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Mes désirs de fille…

Mes désirs de fille…



Comme cela m’arrive parfois, je m’apprête à passer un merveilleux week-end toute seule chez moi pour vivre ma vie de fille.

Je me suis épilée, maquillée et j’ajuste maintenant ma perruque blonde coupée au carré devant mon boudoir.
J’adore faire durer ces préliminaires qui font monter lentement le désir dans mes reins.

Devant ma glace, j’enfile une ravissante guêpière dont les bonnets 105/D menacent d’exploser sous la pression de ma poitrine siliconée.
En marchant, j’aime sentir le lourd balancement de mes seins qui font rentrer mes bretelles de soutien gorge dans mes épaules.

Puis, c’est avec un plaisir dont je ne me lasse pas que j’accroche mes bas à mon porte jarretelles.
Face à mon miroir, je pose une jambe fléchie sur mon lit.
Comme le font les femmes, je mets mes pouces à l’intérieur du voile en les faisant glisser d’avant en arrière pour le dérouler jusqu’en haut de ma cuisse.
Puis, je laisse pendre mes deux jarretelles devant ma culotte fendue pour les centrer au milieu de mes jambes avant de les fixer.
J’attache avec précision les autres sur le côté de mes hanches et au niveau des plis fessier en m’assurant que les coutures de mes bas restent bien droites.
Je fais quelques pas dans ma chambre pour sentir la tension sensuelle du nylon sur mes jambes.
Je m’assure que ma guêpière à dix jarretelles m’enserre bien la taille afin de garder mes bas tendus.
Deux jarretières remontées à la lisière de mes bas ainsi que des talons aiguilles complètent ma tenue glamour.

J’achète toujours des porte jarretelles qui se posent sur la taille et non sur les hanches car ils ne tiennent pas en place et font plisser les bas.
Leur charge érotique est également moins forte.

Ce magnifique symbole de la féminité doit se porter par dessus le string ou la culotte ou bien sans rien pour garder toute son élégance.
Beaucoup de femmes font l’inverse pour gagner du temps et éviter de retirer leurs jarretelles aux toilettes en perdant ainsi tout le charme de cette lingerie.

Pour soulager ma vessie, je m’assois sur les toilettes comme une fille en faisant glisser ma culotte sur mes cuisses sans retirer mes jarretelles ce qui est tout aussi rapide.

Ma transformation étant achevée, je me contemple devant mon miroir en étant satisfaite de l’image qu’il me renvoie.
J’ai consacré des années à parfaire mon maquillage, mon habillement, ma gestuelle pour devenir une fille crédible.

J’ai pris l’habitude de faire des petits pas en croisant les jambes, le bassin en avant en veillant à ce que ma démarche reste fluide et féminine.

Je me tiens bien droite en évitant de balancer les bras et de tourner les épaules comme un homme.
Seul le bas de mon corps bouge lorsque j’initie un léger déhanchement amplifié par le port de mes escarpins.

En prenant des poses suggestives devant ma glace, je ne peux empêcher ma queue en érection de jaillir de ma culotte ouverte.

Afin de me sentir femme et d’être plus concentrée sur mon orgasme anal, j’enferme mon sexe dans ma cage de chasteté CB 6000.
M’allongeant sur mon lit, je frotte mes cuisses gainées de nylon l’une contre l’autre pour entendre le crissement de mes bas.

Impatiente de commencer, je m’allonge sur le dos en plaçant un coussin sous mes fesses pour pouvoir utiliser mes jouets plus efficacement.
Face à mon miroir, j’écarte en grand les cuisses pour explorer les replis doux et satinés de ma chatte en la lubrifiant abondamment au silicone.
Puis, je caresse mes seins en songeant aux nombreux scenarii que je vais improviser pour me donner du plaisir tout au long du week-end.
Je pense tout à coup au colis que je viens de recevoir et que je m’empresse d’ouvrir avec curiosité.
Emballé dans un papier soyeux et délicat, je découvre un énorme gode qui a tout d’un vrai pénis sauf sa taille démesurée.
Un petit mot de mon ami est joint à mon attention: 
« J’espère qu’il te comblera pendant mon absence  »

En le détaillant sous tous les angles, je me dis qu’il ne rentrera jamais car il est vraiment très, très gros…
Malgré ma grande expérience, je me retrouve face à un véritable défi :
– Me sera-t-il possible de faire rentrer cette masse de plus d’1kg dans mon ventre?
Je remarque que son gland imposant est bien dessiné.
De plus, il est souple et doux au toucher ce qui devrait faciliter sa pénétration.
Je suis aussi impressionnée par l’épaisseur de sa hampe sur laquelle courent de grosses veines saillantes qui vont stimuler fortement ma prostate.
De plus, son diamètre s’accroît progressivement en atteignant 9 cm à sa base.
Ses testicules denses et lourdes remplissent mes paumes de mains.

