dans mon cul.. JE devais être dilaté a fond sa queue glissait si facilement.. D’un coup il me pénétra a fond .. et je senti les jets brulants dans mon cul.. il se vidait en poussant des grognements.. en même temps il m’avait décalotté a mort.. et je ne me retins plus.. je giclais.. a long jets.. saccadés.. je prit plusieurs jets dans la figure sur ma bouche, tandis que Yves finissais de se vider dans mon cul.. Il me regarda et me voyant lécher le sperme que j’avais sur les lévres, récupéra celui qui était sur ma poitrine et me le mit sur la langue en disant
« Tu est vraiment une sacrée chienne et tu aimes çà »
J’étais dans un état d’excitation peu commun.. en effet. Il s’était retiré de mon cul, je le fit basculer sur le dos à son tour et je pris sa queue dans ma bouche.. Elle était loin d’être dure et je n’arrivais pas à la faire durcir.. hélas.. j’aurais aimé le sentir jouir dans ma bouche..
« Hé attends.. je viens de jouir.. c’est pas inusable » dit -il
Moi par contre j’avais toujours la queue tendue, je délaissais son membre flasque pour lui lécher le cul, il était évident à voir son anus qu’il servait assez souvent à d’autres choses que son usage naturel. Il était souple s’ouvrait avec facilité et je ne dus faire que peu d’effort pour y pousser ma langue.. Yves se laissais faire avec délectation en gémissant, rapidement je me mis en position et je posais ma queue contre son cul et je m’enfonçais en lui avec délice. Quand il sentit que je le pénétrais il me regarda un peu surpris et dit
« Putain mais tu bande encore après tout ce que tu viens de balancer!! »
Oui j’étais encore en forme, et plus même je sentais mes couilles lourdes un peu douloureuses comme chaque fois que j’étais vraiment très excité. Et c’était le cas.. cet tête à tête masculin me plaisait vraiment, je comprenais maintenant que j’étais vraiment bisexuel et non pas seulement joueur et un peu pervers.. Je pouvais prendre un vrai plaisir aussi intense qu’avec une femme en compagnie d’un mec. Plaisir tout à fait différent, oserais-je dire complémentaire mais qui n’oblitérais pas du tout mon goût pour les femmes. Maintenant j’aimais les deux point barre..
Je besognais plus ou moins violemment Yves qui appréciait la chevauchée, au poins que posant ma main sur sa queue je sentis qu’elle recommençais à durcir. Bonne aubaine, et tandis que à coup de reins je lui défonçait le cul je me mit à le branler allégrement.. Décalottant ce gland rougi faisait se dresser cette queue que j’avoue j’appréciais beaucoup.. au point que après cette première rencontre il y en eu d’autres assez fréquemment.
Il bandait bien maintenant, et il suffisait que je regardes son visage pour comprendre qu’il aimait ce que je lui faisait subir. C’était grisant, de sentir ma queue le pénétrer tandis que j’astiquais la sienne qui palpitait dans ma main.. J’adorais le voir gémir et grimacer quand je le décalottais a fond tendu au maximum, je sentais son cul se serrer sur ma bite. Il faisait chaud, je commençais à être trempé de sueur et Yves aussi, c’était encore plus excitant.. Je sentais que j’étais sur le point de partir.. a nouveau.. Mais je savais que Yves aussi était sur le point de jouir.. je fis le choix de ne pa jouir de suite et de prendre sa queue dans ma bouche, j’avais envie de sentir son jus couler , qu’il m éclabousse les lèvres la langue.. Sa queue palpitante en bouche je continuais à la branler.. il se cambrait à mort.. tentant d’enfoncer sa queue encore plus loin entre mes lèvres.. Il poussa un grand cri et je sentis gicler le sperme chaud, abondant, en grosse giclées qui semblaient ne pas vouloir s’arrêter, j’en avais plein la bouche, j’avalais avec délice ce jus de mâle, c’était tellement agréable que je sentais ma queue trembler sur le point d’exploser.. une fois seulement qui eu un dernier frisson.. je laissait sa queue sortir de ma bouche et pressant la tige en remontant vers son gland, le faisait sortir les dernières gouttes que je lapais avec avidité..
Il fallait que je jouisse maintenant.. je pris nos deux queues dans ma main, Yves bandait encore un peu.. nos deux queues l’une contre l’autre je les masturbais.. Yves grognais gémissait car c’est un moment ou les caresses peuvent être douloureuses.. Mais je continuais.. et en quelques allez retour je giclais sur sa queue, sur son ventre.. sur son visage même car les jets sont particulièrement puissants quand je suis dans cet état d’excitation.. Ensuite je retombais à ses côtés.. haletant..
« Ah la vache.. c’était bon.. mais t’arrêtes jamais? » Dit Yves en se marrant..
« Quand je suis excité.. non ca peut durer.. longtemps » répondis-je..
« Non? Tu remettrais çà? » dit il par jeu ou défi..
« Essaie.. tu verra bien.. » ne voulant pas.. décliner l’invite..
Il prit ma queue qui était encore rigide mais sensible, et commença à me branler.. c’était fini je savais que je ne débanderais pas tant que je n’aurais pas encore giclé à nouveau. Je serrais les dents tout en goutant la caresse mais ma queue sensible me faisait un mal de chien au début.. puis avec les minutes.. la douleur s’estompait laissant place à l’excitation.. Elle fut a son comble quand Yves.. très au fait de ce qu’aime les mecs, se mit à genoux prés de moi et écartant mes cuisses commença à masser mes couilles puis descendant sous le sac il titilla mon anus avant de carrément y faire entre un doigt.. Le salaud me branlais , me fouillais le cul.. j’étais sur un nuage.. Il m’injuriais également copieusement.. me traitant de pute, de salope, de grosse chienne.. Et moi ce langage à ces moments forts.. me font un effet de catalyseur.
Je me tordais sous ses caresses.. son doigt me fouillais.. j’avais envie de plus.. et je réclamais..
« Enfile moi plus fort.. plus » dis je d’une vois rauque .
