Je suis pas un adepte de ramener du travail à la maison. Je fais mes heures, si besoin je reste plus, mais quand je quitte le bureau je laisse généralement ma vie professionnelle derrière et n’y pense plus. Ce n’est pas le cas de ma supérieure, qui elle travaille même pendant ses vacances.
Faut dire qu’avec son job, elle n’a pas trop le choix, et la paye suit bien sûr. Mais ce n’est pas quelque chose qui me tente, même avec une augmentation.
Pourtant j’ai fait une exception, que je ne regrette pas !
C’était la veille de mes vacances, j’avais prévu 2 semaines pour faire profiter de la plage et du sable chaud à côté de chez moi. Ce jour-là, Johanna arrive en panique et me demande de lui sortir un rapport avec des données de ventes précises. Je lui dis que vu l’heure et le temps que ça va prendre, je lui sortirai les chiffres bruts, je n’aurai pas le temps de faire mieux. Ça lui convient, elle me demande quand même si elle peut m’appeler le lendemain pour qu’on analyse les chiffres ensemble et éventuellement faire un second rapport.
Comme je l’ai dit, je ne suis pas friand du travail à la maison…mais je voyais qu’elle en avait vraiment besoin, j’ai donc accepté.
Ça faisait plusieurs mois que notre petite aventure avait eu lieu, et on n’en faisait plus cas du tout. (Voir les « relations pyramidales » si vous êtes curieux).
Je lui propose de régler ce problème le lendemain, samedi matin, de 10h à midi, ce qu’elle accepte de suite.
Le samedi matin, levé 9h, douche, et je me prépare le café, et commence à étudier les chiffres pour anticiper les questions de Johanna. A 10h elle m’appelle et on commence à analyser. Mais par téléphone c’est pas évident, elle me parle de chiffres sur son écran que je n’ai pas sur le mien. Je dis à voix haute, plus pour moi-même que pour elle, que ça serait plus simple qu’on soit dans le même bureau.
– Très bien, dit-elle, j’arrive !
Pas le temps de réagir, qu’elle a raccroché. Je suis devant mon PC, en short et pieds nus. Je me pose la question s’il faut que je me passe un jean, puis me dis qu’on est en week-end, c’est un service que je lui rends… donc j’enfile juste un tshirt et prépare deux cafés.
Quand elle arrive je me rends compte que j’ai bien fait de pas me prendre la tête. Elle est en jogging blanc et un débardeur bleu, la tenue décontracte à fond. Elle entre et regarde un peu la maison, c’est la première fois qu’elle y entre. Je ne lui fais pas le tour, n’étant pas du matin, je n’y ai pas pensé, et je voulais régler ce problème de chiffres pour me sentir vraiment en vacances. On passe donc devant le PC et on travaille avec un bon café. Ça va vite, et finalement en une demie heure elle a toutes les réponses à ses questions et semble rassurée.
Du coup on discute un peu, et je lui fais faire le tour de la maison. On passe au jardin derrière, où j’ai un petit cabanon en bois. J’ouvre la porte, et au moment où elle passe la tête à l’intérieur, je vois un nid de frelons asiatiques. Par réflexe mon bras fait barrière pour pas qu’elle avance plus, et je lui montre le nid du menton. Mon bras est sous sa poitrine, sentir ses seins même à travers tissu et soutien-gorge me remémore de bons souvenirs. Elle recule, je ferme la porte, et pose ma main sur sa taille pour l’inviter vers le salon de jardin à boire un autre café.
Son débardeur est un peu remonté sur la hanche et découvre un tout petit bout de peau, là où ma main se pose, où mon pouce espiègle passe sur le tissu. Ma main est donc sur sa peau nue, et je sens que le contact l’électrifie autant que moi. Elle ne dit rien, et avance jusqu’à s’assoir devant la table. Je m’absente quelques minutes le temps de refaire deux cafés, et quand je reviens, elle est face au soleil à profiter des rayons de fin de matinée. Elle a déchaussé ses chaussures d’été, et je sais qu’elle aimerait remonter son débardeur pour découvrir son ventre afin de prendre encore plus de soleil. La pudeur la retient, surtout que ça fait plusieurs mois qu’elle est en couple et vit avec un homme.
On discute, on parle de voyages, de sport, de plein de choses sauf du taf. Elle me demande où j’en suis de mes relations amoureuses, sans arrières pensées, je me dis. Je lui explique, à ce moment-là c’était un peu le désert sentimental. Elle s’est installée de façon à avoir les jambes sur les accoudoirs de la chaise, et ses pieds balancent pendant qu’on discute. C’est rare de la voir en tenue décontracte, et je lui fais remarquer.
– Et encore, j’ai fait un effort, dit-elle avec un air espiègle. J’ai changé de débardeur et j’ai mis un soutif !
– Fallait pas te donner cette peine, fis-je en souriant et sachant très bien vers où je voulais aller.
– Vu le débardeur j’aurai pu être arrêtée pour exhibitionnisme, il est vieux et ne cache plus grand-chose. A la maison c’est pas un problème mais sur la route…
– C’est dommage, avec le soleil t’aurais pu en profiter un peu plus.
Elle me regarde avec un sourire en coin :
– Je sais très bien à quoi tu penses ! Mais c’est vrai que le soleil est agréable…
Elle roule alors le bas de son débardeur afin de découvrir son ventre. On discute encore, et la voir ventre nu, je me dis que je pourrai faire pareil, surtout que je suis chez moi. Je lui dis alors que j’ai envie aussi de profiter du soleil.
– Mais bien sûr, tu es chez toi après tout.
