Je n’avais pas fait attention en réservant, les bungalow étaient les uns sur les autres mais fort heureusement jouxtaient cette magnifique plage de la baie de Calvi. Le temps était au beau fixe depuis une dizaine de jours et le corps de ma compagne était superbement bronzé ce qui m’empêchait de lâcher mon appareil photo en toute circonstance. Je la prenais dans toutes les positions et tous les endroits possibles à sa grande satisfaction. Ses fesses mattes attiraient mon objectif et elle s’enhardissait à les ouvrir de ses 2 mains pour ma plus grande satisfaction. Ava n’était pas pudique, elle aimait son corps plein et ferme à la silhouette élancée. Belles épaules, ventre plat, cul large et bombée avec une raie bien dessinée séparant 2 globes qui se mouvait avec souplesse quand elle marchait, j’étais fou de son corps ! Bien sur depuis 10 jours nous baisions partout et fréquemment sans nous soucier de notre voisinage. J’avais croisé quelques regards amusées dont celui de ma voisine qui me semblait plus insistant mais je me refusais à en tirer quelques conclusions. Jolie jeune femme d’une trentaine d’année, ma voisine venait d’arriver avec son mari et elle semblait ne pas avoir froid aux yeux, elle m’avait dévisager et envisager avec autorité. Bien sûr elle avait vu que sa plastique ne m’avait pas laissé indifférent, un corps longiligne et harmonieux de jolie brune au regard perçant, elle m’avait d’ailleurs surpris alors que je matais son petit cul bien bombé. Nullement gênée, elle m’avait gratifié d’un sourire entendu.
Ava était allongé entre mes cuisses, elle m’avait sucé en me malaxant les couilles et en s’enhardissant à me pénétrer de temps à autre. Sa bouche était chaude et sa salive enduisait mon membre sur toute sa longueur. Je savais ce qu’elle voulait, elle m’en avait parlé toute l’après midi très simplement et très directement, elle souhaitait que je la sodomise et qu’en même temps je la prenne en photo. Cette demande m’avait fait bander instantanément ! Elle s’était mise sur le coté en me présentant ses fesses, d’un geste naturelle, elle releva un de ses globes découvrant son petit trou rose que je m’empressais de lécher et d’essayer de pénétrer avec ma langue. Au bout d’un moment elle me demanda de prendre mon appareil photo m’intimant élégamment de passer au chose sérieuse. Je me couchais contre elle, mon sexe à la main, tentant de cadrer son cul avec l’autre. Mon sexe exerça une pression sur son anus et d’un coup je sentit coulisser mon sexe dans son cul. Elle gémit alors que l’appareil en mode burst,prenait des dizaines de photos de son cul envahit par mon sexe tendu. J’accélérais la cadence de mes vas et viens qu’elle accompagnait de soupir rauque, mon sexe disparaissait complètement et mes couilles frappaient contre ses fesses bronzées. Je passais mon appareil en mode vidéo afin qu’elle puisse visionner plus tard ce que j’était en train de lui faire. Je lui avais demandé de se mettre à genoux et de me présenter son cul ouvert par ses 2 mains. Je filmais la pénétration qu’elle acceptait avec facilité, son cul ,son sexe son dos étaient trempés. Le bruit de nos corps claquant l’un contre l’autre était très audible, je pensais subrepticement que si ma voisine avait l’oreille fine, elle me gratifierai d’un sourire entendu à notre prochaine rencontre. Ava me chevauchait maintenant , seul l’appareil avait changé de mains, elle shootait mon visage, ma bite qui allait et venait dans son cul tout en accélérant ll’ardeur de ses coups de reins. Je me rependis peu après en elle, n’oubliant pas de photographier mon sperme dégouliner de ses fesses somptueuses. Nous nous endormirent peu après enlacés avec le sentiment du devoir acccompli .
Ma voisine me gratifia d’un sourire entendu le lendemain matin. Après les banalités d’usage, elle m’annonça que son mari s’absentait quelques jours et que si nous étions partant, elle nous invitait le soir même. La journée passa agréablement, entre la plage et le bungalow, bien sûr je ne résistais pas à visionner les photos de la nuit, certaines étaient franchement réussies. Ava s’empara longuement de l’appareil détaillant chaque photo, commentant de temps à autre pour conclure d’un « dommage trop de gros plans » ! Elle n’avait pas tort, quelques photos en plan large auraient été les bienvenues.
Je ne sais plus comment cette soirée nous avait rassemblé dans le lit de notre bungalow peut être que les quelques verres de clos d’Azetto avaient aidé mais les corps Karen et Ava s’étaient emmêlées naturellement. Je les photographiais sous toutes les coutures, leurs fesses agressives, leurs seins en poires, leurs chartes rasées… je ne ratais rien. Karen avait pris la situation en main, elle dirigeait et ordonnait ce qu elle voulait d’une voix assurée et d’un regard noir. Ava s’etait tout de suite pliée et obéissait à toutes les directives … elle léchait les seins, la chatte et les fesses de Karen sans broncher. J’avais été tout d’abord surpris mais je m’etais également plié aux ordres de notre délicieuse invitée. J’etais debout, Mon sexe tendu passant d’une bouche à l’autre. Karen serrait mes couilles avec autorité et elle distribuait les claques sur les fesses de ma compagne avec un sourire contenu. Les ordres claquaient, Karen voulait que je prenne Ava selon ses directives, les positions se succédaient, nous étions ses jouets ! Bien sûr je ne pensais qu’a une chose, lui prendre son joli cul, debout par derrière, les mains sur ses seins. Mais plus la soirée s’avancait plus je comprenais que tel n’etait pas le désir de Karen. Elle me le dit à l’oreille de manière crue « je sais que tu veux me prendre le cul mais … ce ne sera pas ce soir « . La soirée se termina de manière un peu floue, Ava dormit dans le bungalow de Notre voisine, elle me retrouva le lendemain matin avec un petit mot de Karen « ce sera pour ce soir »
Ajouter un commentaire