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Choses secrètes

Choses secrètes



Cette histoire n’est pas tout à fait sortie de mon imagination. Elle a un semblant de réalité mais je ne vous dirais pas où commence la fiction, à vous de voir, d’imaginer, d’envisager.

Nous étions à la fin du mois de Juin et ma femme était entré en clinique pour accoucher de notre second enfant. Comme pour le précédent, elle avait préféré passer sa grossesse auprès de sa mère loin de notre logis. C’est donc chez belle maman que je me rendis dès qu’il me fut annoncé la naissance de notre fille. Bien que fatigué par la longue route, je me précipitais à la clinique à peine descendu de la voiture pour aller voir à la fois la mère et l’enfant. Je trouvais tout le monde en pleine forme, j’étais aussi ravi qu’un jeune père peut l’être et le soir venant, je m’en retournais chez ma belle mère le cœur léger.

Belle maman habitait tout près de la clinique, à peine à deux pas. D’ailleurs on apercevait la clinique depuis son appartement et j’aurais presque pu voir ma femme si la fenêtre de sa chambre eut donné de ce coté. C’est dans cette clinique que tout ses petits enfants étaient nés d’ailleurs, car ma femme avait d’autres sœurs et toutes étaient venues là, pour accoucher.

Ma belle mère avait alors cinquante huit ans, elle était veuve depuis plus de trois ans maintenant et vivait seule la plupart du temps dans son appartement. Je dis la plupart du temps car l’appartement en question ne se remplissait que pour les fêtes familiales. Le reste du temps belle maman vivait toute seule. C’est donc une femme seule que je retrouvais ce soir là.

Oh ! n’allez pas croire qu’un feu érotique coulait en mes veines à l’idée de passer quelques jours en tête à tête avec ma belle mère. Non, c’était plutôt le contraire. Pour tout vous dire je l’appréciais peu et elle me le rendait bien pour des raisons historiques trop longues à aborder ici. Enfin, la cohabitation était courtoise sans plus. C’est dans cet esprit qu’elle me reçut, souriante quand même mais avec cette réserve que toujours elle me faisait sentir.

Ma belle mère était une grande femme très mince, les lèvres pincées en permanence avec ce port hautin que confère ce petit grade acquis dans l’administration et qui permet de montrer suffisamment de dédain pour le petit personnel que l’on a sous sa coupe. Elle était arrivé là à force de persévérance et aussi en se montrant docile avec ceux qui pouvaient favoriser sa carrière. Mais ça, je ne le sus que plus tard et m’expliqua bien des attitudes.

Ses cheveux étaient grisonnants, de temps en temps elle se risquait à une teinture qui mettait des reflets dans ses boucles permanentées et bien rangées tout autour de son crane. Son maquillage était toujours impeccable, rarement je la vis sans qu’elle fut fardée, les yeux faits et la bouche recouverte de rouge. Une femme bien propre sur elle quoi ! toujours en tailleurs de la meilleure coupe, toujours en corsage, toujours élégante mais d’une élégance froide qui mettait de la distance entre nous, car moi j’étais plutôt Jeans et basquet.

Ce soir là nous avons dîné en tête à tête, parlant de la naissance qui amenait un être nouveau dans la famille, elle me raconta l’accouchement en long et en large car bien sur elle avait été aux premières loges dès que les prémisses de la naissance se firent sentir. Elle me donna aussi les nouvelles familiales, toutes les nouvelles familiales et cela faisait du monde et de la salive pour en faire le tour. Bref elle me gonfla toute la soirée et moi qui avait déjà six cents bornes dans les jambes je demandais grâce au bout d’un moment pour me retirer dans la chambre qu’elle avait prévu pour moi.

Je m’écroulais dans mon lit et dormis du sommeil du juste jusqu’au matin suivant.

Bien sur le jour suivant je le passais avec ma femme toujours à la clinique pour quelques jours encore. Elle reçu de nombreuses visites et lorsque je me retirais le soir je ressentais une fois de plus une lassitude comme on peut en ressentir après une journée passée en milieu médical.

Je montais lourdement l’escalier pour arriver à l’appartement de belle maman, franchement, je ne pensais qu’au repos en me disant vivement la semaine prochaine que ma femme sorte de cette foutue clinique.

Je sonnais à la porte, attendant que belle maman vienne m’ouvrir, des pas furtifs derrière la porte, un loquet que l’on actionne et me voilà dans l’appartement. Elle referme derrière moi et je me tourne pour lui dire bonsoir. C’est alors que qu’elle me prend dans ses bras et sans que je ne puisse esquisser une défense elle m’embrasse sur la bouche ! Je n’ai pu éviter l’assaut, j’ai sa bouche sur la mienne, ses lèvres insistent sur les miennes, les forcent, son pubis est collé au miens, je sens son ventre chaud contre mon ventre. Bref, c’est carrément l’agression.

Je n’ai pas eu le loisir de réfléchir, alors qu’elle assurait ses prises et son emprise, ses mains se nouaient derrière mon dos et me retenaient prisonnier contre elle. Que faire ? m’arracher brutalement à ses bras ? et après ? j’étais jeune et timide, j’avais peur de ces adultes bien plus âgés que moi . Et puis ma belle mère m’en imposait malgré tout, si j’avais reculé à cet instant, j’imaginais l’ air de mépris qu’elle aurait pris et que j’aurais traîné le restant de mes jours.

Je l’ai laissé faire et en fin de compte mes bras ont enserré son corps maigre. Mes lèvres ont répondu aux siennes, nos bouches se sont ouvertes pour un vrai baiser entre amants et j’ai senti son haleine chargée d’alcool.

Elle avait bu pour se donner ce courage de m’affronter, car je devais le savoir après, elle me craignait elle aussi au moins autant que je pouvais la craindre. Pour l’heure, nous nous bouffions le museau collés l’un à l’autre, son pubis poussait fort contre mon sexe qui déjà s’érigeait dans mon pantalon. Depuis plus de trois mois j’étais frustré et ce ne sont pas les branlettes quotidiennes et répétées qui pouvaient m’assouvir. Je répondais donc présent à l’attaque surprise dont je fus la victime de la part de ma belle mère.

Sans me lâcher, tout en m’embrassant fougueusement elle m’a entraîné vers sa chambre. Elle me tenait fermement la vieille salope, ne voulait pas me laisser m’échapper de son emprise.

