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Élisabeth

Élisabeth



Légèrement vêtu en ce mois de mai magnifique, Vincent se hâtait vers l’appartement familial. Son sac dans le dos, il marchait rapidement, faisant à peine attention aux passants qu’il croisait et qui flânaient en profitant du soleil déjà chaud. Arrivé chez lui, il monta quatre à quatre les escaliers, négligeant l’ascenseur, et pénétra en coup de vent dans l’appartement.

Sa mère lisait dans le salon. Il l’embrassa rapidement sur la joue et disparut dans sa chambre en fermant la porte à double tour. Elizabeth ne chercha pas à l’arrêter. Elle s’habituait difficilement à voir grandir ses enfants. Pourtant elle avait quarante-cinq ans. Déjà quarante-cinq ! pensait-elle. Mais l’aînée Agnès avait gens aurait dû lui donner la conscience de sa maturité. Ce n’était pas le cas ! Lorsqu’elle se contemplait dans une glace, elle n’éprouvait que le plaisir de ses formes rondes et sensuelles, et elle voyait la femme avant de voir la mère. Cependant elle devait gérer les problèmes au quotidien car son mari, constamment en voyage d’affaires, lui laissait tout le poids de la gestion de la famille. Charles avait quinze ans de plus qu’elle. Si au début cette différence d’âge n’avait pas posé de problème, elle commençait à devenir pesante car, pris par ses affaires sans doute, il ne la touchait plus guère. Au début elle s’était posée des questions sur sa capacité à susciter ses envies. Mais dans la rue des hommes se retournaient encore sur elle, surtout lorsqu’elle s’habillait de tenues courtes et légères qui mettaient en valeur ses jambes et de corsages légers.

Au fait, pourquoi Vincent s’était-il à nouveau enfermé dans sa chambre ? Il avait pris cette habitude depuis quelques temps. Elizabeth ne s’en était pas mêlée, estimant que ce genre d’attitude n’était pas de son ressort. Elle pensait qu’à quatorze ans il devait avoir ses secrets intimes. Rêver à sa copine ou à une autre fille rencontrée hier ou le matin même. Evoquer son corps, ses seins, ses jambes. Peut-être même se masturber comme le font les adolescents lorsque le désir leur vient sans qu’ils puissent l’assouvir autrement… Elizabeth ne croyait pas si bien dire, et tandis qu’elle se replongeait dans sa lecture, Vincent, à demi allongé sur son lit s’adonnait au plaisir solitaire. Il avait encore devant les yeux, l’image qui avait déclenché cette irrésistible envie de se masturber. En sortant de ses cours, il était allé prendre un pot avec des copains à la terrasse d’un café. A peine installé, il avait repéré, à quelques mètres de lui, un peu à l’intérieur et en position surélevée, une superbe fille qui discutait sans grande conviction avec un quadragénaire. Elle avait les cuisses largement découvertes par sa courte jupe plissée, et un corsage bien décolleté sur une paire de seins bronzés et pleins. Quand elle vit que Vincent la regardait avec insistance, elle se mit à croiser et décroiser les jambes. Puis elle les ouvrit carrément pour mieux s’exhiber, offrant à Vincent une vue imprenable sur un minuscule slip rouge et noir, d’où il lui semblait apercevoir quelques touffes mutines de poils noirs qui s’échappaient. Immédiatement Vincent avant senti sa verge durcir contre son ventre. Il tenta bien de croiser le regard de l’inconnue, mais celle-ci l’évitait et ne semblait préoccupée que de son verre et un peu de son compagnon de table. Ce fut ce dernier qui se leva le premier. Vincent les suivit à quelques mètres, les yeux braqués sur la croupe de la fille qui se déhanchait plus que de raison balançant sa mini plissée ce qui découvrait ses jambes jusqu’au pli de la fesse. Rien de nouveau ne se produisant, Vincent avait fini par se lasser de les suivre. Mais la vision persistait, aussi était-il rentré très vite.

Dès qu’il fut dans sa chambre il se débarrassa de son pantalon et de son slip, découvrant une bite à demi bandée et des couilles bien gonflées. Il avait une queue de bonne taille, déjà bien longue et bien grosse pour ses quatorze ans. Il s’allongea sur le lit, sortit d’un tiroir un cahier noir qu’il ouvrit au milieu, découvrant la photo d’un sexe de féminin photographié en gros plan. La femme écartait elle-même les poils noirs, offrant aux yeux fiévreux de Vincent une chatte rose et luisante de mouille. Vincent prit sa queue en main. Il était déjà bandé à bloc et battait à petits coups sur le ventre du gamin. Sur un rythme rapide, il se mit à découvrir puis recouvrir le gland de sa gaine de peau. Son excitation montait rapidement car il identifiait l’image qu’il avait sous les yeux à celle de l’inconnue exhibitionniste. Il accéléra la cadence et se coucha sur le dos lorsqu’il sentit venir l’éjaculation. Elle vint, brutale et violente. Un long jet blanc, chaud et gluant gicla de son sexe, immédiatement suivi par d’autres qui tous vinrent maculer son torse puis son ventre. Vincent, les yeux fermés, le visage congestionné, jouissait pleinement de cette décharge. Ses lèvres laissèrent échapper une faible plainte et il serra son sexe plus fort. Petit à petit le calme revint. Il prit un mouchoir dans la table de nuit et s’essuya, humant avec satisfaction l’odeur poivrée du sperme qui avait envahi la pièce.

