La série ne va pas être chronologique car en fait, c’est la toute dernière histoire qui m’est arrivée qui m’a enfin décidé à les écrire. Et donc, elle sera la première tout en étant la plus récente.
J’expliquerai un peu le contexte dans la prochaine histoire, mais rien qui n’empêche la bonne lecture et compréhension de celui-ci.
Levé un peu plus tard que la norme, nous sommes en août et je suis un peu tout seul à bosser dans ma boite… Je file sous la douche, m’habille et pars dans la foulée. Je décide de passer à la boulangerie me prendre un pain au chocolat en guise de petit déj mais je ne sais pas si mon habituelle est ouverte car ils étaient en congés.
Et oui, elle est ouverte. Je la préfère car on y est mieux servi et les produits y sont très bons. Bref.
J’entre, je suis seul, personne dans la boutique. 5 secondes plus tard la petite vendeuse arrive avec une fournée à la main et me demande ce que je veux.
Elle travaille ici depuis 8 mois, une toute petite vingtaine, blonde aux cheveux longs avec un maquillage un peu sombre, grande, mince et très fine de corps… et surtout avec un cul rond, d’allure très ferme, callipyge, contrastant avec la finesse de sa taille, toujours moulé dans des leggings noirs. J’avoue que c’est vraiment ce que j’avais … retenu d’elle… Jusqu’à aujourd’hui.
Elle m’apporte mon pain au chocolat et je pense à lui demander de me réserver pour ce soir un pain aux céréales tranché car à mon heure de retour, j’en ai rarement.
Elle se penche au comptoir pour prendre le carnet de réservation, se re-penche à nouveau pour tourner les pages et écrire mon nom et ma réservation. J’ai l’impression que ce court laps de temps est infini… et pour cause car mon regard est littéralement plongé dans le décolleté plus qu’ouvert de la jeune femme. J’y admire l’intégralité de son soutien-gorge, mais aussi et surtout de sa poitrine, de ses seins et même d’un téton… qui se révèle être de plus piercé…
Elle s’adresse à moi et, sortant de ma béatitude peu discrète, je lui demande de me répéter. Elle m’adresse un grand sourire avec un clin d’œil quand un client entre et que je lui dis que je passerai ce soir prendre la commande.
Je sors de la boulangerie l’esprit en ébullition. La coquine a bien vu que je l’avais maté et devait se douter de que ce j’avais pu admirer. Vus son sourire et son clin d’œil, il se pourrait que ce ne soit pas un accident ou du moins que ça lui plaisait. La journée commence plutôt bien…
Toute la journée j’ai l’image de ses jolis petits seins doux et … oulà… faut que j’arrête car là ça devient grave de chez grave quand même. Bref. Le soir je repasse vers 18h15 et elle est toujours là mais il y a beaucoup de clients dans la boutique. Elle me sert et je lui dis : « Bonne soirée, à demain. »
Je repasse donc le lendemain pour commander de nouveau bien sûr ! J’aurai pu le faire la veille au soir mais non… et là de nouveau seul avec cette charmante demoiselle. J’en profite pour discuter un peu et j’apprends qu’elle se prénomme Zoé. C’est improbable ça comme prénom me dis-je intérieurement, mais ça lui va bien je trouve. Elle me glisse discrètement que vendredi la boulangerie sera fermée (ça je le savais déjà puisque j’y viens souvent) et j’y vois une ouverture pour l’inviter à déjeuner. Je poserai ma journée car les nombreux sourires de la demoiselle m’incitent à penser que ça risque de valoir le coup. On se donne rendez-vous pour le vendredi midi près de la gare.
Elle est toute belle, petite robe assez légère, cheveux détachés, en m’attendant. Je l’admire puis décide de m’approcher d’elle. Je l’invite à un restaurant qui a une petite terrasse derrière ensoleillée. Nous discutons durant le repas mais très vite nos regards s’expriment pour nous et lorsqu’en conclusion je l’invite à prendre le café chez moi, elle accepte un peu trop vite peut-être.
A peine la porte de mon appartement passée la belle se jette sur moi et m’embrasse avec fougue et passion. Son parfum est fruité, sucré tel une confiserie que je ne vais pas tarder à déguster. Très vite je sens les mains de Zoé descendre, sortir ma chemise pour remonter sur mon torse, me griffer légèrement tandis qu’elle me mord la lèvre inférieure, puis le bouton de mon jean saute.
Et je sens sa main s’engouffrer et apprécier le contenu de mon boxer. Dans un élan de lucidité alors qu’elle commence à s’accroupir, je ferme à bout de bras la porte toujours ouverte et son claquement correspond pile au moment où la belle se retrouve à genou et baissant mon boxer d’un coup.
Mon sexe dur lui s’expose fièrement que déjà il est happé par cette petite affamée. Sa fellation est énergique, elle m’avale vite et quasi entièrement. Je ne sens que le va et vient de ses lèvres serrant bien ma queue. Je n’apprécie pas trop ça en général mais j’avoue qu’elle sait bien y faire. Je lui demande de ralentir un peu et là, sa langue prend le relais et elle sait très bien en jouant en me regardant dans les yeux. C’est divin. Elle reprend ensuite comme précédemment en couvrant abondamment mon sexe de salive.