Je ne sais comment on s’est retrouvé allongé sur son grand lit, elle nous a fait basculer tous les deux et je l ‘ai eu sur moi pour mieux me tenir sous elle. Elle continuait à me bouffer la bouche, j’étais tout barbouillé de sa salive et j’imaginais son rouge à lèvres couvrant le bas de mon visage. Elle a poursuivi l’assaut, sa main est parti à la découverte de mon corps et avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, ma ceinture était défaite et une main se glissait sous mon slip.

J’ai tressailli à sentir sa main sur une partie aussi intime. Elle a saisi ma queue comme une noyée aurait saisi une bouée de sauvetage et elle a enserré dans sa main mon sexe déjà très dur. Je sentais qu’elle serrait convulsivement ce membre érigé malgré lui, frustrée de ne l’avoir fait depuis longtemps. J’avais décidé que je me laisserai faire, que pouvais je faire d’autre désormais, il était trop tard pour protester, partir à cet instant eut été du ridicule le lui achevé. J’ai décidé de poursuivre, d’autant que mon corps réagissait favorablement à ses caresses fébriles.

Pendant ce temps elle a continué à me dé habiller furieusement, elle m ‘a débarrassé du pantalon, du slip, des chaussettes de la chemise et je me suis retrouvé nu dans ses bras.

Je ne sais pourquoi à ce moment je me suis mis à penser à mon beau père !

C’était un homme très effacé, il n’en pouvait être autrement avec la femme qui était la sienne. Il en faisait un complexe de son épouse. D’ailleurs, il était plus petit qu’elle, rondouillard rougeaud et timide, mon beau père était le cocu parfait, la victime désignée. Quand ils étaient ensemble, ce qui était assez rare, elle le dominait de toute sa taille élancée et de ses talons qu’elle avait très hauts en général.

Mon beau père avait disparu trois ans plus tôt dans un accident de voiture, je veux dire qu’il avait été renversé par une voiture, un soir qu’il rentrait chez lui. Cette disparition, outre le chagrin qu’elle procura à la famille et à ses filles en particulier, souleva quelques interrogations. Il se chuchota que peut être cette mort n’était pas aussi naturelle que cela et qu’il se pourrait qu’un suicide…

En eut il assez d’affronter sa maîtresse femme ? toujours est il qu’il n’était plus là pour le dire.

Quand je revins de mon rêve ma belle mère avait glissé sur mon corps dénudé et avait pris mon sexe en bouche. Elle me suçait avec application. Je quittais des yeux le plafond fissuré pour voir la tète permanentée de belle maman qui allait et venait au dessus de ma bite bien dressée. Elle pompait avec maîtrise, en femme habituée à l’exercice, ses lèvres enrobaient doucement mon gland et prodiguaient une caresse divine qui me détendait et faisait monter ma tension. Je constatais qu’elle était toujours habillée de son éternel tailleurs élégant à peine froissé par nos ébats. Sa jupe était juste un peu remontée sur ses jambes trop fines et dévoilait la lisière d’un bas et l’amorce d’une jarretelle, car belle maman en était resté aux bas, je le savais pour les avoir vu sécher dans la salle de bains. Malgré l’avènement du collant elle restait fidèle aux bas et je m’en félicitais sur l’instant.

Elle m’a si bien sucé que je n’ai pu me retenir, je lui ai tout lâché dans la bouche.

Elle a aimé je peux vous le dire, je l’ai senti au frisson qui a accompagné ma jouissance, elle en frémissait de recevoir mon sperme et ses doigts se sont crispé sur ma verge pendant que je me répandais en saccades laiteuses dans sa bouche. Elle a tout pris sans laisser échapper une goutte, jusqu’à l’ ultime que ma queue a pu lui délivrer, sa langue a gobé et sucé le gland jusqu’à ce qu’il fut propre et rose comme au premier jour.

Ma belle mère venait de me tailler la plus belle pipe de ma vie ! Jamais sa fille ne fut en mesure de me faire la même, bien qu’elle aussi fut à bonne école. J’étais là, allongé nu sur son lit, elle était habillée à mes pieds, ma queue encore raide entre ses doigts et elle me souriait, triomphante.

_ « C’était bon non ?! »

Il y avait une bonne dose d’ironie dans cette interrogation qui n’en était pas une en fait. Juste marquer sa victoire, montrer ma faiblesse, ma défaite. J’étais à sa merci, elle savourait son triomphe. Elle m’a chuchoté en me regardant dans les yeux :

_ « Ca restera entre nous bien sur »

Je n’ai rien répondu, j’en étais bien incapable, mais une colère sombre a commencé à m’envahir. J’étais en colère après moi de m’être fait piéger ainsi. J’avais le sentiment d’être ridicule, nu devant une vieille dame qui savourait sa victoire. Je n’ai plus supporté la situation et soudain je me suis redressé sur le lit, je l’ai attiré à moi et j’ai commencé à la dé habiller furieusement.

Sa veste a valsé à travers la chambre, et oui, elle avait gardé sa veste, c’est dire ! Ensuite sa jupe a glissé en un tourne main et son corsage a volé sur la plancher.

Je me suis arrêté pour contempler mon œuvre, elle était en face de moi en soutien gorge et gaine, noirs tous les deux et des bas noirs couvraient ses longues jambes maigres. J’ai regardé le tableau, il y en avait de plus sexy je dois dire mais bon, vu les circonstances et l’arrogance de la dame j’allais pas flancher maintenant. J’ai caressé le soutien gorge et j’ai été déçu, tout était faux la dedans. Un soutien gorge empli forme pour faire croire qu’elle avait des seins alors qu’elle était rigoureusement platte. J’ai eu le tort de le lui enlever, il n’y avait guère que les tétons qui pouvaient faire penser à une femme.

Mais que voulez vous, je ne pouvais pas inventer, c’était ainsi. Et ma rage en a été plus forte.

Moi, voyez vous, j’aime les gros seins. En avoir plein les mains, pouvoir masser des chairs molles que vous sentez se raffermir au fur et à mesure que vous agacez les pointes, que vous faites rouler les tétons entre vos doigts. Et puis bien sur pouvoir mettre sa queue entre les nichons pour la cravate de notaire. Oui, j’aime tout ça et de voir l’absence de nénés de belle maman m’a véritablement frustré, elle était plus plate que moi !

Alors j’ai délicatement pris un téton entre mes doigts et je me suis mis à titiller la verrue rose qui ornait son torse, et là tout à coup je l’ai sentie partir au quart de tour. Elle était hyper sensible du téton la maman de ma femme. Alors j’ai vicieusement poussé mon avantage, j’ai saisi l’autre téton et je me suis mis à les rouler comme un fou entre mes doigts, rien que pour la voir se tordre et rouler sur le couvre lit de satin rose de son grand lit, trop grand pour elle toute seule.