Yves me regarda et je senti d’autres doigts rejoindre le premier.. combien je n’en savais rien.. mais l’effet fut immédiat.. je sneti monter le long de ma queue ce nectar qui précède la jouissance.. Il me pistonnais l’anus vraiment fort. Je sentais ses doigts tourner en moi.. accompagné d’un bruit humide.. Il agitait ses doigts touchant parfois ma prostate la taquinant.. je frissonnait.. tremblait.. ma queue était gorgée de sang, les veines saillaient le gland était violacé décalotté.. gonflé au point que Yves ne parvenait plus à le recouvrir tant il avait gonflé.
Soudain ce fut fulgurant.. je criais comme un fou et je giclais par violentes saccades, qui arrosait le lit, mon visage, celui de Yves aussi.. c’était violent, un orgasme inouï qui ne semblait pas s’arrêter. Yves voyant dans cet état fit mine d’arrêter.. je le suppliais de continuer.. et après moins de 3 minutes .. je giclais de nouveau.. moins violemment.. je ne sentais plus ma queue. Je ne savais plus où j’étais.. Cette fois .. j’étais ko.. limite dans les vaps.. Yves était estomaqué..
Aprés un moment il me dit..
« Tu t’est déjà fait fister? »
« Non non jamais pourquoi? » demandais-je un poil inquiet..
« Tu sais je t’ai enfilé 4 doigt sans problème, tu est vachement dilaté » répondit il.
J’apprenais un peu surpris que mon anus semblait très souple et vorace.. je n’avais ressenti aucune douleur et franchement je ne pensais pas qu’il ai mit aussi gros en moi.. Ceci sur le coup n’eut pas de conséquences.. mais un peu plus tard.. en aurais.
Après cette séance se passa ce que je n’aurais jamais cru possible, Yves dormit avec moi et c’est enlacés que nous nous sommes endormis, comme deux amants hétéro. Je ne pensais pas que ca arriverait mais je me trouvais bien avec lui, on discutait en nous caressant mutuellement voir en s’embrassant.. une relation comme on peut en avoir avec une femme..
En fait cela me conforta dans l’idée que ce n’était pas par hasard que j’avais cédé naguère aux avances de Marc et qu’au fond de moi j’avais toujours eu une attirance pour les mecs que je ne voulais pas m’avouer. C’est un peu difficile à admettre au départ surtout si on a eu une éducation un peu sévére, mais je vis parfaitement bien cette bisexualité et j’assume parfaitement. Pourtant cela reste du domaine épisodique et ludique, je n’ai jamais eu envie.. enfin presque jamais.. de vivre une aventure dans le long terme avec un mec. C’est une pulsion une envie, de baiser avec un homme ou pas.
Donc cet après Sonia fut riche en péripétie, la première ayant été cette découverte de l’amour au masculin.
Célibataire exempt de toutes contraintes et surtout le cœur brulé par mon amour perdu, je multipliais les rencontres les aventures d’un jour.. les parties bien que je fusse célibataire mon carnet d’adresse était assez rempli et mes amis nombreux pour que je sois invité régulièrement a quelques parties bien que n’étant plus en couple. J’étais assez connu et apprécié.. ne soyons pas faussement modeste.
Je ne me satisfaisait pas non plus de rencontrer des mecs, j’avais toujours envie de femmes même si je savais maintenant que j’allais craquer pour certains mecs de temps en temps. Minitel était mon principal vecteur de rencontres quand je voulais sortir des cercles habituels d’amis et amies. En un mot besoin de nouveauté ou de chair fraiche comme vous le voulez, mais il m’est arrivé quelques fosi d’utiliser des revues d’annonces spécialisées pour couple afin de rencontrer de nouveaux amis et amies de débauche.
Justement Maryvonne, je la contactais par ce biais. Son annonce m’avait plu pourtant elle n’était accompagnée d’aucune photo, et la description de la belle était assez sommaire. Elle annonçait qu’elle cherchait des hommes sympa, aimant faire l’amour de toutes les manières pour des après midis coquins en sa compagnie, elle ajoutais que ces après midi pouvait déboucher sur des soirées à plusieurs qu’elle et son compagnon appréciaient . Elle ajoutait qu’elle ne s’attachait ni au physique ni aux performances, préférant des gens naturels et sans complexe qui aimait partager, donner et recevoir du plaisir. Cela correspondait à ma façon d’envisager les relations justement, et donc je lui glissais une petite lettre où je lui donnais un peu plus d’infos sur moi, mes attentes j’ajoutais une photo, j’avais également laissé mon téléphone en annonçant qu’il était à sa disposition a toute heure.
Le temps que mon courrier lui parvienne et je reçut un coup de fil dans la soirée. Maryvonne, petite voix haut perchée et rieuse.. Agréable et sans détour.. Elle avait la quarantaine, ne se trouvait pas jolie, mais pas désagréable non plus. Coquine c’était certain rien qu’au ton de sa voix on sentait que l’espièglerie le disputait à la sensualité.
Le courant passant bien nous nous donnions rendez vous le vendredi suivant, ainsi je pourrais passer le WE si on accrochait lors de l’après midi coquin.. qu’elle me proposait a priori bien volontiers.
Le vendredi arriva, et à l’heure dite, j’arrivais avec mon petit bouquet et une bouteille de champagne. Quelle femme résiste à des fleurs et une coupe de bulles? Aucune.. croyez moi.
Maryvonne vint m’ouvrir, surprise un tout petit bout de femme, dans une petite robe imprimée ultra légère et boutonnée devant… peu boutonnée d’ailleurs, car a peine entré j’avais vu qu’elle ne portait strictement rien sous cette robe hormis une paire de bas.
Maryvonne n’était pas un canon de beauté, mais faisait partie de ses femmes qui on ce petit quelque chose qui fait qu’on les adore, qu’on les désire. Un regard malicieux, de jolis yeux bleus pales, une peau laiteuse constellée de taches de rousseur, mais des cheveux châtain foncé. Détail que je remarquais et qui m’émoustilla, pas épilée sous les bras.. Alors question de goût.. j’aime les femmes qui ne s épilent pas les dessous de bras. Mais j’aime aussi celles qui n’ont pas un poil.. question de personnalité.. Maryvonne cela lui allait bien. D’emblée je sentais que j’allais passer de très bons moments avec elle.