Ses sens en partie assouvis, Vincent après avoir remis ses vêtements quitta sa chambre pour se rendre dans le salon où sa mère était toujours plongée dans sa lecture. Bien calée dans son fauteuil, Elizabeth abandonnée avait les cuisses assez largement ouvertes. En s’installant dans le canapé en face d’elle, Vincent put apercevoir un peu du ventre d’Elisabeth ainsi qu’une ombre noire qu’il identifia comme étant sa culotte et sans doute le haut de sa toison pubienne. Malgré un sentiment confus de honte il pensa en lui même – C’est vrai qu’elle est bien fichue! J’aimerais bien la voir à poil. Elle doit être chaude. Cette pensée l’excitait. Très porté sur le sexe, Vincent était plutôt timide. Jusqu’à ce jour il avait vécu tous ses fantasmes dans sa tête. De ce fait il était de tempérament un peu voyeur. Il décida donc de surveiller sa mère afin de la surprendre le plus possible dans son intimité et de jouir si possible de la vue des parties les excitantes de son corps. L’idée lui vint assez vite de percer un trou dans la cloison qui séparait sa chambre de la salle de bain familiale pour observer ce qui s’y passait. Il profita d’être seul un samedi pour ce faire. Il perça la cloison derrière le miroir surplombant le lavabo et ôta le tain de la glace. Il camoufla ensuite l’ouverture avec un cadre accroché au mur de sa chambre. Le soir suivant il était donc à son poste d’observation. Ses sœurs entrèrent l’une après l’autre sans qu’il puisse apercevoir le moindre bout de sein. Enfin vers 22 heures sa mère entra et entreprit de se déshabiller. Vincent vit surgir d’un soutien-gorge arachnéen deux seins lourds et veloutés qui donnaient vraiment envie de les caresser, de les embrasser à pleine bouche. Lorsqu’elle fit glisser sa jupe, Vincent découvrit le ventre très légèrement bombé et au-dessous le pubis renflé orné d’une toison noire abondante. – Ah ! la salope, putain comme elle m’excite ! murmura-t-il tandis que sa main prenait possession de sa bite et commençait à la masturber doucement. Elizabeth se campa devant la glace, dénoua ses cheveux, puis complaisamment se massa les seins dont les pointes dardèrent avec insolence vers Vincent dont l’excitation augmentait de minute en minute. Elle laissa courir ses mains sur ses flancs, sur son ventre pour descendre vers l’entre-cuisses qu’elle caressa d’un doigt léger. Cette simple caresse lui arracha un gémissement. Dieu qu’elle avait envie d’un homme. Lentement elle se frotta le clitoris tandis que son autre main caressait doucement la courbe de son sein, avant de pincer délicatement le téton qui bandait sous l’effet de la caresse et de l’excitation.

Vincent était subjugué par cette vision de sa mère en train de se caresser : – Bon sang, mais elle se branle aussi ! pensa-t-il, et sa propre main accéléra son mouvement de va et vient. Si elle savait que nous sommes face à face en train de nous branler… Elizabeth ne se rendait évidemment compte de rien et continuait à se masser le clitoris et à faire pénétrer périodiquement deux doigts dans son vagin qui commençait à devenir brûlant et duquel suintait maintenant quelques gouttes de liqueur vaginale. – Oh que c’est bon! pensait-elle, mais un bon gros paf serait bien meilleur ! Ma chatte me brûle et je suis obligée de me jouer un solo de guitare comme une collégienne. Ah! Charles tant pis pour toi, me délaisser ainsi te mènera tout droit à être cocu, car j’ai une envie folle de baiser. Le premier qui voudra de moi sera le bon. Vincent de son côté voyait sa mère se donner du plaisir, et son excitation augmentait. Brusquement il sentit venir la jute. Il s’éloigna du mur, s’allongea sur le lit, tira un mouchoir de la table de nuit, et en quelques coups de poignet acheva son œuvre. Le sperme jaillit violemment et gicla sur le corps du gamin jusqu’à son visage. Jamais encore il n’avait joui aussi fort. Oubliant toute prudence il cria son plaisir.

– Putain que c’était bon ! Ah la salope! cria-t-il en pensant à sa mère en train de s’astiquer la chatte.