Je ne peux m’empêcher de fantasmer en voyant ce gode monstrueux posé sur mon ventre s’étaler de mon pubis jusqu’à mes seins.
J’en ai maintenant très envie…
J’imagine le plaisir qu’il va me donner en le pressant longuement entre mes cuisses et en posant son gland contre mon œillet.
En refermant mes cuisses sur ce sexe démesuré, j’évalue mieux sa grosseur qui est pour moi le gage d’un plaisir assuré.
Comme une fille, je ressens l’impérieux besoin de remplir ce vide que j’ai entre les jambes.

Mon cœur bat la chamade lorsque j’écarte la fente de ma culotte pour engager le gland dans mon anus.
Je m’empale lentement en sentant ma rosette s’ouvrir peu à peu sous la poussée implacable et continue du pal.
J’ai la sensation d’être ouverte en deux lorsqu’il s’enfonce en moi en m’écartant les chairs.

Une fois le gland passé, je m’arrête un instant pour souffler.
Puis, j’écarte mes fesses à deux mains en poussant pour mieux m’empaler.
Mes sphincters finissent par s’ouvrir et chaque centimètre me comble alors d’un plaisir nouveau.
Quel plaisir de me sentir à la fois pénétrée et dilatée!
Mon pénis cherche en vain à se redresser dans sa cage qui remplit bien son office.
En pressant mes doigts sur mon abdomen, je peux suivre la progression de mon énorme gode qui remonte peu à peu jusqu’à mon nombril.
Me sentant bien prise, des gémissements de plaisir s’échappent de mes lèvres.
Je ne me lasse pas de me voir les cuisses écartées devant la glace murale avec ce gode impressionnant planté dans mon ventre.
Je me concentre sur mon plaisir anal en le faisant aller et venir lentement dans mes fesses.

Les savantes pressions que j’exerce sur ma prostate rendent ma chatte toute humide pendant que ma queue laisse échapper quelques gouttes séminales.
Comme une fille, je serre les cuisses en contractant mes muscles intimes sur mon gode pour mieux le sentir en moi.
J’ai l’impression de ressentir ce plaisir de femme avec cette boule de feu qui vient du fond de mes entrailles en remontant lentement dans mes reins.

L’anus étant plus sensible et mieux vascularisé qu’un vagin, j’amplifie mon désir en pressant habilement mon gode sous tous les angles.
Puis, j’exerce de puissantes bascules du bassin d’avant en arrière
en me servant du poids de mon corps pour m’empaler plus à fond.

Je regarde fascinée cette énorme queue disparaître dans ma culotte fendue.
Lorsque je sens ses bourses se plaquer contre mes fesses, je reste immobile pour savourer mon plaisir de m’être empalée jusqu’à la garde.
Afin d’avoir plus d’amplitude lors des pénétrations, je me mets à genoux sur mon lit en bloquant la ventouse de mon gode contre le matelas pour amorcer de lents et puissants va et vient.
Je creuse les reins en faisant tourner mes fesses sur ce pieu qui me sert de pivot.
Je ne peux m’empêcher de gémir en sentant ses grosses veines saillantes me limer la prostate.

Les frottements de mon gland décalotté contre ma cage amplifient mon émoi en imprégnant ma lingerie d’auréoles blanchâtres.
Allongée sur mon lit, je sors lentement le gode de mes fesses en regardant dans la glace ma rosette s’étirer sur sa hampe comme si elle voulait le retenir.
Puis, je la vois s’enrouler dessus lorsque je m’empale à nouveau.