Elle miaulait et feulait, les yeux clos, se tordait et tressautait tandis que je massais et vrillais ses tétons entre mes doigts. Je regardais cela mis effaré mis amusé, ma belle mère secouée de tressaillements bizarres pendant que je lui excitais les nichons. C’était comme une espèce de revanche sur la dame hautaine toujours sur la réserve que je connaissais jusqu’alors.

Au bout de cinq minutes de cet exercice, elle m’a supplié de m’arrêter et la prendre.

_ « Baise moi maintenant ! » m’a t elle soufflé, « Tu m’as excité et j’ai envie de toi ! »

Joignant le geste à la parole, elle s’est allongée sur le dos les cuisses ouvertes en travers du lit et elle a écarté la culotte qu’elle portait toujours, me dévoilant une chatte nature, raisonnablement poilue et mouillée.

Je me suis abattu sur son ventre et c’est elle même qui a guidé ma bite entre sa culotte et sa gaine jusqu’à sa fente offerte. Je n’ai eu qu’à donner le coup de reins pour me propulser en son vagin. Mon gland a ouvert la voie et toute ma queue s’est glissé dans un univers gras et glissant. J’étais resté très dur après sa pipe, son dé habillage, quoique décevant, était un épisode chargé d’érotisme et ma bite frémissait de désir. Elle a englouti mon membre au fond de son ventre et tout de suite je me suis senti à l’aise en elle, une sorte de douceur enveloppait mon sexe qui contrastait avec l’aspect extérieur de la femme, fait entièrement de dureté et d’angularité. Elle avait la chatte accueillante belle maman, elle savait ouvrir les cuisses et recevoir l’hommage de l’homme. J’ai apprécié tout de suite son univers juste taillé pour ma queue, tant en grosseur qu’en longueur, j’occupais toute la place dans sa chatte et à l’entendre ronronner sous moi, on pouvait penser qu’il en allait de même pour elle.

J’ai pensé à cet instant que je devais être le premier depuis bien longtemps et j’ai savouré l’instant, ma bite était entré dans une chatte délaissée depuis des années, je me faisais l’effet d’un défricheur, d’un dépuceleur. J’ai senti ses muscles se contracter autour de mon membre, elle aussi appréciait cette présence qui lui avait fait tant défaut. Pour une femme de son age, veuve de surcroît les occasions ne sont pas courantes et elle se délectait les yeux clos de cette verge qui entrait en elle et écartait ses chairs. Elle palpait par sa chatte interposée ce pieu qui s’enfonçait en son ventre et réchauffait en elle son désir de baise.

Bref, nous savourions l’instant, à des degrés et pour des raisons divers mais nous aimions l’un et l’autre. Je ne bougeais pas, laissant faire les choses, sentant juste les muscles vaginaux d’Henriette, car elle s’appelait Henriette, se crisper sur ma bite.

Quand j’ai amorcé un premier coup de reins lent, très lent, elle a eut un gémissement. Je me suis arrêté pour la regarder. Elle a ouvert les yeux et m’a soufflé « Vas y ».

J’ai repris lentement, très lentement, en regardant son visage en même temps que ma queue esquissait ses premiers vas et viens. Elle s’est mise à geindre doucement, on aurait dit des gémissements de douleur d’abord, mais au fur et à mesure que mon membre entrait et sortait d’elle à un rythme encore ralenti, ces gémissements se sont fait plus sensuels. Encouragé, j’ai poussé un peu les feux , adoptant un rythme léger et soutenu. Ses râles ont crus en volume et en volupté. Ma queue a acquis un bon tempo, plongeant dans un sexe bien huilé, accueillant, il était à l’aise et glissait bien dans les profondeurs de son vagin, le remplissant complètement.

Je baisais ma belle mère sans réticence, lui poussant ma queue bien au fond, à toucher son utérus, je sentais un léger tressaillement de son corps quand je venais butter contre le fond de son sexe. Elle râlait de plaisir sous moi, en un cri continu de femme qui se laissait emporter par son désir d’être prise.

Je l’ai pistonné un moment sur le même rythme, faisant monter en elle le plaisir que je mesurais à l’aune de ses gémissements qui s’amplifiaient peu à peu jusqu’à atteindre un cri continu et presque hystérique.

_ « Vas-y, vas-y, vas-y » psalmodiait-elle au rythme de ma queue s’enfonçant dans son ventre. Je n’avais certes pas besoin d’encouragements, j’étais fasciné par ce visage dont je ne pouvais détourner le regard, la bouche ouverte, les yeux clos et ce râle qui sortait de ce corps que je besognais sans répit, comme si ce fut ma queue qui provoqua le gémissement.

Je pinais de plus belle et je la sentais très proche de la jouissance, j’avais accéléré la cadence fouillant son sexe d’une bite avide, allant et venant sans ménagement, buttant contre l’utérus et la faisant tressaillir à chaque poussée.

Son cri continu m’excitait, je n’avais jamais eu affaire à femme aussi bruyante et manifestant sa jouissance aussi peu discrètement. Ma femme manifestait trop de pudeur pendant l’acte, restant sur son quand à soi, mais sa mère par contre se laissait aller à crier son plaisir-désir en une plainte continue et qui me poussait à encore plus d’envie de la baiser.

J’ai eu moi aussi envie de jouir et je ne me suis pas retenu plus longtemps, j’ai versé un flot de sperme en sa chatte, en une seconde elle a été inondée de mon foutre, surprise de la soudaineté de ce flux de liquide brûlant qui lui emplissait le vagin. Elle a eu un « Oh !! » de surprise et s’est laissé aller à son tour en un long vagissement a****l tandis que son corps se tendait comme un arc au point de me soulever et que seul nos pubis furent en contact. Elle s’offrait à son tour avant de s’effondrer au creux du lit, épuisée de trop de tension. Je m’effondrais à mon tour et nous restions là , l’un dans l’autre, incapables du moindre geste.

Combien de temps sommes nous restés ainsi ? je ne saurais le dire, c’est elle qui a brisé le silence.

_ « C’était si bon ! » M’a t elle susurré à l’oreille.

J’ai relevé la tête pour la regarder dans le yeux, en bougeant je me suis rendu compte que je bandais encore vaguement, ma queue toujours enfouie en son vagin. Je l’ai regardée, elle me souriait avec une certaine bienveillance, toute morgue avait disparue de sa face, elle avait perdu son arrogance en prenant sa dose de sperme.