Elle prit mes fleurs et me fit un gros baiser.. mais sur les lèvres et me glissa sa langue entre les miennes, je répondit aussitôt .. Bref baiser mais elle avait posé les jalons.. Elle était du genre à tenir ses promesses. Je n’étais pas venu pour rien ( ceci m’étant arrivé quelques fois).
Elle me fit visiter la grande maison, deux étages, plusieurs chambres et salles de bains une grande salle commune servant de salle a manger et salon le tout meublé confortable.
« Tu vois comme on fait beaucoup de soirées on a des canapés partout c’est plus confort. » expliqua Maryvonne.
« Mais tu recois beaucoup de monde? J’ai déjà fait des soirées mais en général on est allez maxi une dizaine rarement plus » Dis-je
« Oh des fois on a été plus de 30 ici on s’amuse vraiment bien » Dit- elle puis me prenant par la main elle m’entraina vers le salon . Elle mit ses fleurs dans un vase sortit deux coupes et on déboucha la bouteille. On trinqua et aprés quelques banalités.. Maryvonne prit la parole et se levant et tournant sur elle même me dit
« Alors comment tu me trouve? Pas trop déçu? Je ne suis plus une gamine.. hélas mais je suis pas trop mal encore non? »
Je sentais qu’elle était un poil inquiète sur son aspect, du moins l’image qu’on avait d’elle.
« Tu est vraiment bien » dis-je puis « Et tu vois, j’ai très envie d’en voir plus et surtout de toucher si j’ai le droit »
Maryvonne me lança un regard des plus coquin et déboutonna sa robe, dénudant son corps, elle était bien en chair, un petit ventre rond, une chatte bien fournie cachée sous un buisson non taillé, des cuisses pleines et des hanches larges. Ses seins un peu lourd en poire étaient pourtant assez fermes et se passaient de soutien gorge. Ses tétons était roses dodus et surtout tout tendus. Sa peau était d’une blancheur peu commune constellée de taches de rousseur. Elle s’approcha de moi et je posais mes mains sur ses hanches, elle était d’une douceur de soie. Je l’attirais vers moi et posais mes lévres sur son nombril. Sa peau sentait bon, pas de parfum, juste une odeur de savon et la saveur d’une peau féminine.
« Ouahh je crois que je plais bien.. »dit elle
« Oui.. ma douce, et moi tu me trouve comment? » répondis-je
Elle me scruta un instant de la tête au pied et s’asseyant prés de moi dit
« Dur si je regarde la bosse que tu as ici » dit elle rieuse en posant la main sur ma queue.
En effet je bandais déjà.. comme à mon habitude j’anticipe pas mal.. et je grimpe vite.
« Tu est déjà tout chaud, tu me fais penser a un gros nounours, doux gentil » Elle avait glissé sa main dans ma chemise et me caressait doucement, quand elle passa ses doigts sur mes tetons je tressaillais « Humm en plus tu à l’air d’aimer çà .. Allez à poil.. » dit elle cavalièrement
Elle me déshabillait avec hâte.. « J’aie envie » dit-elle.. en moins d’une minute j’étais à poil. Maryvonne se frottait contre moi en soupirant d’aise.
« Tu bandes bien petit cochon » dit-elle
« C’est toi qui me fait cet effet là.. »
« Ah je vais te sucer mais surtout si ca vient tu me le dit, je supporte pas dans la bouche ca me fais vomir, je préfère te le dire avant désolée »
Elle semblait ennuyée.. mais je la comprenais..
« Promis je ferais attention… » dis je.
Et elle se laissa glisser doucement jusqu’à ma queue, et la pris dans sa bouche.
Elle était douée, elle suçait vraiment bien.. je ne pouvais que regretter qu’elle ne puisse pas aller au bout.. Mais il y a tant de manière de se faire du bien. Maryvonne mettait du cœur à l’ouvrage tant et si bien que je du l’arrêter dans son œuvre.. sinon j’allais lui remplir la bouche.
« A mont tour » dis je en la mettant sur le dos et en relevant ses jambes. Sa chatte était perdue au milieu des broussailles de sa touffe. C’était plutôt agréable de mettre le nez dans ce doux duvet, en effet contrairement à certaines femmes elle avait une buisson abondant mais soyeux, en plus cette chatte avait un fumet enivrant. J’écartais les lèvres, laissant enfin apparaitre le rose nacré tout emperlé de rosée, son bouton petit et discret se cachait sous un capuchon de chair tendre. Un baiser sur ce minou, puis ma langue se mit a le fouiller tandis que le coquine gémissait. Elle adorait les coups de langue.
« Oh oui.. là c’est bon »
puis
« Doucement, oui encore »
Intarissable, elle ondulait du bassin.. posait ses mains sur ma tête, plaquant mon visage dans son sexe de plus en plus humide. A ma grande satisfaction Maryvonne était une mouilleuse, j’adore les femmes qui ruissellent qui se lâchent, j’aime lécher, boire leur nectar.. Je pataugeais littéralement, elle coulait sur mon menton dans ma barbe.. Plus je la léchais et la doigtait plus son con s’emplissait de crème qui épaississait à vue d’œil, moussait, lui engluait la touffe, coulait entre ses fesses.. C’est un spectacle qui pour moi est sans doute l’un des plus beau au monde.. une chatte rosé nacrée, suintant par tous ses replis une crème onctueuse..
Maryvonne était expansive et ne cessais de gémir.. son bouton durci roulait sous ma langue.. je taquinais le méat urinaire zone sensible s’il en est.. que souvent les hommes oublient.. ou n’osent pas taquiner.. moi j’aime cet endroit ce petit trou me fascine.. surtout quand elles deviennent fontaine.. Ma langue tournait autour de l’orifice tandis que avec deux doigts je tentais de trouver ce point qui pour certaines femme déclenche des sensations.. le fameux point G je ne sais pas si il existe.. mais en tout cas certaines femmes, pas toutes ont une sensibilité exacerbé sur une zone dont l’emplacement est variable, plus ou moins profondément caché. Je senti que ma belle se cambrait quand j’atteignis un point précis.. je massais appuyait.. sur la zone.. Et ce fut un concert de cris.. son sexe palpitait spasmodiquement.. et de mon côté ma queue se tendait j’étais très excité et un moment je dus faire un effort.. de contrôle car je sentais ma queue goutter de plus en plus abondamment.. signe que la secousse était proche..
