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Dunkerque, sans résistance…

Dunkerque, sans résistance…



Dunkerque, quand l’abandon succède à la résis
Vous comprendrez aisément qu’il ne s’agira pas ici de faire une fiche wikipédia sur la cité du Nord, ni de spoiler l’œuvre cinématographique qui est encore à l’affiche dans les salles mais plutôt de vous conter, maladroitement et encore dans l’émotion et l’agitation de la rencontre, les premiers instants d’une rencontre avec un merveilleux couple candauliste hier soir…

Je dialogue depuis quelques semaines avec « L », avec plus de parcimonie, mais régulièrement, avec son pygmalion.

Emprunt de jeux cérébraux, l’accroche s’est assez rapidement installée, tout aussi rapidement que j’ai pu être averti que la patience devra être une vertu cardinale et que le cheminement avant une hypothétique rencontre réelle pouvait être semé d’embuches.
Je ne suis pas un homme pressé, je ne m’en offusquais donc pas et la gente dame me comble allégrement avec des jeux cérébraux de haute facture, de clins d’œil subtils, sensuels qui peuvent très vite dérapés vers des échanges beaucoup plus décomplexés, voire hard core…

Et puis, jeudi midi, mon téléphone vibre : « samedi soir, on s’autorise une soirée en amoureux, ce sera sans doute cinéma et toi que prévois-tu ? Je reste perplexe. Simple information ou dois-je lire un message subliminal, fruit de mon envie croissante de la rencontrer ?

Hasard ou pure opportunisme de sa part, il s’avère que l’un des films envisagés fait parti de ceux je voulais absolument voir. Elle embraie très rapidement : « la séance est à 22h20 pour Dunkerque ». Je suis sur le qui-vive. Puisse-être une coïncidence ? J’affabule, elle désire me provoquer, rien de plus.

Joueur, je ne peux m’empêcher de demander très directement s’il s’agit d’une invitation. La coquine s’en sort par une ellipse qui me laisse sans véritable réponse… Je sais pertinemment qu’elle en joue et qu’un sourire doit être dessiné sur ses lèvres en m’imaginant expectatif et troublé.

Le dialogue se conclut et j’avoue ne pas entreprendre de relance volontairement sur le sujet, de privilégier un petit jeu provocateur.

Lorsque je m’installe pour assister à la projection, j’ai fait le choix de la séquence précédente et je lui fais part de ma présence dans le cinéma avec l’espoir de susciter chez « L » une pointe d’irritation, une moue de déception…

Elle me répond rapidement qu’elle sera à la suivante… et le film débute.

Je ne consulte jamais mon téléphone lors d’une séance de cinéma, c’est sacré mais cette fois-ci lorsqu’il vibre 2 fois, je ne résiste pas. Je découvre 2 clichés ( que je partage avec vous) : « petit aperçu de ce que tu pourrais croisé… »
Je m’agite et peste un peu, pour la forme, contre ce conditionnel… Elle se joue de moi… Je le sais… Pire, j’adore cela…
« Alors ce film? »… Bien évidemment, elle sait pertinemment que j’ai complétement perdu le fil par sa faute…

Je quitte la salle. Autant vous avouer que je parcours un certain nombre de jambes et de pieds avec le secrète espoir de croiser celle qui sait si bien toucher les cordes sensibles… Je vais de déception en déception… Ce n’est pas aujourd’hui que je croiserai son regard, me vautrerai sur ses courbes.

J’arrive à mon véhicule, frustré mais aussi amusé par ce jeu incessant qui maintient un lien excitant avec elle, avec eux…

« salle 12, rangée m places 14 et 15 »
L’information me fait défaillir car je mesure que l’invitation est désormais implicite, réelle… Cruelle alors que j’ai une contrainte d’agenda qui s’impose à moi…
Le coup est rude… Je tergiverse, peu de temps en fait… L’envie de les rejoindre est une évidence… et elle a su ferrer sa proie avec subtilité, je suis dans sa nasse…

Elle en rajoute une couche « ce que je te reprocherai le plus c’est que tu ne saisisses pas l’occasion »… La mise au pilori est totale…

Je règle mon souci d’agenda, j’achète une nouvelle place, choisis une place à leur côté mais silence radio, je ne lui en dis rien, prends mon temps et laisse mariner je sais que les bandes annonces me laissent de longues minutes pour qu’elle cogite, qu’une pointe de déception continue à l’éteindre…

Je me décide enfin à entre dans la salle. Je sais pertinemment où ils sont… J’imagine qu’elle a observé avec attention toutes les entrées espérant fébrilement me voir…