_ « Tu ne pensais pas baiser ta belle mère de si tôt ?! » m’a t elle lancé. Je n’ai su que répondre, tout cela était si subit, si inattendu.

_ « Avoue que tu ne pensais pas la baiser du tout ! » J’ai souri bêtement, c’est tout ce que je pouvais faire dans l’instant.

_ « Moi ça fait longtemps que j’ai envi de toi, avant même que mon mari ne disparaisse »

Je ne savais toujours pas quoi articuler à cette femme qui me déclarait sa flamme.

_ « J’ai eu envi de toi dès que je t’ai vu avec Maud (ma femme) je me suis dis qu’elle avait de la chance et si un jour l’occasion se présentait, il ne faudrait pas que j’hésite. »

J’avais l’impression d’être tombé dans une embuscade et que je m’empêtrais dans un filet.

_ « Tu sais je l’ai dit à Maud que son mari me plaisait, bien sur elle ne m’a pas cru, et surtout elle n’a pas cru que je pourrais coucher avec lui. Il est vrai que je ne le lui pas dis ! qu’est ce qu’elle aurait pensé de sa mère ! »

La dessus elle se met à pouffer de rire. Moi je la regarde complètement hors du coup, ne comprenant pas ce qui m’arrive. Ma belle mère a retrouvé son sourire ironique et je me trouve un peu bête dans cette position qui pourrait paraître dominante vu que je continue à la chevaucher. Elle me regarde toujours, souriant, et tandis que je sens des contractions autour de ma verge. Elle recommence à enserrer ma queue et à la masser avec ses muscles vaginaux. La fougue de la jeunesse fait le reste et me voilà une nouvelle fois bandant et pénétrant la chatte de belle maman. Je suis effaré de ma propre attitude, comment puis je bander pour cette femme vieillissante, sans attrait et qui est la maman de ma femme ? Je n’aurai jamais la réponse, et je dois constater que ma bite est raide.

« On va se mettre autrement » me souffle telle. Je bascule sur le coté pour lui rendre sa liberté et belle maman se met à quatre pattes.

_ « Prends moi en levrette, je devrais te sentir mieux. Je t’ai bien senti tout à l’heure mais je devrais te prendre mieux comme ça. »

Elle me tend sa croupe en écartant ses cuisses de mouche : ses bas ont vrillé sur ses jambes et tirebouchonnent autour de ses jarretelles distendues par la position qu’elle vient de prendre. Le tableau n’est pas des plus bandant mais quand on a vingt cinq ans et une queue en état de marche, on banderait pour bien moins. Ses fesses sont menues mais avec une rondeur insoupçonnée et un galbe bien marqué, suffisamment évocatrices pour me tenir raide. Je remonte un peu la gaine, histoire de m’ouvrir le panorama de son fessier et je suis saisis les fesses pour les écarter. Le cul de belle maman m’apparaît dans toute sa splendeur, c’est un beau cul finalement pour une femme de son age. En fait tout son charme réside dans son cul. Je ne l’avais jamais vu ainsi, et pour cause ! mais je dois dire qu’il me plait bien ce fessier menu mais bien galbé. Sa rosette est bien apparente, juste au dessus de la fente en abricot qui me fait de l’œil. Je pointe mon gland à l’entrée de sa motte et je pousse pour la pénétrer sans difficulté. Je me suis empalé tout au fond de sa chatte, c’est son utérus qui arrête ma progression ; Elle a poussé un « Oh » de saisissement et s’est offerte davantage, cambrant ses reins.

Doucement je me suis mis à aller et venir dans son vagin si plein encore de mon sperme de tout à l’heure, ses cuisses recevaient le trop plein que sa cavité vaginale n’avait pu recevoir. Je voyais le liquide clair couler sur sa chair avant qu’il ne soit arrêté par le haut de ses bas.

Tout en pilonnant ses fesses je faisais ce constat de sa chatte bavant le foutre que je venais de lui mettre et je songeais à celui qui allait venir et l’inonderait.

Son cul laiteux jaillissant de sa gaine noire stimulait mon envie de lui mettre ma queue au plus profond. Cette fois je la besognais plus vigoureusement, insensible à ces geignements que n’identifiaient pas toujours comme étant de plaisir. En cette position, ma bite la pénétrait au plus profond de sa chatte et de temps en temps je buttais sur son utérus et la faisait tressaillir d’un petit mal délicieux.

Je m’enhardissais à la sentir ainsi à ma merci, vaguement content de la faire un peu souffrir, je barattais son cul d’une bite à nouveau au mieux de sa raideur, contente de trouver ce vagin où s’enfouir et glisser dans les sécrétions de nos organes.

En face de nous il y avait la grande armoire à glace et je manœuvrais de façon que je nous vis tous les deux en train de baiser. Le spectacle était délicieux, belle maman le cul dressé en l’air recevait ma pine en son ventre et je pouvais voir l’expression de son visage avec cette petite crispassion qu’amenait chaque touché de son utérus. Elle pinçait ses lèvres, fermait les yeux, attentive à chaque coup de mon engin.

Les volets étaient restés ouverts, à travers les rideaux je distinguais les lumières de la clinique, les chambres des patientes et aussi la salle de travail éclairée des lumières bleutées des néons. Sans doute est ce un accouchement, c’est la spécialité de la clinique. Je suis surpris de la symétrie des situations à cet instant, là bas une femme ouvre sa chatte pour livrer le passage à l’enfant qu’elle porte, ici une femme ouvre les cuisses pour se faire mettre la semence.

Au vu de son age ma belle mère ne risque rien, mais dans ma tête le rapprochement est cocasse et je pilonne son cul de toute la longueur de ma queue.

Elle gémit de plus en plus fort, une plainte continue sort de sa bouche ouverte, modulée par les coups de queue dont je la gratifie. Le spectacle dans la glace finit par me tourner la tête, je pompe de plus en plus fort et plus en plus violemment, ma queue sortant et plongeant entre les lèvres poilues de ce sexe tendu vers la verge qui le fourre et pour la troisième fois de la soirée mes spasmes font tressaillir le corps de ma belle mère et je me répands en elle sans retenue. Le sperme coule en grosses gouttes le long de ses cuisses et sur ses bas qui se mouillent peu à peu de ma semence. Elle a joui elle aussi, son corps s’est raidi puis s’est détendu d’un coup tandis que je reste figé en elle, la bite au fond du trou.