J’enlève alors mon t-shirt, et rentre les tasses de café. Midi approche, et quand je retourne dehors, elle est en train de pianoter sur son téléphone.
– J’explique que j’aurai un peu de retard… dit-elle simplement.
Je passe alors derrière elle, et alors qu’elle pose son téléphone, lui enlève son débardeur.
Petite indication sur mon jardin : j’ai deux voisins, un de chaque côté, et un petit chemin qui passe derrière. Des brises vues de chaque côté nous cache aux voisins, visuellement en tout cas, mais le chemin derrière a pleine vue.
Alors que son débardeur est maintenant posé sur la table, je dégrafe son soutien-gorge. Ses seins, qui m’ont fait fantasmer alors qu’on ne se fréquentait pas encore, me font toujours autant d’effet. Je joue avec en l’embrassant dans le cou. Elle m’encourage avec sa main à ne pas arrêter ; je pince ses tétons, masse ses seins, les presse entre mes mains. Ses mots chuchotés à mon oreille m’incitent à continuer.
Je passe devant, et m’agenouille devant elle pour lécher et sucer cette poitrine que j’adore. Ma main passe alors sous son jogging, puis sous sa culotte, pour masser son sexe qui s’humidifie. Elle commence à gémir, et sa respiration s’accélère alors que mes doigts sont toujours à masser ses lèvres. Elle prend ma tête à deux pour la relever, et m’embrasse. Puis elle se lève et finit de se déshabiller. Je fais pareil, à peine ai-je tombé le boxer qu’elle se rue sur ma queue et se met à me sucer avec envie.
J’essaye de voir si les fenêtres ou porte-fenêtres des voisins sont ouvertes, car on commence à faire du bruit, mais de là où je suis impossible de savoir…et puis merde, j’ai autre chose à penser là !
Alors qu’elle me suce encore, je l’invite à se lever, et la soulève pour la poser sur la table de jardin, face à moi. Elle est dos au chemin qui passe derrière, et je me dis que ce n’est pas plus mal car elle n’a pas dû réaliser que si quelqu’un passe il nous verra en pleine baise.
Elle est devant moi, les jambes relevées et écartées. J’approche mon gland de sa chatte trempée, je masse son clito avec, je la sens trépigner d’impatience. Je lui relève le bassin, et me sers de ses lèvres pour me branler, toujours sans la pénétrer. Elle se mordille la lèvre et m’implore du regard en se massant un sein avec force. L’image que j’en garde est tellement excitante que je suis encore troublé quand je la croise et que j’y repense.
Je repose son bassin sur la table, et positionne mon gland à l’entrée de sa chatte. Je la regarde, et m’enfonce lentement, mais d’une traite en elle, lui arrachant un magnifique gémissement. Ma queue se fraye un chemin, puis je commence les va-et-vient.
C’est à ce moment-là que des estivants, sûrement ayant loué un airbnb juste derrière chez moi, passent par le fameux petit chemin. Nous ayant entendu avant de nous voir, ils passent discrètement et rapidement. Mais je vois quand même le mec lorgner autant que possible, sans que sa femme le voit. Il faut plusieurs secondes quand même pour traverser, surtout en essayant de faire discret. Dès que je les vois, l’excitation monte d’un cran, j’arrête mes coups de reins et commence à retourner Johanna, qui comprend de suite et se met en position de levrette.
De là où elle, elle voit forcément le couple partir et sortir de notre champ de vision. Le mec a dû avoir une belle vue sur sa poitrine, et Johanna n’a pas pu rater ça. Mais dans le feu de l’action, elle ne dit rien, au contraire, elle se positionne et écarte ses fesses des deux mains. Pas besoin de mots, le message est clair. Sachant qu’elle adore la sodomie, je pose de suite ma queue sur sa rondelle et pousse une 1ière fois. Elle n’essaye même plus d’être discrète. Voisins et marcheurs alentours savent qu’on est en train de baiser. Je pousse une seconde fois, puis une troisième et ainsi de suite, jusqu’à ce que ma queue soit enfoncée totalement. J’y vais fort, je sais qu’elle aime. Elle se redresse un peu pendant que j’assène mes coups de rein, me donnant le champ libre pour tâter encore une fois sa magnifique poitrine.
Elle se branle en même temps, et j’imagine le couple de marcheurs repasser discrètement, et nous voir en pleine sodomie. Johanna est plus que communicative à ce moment-là, ses gémissements et ses cris, ses « putain », ses « vas-y c’est bon », sont d’autant plus excitants que je sais qu’elle aime la discrétion. Elle prend son pied et me donne un plaisir fou, je sens d’ailleurs que je ne vais pas tarder à jouir.
Alors qu’elle est prise de tremblements, en sueur, elle s’étale sur la table. Je sors de son joli cul pour me branler, je ne vais pas et gicler. Elle se retourne alors et sa main remplace la mienne. Alors que je viens, elle dirige les jets sur ses seins, que j’arrose dans un râle de plaisir.
On reste quelques minutes nus et silencieux, puis elle me dit :
– Enfoiré, tu les as vu passer et tu m’as carrément exhibée à eux !
– Ce n’était pas prémédité, mais j’ai l’impression que ça t’a autant inspirée que moi.
Elle ne répond pas de suite, mais n’arrive pas à contenir un petit sourire. Johanna se découvrirait-elle exhib ?
On est finalement rentré, on a pris la douche ensemble, comme deux amoureux. Puis elle est repartie et m’a laissé tranquille pendant le reste de mes vacances ! Vacances qui ne pouvaient pas mieux commencer…
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