Je voulais faire jouir Maryvonne avant.. Continuant de plus belle a la dévorer et la doigté elle réussis a dire d’une vois hachée par les frissons de plaisir..
« Non pas là pas là c’est trop bon je vais pisser.. je vais gicler » tout en tenant de repousser ma tête.. je redoublais mes efforts.. repoussant ses mains qui tentait de me faire arrêter.. je dit entre deux coups de langue..
« Vas y chérie, laisse toi aller ,jouis.. balance tout.. »
Elle cramponnait les coussins, son sexe palpitait de plus en plus.. parfois il s’ouvrait largement au point que je voyais le col de l’utérus agité de soubresauts. Maintenant trois doigts la travaillaient.. un belle tache sombre s’étalait sur le canapé… Et soudain .. elle failli tomber.. se cambrant.. et hurlante se débattant comme si on la torturait.. elle jouit.. les spasmes de son vagin était incroyablement puissants.. et le jet.. qui s’échappa de son sexe était brulant, il s’éleva pour retomber en grosses gouttes sur la table en verre du salon.. avant que je puisse l’intercepter dans ma bouche.. Elle se vidait dans ma bouche c’était brulant, j’adorais ce goût un peu fadasse, un peu salé.. je buvais avidement.. tandis qu’elle était agitée de convulsions maintenant. Maryvonne tremblait de tous ses membres.. sa peau était couverte de chair de poule.. elle avait les cuisses ruisselantes.. Moi j’étais trempé.. et je n’avais qu’une envie jouir.. Alors qu’elle n’avais pas encore repris ses esprits.. je la mettais au bord du canapé et je la pénétrais.. ma queue dure se glissait dans la soie humide de sa chatte.. elle palpitait encore.. quelques coups de reins et je suis au bord de l’orgasme.. Maryvonne se redresse me passant ses mains autour du cou, croisées sur ma nuque, elle se pend a moi .. me prend la bouche m’embrasse me lèche le visage tandis que je la prend comme un fou
« Oui oui jouis.. met moi tout oui fort.. baise moi défonce moi.. » elle crie elle hurle même, je me tends mes couilles sont remontées dans mon ventre presque et je gicle en elle.. je me lâche totalement.. comme je la besogne toujours un coup de rein me fais sortir de son ventre.. et je gicle sur elle les dernières coulées de sperme alors que de son côté je sent plusieurs giclées chaudes sur mon ventre.. Maryvonne jouis une seconde fois et m’inonde encore..
Je me laisse tomber sur elle elle me couvre de bisous.. me caresse en murmurant « C’était bon.. mon dieu que c’était bon.. tu baise comme un dieu » C’était la première fois que l’on me faisait ce compliment à ce niveau.. Je n’y était pas pour beaucoup.. ce petit bout de femme sur laquelle je ne me serais pas retournée dans la rue avait un tempérament, une présence, une fougue qui compensait et son âge et son physique anodin.. pour en faire une déesse de l’amour.. cela se confirma car nous avons longtemps partagé des moments intimes.. soit elle et moi soit dans des soirées.. avec nos amis..
En attendant.. cette première rencontre était plus que concluante. Maryvonne était enchantée de notre nouvelle amitié. Elle avait pris un plaisir qu’elle n’atteignait pas si souvent que çà à cette puissance. Elle s’excusait presque d’être une femme fontaine, alors que moi j’étais enchanté.. Et d’ailleurs cela nous permit de prendre une douche à deux, c’était tellement plus amusant.. Elle adorait qu’on la savonne, qu’on la lave doucement. Et moi j’adorais ce petit bout de femme, ph oui elle avait quelques kilos en trop, de petits bourrelets un petit ventre rond.. Mais ses yeux rieurs, sa peau très douce toute tachetée de roux c’était délicieux. Bien sur je ne put m’empêcher de la lutiner plus que de raison pendant cette douche et ma langue fut mise a contribution.. elle eut encore un orgasme humide qui me sala la bouche, et elle me fit une pipe d’enfer.. qui se termina par une branlette non moins torride pour me faire jouir sur elle, car si elle ne pouvais pas supporter le sperme dans la bouche elle appréciait sur sa peau.
Et donc comme cela était prévu.. je restait le WE pour la grande soirée..
Elle avait hâte de me présenter à ses amies, surtout une certaine Patricia.. dont nous reparlerons pas mal.. Et aussi son compagnon Michel.. chose amusante il travaillait pour la même grande société que moi..
Il était charmant, bisex et surtout d’une gentillesse infinie.. Il s’inquiéta de savoir si on avait passé de bon moments. Et il nous demanda de raconter.. ce qui l’excitait fort.. Au point que rapidement il finit la queue à l’air.. et Maryvonne se mit à le sucer.. j’observais la scéne très excité moi aussi et quand je vis que Maryvonne sentait que Michel allait jouir, je m’approchais doucement car il avait les yeux fermé et ne me voyais pas.. Elle comprit ce que je voulais faire.. tenant toujours la queue de son homme elle s’arrangeait pour le sortir un instant et me laissa prendre la suite quelques poignées de secondes plus tard.. Michel se tendait.. Maryvonne le décalottais a fond et il jouissait dans ma bouche.. il se rendit compte avec stupeur qu’il venait de jouir dans une bouche ce que lui refusait Maryvonne .. la farce était réussie.. Et tous ensembles nous avons eu un fou rire mémorable..
Michel les larmes aux yeux m’expliqua que c’était arrivé quelques fois qu’il se laisse aller dans la bouche de Maryvonne qui lui passait un copieux savon et boudais quelques heures.. Il avait cru qu’il allait se faire remonter les bretelles.. Mais non .. il avait beaucoup aimé.. et il était prêt pour une nouvelle coopération quand on voulait
L’heure avançait et le soir allait amener une foule d’invités, de complices pour une soirée dont je pris l’habitude ensuite.. rien a voir avec les soirées échangistes que je connaissais on était là dans quelque-chose de plus simple mais aussi infiniment plus hard..