Je ne saurais dire le temps que nous sommes restés ainsi l’un dans l’autre sans rien dire. Je la sentais fourbue par la longue séance de baise qu’elle venait de s’octroyer. Petit à petit sa respiration s’est faite plus régulière, sans à coup je suis sorti d’elle et je l’ai couchée sur le coté. Elle dormait, fatigué de cul et de l’alcool qu’elle avait ingurgité pour s’offrir son beau fils. Je l’ai contemplé avant de sortir sans bruit de la chambre, Henriette avait bien son age à cet instant tant elle accusait la fatigue. Son maquillage n’était plus qu’un lointain souvenir et le foutre lui coulait le long des cuisses souillant ses bas. Elle ronflait la bouche ouverte, emportée dans un sommeil que je devinais d’une profondeur abyssale.

J’ai regagné ma chambre pour en faire de même.

*

Le lendemain matin, le bruit en provenance de la cuisine m’a réveillé. J’ai mis un certain temps à émerger des lymbes et me remémorer la veille au soir et toutes les péripéties qui avaient émaillé la soirée. Je me suis levé péniblement pour me diriger vers la cuisine.

Ma belle mère finissait son petit déjeuner, quand elle m’a vu arriver, elle a levé les yeux et j’ai pu voir à nouveau cette ironie froide et vaguement dédeigneuse dans son regard. J’ai eu comme une bouffée de colère que j’ai eu du mal à contrôler, toujours ce petit dédain à mon égard alors que la veille au soir elle s’était si totalement offerte. Je me suis penché pour l’embrasser sur la joue, elle ne m’a pas présenté ses lèvres. J’ai déjeuner sans un mot en face d’elle. Elle avait la même attitude que de coutume, rien ne laissait supposer qu’hier au soir dans sa chambre… Elle me faisait mariner à petit feu. Je reprenais peu à peu mes esprit et me mettais en garde, comme un boxeur qui attend son adversaire.

Quand j’eu fini ma tasse de café, elle prit enfin la parole :

_ « Vous avez aimé notre séance d’hier ? »

Le soudain vouvoiment m’a aussitôt alerté.

_ « Oui » articule-je difficilement. Elle sourit.

_ « Moi aussi » finit elle par dire, « j’aimerais recommencer si vous le voulez bien sur, je ne veux pas vous violer tous les soirs ! »

_ « Bon, je veux bien, mais… »

_ « Je sais, Maud sortira un jour prochain de cette clinique, c’est pour ça que j’aimerais en profiter avec vous tant que nous avons le temps, après nous aviserons, mais faites moi confiance, tout cela restera entre nous. »

Bon, à partir du moment que j’avais dit oui je n’avais qu’à me laisser aller.

_ « Allez voir Maud à la clinique, j’ai des courses à faire, nous verrons ce soir. »

J’allais me lever pour faire ma toilette quand elle me demanda :

_ « Au fait, Jean-François, comment aimeriez vous que je m’habille pour vous ? »

Je n’ai pas compris sur le coup, elle a vu mon air étonné.

_ « Oui, je veux dire quelle culotte, quelle soutien gorge etc.. ; »

Je me suis entendu lui répondre :

_ « Ne mettez ni culotte ni soutien gorge, vous n’en avez pas besoin, juste votre gaine. Et je voudrais que vous soyez ainsi toute la journée . »

Un peu abasourdi par mon audace je quittais la cuisine pour la salle de bains, mais je crois que ma belle mère était encore plus abasourdie que je pouvais l’être.

*

Je suis resté près de Maud toute la journée mais le temps m’a paru bien long. Je regardais ma femme et je voyais sa mère dans ses traits, la femme que j’avais baisé la veille au soir. Maud était toute autre pourtant, elle avait des formes que la maternité avait accentué, ses seins débordaient de son soutien gorge. Si sa mère pouvait se passer de cet accessoire, pour Maud il n’en était pas question, la maternité avait amplifié cette poitrine déjà généreuse avant. Aujourd’hui ses seins débordaient de lait que l’on voyait perler à la pointe de ses tétons et que j’avais essayé dans nos moments d’intimité de sucer pour mon propre plaisir. Mais ma femme n’avait pas voulu que je m’attarde à téter ses seins, d’abord par crainte que quelqu’un n’entre et ensuite parce que cela l’excitait beaucoup paraît il. Cependant, devinant que j’étais à mon tour très chaud, elle consentit à me faire une pipe en vitesse dans les toilettes. Pendant qu’elle me suçait la queue, je ne pouvais m’empêcher de faire le parallèle avec sa mère, ma femme avait encore quelques leçons à prendre, de temps en temps ses dents venaient toucher la hampe de mon sexe alors que sa maman la veille m’avait pompé avec plus de dextérité. Je jouissais néanmoins abondamment, manquant faire étouffer ma femme sous le flot de sperme que j’éjaculais dans sa bouche. Elle avalait ma liqueur jusqu’au bout avec difficulté, laissant baver au coin de ses lèvres un peu de semence onctueuse qu’elle essuya de sa serviette de toilette.

_ « Pas mal comme goûter ! » me lança mon épouse, nous étions effectivement au milieu de l’après midi.

*

Lorsque je regagnais l’appartement, la soirée commençait à s’avancer. Belle maman vint m’ouvrir comme la veille et m ‘attira à l’intérieur pour me rouler une pelle des plus fougueuse. Je l’enlaçais et posais mes mains sur ce qu’elle avait de plus charnu en elle, ses fesses. Mes mains pénétrèrent assez loin pour me rendre compte à ma grande surprise, qu’elle m’avait obéi et qu’elle ne portait pas de culotte. Enhardi par ce premier succès, je palpais son absence de poitrine pour ma rendre compte qu’elle était libre de tout soutien gorge.

_ « J’ai eu du mal à m’y faire vous savez ! je croyais que j’étais nue et que tout le monde me regardait. » me lança belle maman. Je souris en regardant cette poitrine plate que rien ne laissait deviner.

_ « C’est comme d’habitude, personne n’a du s’en apercevoir. »

_ « Oui mais moi je savais ! » me répliqua-t-elle sèchement.

