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Stage de cohésion

Stage de cohésion



Les dernières vacances et toutes les aventures que j’ai racontées sans tabou ici n étaient plus qu’un lointain souvenir. Le taf reprenait et dans le vif du sujet, mon patron nous indiqua qu’il avait un contact avec une broîte prête à nous confier l’étude d’une campagne de communication. Il s’agissait d’une chaîne de magasins , vendant une gamme de produits allant des vêtements et de la lingerie sexy aux DVD, en passant par des livres érotiques, pornos et des sextoys. Il proposa de former un groupe, principalement des filles, cette chaîne souhaitant viser surtout la clientèle féminine pour cette campagne. Je soupçonnais notre bosse d’être un client de ces magasins, et d’avoir obtenu ainsi ce contrat inespéré ! Le groupe d’étude fut formé, et je fus l’une des premières à être sélectionnée. Je savais que quelques rumeurs courraient sur mon compte. Mon goût pour l’exhibitionnisme et le sexe sous toutes ses formes ne semblaient pas être un secret. Nous étions finalement huit filles pour seulement deux mecs. Afin que notre groupe de travail soit soudé, notre patron organisa un ″week-end de cohésion de groupe″ à la montagne. Après un voyage de nuit, fatigant, nous nous sommes retrouvés dans une station de ski. Nous étions hors saison, il y avait peu de monde, et nous étions logés dans un grand chalet, isolé sur les hauteurs. Après une bonne douche, le bosse a proposé que nous allions faire quelques photos dans l’esprit de la communication de la chaîne, pour nous mettre dans l’ambiance. Pendant ce temps-là, les deux garçons, descendaient à la station avec Daphné et Julie, pour s’occuper du ravitaillement. Il faisait beau, Mélanie, Aline et Betty, furent les premières à proposer de poser topless.Le bosse n’en demandait pas tant mais semblait s’amuser beaucoup de leur audace et se rinçait l’oeuil. Mélanie me lança en riant :
« Et bien, Michèle, je pensais que tu serais la première à nous montrer tes seins, toi qui es la reine de l’exhib ! »
Je rougie sur cette réfflexion faite devant mon patron qui affichait un large sourire. Mais piquée au vif je leurs dis :
« Attendez un peu les filles, vous n’allez pas être déçues ! »
Je rentrai dans le chalet, pour en ressortir avec… juste mon bonnet.
« Alors, vous pensiez que j’allais me dégonfler ? A vous de jouer, maintenant ! »
Jamais je ne m’étais mise nue dans ces conditions et de plus devant mon employeur. La chaleur des rayons du soleil ne compensait pas la fraîcheur de l’air et du vent. J’avais la chair de poule, mes seins étaient durs comme du bois, et leurs pointes dardaient. Mélanie, se mis nue aussi
Aline disparut à son tour quelques instants dans le chalet, et réapparut nue elle aussi, avec juste une grande écharpe. Elle me fixa avec un air de défi.
« Tu vois, tu n’es pas la seule à oser te foutre à poil devant le bosse ! »
Les autres filles nous regardaient, ne sachant quelle attitude adopter. Sandra, sans doute la plus timide, nous surprit toutes, lorsqu’elle ressortit du chalet en tenue d’Eve. A l’expression de son visage, on devinait que ce n’était pas dans ses habitudes de montrer son corps en public. Betty, à son tour, se dénuda. Elle glissa sur sur l’herbe humide, et se retrouva sur le dos, cuisses largement écartées. Elle ne semblait pas avoir conscience qu’elle nous montrait sa chatte, et était éclatée de rire.
Enfin, Barbara, sans doute gênée de rester habillée, et pour ne pas décevoir notre patron, nous rejoignit elle aussi, complètement à poil.Maintenant, seul notre patron restait habillé. Je pris l’initiative de le pousser à nous imiter.
