Par un beau matin d’été il est 6 heures du matin, maître arrive.Prévenue la veille de sa visite, je lui ouvre simplement vêtue d’une nuisette.Je sais mon maître énervé depuis la veille Effectivement à peine entré il me pousse sans ménagement dans le salon.Désignant ma nuisette il m’ordonne de l’enlever.J’obeis sans attendre.Il m’attrappe et me plaque violemment contre la table du salon. »Cambre toi, écarte tes jambes de grosse salope » Je ne me fais pas prier.
Une grosse claque s’abat sur mes fesses, je ne m’attendais pas à ça.Sous la v******e et la surprise des larmes me montent aussitôt.Et là c’est un déchaînement la main large et puissante de mon maître s’abat une douzaine de fois sur mon cul en feu.Des mots »Petite pute il faudra que je te le répète combien de fois ? Tu es à moi et à moi seul il faut que je te le répète combien de fois ? « Puis maître me force à me retourner et à poser mon cul meurtri sur le bord de la table. Aïe comme ça fait mal !! Puis il me force à lui faire face, maintenant ma tête pour m’obliger à le regarder.
» Est ce que tu n’aimes pas ton maître ? « En même temps il me gifle avec force de chaque côté du visage.J’articule péniblement » Maître sait bien qu’il est tout pour moi »
« Alors pourquoi salope continuer des conversations avec d’autres alors même que je te l’ai déjà défendu ? »
En même temps maître m’att**** les 2 tétons, les tirant les pinçant et les tordant violemment.La douleur est extrême mais il continue. Je me justifie tout cela est sans conséquence, moi la salope soumise ne voyant que par lui.
« Tu ne comprends rien salope je te préviens c’est la dernière fois »
Sur ce maître m’att**** sans ménagement et m’ordonne de le suivre. Il ouvre alors la porte fenêtre donnant sur le jardin et me pousse vers l’extérieur. »Non maître que faites vous ? »
« Obéis salope tu n’as pas le choix »
Une honte énorme m’envahit je suis nue dans mon jardin de bon matin sachant que la haie d’arbres qui borde mon terrain ne suffit pas à me cacher du vis à vis et que derrière cette haie se trouve un petit parc public où il y a souvent des promeneurs avec leur chien.
« Ce n’est pas, possible maître, il y a les voisins, les promeneurs.
» Ferme la »Il m’oblige alors à me mettre à genoux sur l’une des chaises du jardin avec la tête posée sur le dossier. Il se planta alors devant mon visage me tirant par les cheveux et m’obligeant à ouvrir la bouche.Son gros membre que je constate bien gonflé s’enfonce brutalement dans ma bouche me baisant la bouche avec force puis s’enfoncant un maximum, prenant un malin plaisir à me voir au bord de la déglutition et des larmes dans les yeux. Il s’arrête soudain « Tu as compris salope, arrête de jouer avec la patience de ton maître ou tu risques de fortement le regretter »
Tout en jetant des regards inquiets vers le parc terriblement honteuse, je promis une obéissance totale à l’avenir.
Un simple bien suivit mes paroles puis maître m’invita à descendre de la chaise et à le suivre.
Malgré la honte je me sentais fort excitée avec une furieuse envie de mon maître.Lui aussi apparemment, il me plaqua contre le mur. « Tu n’as pas bronché ma grosse salope alors je vais te récompenser et te faire du bien » en même temps ses mains se firent tendres et délicates sur mon corps.Une immense vague de désir m’envahit. Je regarde autour de moi personne pour l’instant. L’excitation se fait encore plus forte et atteint une intensité grandiose. Je comprends que la peur d’être vu décuple toutes ces sensations. Les mains expertes de maître s’activent parcourant les points sensibles, sa bouche me couvre de baisers, s’attarde dans mon cou, m’att**** le lobe d’oreille, me le suçote consciencieusement. Oh bonheur !! c’est mon petit pêché mignon.Tout mon corps s’abandonne tandis que je sens ma chatte extrêmement trempée.Les doigts de maître s’insèrent à présent dans mon vagin et s’y activent furieusement.
Moi je scrute l’horizon à l’affût du moindre mouvement à la fois honteuse et excitée comme jamais. Pour preuve ma chatte ruisselle à présent littéralement.Je regarde mon maître dont le visage descend à présent à hauteur de mes lèvres gonflées et luisantes.Sa langue experte s’insère dans les moindres recoins dans de longs va et vient alternant avec de petites succions et aspirations de mon clitoris. Un violent orgasme secoue alors mon corps de spasmes intenses. Quelques jets de cyprine s’échappent en même temps que mon maître s’empressa de récupérer.
Ouah !!! Terrible !!! J’ai du mal à revenir à la réalité.
Toujours personne dans le parc ouf !!
Maître me retourne à présent, me fait me pencher en avant, les jambes écartées, la vulve et l’anus à la vue de n’importe quel passant. J’ai presque l’impression que j’ai envie que ça arrive, chienne excitée comme jamais.
Maître me chuchote à l’oreille »je vais m’occuper de ton petit cul ma salope »Il sait trop que je n’attends que ça. Son gros sexe s’insère alors pour mon plus grand plaisir, plusieurs va et vient tandis que la main de maître caresse m’a chatte en même temps. Je ronronne de plaisir. Je sens son membre grossir en moi mais maître calme le jeu. « Pas encore ma salope je veux que tu jouisses encore plus, seul ton plaisir compte pour l’instant. Maître reprend de plus belle. De nouveaux 2 orgasmes successifs tandis que mes yeux guettent l’entrée du parc. Je tente de me dégager » Maître je veux vous sucer, dévorer votre sexe, s’il vous plaît «
Décidément conciliant maître se laissa faire cette fois. Je pris alors ce magnifique sexe gonflé au possible dans ma bouche. J’adore ça !!! Il est si bon !! Ma bouche s’empara du gland extrêmement rouge, le suça et l’aspira avec délicatesse dans un premier temps. En même temps je fixe mon maître avec mon regard de grosse cochonne. Maître adoré ça. Ma langue court sur toute la longueur du membre. Puis ma bouche englobe une par une les testicules, les aspirant et les suçant lentement. Je garde un regard mi inquiet mi amusé vers le parc. Puis je me mets à branler et sucer cette grosse bite luisante énergiquement. Maître ne tarde pas à jouir dans un long jet saccadé dans ma bouche. Je n’en perds pas une goutte. Je me redresse,il était temps une silhouette s’approche. Nous rentrons précipitamment.
Je ne saurais probablement jamais si la personne a eu le temps de nous voir. Mais nous venons de vivre un moment exceptionnel alors quelle importance !!!
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