_ « Question d’habitude, vous verrez que bientôt vous n’y ferez plus attention. »

_ « Ah bon ! parce que vous allez m’obliger à être comme ça maintenant, sans culotte et sans soutien gorge ? »

_ « Oui, je veux désormais savoir que vous vous promenez sans culotte dans la ville, et sans soutien gorge non plus. »

Elle me regardait comme si je fus débarqué de la planète Mars, essayant de reprendre cet air hautin qui était habituellement le sien, elle me lança :

_ « Mais je suis une femme bien moi ! je suis connue ici, que vont dire les gens ? »

_ « Rien, ils ne sauront pas, ils ne diront rien et vous et moi seront seuls à savoir ce petit détail. »

En disant cela je l’avais poussé vers la salle à manger, elle était maintenant appuyée contre la table Louis XV de la salle à manger et je lui troussais la jupe. Je défis la ceinture de mon jeans et sortie ma queue déjà raide de mon slip. Sans un mot j’écartais ses cuisses et guidais ma bite à l’entrée de sa chatte. D’un coup de reins j’étais en elle, sans effort et sans résistance, elle me laissait la saillir ainsi au bord de la table de la salle à manger où nous avions eu tant de repas de famille les plus ennuyeux les uns que les autres. Et pendant que je besognais ma belle mère, je ne pouvais mentalement m’abstenir de voir tout autour de la table mes deux belles sœurs leurs maris et leurs enfants, ainsi que ma propre femme et enfin ma belle mère qui présidait ces repas dominicaux où tout le monde était réunis.

Je finis par l ‘allonger à plat dos sur la table pour plus de confort pour elle et pour moi. Elle avait ses deux jambes dressées au dessus de la table, ses fesses en dehors pour je puisse la pénétrer au plus loin que me permettait mon engin. Comme la veille je touchais l’utérus et lui tirais quelques petits cris de protestation, mais dans l’ensemble elle appréciait ma prestation.

Excité par la docilité dont elle avait fait preuve, j’éjaculais assez vite en son ventre, répandant au fond de son trou ma semence bouillante qui réchauffait ses entrailles. J’y déversais jusqu’à la dernière goutte et je me retirai d’elle, pour lui laisser le temps de préparer notre dîner.

Pendant qu’elle cuisinais, elle se plaint de sentir le sperme lui couler le long des cuisses, mais je lui interdis de s’essuyer, lui disant qu’elle s’y habituerait. De temps en temps pendant le repas, quand elle s ‘approchait pour me servir, je glissais mes doigts entre ses cuisses pour me rendre compte qu’elle était bien trempée. Je la sentais gênée, mais malgré de faibles protestations je ne cédais pas.

Je me rendis compte que son air sévère et hautin n’étaient qu’une façade et qu’elle était foncièrement docile. Je me promis d’en profiter le plus possible, sachant désormais ses points faibles.

Nous avons passé la soirée à baiser sur son grand lit de satin rose, la première fois je l’ai prise dans la position du missionnaire, très classiquement. Ensuite, je la fis venir sur moi pour me chevaucher, me délectant de la voir monter progressivement vers la jouissance, ma bite bien figée au fond de ses entrailles.

A chaque fois je déversais en son vagin mon sperme abondant et chaud, lui tirant de petits cris effrayés quand les saccades crachaient ma sève fiévreuse.

Il était encore plus de minuit lorsque je regagnais ma chambre, depuis déjà un moment de lourds ronflements m’avaient signalé l’endormissement de ma belle mère. J’étais resté là un long moment à la regarder dans ses détails les plus intimes. Sa poitrine plate me fascinait malgré moi, je n’aimais pas ça, mais ces deux tétons surgis de nulle part au milieu d’aréoles sombres exerçaient une attirance de mon regard.

Son sexe était plus classique, c’était deux parties d’un abricot bien formé et bien renflé. Les poils ne le couvraient pas entièrement et la fente courait du pubis jusqu’à l’entrée sombre de son anus. Celui ci était rose, de petites rides rayonnaient partant de son trou vers l’extérieur, comme une cible miniature que je me promettais de viser très bientôt.

A cette pensée je repartais dans une bandaison ardente et je me mis à me masturber au dessus de son corps, toujours ronflant. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir une nouvelle fois entre mes doigts et le sperme coula sur son fessier, formant un ruisselet laiteux qui s’étendit entre les lobes des ses fesses que j’écartais afin de lui tartiner l’anus de cette nouvelles livraison.

*

Je ne me réveillais pas avant dix heures le matin suivant, ces baises à répétition m’avaient un peu épuisées. Les yeux encore tout englués de sommeil je sors de ma chambre pour tomber nez à nez avec ma belle mère sortant de la salle de bains. Je bredouille un bonjour mal assuré, ébloui par la lumière du jour tout en l’embrassant. Elle est toute pomponnée, parfumée, maquillée, prête à sortir faire ses courses. Moi je suis tout chiffonné de sommeil, les cheveux en bataille, le pyjama froissé, tir bouchonnant sur mes jambes et surtout tendu par une gaule impossible à camoufler sur le devant. Ma belle mère s’en est bien sur rendue compte et sa main se saisit de mon membre tendu vers elle. Il ne lui faut pas longtemps pour mettre à nu mon engin et pour décalotter le gland. Aussitôt elle tombe à genoux et se met à me pomper le nœud avec conviction. Je laisse faire, trop mal réveillé pour réagir, je tends ma bite vers cette bouche accueillante qui ne se fait pas prier pour sucer la verge offerte.

Les bandaisons matinales sont très raides, mais aussi éphémères, et je ne tarde pas à me répandre dans la bouche bien peinte de ma belle mère. Elle reçoit mon sperme avec maîtrise, je ne peux qu’admirer sa virtuosité à avaler jusqu’à la dernière goutte et sans que rien ne déborde du flot impétueux qui se présente à ses lèvres. Quelques coups de glotte et le liquide visqueux a disparu dans son ventre. Elle se redresse et rien ne saurait trahir ce qui vient de se produire. Elle est très propre sur elle, sa bouche semble n’avoir jamais vu couler mon foutre et son maquillage est impeccable.

Cette séance m’ayant éveillé, je lui demande si elle a mis une culotte.

_ « Non, bien sur, puisque c’est votre désir ! pas plus que de soutien gorge. »

Par acquis de conscience je passe une main sur son corsage strictement plat. Sous le tissus soyeux je sens ses tétons, seuls protubérances de cette poitrine. Je titille la pointe sous mes doigts et aussitôt ma belle mère se met à gémir.

_ « Non Jean-François, pas ça, pas maintenant, j’ai des courses à faire, il faut que j’y aille. »

Je n’ai pas lâché le morceau aussi facilement et j’ai continué à la peloter encore un moment malgré ses protestations, tirant de sa gorge des râles de plaisir et de dépit tout à la fois.