« Monsieur, au lieu de jouer les voyeurs, vous devriez donner l’exemple. Il n’y a pas de raison que nous soyons nues devant vous et que vous restiez habillé. »
« Bien sûr que si. Je suis votre patron. Je dois rester dans une tenue en rapport avec mon rôle. »
« Mais ici, c’est différent, nous sommes en stage et vous faites aussi partie du groupe. »
Bousculé par ces femelles nues, il abdiqua sans trop de réticences. Il se débarrassa de son costume et de son caleçon puis s’agenouilla dans le plus simple appareil pour une série de photos. Wahooo ! Il était super bien monté le bosse. Nous en étions presque génées.Tout le groupe l’applaudit. Cette petite séance m’avait bien excitée, et j’en avais oublié la fraîcheur de l’air. Je retrouvais les sensations que j’avais connues lorsque j’avais enlevé pour la première fois mon maillot sur la plage.
Après quelques dernières photos, nous nous sommes rhabillées, et nous sommes rentrées nous mettre au chaud, car la nuit commençait à tomber.
Daphné, Julie, Jérôme et Damien rentrérent des courses. Parmi leurs provisions, on trouvait plusieurs bouteilles de vodka et whisky. La soirée risquait d’être arrosée ! Avant de commencer notre repas, nous avons visionné sur l’ordinateur les photos prises l’après-midi. Daphné et Julie s’esclaffaient en nous voyant nues dans la neige, surtout en découvrant des randonneurs ébahis en arrière-plan sur certaines photos. Hugo et Damien, quant à eux, étaient écœurés d’avoir loupé ce spectacle. Mais le summum des réactions fut atteint, lorsqu’ils découvrirent le bosse aussi à poil !
« Je vous préviens, je ne veux pas que ces photos circulent sur facebook ! Sinon, je vous vire ! »
« Ne vous en faites pas, monsieur ! »
Puis Mélanie s’inquiéta du déroulement de la soirée. Géraldine lui répondit :
« On peut organiser un apèro dinatoire ! On pourra ensuite découvrir les produits vendus par la chaîne de magasins, et je pense que ce serait sympa de continuer les photos. »
A mon tour, je lançai une idée.
« Alors je propose que les filles s’habillent sexy, pour être dans l’ambiance. »
Mon idée fut soutenue par les garçons. Les filles furent quelque peu réticentes, mais finalement approuvérent. En sortant de ma chambre, je tombais sur Mélanie, en train de mettre ses bottines. Surprise, elle leva les yeux vers moi, et je m’aperçus que sa robe était aussi audacieuse, révélant qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Nous sommes descendues toutes les deux dans la salle où Hugo et Damien saluèrent notre arrivée par des commentaires plutôt flatteurs sur nos robes.
Barbara était là également, en pantalon, mais en haut, elle avait allongée au maximum les bretelles de son top, offrant une vue superbe sur sespetits seins. C’était super excitant !
Aline avait opté pour une minirobe très décolletée. Les autres filles se contentaient de tenues plus sages, mais n’avaient pas mis de dessous. Lorsqu’elles se baissaient on pouvait apercevoir furtivement leurs seins ou leurs fesses.Il ne manquait plus que notre bosse et Sandra. Pour cette dernière, je me demandais comment elle serait vêtue. C’était, la plus timide du groupe, mais elle n’avait pas hésité à se mettre nue pour les photos et mon intuition me disait qu’elle pouvait se lâcher. Lorsqu’elle apparut dans l’escalier, je ne fus pas déçue ! Elle portait une robe blanche super mini – ce devait être une tunique, à porter sur un pantalon, et son décolleté, très profond, était une incitation à la débauche lorsqu’elle se penchait. Le patron se fit attendre et apparut en strig mettant en évidence son énorme engin. Après quelques considérations très féminines sur nos tenues et sont appareil, nous avons attaqué le’apéro. Damien déboucha les bouteilles, les verres se remplirent, se vidèrent, se remplirent à nouveau. Au bout d’une heure, nous étion bien éméchès et les rires remplissaient la pièce. La conversation revint sur le motif de ce séjour, et sur les produits à mettre en valeur pour la chaîne de magasins. Le bosse se saisit d’un grand sac de voyage, dont il vida le contenu sur une table.
« Je vous ai amené quelques échantillons, pour que vous vous fassiez une idée de ce qu’ils proposent. »
Il y avait là, éparpillés sur la table, des DVD XXX, des livres cochons, des strings, des préservatifs très originaux, des menottes, des sextoys , un catalogue de vêtements et de lingerie coquin etc…Tout le groupe commença à détailler ce bric-à-brac, en commentant chaque objet avec enthousiasme ou étonnement. Plusieurs filles examinaient les strings, les comparant avec ceux qu’elles portaient plus ou moins souvent, ce qui donna des idées au patron.