Petit à petit les invités de la soirée arrivaient. En couple, ou même seuls, plusieurs femmes non accompagnées arrivèrent ensembles. Nous devions être une petit vingtaine ce qui selon Maryvonne était loin d’être le maximum et plutôt un minimum. Je n’avais jamais connu de soirée aussi peuplée.
Étant dans les lieux bien avant tout le monde je donnais un coup de main à Maryvonne à apporter les plats pour le buffet. Naturellement pour nourrir et abreuver autant de monde pas question de faire de la cuisine, le buffet froid, salades était de mise en plus c’est très sympa et bien plus léger si on veut se dépenser ensuite.
Maryvonne et moi en quelques heures étions devenus très complice, Michel s’en était rendu compte et semblait apprécier la chose. En catimini il me glissa « Elle à l’air de beaucoup d’aimer, c’est super, en plus tu la fait grimper au rideaux et çà c’est génial elle me fatiguera moins » Il faut dire que j’avais maintenant compris combien elle était gourmande.
Même alors que nous préparions les plats, Maryvonne se frottait et cherchait les caresses que je lui prodiguais bien volontiers.. Il me suffisait de poser ma main sur sa croupe pour quelle se cambre et m’offre sa chatte et son cul. D’ailleurs dans la cuisine alors que j’avais commencé à enfiler ma charmante hôtesse, entra une amie à elle Patricia souvenez vous de ce prénom on en reparlera. Elle entra alors que Maryvonne appuyée sur les coudes me donnait sa croupe à bourriquer. Patricia ne fut pas surprise, alors que j’allais arrêter, dit simplement « Arrêtes pas! Continue à la baiser elle adore çà » Elle vint me faire un bisou, puis embrassa Maryvonne sur la bouche, et glissant ses mains sous sa robe se mit à lui pétrir les seins.. puis Maryvonne poussa un petit cri. Pat me regarda et dit « Elle adore qu’on lui pince le bout des seins.. tu sais.. » Je redoublais mes coups, les mains posées sur ses hanches, tandis que Pat lui pinçait le bout des seins Maryvonne se mit a jouir, m’inondant littéralement, ses cuisses dégoulinaient et une petite flaque à ses pieds prouvait qu’encore une fois elle avait joué la fontaine.. je me retirais la queue luisante et dure..
Maryvonne me prit par la queue et tout en me caressant doucement me présenta à son amie Patricia dont le diminutif Pat était le plus souvent utilisé.
Pat était grande, de long cheveux noirs très raides réunis en une queue de cheval lui arrivant au milieu du dos, pas vraiment fine, plutôt sportive et musclée.
Elle portait une robe très décolletée qui ne cachait qu’a peine ses seins magnifiques, elle avait de longues jambes et portait des très hauts talons. Belle plante.
Maryvonne semblait apprécier énormément cette amie, et m’expliqua qu’au départ ce fut avec elle que elle et son ami firent leurs premières armes. Maintenant Pat et elle était inséparables et je m’en rendis vite compte. J’avais donc en rencontrant Maryvonne rencontré une sorte de couple infernal.. On le verra plus tard le coupe était effectivement infernal en ce qui concerne la perversion et la luxure.. les soirées avec elles furent vraiment torrides et un premier pas vers des pratiques qui ne sont pas celles de tout le monde, même si de nos jours c’est un peu plus médiatisé.
Mais à cet instant , j’avais l’air n peu niais, le pantalon sur les chevilles, la queue à l’air bien que dans la main de ma nouvelle amie.. Face à cette jolie fille qui me matais d’un petit air narquois. Cette Pat avait une façon de me regarder qui à la fois m’emplissais d’aise et de désir mais faisait un peu froid dans le dos également.. je comprendrais rapidement pourquoi..
« Tu crois qu’il est comme j’aime » dit Pat d’un air énigmatique..
« Oh oui je crois bien » dit Maryvonne
« C’est un gentil nounours, il à une langue de velours et sait s’en servir.. et du reste aussi… en plus il est tout le temps dur.. » ajouta t-elle en me secouant la queue..
C’était pourtant vrai je bandais dur , si je venais de faire jouir Maryvonne, moi je n’avais pas jouis.
Pat s’approcha de moi et posa sa main sur ma joue, puis descendait me caressant le cou, avant de glisser sa main dans ma chemise. Ses doigts heurtèrent un téton, instantanément je tressaillais. Pat me regarda droit dans les yeux, s’emparant de ce petit bout de chair sensible, elle le pinça violemment, me tirant un long frisson et un gémissement qui n’était pas de douleur, enfin pas seulement.
« Ah tu aimes çà… Génial.. » dit-elle et elle envoya son autre main sous ma chemise. S’emparant de mon deuxième téton.. Maryvonne continuait de me branler doucement. Pat c’était rapprochée de moi et lentement glissait sa cuisse entre les miennes. Sa robe fendue laissait le champ libre a sa jambe. Toujours dans la main de Maryvonne je senti mes couilles se frotter contre la cuisses chaude de Pat qui demanda à Maryvonne de me lâcher.
Maintenant ma queue était toute entière contre la cuisse de Pat, elle accentua la pression m’écrasant les couilles contre sa chair . Elle donnait de petits coups qui à la fois me faisaient mal mais en même temps ajoutaient à mon excitation. Elle approcha sa bouche de la mienne et me prit la lèvre inférieure entre ses dents et la mordilla. Maryvonne était derrière moi et je la sentais plaquée contre mon dos, elles m’avaient enlevé ma chemise et je sentais les seins tendus et chauds de Maryvonne dans mon dos. Pat me triturais les tétons et j’appréciais particulièrement cette caresse qui me met en transe à chaque fois. Ma queue durcissait encore plus, sa cuisse m’écrasais les couilles de plus en plus intensément. Instinctivement je me frottais contre elle. Mon bassin oscillais d’avant en arrière forçant ma queue comprimée à se décalotter
« Oh tu est vraiment très chaud » dit Pat en me regardant de ce regard brun intense que j’ai tant aimé. Il émane d’elle quelque chose d’étrange d’a****l. Elle me dévore des yeux. Je ne le savais pas à cet instant précis mais elle et Maryvonne allaient m’entrainer dans un monde que je ne connaissais pas vraiment.. et que j’allais aimer à la folie avant de plus ou moins le détester.