-« Hum vas-y met la moi bien j’en ai trop envie là. »
Et elle entre dans mon salon pour s’accroupir sur le canapé et relevé sa robe sous laquelle j’admire enfin ses fesses offertes et nues. Pas de dessous, Zoé savait très précisément ce qu’elle voulait et je ne peux l’en blâmer. Sa magnifique paire de fesses s’offre à moi, bien galbée, jolie. Son petit trou brun orne son centre mais ça sera pour plus tard. J’ai une envie folle de plonger ma bouche et ma langue mais déjà elle écarte un peu les jambes et se met un doigt puis deux qui ressortent trempés. Sans réfléchir, que déjà je sens mon sexe pénétrer lentement sa chatte terriblement brûlante. Cela n’est pas tout à fait au goût de Zoé qui se rejette en arrière pour s’empaler d’un coup.
-« Hum, vas-y défonce moi. J’en ai trop envie. Je le mérite bien car j’allume mes clients. Vas-y à fond. »
Pas la peine de me faire un dessin. Je remonte encore sa robe. J’y vois un tatouage au bas du dos que je ne lui connaissais pas, et pour cause.
Je pose mes mains fermement sur ses hanches et j’entame une chevauchée fougueuse puis un pilonnage dans les règles. Zoé encaisse tout et à sa maitrise, je me doute qu’elle aime bien se faire ainsi prendre. Mon canapé, bien que compagnon d’aventure, supporte moins bien et grince et gémis sous mes coups de boutoir que se prend ma belle. Pour plus d’appui et de force, je pose mon pied droit dessus et mes mouvements sont plus puissants, profonds. Zoé entame alors une série de cris allant de plus en plus forts. Elle va ameuter tout l’immeuble et j’enfouis son visage dans le coussin. Je remarque alors qu’elle se caresse le clito et ça me fait redoubler de puissance et de cadence. Elle n’en peut plus et aime vraiment se faire prendre sauvagement et se faire dominer.
Je me retire alors pour la renverser sur le canapé en lui présentant mon sexe pour qu’elle me suce encore. Je lui retire d’autorité sa robe et la voici nue devant moi. Sa poitrine arrogante me fait face avec en effet son téton gauche piercé d’un clou. J’adore… mais pour plus tard… Son regard est sauvage, magnétique et elle me suce alors comme une folle.
-« Suce-moi bien. Salive moi bien car après je vais m’occuper de ton petit cul. Dès le premier jour que je t’ai vu je l’ai aimé. Et maintenant je vais te le prendre.»
Elle redouble d’effort puis se remet en levrette, très cambrée. Son cul ainsi en valeur est sublime. Dans un éclair, je prends mon smartphone et lui dis que je vais en faire un souvenir. Son acquiescement passe par un « hum » tandis que son majeur pénètre sa chatte rougie puis mouille et taquine sa rondelle qui s’assouplit très vite. Mon gland se pose puis sa rosette s’ouvre quand j’appuie de tout son poids. Je m’enfonce rapidement en elle sans entrave. La belle est une habituée de la petite porte. Instinctivement elle essaie d’impulser le mouvement et le rythme de la sodomie mais une claque sur les fesses lui indique que je vais gérer ça.
– « Ne bouge pas. Écartes tes fesses et profite. »
Elle obéit en séparant bien ses deux magnifiques globes avec ses mains. Sa pose est magnifique, d’autant plus qu’ainsi son visage est posé sur le dossier. Elle est complètement offerte et exposé à ma lubricité. Elle parait beaucoup apprécier que je la dirige, qu’elle me soit soumise. Peut-être ma future nouvelle soumise ? Je la reprends par sa chatte inondée puis la sodomise de nouveau, doucement les premières secondes puis assez sauvagement ensuite. Zoé crie puis mord dans le coussin du dossier. Je crains de lui faire mal mais je discerne dans ses hurlements étouffés des « encore » ou « plus fort putain.»
La situation, la belle, tout est exceptionnel et je ne tarde pas à sentir monter mon plaisir. Son superbe cul, bien serré est trop bon et va avoir raison de moi…Il y a tellement de choses que j’aurai voulu lui faire… la lécher, la goûter longtemps… jouer avec son piercing… tant de choses qui au final m’excite encore plus et je sens alors mon sexe tressauter et les premiers spasmes suivent très vite. Ma jouissance entre ses fesses se ponctue de derniers et puissants coups de boutoir dans son fondement un peu martyrisé pour finalement me répandre dans un cri de plaisir assez bestial.
Je reprends mes esprits, sors et m’assois à côté d’elle pour la prendre dans mes bras. Elle est tout groggy, un peu amorphe, les traits tirés et les yeux un peu rougis. Son maquillage a un peu coulé. Elle se tourne vers moi et me sourit en plongeant son regard dans le mien.
Il n’est même pas encore 15h et nous avons encore tout le temps devant nous pour nous amuser…
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