« Au fait, Daphné et Julie, vous n’étiez pas avec nous cet après-midi, et on ne vous voit sur aucune photo. Je pourrais faire avec vous un shooting, avec ces strings là. Les deux intéressées protestèrent, mais tout le reste du groupe ne leur laissa pas le choix, avec de solides arguments.
« Nous, on a posé à poil ! Ne vous plaignez pas : on veut juste vous photographier en strings ! »
Julie, la première, enleva sa robe, et posa dans un petit string blanc. Puis ce fut au tour de Daphné, qui opta pour un string gris et rose, plutôt sage, mais elle découvrit surtout de superbes seins ronds et fermes.
Mélanie fit remarquer qu’elle avait choisi l’un des plus pudiques, et insista pour qu’elle pose avec un autre modèle que, elle, choisirait. De mon côté, cédant à une irrépressible envie de montrer mon corps, j’avais enlevé ma robe.C’est à ce moment que je remarquais Sandra, toujours en robe, qui admirait les godemichets, en les effleurant de ses doigts fins. Je m’approchai d’elle.
« Je te sens tentée ?! Tu as déjà utilisé ces engins ? »lui dis-je en souriant.
« Oh non ! » répondit-elle en rougissant légèrement.
« Ca te plairait d’essayer ? »
« Je… je ne sais pas. Enfin… oui, peut-être. »bredouilla-t-elle.
« C’est le moment ou jamais. En plus, en le faisant ici, tu vas découvrir que la présence de personnes qui te regardent décuple le plaisir. Crois-en mon expérience. »
« Je n’oserai jamais ! » s’exclama Sandra.
« Ne pense plus à rien, laisse-moi te guider. Tu as quelque chose sous ta robe ? »
« Non !, J’avais seulement des culottes de couleur, qu’on aurait vu à travers ma robe. » Avoua Sandra, dont les joues avaient maintenant la couleur d’une pivoine.
« Alors, enlève-la, installe-toi sur la banquette, et laisse-moi te guider. »
Elle avait bu plusieurs vodkas, qui contribuaient à annihiler ses défenses. Lentement, elle fit glisser sa robe, et s’allongea, dans le plus simple appareil, en me regardant avec un air de soumise. Je lui demandais de choisir quelques godes et, après avoir enlevé mon string, je m’allongeai à côté d’elle, en cherchant à lui faire oublier son stress.
« Abandonne-toi, ne pense plus qu’à ce que tu ressens, à mes mains, à ma bouche sur ton corps. »
Lorsque je sentis que sa réserve s’envolait, je lui tendis un gode, tandis que, avec un autre dont j’avais engagé le programme de vibration, je commençai à stimuler son clitoris. Le bosse et tous les autres stagiaires faisaient maintenant cercle autour de nous. Bientôt Sandra se détendit, et son souffle devint plus court. Je ne voulais pas la pénétrer encore, et je faisais durer le plaisir, en promenant le vibromasseur entre le haut de ses cuisses, sa chatte, et même sa rondelle toute serrée.
« Oh, oui, c’est bon, j’ai envie de cet engin en moi…. Oh, maintenant, je t’en prie. »
Elle poussa un long gémissement, lorsque l’extrémité du gode glissa entre les lèvres gonflées et humides de son sexe.
Je me mis à le faire vibrer et aller et venir, mais sans l’enfoncer profondément. En même temps, je plongeai ma tête entre ses cuisses généreusement écartées. Je ne mis pas longtemps, avec ma langue, pour débusquer son bouton d’amour déjà durci. Sandra était maintenant déchaînée. Etendue de tout son long, elle poussait maintenant des cris de plaisir, et elle fut secouée par un premier orgasme. En laissant le gode planté dans sa chatte, je glissai mon index, que j’avais lubrifié avec ma salive, dans son petit cul. D’abord surprise, elle goûta très vite cette nouvelle pénétration. Sans doute possible, Sandra était une petite salope qui s’ignorait. Il fallait juste qu’elle en prenne conscience et qu’elle ose l’extérioriser.
« Ca te plait, mon doigt entre tes fesses ? » lui demandai-je à mi-voix.