Pat demanda à Maryvonne de m’ôter mon pantalon.. JE rappelles qu’au départ je donnais un coup de main pour la cuisine et que tout est parti en vrille, mais avec mes deux belles amies lors de soirées enfin je devrais dire pendant nos orgies c’était souvent le cas.
Je me retrouvais donc nu, Pat toujours habillée, le décolleté de plus en plus profond me laissait espérer des délices. Pour le moment c’était le contact de ma queue sur sa cuisse qui lui plaisait ainsi que mes tétons qui étaient maintenant brulants et douloureux mais aussi très gonflés.. Elle avait une science incroyable dans cette manipulation, tournant, pressant pinçant s’aidant des ongles qu’elle avait très longs. De temps en temps elle me griffait la poitrine et devait laisser des marques si j’en jugeais pas la chaleur qui naissait derrière cette « caresse de tigresse » Je continuais a me frotter contre la cuisse qui de plus en plus par accoups m’écrasait les couilles.. Mais j’adorais cette sensation. J’était vraiment excité et petit à petit naissait comme toujours au bout de mon gland une perle de rosée.. là elle s’étala sur la cuisse de ma tortionnaire qui sentit le phénomène.
« Mais tu mouilles cochon, allez continue à te branler comme un chien sur ma jambe » je commençais a comprendre son jeu que naïvement je n’avais pas vraiment détecté..
Pat était tout bonnement en train de me dominer.. Et j’acceptais volontiers ce jeu. Je mis même un peu plus d’ardeur à me frotter contre elle, qui pressait de plus en plus son genou entre mes cuisses.. Maryvonne se frottait toujours contre moi et commençais à me peloter les fesses. Pat me triturais toujours les tétons et je sentais monter une vague de plaisir en moi, jamais on avais aussi longtemps joué à ce jeu avec moi. La douleur se mêlait au plaisir et les doigts qui courraient sur ma peau me mettaient en transe. Je tentais de poser mes lèvres sur celles de Pat mais elle se déroba avec un sourire narquois.
« Non non, tu ne mérite pas çà.. »
Étrangement ce refus ne fit que m’exciter d’avantage, mais ce n’étais rien avec ce qui allait suivre. Délaissant mes tétons, Pat ouvrit sa robe et laissa échapper ses seins.. et là.. je vis avec étonnement et délices une vision qui éveilla ma perversité.. Ses tétons au demeurant très beaux et gros plantés au milieu d’aréoles brunes très larges, ses tétons étaient ornés d’anneaux dorés.. Ses bouts de seins étaient percés, je n’avais jusque là vu que des filles en papier glacé et dans quelques films porter ce genre de bijoux.. Mais là c’était indescriptible. J’allais prendre ses seins dans mes mains quand Pat me pris les poignets et ramena mes mains derrière mon dos en m’ordonnant de rester ainsi. Je n’avais d’yeux que pour cette paire de seins magnifiques, envie de les prendre de jouer avec.. Mais Pat voulait que je sois obéissant. Je devenais son jouet, leur jouet car Maryvonne était sa complice de toujours.
« C’est bien .. allez continue à te frotter, regarde tu mouille ma cuisse » Effectivement mon gland laissait une trace nacrée sur sa peau, les allez retour avait étalé la liqueur qui ne cessait de couler.. Puis regardant Maryvonne, Pat dit « Il aime qu’on s’occupe de son cul? » elle ne dit mot mais je compris qu’elle avait acquiescé.. Pat me regarda droit dans les yeux d’une façon sévère et me dit
« Dit le .. toi espèce de cochon.. dit le moi ce que tu aimes.. »
Je ne répondais pas, un peu bloqué, c’était si nouveau mais si excitant. Un coup de genou plus fort que les autres me rappela que c’était elle qui commandait.. Elle m’avais vraiment écrasé les burnes.. La douleur irradiait dans mon ventre.. instantanément ma pensée fut.. elle va me faire débander.. Ce fut le résultat inverse qui se produisit non seulement je bandais plus, mais je senti à ce moment qu’un ou deux autres coups m’aurait fait jouir.
« J’aime qu’on m’encule » dis je doucement..
« Plus fort.. j’entends pas » dit Pat
« J’aime me faire enculer » dis je cette fois d’une voix forte..
« Tu est vraiment un vicieux, toi mais j’aime çà.. continue a te branler sur ma jambe, tu va voir elle va te prendre ton petit cul » ajouta Pat et elle eu un hochement de tête..
Aussitôt Maryvonne qui n’attendait que çà glissa ses doigts entre mes fesses et trouvant mon anus le massa quelques instants, puis assez doucement elle fit pénétrer un doigt, le poussant loin et fouillant la cavité.. Les sensations étaient grandioses, dans mon état d’excitation cette pénétration, devant cette femme inconnue au fond me mettait dans tous mes états.. Je gémissais sous les caresses .. Pat avait repris la trituration de mes pointes de seins.. son genou maintenant me donnait des coups réguliers.. dont la force allait crescendo.. Je ne quittais pas des yeux les seins de ma tourmenteuse, qui en jouais approchant se reculant frottant ses tétons durs contre ma poitrine..