Pour ma part, la montée des marches est interminable. Je ne sais pas s’ils m’ont vu, comment ils vont réagir… Ils sont collés serrés l’un à l’autre, lovés amoureusement…

Ne suis-je pas l’empêcheur de tourner en rond…

Je la sais timide, je m’installe à ses côtés et un rapide dialogue d’avant film se met en place… Je me sens penaud, elle est plus jolie, sexy et séduisante encore que ne le laissait deviner ses photos…

Le film débute… Ils sont toujours l’un contre l’autre… Son visage d’ange, son joli décolleté sensuel et sa jupe recouvrant à peine le haut de ses bas me mettent en émoi…

J’ose l’effleurer… Pas de repli, de réactions de rejets… Le contact avec sa peau douce est électrique… Ses fragrances sucrées agacent mes sens…

Je sais le petit a****l espiègle et très sex qu’elle sait être… Celle à mes côtés transpire la sensualité, un charme fou et une timidité qui appelle à la plus grande délicatesse.

Malgré tout, nos échanges tournent en boucle en moi : derrière ce joli visage qui rougit lorsque je la regarde, ces lunettes qui lui donne l’image d’une femme sage, se cache un démon assumé, une femme libre et libérée qui s’affiche comme aimant être la petite salope qui affole un mâle…

Je me fais plus présent, laissent courir mes pulpes de doigts sur les moindres interstices de peau que je puisse parcourir et les plus sensibles… intérieur de bras, visage, nuque… Je la sens se détendre et son souffle se faire plus court…

Petit à petit je l’observe s’éloigner de la protection bienveillante de son homme qui se concentre sur le film tout en jetant de temps en temps un regard de contrôle…

Je lui parle doucement à l’oreille, laisse la pulpe de mes lèvres glisser sur son épaule, sa nuque histoire qu’elle frémisse, att**** son lobe pour le titiller, le suçoter… lui suggérer qu’il pourrait s’agir de son clito qui subisse les mêmes outrages… Cette simple évocation la fait trésaillir

Je poursuis mes arabesques sur ses cuisse, flirtent avec ses bas, parcourent les courbes de ses seins lourds… elle m’avoue malicieusement qu’elle pense avoir pris une taille de bonnet… Je profite de mes grandes mains pour trouver la confirmation que le gabarit était à la hauteur…

Les premiers baisers furent à fleurets mouchetés, de petits effleurements, des lèvres humides qui se touchent à peine… Exquis, sensible, doux…

Autant dire le déroulé du film avait disparu de mes préoccupations : seul le plaisir de ma charmante voisine comptait…

J’aime varier les plaisirs : à la douceur a donc succéder une touche de fermeté, de prise en main… Saisie plus ferme de ses poignets, main qui enserre son cou offert pour l’inviter à m’embrasser moins chastement, saisie par les joues pour ouvrir sa délicieuse bouche et l’investir de ma langue avide et intrusive… Lui lécher le cou, la joue et la bouche pour lui rappeler combien elle aime me rappeler qu’elle pourrait se faire chienne… L’embrasser à nouveau, l’empaler dans un bouche à bouche où les langues s’enlacent longuement… saisir ses cheveux longs pour qu’elle ne songe pas un seul instant à la fuite puis… l’abandonner et revenir à des caresses douces… tantriques, câlines…

Au fil des minutes, des caresses incessantes, des mots doux puis très crus, des baisers, elle s’est peu à peu détacher de son Autre pour se coller à moi, me caresser…

Je lui ai glissé la main entre mes cuisses pour lui rappeler un deal que nous avions : je ne banderai pas pour la prendre tant qu’elle n’aurait pas joui à plusieurs reprises, ait giclé sous l’action de mes doigts…

Cette superbe garce a su néanmoins susciter un instant instinctif puissant et violent où notre a****lité est entré en communion et m’arracher de vives tensions… Un bref instant, un marqueur et véritable teaser de ce que nous pourrions vivre dans un lieu plus approprié.

Dans l’abandon qui s’est saisi d’elle sans qu’elle s’en aperçoive, ses cuisses se sont ouvertes laissant ma main glissant entre elle… La chaleur qui irradiait de son ventre était intense, la dentelle de ses sous-vêtements était humide et baveuse… J’ai pris soin de rester à fleur, glisser sur le tissu puis porter devant elle avec provocation mes doigts pour humer ses fragrances puis les gouter en les suçant avant de les porter à sa bouche… c’est étonnant comment elle a su faire passer le message de ses talents de suceuse et combien les jeux de bouche et de langue étaient son art…

Le film fut trop court… Je ne vous délivre ici qu’une infime partie d’un instant d’une sensualité rare, d’une véritable complicité à 3 et je l’espère, prémices, d’un feuilleton de chavirements des sens à venir…

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