« Oh oui, c’est bon… !!!! »
Je sentais que sous mes caresses, sa rondelle s’était détendue. C’était le moment où jamais !
« Veux-tu ce gode dans ton petit trou ? »
« Non… Oh, je ne sais plus… J’ai peur d’avoir mal, mais j’ai envie. »balbutia Sandra, qui ne savait plus où elle en était.
Je l’obligeai à s’agenouiller en levrette. Sans lui laisser le temps de se défendre, je plantai dans son anus le sextoy que j’avais retiré de son minou, couvert de cyprine. Elle poussa un cri, plus de surprise que de douleur. Et elle se relâcha très vite. Elle perdait la tête, emportée par le plaisir que lui procuraient les mouvements du godemichet. Le bosse qui bandait comme un âne, me tendit alors un second vibromasseur que je fourrai dans sa chatte. A l’étonnement général, la sage Sandra souriait à celles et ceux qui la mataient. Je la fis étendre sur le dos, sans arrêter cette double pénétration, et je m’installai au-dessus d’elle, pour lui lécher le clito. Sandra ouvrait largement ses cuisses pour mieux s’offrir, et elle se mit à me caresser et à me titiller les seins. Il ne lui fallut pas longtemps pour jouir bruyamment. Je l’abandonnai, épuisée, et je regardai ce qui se passait. Tout le monde faisait un cercle autour des trois hommes. Les garçons allaient être très… sollicités. Tois mecs pour six filles déchaînées. Je me demandais comment ils pourraient assurer ! Mélanie et Betty attaquaient Damien. Elles dégagérent son sexe, imposant et déjà dressé, pour le prendre dans sa bouche. Hugo, acculé contre un placard dans une position semblable, subissait les assauts d’Aline et de Julie. Damien se retrouva bientôt dans le plus simple appareil, et Betty était bien décidée à ne pas abandonner cette queue à Mélanie. Deux bouches s’activaient ensemble sur le gland gonflé. Aline, quant à elle, après avoir réussi avec Julie à mettre Hugo à poil, le branlait, tout en embrassant à pleine bouche sa complice, pour mieux l’exciter. Pour ma part, je n’étais pas moins excitée ! Le spectacle de ces deux trios, après ma petite démonstration de l’usage du godemichet avec Sandra qui m’avait laissée sur ma faim, tout cela me mettait dans un état de manque presque douloureux : mes seins pointaient, un filet de mouille perlait entre les lèvres de ma chatte. Mon patron n’avait pas manqué de le remarquer. Il s’approcha de moi, et commença à me parler à l’oreille.
« Je t’ai admirée, pendant que tu faisais jouir Sandra. Je me demande comment tu n’as pas encore sauté sur l’un ou l’une de nous. Tu dois avoir une terrible envie de faire l’amour. Je me trompe ? »
Je n’étais pas en mesure de la contredire ! Il s’allongea près de moi. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, et je sentis sa main caresser mes seins, descendre sur mon ventre, trouver mon abricot gonflé. Deux de ses doigts s’introduisirent doucement, entre les lèvres déjà ouvertes.
Elle me dit d’une voix suave :
« Ne bouge pas, je vais chercher de quoi satisfaire cette chatte affamée. »
Avant de me pénétrer, il me lécha longuement, suçant mon petit bouton avec une adresse diabolique, jusqu’à ce que je la supplie…
« Oh je vous en prie, baisez-moi, défoncez-moi avec votre engin.. Je n’en peux plus ! »
Alors il planta sa queue dans ma chatte dégoulinante. A partir de là, ce fut un festival ! Nous changions sans cesse de position. Je hurlais maintenant de plaisir, secouée par des orgasmes qui semblaient ne jamais devoir s’arrêter. Ce qui était fabuleux, avec son engin, c’était qu’il ne faiblissait jamais, et mon bosse l’utilisait comme un expert. Il avait entrepris maintenant de me prendre par derrière, mais exigeait que je le supplie à haute voix, pour exciter encore un peu plus le groupe qui nous matait. Je m’exécutais en trouvant du plaisir dans cette situation de soumission.