Mon cœur battait à se rompre, mes jambes tremblaient sous moi.. Pat plaça un grand coup de genou dans mes testicules me coupant le souffle.. Maryvonne me prenait le cul avec ses doigts.. Ma queue était gonflée, le gland rouge et luisant dégoutais de liqueur. Pat s’accroupit soudain après ce coup. Elle sentait que j’étais à point. Elle s’empara de mes couilles.. créant un anneau de son pouce et son index elle m’étira le paquet tout en le pressant avec force.. Elle plaça son autre mai sous mon gland et lentement elle métirais les couilles tirant vers le bas.. ma queue descendais à l’horizontale, mon érection luttant contre la traction qu’elle imprimait.. Se faisant je me décalottais de plus en plus .. enfin le frein semblait prêt a rompre.. J’avais mal et grognais de plaisir et de douleur.. cela commença par des tressaillements, puis des soubresauts de ma queue torturée. Et je sentais monter en moi la libération.. Au lieu de gicler mon sperme se mit à couler lentement dans le creux la main de Pat.. J’avoue que je ne sais plus trop ce qui se passe ensuite.. je me souviens que ca a duré longtemps ma perception du temps est sans doute faussée.. mais j’ai l’impression d’avoir mit 10 minutes à me vider.. Pendant tout ce temps Maryvonne me doigtait allégrement..
Puis et çà je m’en souviens bien.. Pat se releva.. la main pleine de mon sperme, quelle conservait avec dextérité dans le creux de sa main .. elle me posa sa main sur la nuque et mettant sa main devant ma bouche elle dit simplement
« Bois…Lèche nettoie ma main salaud »
Je m’exécutais servilement mais avec délice, je posait mes lèvres sur le liquide chaud et épais, il collait à mes lèvres, je but emplissant ma bouche..
Elle me redressa la tête.. « Fais voir.. ouvre ta bouche »
J’ouvrais la bouche pour lui montrer que j’avais bien mon sperme sur la langue.
« Avales vite » dit elle..
J’avalais et laissait descendre dans ma gorge ma propre semence..
Puis montrant sa main devant mon visage elle dit en me mettant une gifle,
« Lèche ma main.. nettoie tes cochonneries..
Je m’appliquais et léchais nettoyais les doigts, la paume, léchant entre ses doigts pour enlever chaque trace.. Mes jambes en coton.. mes sens totalement bouleversés.. honteux, excité tiraillé entre douleur et plaisir.. mes tétons douloureux.. mes couilles aussi.. mais encore une fois.. j’étais dur et tendu.. Maryvonne le fit remarquer à Pat « Regarde Pat il est encore dur ce cochon »
Pat émit un sifflement très peu féminin, mais qui en disait long sur ce qu’elle pensait..
« Mais oui tu bandes encore , tu est vraiment un cochon comme tous les mecs tu pense qu’a ça » dit elle en me prenant la queue en main..
« Au moins toi tu reste dur.. tu crois que tu pourrais encore? » ajoutait la belle..
« Tu aimerais me prendre? » dit elle
Je hochais la tête sans rien dire..
elle éclata de rire..
« Oh surement pas.. tu n’es pas assez gentil et appelle moi Maitresse , tu va te branler devant moi» ordonna t-elle.
« Oui maitresse » j’avais eu un peu de mal à dire çà.. mais j’entrais dans le jeu, j’avais envie d’y entrer.. la relation qui naissait entre Pat et moi était trouble a souhait.. je n’avais jamais pratiqué mais j’adorais le fait d’obéir, mais aussi la contrainte physique et les douleurs certes raisonnables.. mais quand même.. mon corps réagissait à tout cela.
Obéissant je commençait à m’astiquer devant Pat qui était accroupie devant moi.. le haut de sa robe ouverte laissant échapper ses seins aux tétons annelés et je vis sa main glissée entre ses cuisses qui visiblement s’agitait. Je ne voyais rien mais savoir qu’elle se branlait elle aussi m’excitait prodigieusement.. Maryvonne toujours là prit le relais de Pat et se collant à moi prit mes tétons dans ses doigts.. quand elle me pinça les bouts ce fut comme une décharge électrique. Maryvonne aussi était excitée car elle frottait sa motte contre mes fesses.
Ma main s’agitait sur ma queue, mon gland était tellement gonflé que je ne pouvais plus le recouvrir, violet gorgé de sang il était douloureux à souhait, mes couilles me paraissaient lourdes et pendantes comme lestées de plomb. J’avais chaud, quand je passais ma langue sur mes lèvres elles étaient collantes de mon sperme que j’avais dégusté.
Pat sorti sa main de sous sa robe et présenta devant ma bouche ses doigts trempés de mouille laiteuse, elle se caressait bien et mouillait comme une folle si j’en jugeais par ses doigts en a peine quelques minutes de caresse.
« Lèche mes doigts esclave, goutte le jus de ma chatte » dit-elle la voix cassée par l’excitation.
C’était une offrande que j’appréciais.. l’odeur musquée, le goût de ce jus me transporta.. je léchais avidement ses doigts tout en me branlant comme un fou.. J’avais le goût de cette chatte que je convoitais.. j’avais une envie folle de la renverser et de la prendre.. mais cette attente me rendais dingue..
« On dit merci quand on est bien élevé » et elle me gifla vraiment fort.
« Merci » dis je…
Seconde claque plus forte encore..
« Merci qui? » gronda t-elle
« Merci Maitresse »
« C’est bien.. allez gicle pour moi.. je veux te voir gicler.. »
Elle se remit accroupie et se plaça face a ma queue, son visage ses seins étaient à la bonne hauteur..sa main disparu encore sous la robe.. elle me regardais moi je me noyais dans son regard. Je n’y voyais pas de v******e mais une gourmandise infinie.. Son plaisir c’était de voir un homme lui obeir de se servir de lui comme d’un jouet. J’étais le jouet et je ne trouvais pas grand chose à y redire.. La situation était piquante.. j’étais surpris.. j’étais conquis.. je ne me savais pas aussi obéissant.. J’appris plus tard que j’avais la capacité de dépasser mes limites, du moins de les repousser assez loin.. voir très loin.
En attendant je sentait monter une nouvelle ondée.. en moi.. Je me tendais comme un arc quand elle s’empara de mes couilles.. les étirant.. les pressant.. je continuais à m’astiquer.. je tremblais de tous mes membres.. je ne savais plus bien ou j’étais la tête me tournait mes oreilles bourdonnaient.. Des fourmis envahissait mes lèvres.. Un éclair.. je jouis.. ma queue me fait un mal de chien je lâche mon sperme sur les seins offerts de Pat.. qui semble elle aussi pas loin du plaisir.. de longues coulées dévalent sur ses beaux globes dorés.. les anneaux me fascinent..