Elizabeth entendit ce cri venant de la chambre de Vincent. Que se passait-il ? Elle cessa brusquement sa caresse et enfila son peignoir sans prendre la peine de le fermer. Elle sortit de la salle de bains et pénétra brusquement dans la chambre contiguë. La lumière étant éteinte, elle alluma et vit son fils nu, étendu sur son lit, avec la verge et qui tressautait encore au rythme de l’éjaculation et le corps maculé de traces blanches. Elle ferma la porte et s’approcha du lit. Elle était émue de voir cette verge à demi bandée qui portait encore au méat une grosse goutte blanche, épaisse. Mue par une intuition, elle se dirigea vers le mur, y vit le trou et comprit en un instant ce qui s’était passé. Elle vint alors s’asseoir sur le lit près de Vincent qui reprenait pied avec la réalité, et ne se privait pas de contempler les trésors que lui dévoilait le peignoir ouvert et pour lesquels il venait de décharger tout son sperme. Un peu gêné quand même, il ne bougeait pas, attendant la suite.

– Ainsi tu as percé le mur pour me surprendre, dit Elizabeth. Et de plus tu te masturbes en regardant ta mère !
– Toi aussi tu te caressais, dit Vincent, je t’ai vue !
– Oui mais moi je suis une femme ! Et toi tu es un enfant !
– Ce n’est pas vrai, j’ai 14 ans ! Et puis regardes dit-il en montrant les nombreuses traces de sperme répandues sur son corps.

C’est vrai que c’est un homme à cet âge, pensa Elizabeth. Il a déjà une belle queue !
Puis tout haut: – Tu te masturbes souvent ?
– Oui! J’ai pas encore de copine… Mais c’est la première fois en te regardant… C’était bien bon ! ajouta-t-il en murmurant.

Emue par cette déclaration et par ce jeune corps tout neuf, Elizabeth se sentait attiré par le sexe de son fils qui d’ailleurs bandait à nouveau. En effet, le gamin, mis en confiance par l’attitude de sa mère et émoustillé par la vision de ces seins, de ce ventre, de ces cuisses largement dénudés, sentait son désir renaître.

– Et tu aimes te masturber, demanda Elizabeth d’une voix rauque.
– Euh, oui! Quand je te vois nue et que je ne peux rien faire de mieux. Mais je préférerais faire l’amour avec une femme… Que tu es belle!…C’est avec une femme comme toi que j’aurai envie de baiser. Ce doit être merveilleux!
– Mais je suis ta mère ! s’exclama-t-elle. Cette réponse était une ultime défense contre son trouble.
Au fond d’elle-même elle pensait:  » Je ne peux pas faire ça avec mon fils…Pourtant je m’enfilerais volontiers cette jeune pine. Je sens que je mouille et qu’une queue bien bandée me ferait jouir très vite. »

Vincent s’excitait de plus en plus. N’y tenant plus, il reprit sa verge pour se branler à nouveau.

– Non! s’écria la femme sans réfléchir.
Dans le même temps sa main se posa sur celle de Vincent pour arrêter son geste. Mais celui-ci plus rapide l’avait déjà retirée, et brusquement elle eut en main cette bite déjà dure, qui se dressa encore un peu plus sous la douce caresse. Il y eut un moment de flottement pendant lequel elle hésita… Puis ses sens, ses pulsions de femme sensuelle frustrée furent les plus forts, et tout doucement elle se mit à le caresser sans plus penser à autre chose qu’à cette queue dont elle avait une envie folle. Pour Vincent l’instant était magique mais l’excitation était trop forte. Il ne put se retenir, et sous la caresse d’une infinie douceur, il éjacula violemment, projetant du sperme sur son torse, son ventre et maculant les doigts de sa mère.

Il gémit, puis confus s’excusa : – Je suis désolé… c’était trop bon !
Elizabeth sourit : – Ce n’est rien… Attends dit-elle très émue. La verge de Vincent n’avait pas débandé. Elizabeth était dans un état second. Ce sperme qui avait jailli comme d’une fontaine, ce sperme dont ses doigts étaient encore englués, lui avait enlevé toutes ses dernières réticences. Sans lâcher la verge, elle enjamba le gamin. Puis elle redressa la tige bien dure pour la présenter à l’entrée de son sexe qui mouillait abondamment et lentement elle s’empala dessus, le faisait coulisser jusqu’au fond de son vagin avec facilité, les sécrétions de leurs deux sexes rendant la pénétration onctueuse à souhait.

Vincent grogna de contentement : – Oh Maman, c’est bon! c’est chaud! c’est doux! Je te sens bien!