« Oh, Monsieur, s’il vous plait, enculez moi !!! J’ai envie de votre grosse queue dans mon petit trou.. !!!!! Aaaah oui, c’est bon, je le sens bien ! »
Rapidement, le plaisir monta de nouveau en moi. Mon bosse me sodomisait comme un fou, couché sur moi et m’écrasant de tout son poids. Il me pilonnait la rondelle à grands coups de reins, plantant lson chibre avec vigueur jusqu’au tréfonds de mon ventre. Après un dernier orgasme, il jouit dans mes fesses dans un râle de bête et se retira enfin, me laissant épuisée mais comblée du sperme coulant de mon cul. Près de moi, sur un grand canapé, Hugo et Fabien continuaient de faire face, pour satisfaire les chiennes en chaleur qui réclamaient toutes leur ration de jouissance.
Les deux garçons commençaient à fatiguer aussi, et n’avaient guère plus de foutre à déverser sur les filles. Je repérai que nos deux mecs s’étaient installés sur un canapé, pour récupérer, et je me trouvai une petite place pour me glisser entre eux.
« Vous êtes vraiment épuisés ? »
« A ton avis ? Tes copines sont de vraies furies, lorsqu’elles veulent qu’on les fasse jouir. »Me répondit Hugo.
« Et vous n’auriez pas envie de ma petite chatte ? Regardez mes seins, ils sont en manque de caresses… ! »
Fabien commença à me caresser, et mes seins pointèrent légèrement.
« Vous voulez bien que je m’occupe de vous aussi, ajoutai-je. Je crois que je vais vous faire bander de nouveau. »
Hugo m’embrassa la poitrine, et je pris la verge de Fabien dans ma main.
Je m’abandonnai à leurs caresses, et j’écartai totalement les jambes, pour les inviter à explorer mon minou. Bientôt, leurs queues gonflèrent et retrouvèrent un peu de rigidité sous mes doigts. Je retrouvais toujours le même plaisir, lorsque je sentais une verge gonfler et palpiter au creux de ma main. Je m’agenouillai devant eux, et je pris le sexe de Fabien dans ma bouche, pour lui prodiguer une fellation à réveiller un mort. C’était excitant de sentir sur ma langue le goût de son sperme, et les effluves laissées par les chattes de mes copines qu’il avait baisées. Bientôt, ils se mirent debout devant moi, me présentant leurs bites maintenant dressées, afin que je les suce alternativement. Je me déchaînais de nouveau, léchant, suçant, aspirant les deux glands, les excitant de petits coups de langue, et j’entendis la respiration des deux mecs s’accélérer.
J’avais, moi aussi, besoin de sentir une bouche sur mon abricot. J’invitai Fabien à s’allonger, et je vins placer ma fente, qui mouillait de nouveau abondamment, sur son visage. Pendant que je le branlais, il trouva mon clito, qu’il se mit à titiller avec sa langue. C’était délicieux. Sûre d’arriver encore à mes fins, je repris Hugo dans ma bouche. Au bout de plusieurs minutes de ces exercices, je me dégageai pour vérifier que mes deux partenaires avaient retrouvé suffisamment d’énergie pour me faire jouir. Je me sentais prête à subir leurs assauts, d’autant plus que le chalet était sonorisé par les cris et les gémissements des autres. L’ambiance était d’un érotisme torride ! Damien s’était allongé sur le canapé, et je m’empalai à mon tour sur son pieu dressé. Putain, qu’est-ce-que c’était bon de sentir son gland écarter mes lèvres enduites de mouille ! Je prenais tout mon temps pour descendre sur son dard qui glissait en moi, tout en branlant Hugo. Je ne pouvais pas m’empêcher de penser que cette grosse queue, dans ma main, serait bientôt au fond de ma chatte et peut-être ailleurs aussi. Pendant que je la prenais dans ma bouche, Damien me saisit par les hanches, et commença à me soulever et à me laisser retomber sur sa bite, de plus en plus vite. Il me pénétrait de plus en plus profondément, m’arrachant des gémissements, qui l’excitaient. Les deux garçons étaient manifestement décidés à profiter de moi au maximum, dans toutes les positions. Damien s’assit sur le canapé, et me demanda de me retourner. Nos admirateurs avaient une vue imprenable sur ma chatte, et ne se gênaient pas pour nous photographier. Je n’avais plus conscience du temps qui s’écoulait, tous mes sens étant accaparés par les vagues de plaisir qui parcouraient tout mon corps. Mais Hugo réclamait de profiter à son tour de mon minou, et les deux mecs inversèrent les rôles. Agenouillée en levrette, je sentis une nouvelle verge s’enfoncer en moi. Je n’abandonnais pas Damien, qui eut droit à son tour à une fellation passionnée. Ce petit jeu dura de nouveau plusieurs minutes jusqu’à ce que mes deux partenaires décident d’une nouvelle figure. Cette fois, Damien s’assit et, une fois que je fus empalée sur sa bite, Hugo vint me bouffer l’abricot et lécher mon clito. C’était délicieux ! Cette fois, je poussai de vrais cris !