Quand je l’ai estimée assez chaude je lui ai rendu sa liberté, elle était rouge d’excitation et elle a littéralement fuit, la chatte très probablement bien mouillée.

*

La journée se passa lentement, finalement, j’avais hâte que Maud sorte de cette clinique et que nous reprenions notre vie normale. Mes petites soirées avec Belle maman étaient certes forts réjouissantes mais son corps ne m’inspirait guère, sa poitrine plate surtout, moi qui aimais par dessus tout les gros seins, j’étais frustré par ce poitrail d’adolescent de ma belle mère. Je préférais de loin les nichons bien gonflés de sa fille. Je ne pouvais d’ailleurs pas m’empêcher d’y glisser mes mains pour tâter sa chair chaude et élastique sous sa chemise de nuit, au point de déclencher une envie de sexe chez la jeune accouchée.

Comme la veille, nous fîmes notre petite affaire dans la salle de bains, à l’abri de visiteurs intempestifs. Du moins le croyons nous, car à peine avais-je joui dans la bouche de ma femme, que la porte de la chambre s’ouvrait sur ma belle mère.

Nous sortions un peu gênés de la salle de bains sous le regard stupéfait de belle maman. Elle ne dit rien néanmoins, très femme du monde sur son quand à soi.

Mais le soir, dans son appartement, dès que j’en eu fermé la porte, je me heurtais à son regard narquois et ce rictus qui fleurissait au coin de ses lèvres minces : « Alors Jean-François, vous avez eu ce que vous vouliez ? Maud vous a vidé les couilles ? »

D’abord terrassé par ce langage cru, j’en demeurais pétrifié, la bouche ouverte sans que je ne puisse sortir un mot. « Ne faites pas cette tête Jean-François, je connais le sens des mots moi aussi, ce n’est pas parce que je suis votre belle mère que je suis incapable de vous dire bite et couilles ! »

Je finis par sortir trois mots indignés, « Je fais ce que je veux avec ma femme » tout cela débité d’une voix blanche.

« Et avec votre belle mère, Jean-François, vous faites quoi ? » me répondit elle en se pendant à mon cou. « J’ai mouillé pour toi toute la journée, avec mon cul à l’air, je sentais le vent passer entre mes cuisses, et chaque fois je pensais à ce que tu pourrais me faire. J’ai eu honte de sortir sans soutien gorge, je sais, il ne sert pas à grand chose, mais je suis une femme et un soutien gorge est un vêtement que portent les femmes, sans lui je me suis sentie nue, simplement parce que tu m’as dit de ne pas en mettre. Jean-François je t’ai obéi, je n’ai cessé de penser à toi toute la journée pour en fin de compte te trouver à la clinique en train de te faire sucer par ma salope de fille ! »

Je la regardais incrédule, ces mots étaient comme dans un rêve, irréels. Comment ma belle mère pouvait elle parler ainsi, y compris de sa fille ?

« Tiens, mets ta main entre mes cuisses, tu vas voir comment je trempe, là donne ta main laisse moi faire, je vais te faire voir comment je mouille pour toi, pour ta queue ! » Elle a pris mon poignet et a guidé mes doigts sur son entre cuisses sous sa jupe. J’ai senti ses poils pubiens, elle a insisté et frotté ma main sur sa chatte pour que je sente sa moiteur. Quand j’ai eu la sensation chaude et humide de son sexe, j’ai dégagé mon poignet et je me suis mis à la fourrager furieusement, palpant durement son entre cuisses qu’elle m’offrait en ouvrant ses jambes.

« C’est bon non ? c’est chaud et mouillé tu sens ? Oh oui palpe moi la fente salaud, vas y, prends ce que tu veux, fouille moi la chatte ! mets y les doigts, mets y ta bite, ce que tu voudras y mettre, fourre moi la fente mon beau fils vas y, vas y ! »

Je regardais fasciné son visage chaviré par le délire, sa tête qu’elle hochait de droite à gauche et qu’elle rejetait en arrière, cambrant ses reins et offrant son ventre à ma rugueuse caresse.

Je l’ai prise ainsi, dans la cuisine, je lui ai ordonné de se pencher en avant et de se tenir à la table, de cambrer ses reins. J’ai relevé définitivement sa jupe sur ses fesses et j’ai défait ma braguette. Ma bite a jailli et sans plus attendre j’ai fourré mon membre dans la raie sombre de son cul. En m’aidant de mes doigts j’ai cherché la fente qui s’est ouverte sans mal et j’ai guidé mon gland jusqu’aux lèvres chaudes qui l’ont englouti.

Un coup de rein m’a propulsé en son ventre et j’ai limé méthodiquement, comme un mac lime sa pute, par devoir et pour lui montrer que l’homme est l’homme et que chacun doit rester à sa place. Je n’avais pas envi de jouir, j’étais froid, appliqué dans la baise, ramonant cette fente entre ces cuisses ouvertes, ce fessier offert, tendu en l’air et soumis. J’ai poussé mon braque à fond, j’ai touché son utérus, elle a tressailli et j’ai poussé plus fort, conscient et content de lui faire mal. Elle a gémit d’abord puis elle a poussé des cris de douleurs tandis que mon gland battait le fond de son vagin et finissait par lui tirer des plaintes. Ses cris de douleurs m’ont stimulé, ma bite a encore grossi, j’ai poussé encore contre la paroi qui arrêtait ma course, frustré de ne pouvoir aller plus loin, ma belle mère criait maintenant sa douleur en me suppliant d’arrêter, mais je la tenais fermement par les hanches. Quand elle voulait se débattre, je m’affalais sur elle de telle sorte qu’elle ne pouvait plus bouger et qu’elle recevait ma queue plus profondément dans des râles de douleur plus que de jouissance. Je voulais lui faire mal, qu’elle se souvienne de cette soirée, qu’elle soit SA soirée et que sa vie durant elle sente cette douleur au fond de sa chatte.

Dans ses cris et ses râles elle s’était mise à pleurer, des sanglots venaient se mêler à ses suppliques, je la sentais proche de la rupture, mais je voulais aller aussi loin que possible, qu’elle ait le souvenir de ma bite à jamais gravé au fond de sa chatte.