Ce cri du cœur acheva de rendre la femme folle de désir. Que c’était bon cette bite au plus profond d’elle. Depuis plusieurs mois Charles ne lui avait pas fait l’amour, et maintenant elle se vengeait en baisant avec son fils qui de plus l’appelait Maman. A genoux, elle montait et descendait, faisant entrer et sortir de son vagin parfaitement lubrifié la bite de son fils le long duquel coulait le foutre qui suintait continuellement de son sexe.

– Ah ! Petit salaud, tu voulais baiser, et bien tiens, tiens, prends ça….Tiens, tiens, tu sens ma chatte autour de ta bite ? Tu sens mon foutre qui coule ? Tu vas encore jouir hein ? Tu vas me faire gicler ta jute dans la chatte hein ?… Qu’elle est bonne ta queue, hum…

Vincent était au ciel. Il sentait sa verge enserrée par ce chaud fourreau, et les mots obscènes de sa mère jouaient sur sa libido. Il se mit à caresser les seins qui oscillaient au rythme de son baisage. Il s’amusa quelques temps à agacer les bouts qui se dressaient fièrement.

Puis il lui mit ses mains sur les fesses pour accompagner le mouvement d’Elizabeth. – Est-ce que tu jouis, demanda-t-il, Tu aimes ma queue…Maman ?
– Oui petit salaud tu la fais bien jouir ta mère ! C’est bon quand tu me pelotes les fesses… Essayes de me mettre un doigt dans le cul… Là, oui mets-le!… Ah tu m’excites, c’est bon, ouiiii, branles-moi le cul avec ton doigt. J’aime ça, ouiiiii! Je jouiiiis…

Elizabeth avait crié les derniers mots. Son corps s’était tendu, puis elle s’était mise à trembler des pieds à la tête. Les parois de sa chatte se serraient et s’ouvraient convulsivement sur le sexe du gamin. Après quelques secondes d’arrêt, elle reprit sa chevauchée, ce qui eut pour effet de libérer de longues coulées de foutre qui se mirent à couler sur la verge puis sur les couilles de Vincent. Ce dernier qui avait pu résister grâce au fait qu’il avait déjà déchargé deux fois, sentit à nouveau qu’il allait éjaculer. Prenant à deux mains les hanches de sa cavalière, il lui imposa un rythme plus rapide, jusqu’à ce qu’il décharge violemment. Elizabeth sentit la verge tressauter et le sperme gicler en elle. Un deuxième orgasme la submergea, et elle s’affala sur la poitrine de Vincent qui gémissait de plaisir. Son corps fut parcouru de secousses violentes comme des décharges électriques pendant de longues minutes. Heureuse, elle posa ses lèvres sur celles du gamin, et ils échangèrent un long baiser d’amant.

– Ah, c’était bon, dit-elle, tu as bien juté. Ton sperme était chaud et épais à souhait. J’ai bien envie de lécher ce qui reste sur ta queue. Aussitôt dit aussitôt fait. Elizabeth se retourna, présentant à son amant sa chatte inondée de leurs sécrétions mêlées, gluantes à souhait, tandis qu’elle s’emparait de la jeune bite pas tout à fait débandée et enduite du même mélange qu’elle se mit en devoir de nettoyer avec la langue. Elle commença par lécher le sexe à petits coups. Puis, ouvrant la bouche, elle enfourna la totalité de la bite. La peau lui parut d’une douceur infinie. Vincent gémit lorsque son gland encore tout sensible de l’éjaculation récente vint frotter contre le palais de sa mère.

– Suces-moi la chatte! Suces-moi! gémit-elle.

Il s’exécuta, enfouissant son visage entre les cuisses ouvertes. Il colla ses lèvres sur les lèvres basses et sa langue pénétra dans le vagin pour recueillir les sécrétions gluantes de leur jouissance. Son nez frémit en sentant l’odeur musquée de l’amour, et ses coups de langue se firent plus rapides. Elizabeth gémit sous la caresse qui la fouillait. En plus il lui pelotait les fesses, et se souvenant sans doute de ce qu’elle avait réclamé précédemment, il lui mit un doigt dans l’anus. Cette nouvelle stimulation fut décisive pour la femme. Sa chatte était prête à jouir. Dans sa bouche, la pine bandait à nouveau. Elle accéléra sa fellation tout en pressant doucement les testicules dans sa main. Vincent de son côté continuait à fouiller de la langue le vagin en feu, provoquant un petit bruit obscène « flip, flap, flip, flap ». Ce superbe 69 dura encore quelques minutes, et ce fut Vincent qui le premier rendit les armes. Elizabeth sentit la verge se gonfler et quelques gouttes giclant du méat vinrent couler dans sa bouche. Elle avala le tout avec délices. Vincent, en jouissant avait abandonné son gougnotage.