Quelques instants plus tard, je sens mon jouet tressauter dans ma main sous l’effet de mes contractions anales qui deviennent de plus en plus rapprochées.
Sachant que je ne pourrai plus tenir très longtemps, je pose mon vibro contre mon gland encagé pour m’achever.
Les vibrations associées à mon efficace séance de godage font monter lentement mais inexorablement la sève dans mes reins.

Comme une femme, j’excite mon clito en effleurant mon frein avec mon vibro.
Puis, je contracte mes sphincters en serrant les cuisses pour résister quelques secondes de plus.
Mais, cette triple stimulation, (Pénis Périnée, Prostate) déclenchent irrésistiblement mon orgasme.
Une vague déferlante de plaisir m’emporte pendant qu’une épaisse coulée blanchâtre sort lentement en continu de ma verge flasque emprisonnée dans sa cage.
Bien que ne bandant pas, j’éprouve un orgasme plus intense et durable que lorsque ma semence sort de ma queue par saccades.

Totalement comblée, je regarde ma source de vie se tarir peu à peu.
Le souffle court, je reste un long moment, les cuisses ouvertes devant la glace en me godant pour prolonger mon plaisir.
Embrochée jusqu’au nombril, je regarde l’impressionnante ventouse du gode qui est entièrement encastrée dans mes fesses.

En additionnant les milliers de va et vient qui m’ont limé la chatte, je songe aux kilomètres de queues que j’ai prise en moi ces dernières années.
Quelques instants plus tard, je retire cette queue massive aspirée par mes chairs qui sort de mon ventre dans un bruit de succion.
J’éprouve un sentiment de frustration en voyant ma chatte béante attendre une nouvelle proie à dévorer.

Puis, je me lève pour changer mes dessous auréolés de ma sève.
Après m’être contemplée devant la glace dans ma nouvelle lingerie, je décide de poursuivre mes jeux.
Je retire ma cage et je m’allonge sur mon lit pour lubrifier ma queue et mon anus d’un gel conducteur de courant afin de démarrer une séance d’électro stimulation.

Puis, j’enfonce un plug anal électrifié en inox de 6 cm de diamètre dans ma grotte en posant un anneau pénien serti d’un fil électrique sur mon frein et deux patchs à électrodes sur mes bourses.
J’achève ma préparation en reliant les fils à mon boîtier erostek tout en déterminant un programme pour chaque zone.

Dés que j’active le courant, je sens de puissantes ondes m’irradier l’anus.
Sous l’effet des stimulations électriques, ma queue se soulève en cadence pendant que mes bourses se contractent sur le même rythme.
Je sélectionne une routine qui amplifient progressivement les vibrations.

Le courant du plug irradie maintenant à la fois ma queue et mon anus en se propageant par vagues successives dans mon ventre.
Ma verge se met à osciller de bas en haut en laissant échapper une coulée de sève ininterrompue.
Elle s’écoule lentement de mon gland en se répandant comme une coulée de lave à l’intérieur de mes cuisses.

Je me laisse submergée par cet orgasme qui m’emporte
Ma jouissance se prolonge tout au long de cette abondante éjaculation qui caractérise l’électro stimulation.

L’intérêt de cette technique c’est qu’après avoir jouis, je peux continuer à avoir des orgasmes secs c’est à dire sans éjaculer.
Malgré la période réfractaire qui suit le coït et sous l’effet des impulsions électriques anales et péniennes, ma queue dressée se balance de haut en bas en me donnant de multiples orgasmes secs.

Après des mois de pratique, je suis devenue totalement addict à cette technique car mon cerveau Pavlovien a transformé les stimulations électriques en sensations érotiques.

Souhaitant faire une pause, j’enfonce mon rosebud julian snelling. dans ma chatte restée bien ouverte.
Son poids de 600gr me déclenchent d’agréables sensations dans le bas ventre en me laissant l’anus ouvert.

Le soir venu, j’ai le plaisir de m’endormir avec ma guêpière garnie de mes seins en silicone.
J’aime également sentir les sensuels frottements de ma combinaison en satin sur mon sexe.
J’ai gardé ma cage de chasteté pour m’interdire toute érection afin d’être plus concentrée sur le plaisir anal que me procure mon plug enfoncé dans mes fesses pour la nuit.
Dites moi si vous partagez les mêmes plaisirs ?
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