« Arrête !! je t’en supplie, je ne peux plus supporter, non, arrête, je t ‘en supplie arrête ! » et à chaque supplique ma bite plongeait au plus profond de son ventre avivant la douleur en elle. Quand elle ne fut que pleurs et sanglots, pantelante sur la table de cuisine, sans force et sans réaction, je mettais fin provisoirement à son supplice. Je sortis ma queue de son ventre et le gland toujours dressé, je le dirigeais vers l’étroit conduit de son anus. Mes doigts toujours guidant la tête durcie de ma queue, je me présentais à l’entrée et forçais sauvagement le sphincter de ma belle mère. Curieusement, il n’y eu qu’une faible résistance et ma bite s’engloutit dans le conduit étroit et noir. Je poussais de plus belle, fasciné de voir ma queue disparaître peu à peu dans ce cul malgré tout assez dodu.

Elle gémit encore sous l’assaut mais ma bite passa sans contrainte et je limais encore une fois ce trou réservé à l’homme qui était le maître de la femme. Réellement, à cet instant j’avais dans la tête l’image du souteneur baisant sa pute, à la fois par plaisir et aussi pour lui montrer qui est le plus fort et qui peut le mieux la baiser. J’étais presque persuadé du fait que ma belle mère était ma pute et moi son souteneur, c’était par devoir que je la baisais, et aussi pour lui faire comprendre que j’étais le maître. Elle m’avait trop humilié par ses airs supérieurs et ses sourires en coin pour que je ne prenne maintenant ma revanche.

A elle de connaître l’humiliation, j’ai poussé ma bite aussi loin que possible dans sa chair, son ventre a gargouillé sous la poussé de mon membre, elle a même lâché un pet involontaire tant son cul souffrait de cette bite qui la fouillait, je l’ai empalée aussi sauvagement que je le pouvais, et j’ai ramoné son conduit, sortant presque entièrement ma queue pour entrer plus fort et plus loin, à chaque fois elle pêtait, libérant les gaz qui lui encombraient les boyaux. J’y prenais du plaisir : sortant lentement la bite, libérant le conduit anal, et les gaz affluaient créant des pêts retentissants. Et quand le cul se taisait, je replongeais dans ces entrailles malmenées, fouillant plus loin le ventre de belle maman. La pauvre femme ne contrôlait plus rien, incapable de se retenir, elle laissait faire son corps qui dégazait tant et plus.

Le jeu a duré plus d’une demie heure où je lui ai labouré le cul, elle gémissait faiblement sous moi, vaincue, se laissant aller, je devais même la soutenir.

L’envie de décharger m’est venue enfin, je me suis penché sur elle et j’ai murmuré à son oreille « Où veux tu que je décharge mon sperme ? dans ton cul ou dans ta chatte ? ou encore dans ta bouche ? »

Elle a secoué la tête de droite à gauche avant de répondre dans un souffle, « Je n’en peux plus fait vite où tu veux, mais fais vite tu m’as tué ! »

Je triomphais, pour le plaisir j’ai continué à la limer encore cinq bonnes minutes, le temps de la réflexion, puis je suis sorti de son anus. « Tournes toi ai-je commandé. »

Lentement elle s’est redressé et m’a fait face. J’ai été impressionné par ce visage défait et d’une pâleur de linge.

« Allonge toi sur le dos »

Je l’ai moi même saisi sous les épaules pour l’asseoir sur la table et elle s’est allongé là, les jambes pendantes dans le vide, inerte. J’ai pris ses jambes et je les ai hissé sur mes épaules, après quoi ma bite est entré en elle, là où je l’avais auparavant labouré furieusement et j’ai poussé à fond. Elle a poussé un long cri de douleur quand j’ai heurté l’utérus tout en se raidissant brusquement. D’un seul coup, la douleur qu’elle avait presque oublié lui ai revenue. Son vagin s’est contracté sur ma queue toujours fiché au fond d’elle et j’ai laissé mon plaisir m’envahir alors qu’elle se tordait de douleur sous moi, incapable de s’échapper de mon étreinte. Une longue plainte aiguë accompagna mon flot de sperme trop longtemps retenu, des spasmes pulsaient tout autour de ma queue et le foutre coulait refoulé du vagin.

J’ai lentement relâché mon étreinte, ma belle mère ne bougeait plus, elle respirait à peine.

J’ai sorti ma queue encore raide de sa fente sans qu’elle n’ait de réaction, elle gisait les bras en croix sur la table de la cuisine, les jambes écartées et pendantes. Le sperme coulait d’entre ses fesses et commençait à former une petite flaque sur le formica luisant.

J’ai regardé le spectacle du fluide qui coulait lentement, longtemps, sans réaction moi non plus. J’étais épuisé par tant d’effort et de tension nerveuse, je me sentais comme une poupée de chiffons.

Comment ai-je eu la force de la prendre dans mes bras et la porter jusqu’à son lit ? je ne saurais le dire. Elle a gémit, crié de douleur et de fatigue et s’est écroulée dans son lit sans demander son reste. J’ai entendu un dernier pet sonore et j’ai refermé la porte.

*

Le lendemain, ma femme m’a appris sa sortie imminente, j’étais content, mais il n’y a pas eu de séance de suce ce jour là à la clinique, j’étais trop crevé. Ma belle mère n’a émergé que vers midi et s’est plainte d’avoir mal au cul et au ventre.

Si son mal au cul s’est atténué, son mal de ventre lui, persistait et quelques jours plus tard il a fallu qu’elle consulte son gynécologue. Elle marchait les cuisses serrées en se tenant le ventre.

Je l’ai accompagné chez le médecin, c’est bien le moins que je pouvais faire et dans le silence du salon d’attente j’ai entendu le praticien lui faire la leçon, comme quoi il n’était pas raisonnable à son age d’avoir des rapports aussi violents. Son utérus était enflé, rouge et douloureux, il nécessitait des soins et une abstinence complète de plusieurs semaines. Je sentais bien que le médecin était perplexe de voir une femme de cet age se présenter avec de tels symptômes. Il lui demanda si elle n’avait pas été victime d’un viol et tandis qu’elle répondait par la négative, la perplexité du médecin augmentait. « Mais enfin chère amie, vous ne vous êtes pas fait ça toute seule quand même ?! »

Ma belle mère a bredouillé quelque chose que je n’ai pas compris et nous en sommes resté là.

En sortant le médecin lui donnait toujours des conseils de prudence et je lui ai souri angéliquement.

*

Belle maman a changé son attitude envers moi, sa morgue s’est muée en crainte et elle baisse son regard quand je la regarde. Elle m’obéit bien au doigt et à l’œil quand elle vient nous rendre visite, et si elle est sage elle a droit à sa séance de jambes en l’air, en version soft pour ne pas affoler son gynécologue.

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