– Suces-moi, suces-moi! Je vais te faire boire mon foutre. Courageusement Vincent se remit en action. Il aspira le clitoris entre ses lèvres et mordilla doucement ce bourgeon de chair tendre et chaude. Le résultat ne se fit pas attendre et un petit jet de foutre vint couler sur sa langue. Elizabeth jouit la tête posée sur le sexe de son jeune amant, tandis que celui-ci recueillait précieusement la bonne liqueur qui lui maculait les lèvres et le menton. Plus tard, lorsqu’ils eurent repris contact avec la réalité, Elizabeth attira Vincent contre sa poitrine:

– Merci mon chéri, tu as été merveilleux. Tu sais, si quelqu’un savait ce serait un scandale. Gardes ça pour toi, ok ?
– Oui M’man, dit-il en plaisantant. Nous recommencerons n’est ce pas ?
– D’accord ! Je t’apprendrais plein de trucs. Ca te servira pour les copines.
– Oh ! les copines tu sais. J’en manque plutôt
– Alors je vais m’occuper de ta sexualité mon bonhomme.

Elizabeth avait son idée en disant à Vincent qu’il aurait bientôt l’occasion d’exercer ses talents de baiseur. Elle avait en effet une amie très intime qui était dans une situation tout à fait similaire à la sienne. Denise avait aussi épousé un homme plus âgé, déjà pourvu de deux grands enfants. Et surtout, pour elle aussi, il était difficile, à 46 ans, d’admettre que les ardeurs maritales soient à mettre sur le compte des souvenirs. D’origine belge, elle avait un corps qui laissait penser à la plénitude des femmes de Rubens. Dotée par ailleurs d’un tempérament volcanique, ses superbes rondeurs alliées à son goût et ses aptitudes pour les joies du sexe avaient séduit de nombreux hommes avant qu’elle ne rencontre son mari. Ce dernier avait succombé aux mêmes charmes et en avait beaucoup usé. Satisfaite sur le plan physique et très à l’aise sur le plan matériel, Denise était restée fidèle. Mais la situation s’était singulièrement dégradée depuis quelques temps. C’est en partageant quelques confidences intimes, comme seules les femmes savent le faire, qu’elles avaient découvert leur frustration commune. Depuis les deux amies avaient échafaudé des plans pour remplacer leurs maris défaillants, mais aucun n’avait abouti jusqu’à présent. Elles avaient aussi envisagé de se livrer ensemble aux plaisirs de Lesbos, mais le cœur n’y était pas.

Comme le disait Elizabeth à Denise : – Je te brouterais le minou avec grand plaisir, mais tu comprends, il me faut une certaine ambiance. Ce serait plus facile si, en même temps, un type avec une bonne grosse pine me prenait en levrette ! Une telle complicité impliquait forcément qu’Elizabeth ne puisse rien cacher, même pas ses amours i****tueuses, à son amie. Elle était d’ailleurs tout à fait prête à partager les ardeurs juvéniles de son fils avec sa compagne d’infortune. Dès le lendemain, lorsque Denise vint lui rendre visite, elle s’empressa de lui conter son aventure.