Elle se relève et s’assied sur la table, violemment, elle se trousse.. écarte les cuisses.. prend ma tête dans ses mains.. et me crie
« Bouffe moi fais moi jouir esclave.. »
Je ne me fais pas prier.. son sexe est ouvert, trempé.. l’intérieur de ses cuisses est luisant et humide. Elle est en eau.. son sexe est superbe c’est l’extase.. un anneau sur chaque lèvre, et un anneau qui trône au dessus de son clito saillant et gonflé.. son capuchon est en arrière et la perle est accessible à ma langue.. Je plonge en apnée.. presque et je mange du mieux que je peut cette chatte écartelée.. annelée.. Je viens de jouir 2 fois de suite.. et je sais que je ne suis pas prêt de débander.. je ne tiendrais jamais la soirée.. Pat me cramponne la tête.. me pressant contre elle, m’étouffant.. je suffoque presque. Du coin de l’œil je vois Maryvonne qui nous regarde.. la main entre les cuisses.. elle se branle elle aussi.
« Oui bouffe, lèche moi salaud » crie Pat
Elle se cambre et je sent les palpitations de son con qui s’accélèrent elle se met a jouir en criant.. Elle perd pied un moment.. elle me caresse la tête.. en murmurant
« oh c’est bon.. c’est bon »
Puis elle se relève. Me tire par les cheveux (ils étaient plus long à l’époque) me gifle en disant « A genoux chien, je vais te donner a boire ».. Je comprend de suite.. je m’agenouille sur le carrelage.. Elle se met au dessus de ma bouche cuisse écartées.. elle continue a se branler.. et soudain alors qu’elle connait un nouvel orgasme elle me pisse dans la bouche.. avec un v******e inouïe.. a croire qu’elle a bu un tonneau avant d’arriver.. cela dure .. je suis trempé de la tête au pied.. Mais je suis aux anges.. je ruisselle.. je bois j’avale sans soucis.. Maryvonne prend son pied assise sur une chaise.. et moi je m’astique une nouvelle fois.. tandis que Pat lâche les dernières gouttes.. Je suis foudroyé par un nouvel orgasme.. je lâche quelques giclées.. sur les jambes de Pat.. qui est vraiment surprise.. Avant de m’allonger sur le carrelage.. dans la mare que nous avons provoqué. Je suis résistant mais en si peu de temps .. ca fait beaucoup.. car il ne c’est écoulé guère plus de 45 minutes..
Pat m’aide a me relever et là je vois une femme différente, plus du tout ce regard dur, ses mains qui aiment faire mal.. mais une fille douce compatissante, aux yeux brillants.. qui me cajole comme un bébé..
« C’était génial.. tu est surprenant et résistant » me dit elle.
« Je te l’avais dit » renchérit Maryvonne « Une perle rare.. on le garde maintenant qu’il est baptisé »
Je commençais a piger.. le manège.. aucun hasard c’était une sorte de bizutage.. J’appris ensuite que tous les hommes de la bande passait par ce petit jeu.. certains n’allait pas au bout n’aimant pas.. d’autres plus rares était allés au bout.. a priori je faisais parti de ceux qui avait joué le jeu dans les plus profonds abysses.. Pat avoua qu’elle n’avait pa eu souvent l’occasion de se vider comme elle l’avait fait, la plupart des hommes ayant mis les pouces à ce stade.. Elle fut surprise quand je lui dis que je n’étais pas un habitué de ce genre de jeux et que c’était bien la première fois que j’étais soumis de cette façon..
Et je ne pouvais cacher que j’avais prit beaucoup de plaisir a jouer l’esclave.. Pat d’un air énigmatique me demanda si ca m’amuserait de continuer un peu plus dans ces jeux.. mais pas ce soir.. en petit comité dit -elle. Curieux et aventureux je signais des deux mains..
Nous fîmes plus ample connaissance..
La soirée était réellement torride.. on buvais on mangeais, la maison entière était pleine de monde. On avait fait le tour avec Maryvonne et Pat et on m’avait présenté tout le monde mais impossible de se souvenir de qui est qui.. de plus ce n’est pas important.
Aussi bien pour manger que pour baiser on picorait de droite et de gauche. Je passais d’un couple ou d’un trio voir un quatuor à un autre, caressant les seins les fesses, léchant une chatte, une queue.. M’attardant avec une jolie fille à la peau brune, qui offrit à ma bouche une chatte aux lèvres noires délimitant une chair nacrée, elle jouit dans ma bouche tandis que son compagnon lui emplissait la bouche de sperme..
Dans l’escalier une femme mure, suçait les hommes qui passaient à sa portée.. les faisant jouir sur elle et dans sa bouche.. elle avait la peau luisante de coulées de sperme.. sans aucun doute chacun de ceux présents avait au moins une fois utilisé cette bouche..
Je passait un excellent moment en tête a tête avec Pat que j’avais retrouvé dans une petite chambre.. j’en mourrais d’envie.. et je crois bien qu’elle aussi en avait envie.. nous avons cette fois fait l’amour de facon plus classique mais elle prit plaisir à cela et moi aussi.. En dehors des moments ou elle dominait c’était une fille vraiment douce et câline. Mais quand on se donnait à elle comme esclave on passait de bon moments.. mais la contrepartie douloureuse n’était pas négligeable..
Profitant de ce moment intime, elle m’expliqua qu’elle avait toujours eu envie de dominer les hommes par jeu.. mais aussi par nature.. c’était une facette de sa sexualité qu’elle avait eu un peu de mal à accepter plus a assouvir.. encore que disait-elle les mecs étaient assez sensibles à ces jeux.. mais ils était souvent aussi un peu trop mièvres et n’osaient pas pousser trop loin les jeux.. Elle pensait qu’avec moi on pourrait faire des choses.. intéressantes..
Elle m’inquiétait un peu.. mais j’étais curieux.. et j’adorais cette fille percée.. Elle me ****lla.. en riant que c’était Maryvonne que j’avais voulu connaître.. c’était vrai.. mais j’appris également que elles deux.. partageait ce goût pour la domination des mâles.. et que ce serait une bonne idée que je vienne jouer avec elles deux..
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