« Oui, vas-y, suce mon petit bouton… Oh, c’est bon, c’est bon… Ah oui, Hugo, continue à me pilonner la chatte… !!!! »
Je jouissais, interminablement, secouée par des vagues successives, tandis qu’ils changeaient de nouveau de position. J’étais un jouet sexuel soumise à toutes leurs envies, à toutes leurs pulsions. Hugo me prit de nouveau en levrette, pendant que je suçais Damien. Ayant pris leur pied à plusieurs reprises avant de me sauter, ils se contrôlaient totalement. Je savais qu’ils ne déchargeraient pas avant que nous ayons assouvi tous les trois nos désirs. Comme s’ils avaient lu dans mes pensées, Hugo me murmura à l’oreille :
« Et ton petit cul ? D’après ce qu’on a vu avec le bosse, il aime être défoncé. »
« Oh oui, allez-y ! » répondis-je, incapable de dissimuler mon propre désir. Je sentis son gland remonter doucement entre mes fesses, effleurer ma rosette un court instant, avant de s’introduire lentement dans mon petit trou offert. Je feulais comme une chatte en chaleur, suçant toujours Damien, pendant que je me faisais enculer de plus en plus profondément. Puis Damien réclama son tour, et il me prit par derrière, avec sauvagerie, mais j’étais maintenant suffisamment dilatée pour goûter ce coït sauvage. Malgré ces assauts répétés, il me restait suffisamment de force et de désir pour une dernière position, celle que je préférais entre toute, depuis cette soirée en broîte de l’été dernier avec Carine, où je m’étais fait prendre pour la première fois en sandwich. Depuis les dernières grandes vacances, je n’avais pas eu l’occasion de goûter aux joies d’une double pénétration ! D’une voix assourdie et haletante, je m’adressai à mes partenaires.
« Je veux que vous me traitiez de salope ! Prennez moi tous les deux en même temps, par devant et par derrière ? « 
Damien s’allongea. Je m’empalai aussitôt sur lui, et Hugo vint se placer derrière moi. Il faisait durer mon attente, et je sentais son gland entre mes fesses.
« Tu la veux vraiment encore, dans ton petit trou ? »me demanda-t-il.
« ouiiii !!!!! »
Il me pénétra, d’un grand coup de reins, et mes deux partenaires se mirent à me tringler, en cadence. J’étais toute à ce plaisir de sentir mon corps, serré entre ceux des mecs, dans l’incapacité de faire autre chose que de s’offrir à ces bites qui entraient et sortaient de mon ventre.
Je les encourageais maintenant, criant.
« Oui, comme çà, allez-y ! Défoncez-moi, bourrez-moi bien ! »
Je jouis encore, mais je sentais que, cette fois, j’étais au bout de mes forces. Hugo et Damien, satisfaits, me regardèrent dans les yeux.
« Alors, Michèle, on t’a bien défoncé salope ! Maintenant, on va te couvrir de sperme ! »
Je ne pouvais plus rien leur refuser. Je m’agenouillai devant eux et, très vite, de longs jets de foutre éclaboussèrent mon visage. Je me laissais tomber sur le sol, vidée, au bord de l’évanouissement. Je sombrai tout de suite dans un profond sommeil. Le lendemain matin, le patron comme tous les stagiaires me félicitèrent de mon «  brio ».
Ce stage avait du être efficace, car la chaîne de magasins approuva quelques semaines plus tard le plan de communication que nous lui avions préparé. En aparté, le bosse me reçu dans son bureau pour un entretient très particulier et en même temps pour me féliciter de mon implication dans ce projet. J’avais même été remarqué par le PDG qui souhaitait que je pose pour les photos de leur prochain catalogue !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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