– Tu n’imagines pas ce qui m’est arrivé hier, ma chérie ?
– A voir ton air radieux, je me demande si tu n’as pas fait l’amour ? On dirait que tu as les yeux qui suent le sperme. Ton mari s’est réveillé ? Tu as pris un amant ?
– Non, non, tu n’y es pas du tout… Enfin pas tout à fait dit Elizabeth en riant. D’ailleurs tu ne trouveras pas… Imagines-toi qu’hier soir j’étais dans la salle de bains, nue, et que bien excitée, je m’étais mise à me donner du plaisir. Au bout d’un moment j’entends un cri dans la chambre qui jouxte la salle de bains. Je me précipite, et je trouve mon fils, nu sur son lit, le corps maculé de sperme, et la verge encore frémissante de plaisir. Il avait fait un trou dans le mur et m’avait surprise en pleine masturbation. Apparemment c’est ce qui l’avait incité à en faire autant… Et là, je ne sais si c’est la vue de cette jute répandue sur son torse, sa bite à demi bandée, ou le vertige des odeurs, mais je me suis retrouvée en train de lui caresser le sexe et j’ai perdu le contrôle… Ses ardeurs réveillées, nous avons fait l’amour ! Ca faisait si longtemps…Q
– Quoi ? Tu me dis que toi Elizabeth tu as vraiment baisé avec ton fils ? Tu veux vraiment dire qu’il a mis sa queue dans ta chatte ?
– Eh oui ! Et nous avons fait des tas d’autres choses. Et il a déchargé plusieurs fois… Trois fois en une heure pour être précise. Ce n’est pas mal, n’est-ce pas ?
– Ca alors, toi tu ne manques pas de culot ! Tu te rends compte que c’est ton fils avec qui tu as baisé ? Et vous avez fait « des tas d’autres choses »
– Veux-tu dire que tu lui as sucé la queue par exemple ? Visiblement Denise prenait plaisir à décrire la situation. Inconsciemment elle se conditionnait pour profiter de la suite en se saoulant de mots crus.
– Euh! oui… On a fait l’amour quoi… Donc tout ! Enfin presque tout ce qu’un homme et une femme peuvent faire quoi ! …
– Mais c’est un ado
– Je te jure que c’est un homme, un vrai ! Bien équipé et tout et tout ! Juste un peu timide, c’est tout ! Ca te choque tant que ça ?
– Non mais…..Tu comptes recommencer ?
– Bien sûr ! Tu sais que ce petit salaud m’a drôlement fait jouir… Il est doué. A moins que ce soit les circonstances. Dans tous les cas il faut recommencer soit pour vérifier soit pour en profiter… Mais je crois que c’est un bon coup… Et puis, avec lui j’ai tous les avantages en fait : je l’ai sous la main, si je puis dire. Personne ne s’imaginera que c’est mon amant. Je me venge de l’attitude de son père, et je le forme comme je veux… Et en plus je suis certaine que nous y prenons l’un et l’autre beaucoup de plaisir.
– Tu as sans doute raison Babette, mais je ne me vois pas faire la même chose avec Didier.
– Tu as tort, il est pourtant mignon aussi ton fils, non ?
– Oui, oui ! Mais je ne pense pas qu’il s’intéresse à moi au point de faire des trous dans le mur… Mais au fait pourquoi m’as-tu raconté tout ça ?
– D’abord parce que tu es mon amie et que nous n’avons pas de secret l’une pour l’autre. Ensuite parce que je voulais te proposer de profiter de l’aubaine.
– Tu veux dire que tu me proposes de coucher avec ton fils ? … Enfin ton fils ?
– Oui, pourquoi pas ? Je veux continuer à avoir des relations sexuelles avec lui, mais je ne veux surtout pas qu’il s’amourache de moi. C’est le gros danger à son âge. Il faut donc rapidement que je ne sois plus la seule avec qui il baise. Ca serait très malsain si c’était le cas. Tu sais que je ne veux surtout pas mélanger le sexe avec les sentiments. C’est pourquoi j’ai été si prudente jusqu’ici malgré mon désir de prendre un amant. Les hommes croient toujours que les femmes sont avant tout sentimentales, mais il y en a aussi qui veulent simplement s’envoyer en l’air sans complications. Dans le cas de Vincent, il faut qu’il comprenne que nos relations intimes se limitent uniquement au plan sexuel. Si tu fais partie du jeu, ça sera le cas. De plus, toi tu as aussi de l’expérience, des fantasmes, des envies. Tu pourras lui apprendre d’autres choses que moi…. Et puis j’espère bien que nous ferons des parties à trois. Tu sais, je t’ai toujours dit que faire l’amour avec toi uniquement me frustrerait, mais si nous avons un homme, ça change tout. J’ai bien envie de te faire des choses, ma chérie… Alors qu’en penses-tu ?

Denise se mit à rire nerveusement.
– Alors là ma chère, tu me sidères littéralement. Depuis plusieurs mois je cherche tous les moyens possibles pour que tu acceptes de m’aider à tromper nos maris. Tu refuses sous divers prétextes plus ou moins moraux, et maintenant tu me proposes une partie à trois avec ton fils. Veux-tu faire ça dans le lit conjugual ?.. Tu es redoutable ma fille !… Mais après tout pourquoi pas ? Tu as raison, et j’aurais tort de ne pas en profiter. J’accepte !… Mais comment vas-tu présenter la chose ? Tu vas lui dire : « Vincent, tu connais mon amie Denise ? Je te prie de bien vouloir la baiser, et tout à l’heure je vous rejoindrai »?
– Non quand même pas. Il faut prendre quelques précautions avec les jeunes de cet âge. Je ne veux pas avoir l’air de t’imposer. Il faut qu’il te choisisse.
– Merci d’y avoir pensé ! J’ai cru un moment être une femelle que l’on menait au mâle.
– Ca te gênerait tant que ça ? Le but ma chère, c’est quand même qu’il te baise… et qu’il te satisfasse non ?… Mais ne t’en fais pas j’ai un plan. Tu vas le séduire toi-même. Je vais t’expliquer…
– Décidément tu as tout prévu. Et tu as aussi prévu de venir nous rejoindre lorsque notre duo amoureux sera bien entamé ?
– Eh oui ! C’est indispensable pour qu’il sache bien que ce qui nous a réunis, c’est uniquement une histoire de fesses. Il faut qu’il comprenne que seul le cul m’intéresse, c’est essentiel
– OK, je m’incline ! Maintenant dis-moi où ? quand? comment? Ca commence à m’exciter tes petites histoires, j’ai du temps à ratt****r, moi. Je te jure que je vais lui en mettre en plein la vue et en profiter un maximum. Tâche de ne pas arriver trop tard, car tu risques de le trouver bien flasque ton jeune baiseur.

Le lendemain, Vincent n’ayant pas cours l’après-midi, était rentré vers 14 heures. Il avait embrassé sa mère sur la joue, mais avec une certaine gêne, ne sachant quelle attitude adopter. Elizabeth n’avait rien dit, rien manifesté. Une demi-heure plus tard environ, on sonna, Denise était là, souriante et particulièrement sexy. Elle portait une mini plissée qui oscillait autour de ses hanches quelque peu généreuses. Ses jambes étaient mises en valeur par de longues bottes blanches. Quant à sa poitrine, elle semblait vouloir jaillir du corsage. Denise comme beaucoup de femmes un peu rondes avait une poitrine pleine avec une large assise qui la maintenait très droite sans le support d’un soutien gorge. C’était le cas ce jour-là et les pointes dressées apparaissaient nettement en relief. Elizabeth la contempla en souriant : – Ben, ma chère, si les yeux ne lui sortent pas de la tête… Les deux femmes discutèrent un quart d’heure, puis Elizabeth alla prévenir Vincent qu’elle sortait pour un court rendez-vous.
– Denise est là mon chéri, tu veux bien lui tenir compagnie ? Je n’en ai pas pour longtemps. Vincent vint donc au salon, et la tenue de Denise lui fit immédiatement l’effet escompté. Elle était debout devant lui, et il crut que ses seins allaient lui sauter au visage.
– Bon sang comme elle est gaullée pensa-t-il. Je ne sais pas où elle va la Denise aujourd’hui, mais je ne l’avais jamais vu aussi sexy. Si je pouvais me la faire… Elle n’a pas de soutif… Si ça se trouve elle n’a pas de culotte non plus… Peut-être qu’elles ont toutes le feu au cul à cet âge-là? Vincent ne croyait pas être si bien dire en parlant d’absence de culotte. Il en eut la preuve quelques minutes plus tard lorsque Denise se fut installée à demi assise sur un tabouret près du bar. Cuisses écartées, jupe relevée en haut des cuisses, elle dévoilait avec une totale impudeur sa toison blonde et abondante. Vincent assis en contrebas sur le canapé ne pouvait ignorer aucun détail.

– La salope pensa-t-il, bien sûr qu’elle n’a pas de slip ! Et si elle est aussi chaude que ma salope de mère, ça doit être un bon coup. J’aimerais bien, mais comment faire pour l’aborder…

Denise, le sourire aux lèvres observait le garçon avec satisfaction : – Ca va il s’excite ! Maintenant on passe aux seins, après ce sera les fesses. Si il résiste c’est qu’il est bien timide ! Elle pêcha une cigarette dans un petit coffret sur le bar, descendit du tabouret avant de se diriger vers Vincent.
– Tu veux bien me donner du feu ? demanda-t-elle avec un sourire enjôleur.
Vincent prit le briquet de bureau posé sur la table de salon tandis que Denise se penchait vers lui. Lorsque son regard revint vers elle, il put plonger dans le décolleté profond. Les deux seins étaient là, chauds, vivants et prêts à toutes les caresses. Les pointes bistres étaient dardées, bien dressées par le frottement du tissu. Et puis ce sillon profond qui devait être torride. C’est cela qui l’excitait particulièrement. Tout le temps que dura l’allumage, et il dura longtemps, Denise lui tint les mains. Mais lui ne pouvait détacher ses yeux de cette paire de seins si prometteurs de délices. Enfin Denise se releva laissant Vincent étourdi, la tête en feu et le sexe dur à lui faire mal. Elle se dirigea vers le bar, et là se baissa pour ramasser le paquet de cigarettes qu’elle avait sciemment fait tomber en descendant du tabouret. Son coup était rudement bien calculé. En se baissant la jupe remonta évidemment sur ses fesses, et Vincent crut défaillir. A deux mètres de lui, il avait la vision la plus érotique qui soit pour un gamin hétéro normalement constitué. Denise offrait deux fesses blondes et rondes à souhait, séparées par la raie à peine plus sombre qui s’ouvrait sur une chatte somptueuse aux poils frisés, au clitoris émergeant fièrement au milieu des lèvres bien ourlées. Vincent eut un hoquet. Ce cul épanoui et au-dessous cette chatte dont il pouvait admirer les moindres détails eurent raison de sa timidité et de son inexpérience des femmes. Sans réfléchir. Il se leva brusquement et en deux pas rejoignit l’objet de sa convoitise. Ses deux mains se plaquèrent sur les fesses offertes et se mirent à les caresser avec frénésie, puis à procéder à quelques incursions du côté du sexe de la femme. Denise sourit et savoura la caresse qui se faisait de plus en plus insistante, de plus en plus précise. Elle attendit quelques secondes, le temps que Vincent introduise un doigt dans son vagin, pour se retourner avant de se relever.

– Dis donc espèce de petit vicieux. Tu profites que je sois penchée vers le sol pour te permettre de ces privautés… Crois-tu que ce soit convenable de surprendre une femme de cette manière ? Vincent décontenancé ne savait plus que faire. Rouge, les bras ballants, il attendait la suite de l’algarade.
– Mais… balbutia-t-il
Ce fut Denise qui remit les choses en place.
– Alors, il te plaît mon cul dit-elle, adoptant un parler plus cru. Tu aurais bien voulu y mettre ta bite ? Avoue donc que si tu avais osé, tu m’aurais enfilé là… comme ça… tout de suite !… Déjà tout à l’heure tu lorgnais sur mes seins comme si tu voulais les bouffer. Ils sont beaux hein ? Si tu savais comme ce serait bon d’y mettre ta bite et de te branler entre mes nichons….. Je t’excite hein ? Ne dis pas non, ta queue est toute bandée, je le vois à la bosse de ton pantalon. En disant cela, Denise mit carrément sa main entre les jambes du gamin et caressa doucement cette tige de chair dure.

Elle ajouta en souriant : – Tu as envie de me baiser hein ?…Et bien prends moi si tu en as envie. Qu’attends-tu ?
Vincent, libéré par ces paroles, ne se le fit pas dire deux fois. Il enlaça la femme et commença à l’embrasser un peu maladroitement à pleine bouche. Denise se mit immédiatement à jouer de la langue avec un art consommé, tandis qu’elle continuait à masser la superbe bosse qui déformait le pantalon du gamin. Ce dernier, ému et très impatient, tentait de toucher un maximum des trésors qu’il avait à portée de main. Il caressa d’abord les seins de Denise qu’il trouva délicieusement doux et fermes. Puis il souleva la courte jupe pour lui peloter les fesses, avant d’introduire ses doigts dans le sillon qui lui paraissait être un début de Nirvana. Denise tendit les fesses en arrière et il put lui caresser l’anus et la chatte qui déjà était bien lubrifiée et dans laquelle il put s’introduire sans difficulté. La femme gémit sous la caresse.

– Viens, dit-elle, emmènes-moi dans ta chambre.

En quelques minutes ils furent nus. Denise fut agréablement impressionnée par la taille de la verge de Vincent. Elle la flatta quelques instants, dégagea complètement le bout de sa gaine de peau, et frotta la paume de sa main sur la base du gland, là où les terminaisons nerveuses sont particulièrement nombreuses. Sous la caresse experte de Denise, une onde de plaisir intense traversa le garçon, sa verge se redressa et grossit encore et le désir fou le submergea.

– Ah ! Madame, ça vient… Arrêtez je vais jouir ! … Ca va gicler comme ça… dans vos mains si vous continuez. Je… vous… vous ne voulez pas que je… que nous b…qu’on fasse l’amour plutôt ?…

Denise sourit et cessa ses agaceries : C’est vrai que tu es vite excité, dis donc! Tu as raison, ce serait dommage de laisser cette bonne jute se répandre n’importe où… Attends, tu as aimé quand je me suis penchée pour prendre le paquet de cigarettes tout à l’heure ?… Alors viens, tu vas me prendre en levrette pour commencer.

Denise se retourna et à genoux sur le lit, cuisses écartées, offrit complaisamment et sans pudeur une vision splendide sur ses fesses magnifiques et sur sa chatte luisante de mouille, tout à fait prête à recevoir la grosse bite de Vincent qui bandait toujours aussi durement. Le gamin s’approcha, pesant d’une main sur son sexe pour l’abaisser à l’horizontale, prêt à s’enfoncer d’un seul coup dans le vagin offert. Denise, dans un geste d’impudeur totale, écartait les lèvres de sa chatte pour lui indiquer le chemin. Vincent, avant de la pénétrer, put admirer le clitoris frémissant et perlé d’une goutte de foutre et au dessus le fourreau accueillant qui ruisselait de cyprine. Le gland toucha enfin le sexe offert. D’une seule poussée il s’introduisit en prenant la femme aux hanches. Avec un « han » de bûcheron, il s’enfonça jusqu’aux couilles d’une seule poussée et se mit à la pistonner sur un rythme qui traduisait son excitation. Malgré l’intense émotion que suscitait en elle cette fougue, Denise intervint pour le discipliner un peu:

– Oh mon dieu que c’est bon!… Mais doucement… Doucement mon chéri. Si tu continues à cette allure tu vas jouir dans trente secondes. Va doucement, profites de chaque coup pour bien savourer ma chatte… Il faut aussi que tu penses à moi ! Un homme digne de ce nom doit toujours faire jouir sa partenaire… Là ouiii! C’est bon! Oui, fais en sorte que ta queue frotte sur les parois de ma chatte tantôt d’un côté tantôt de l’autre. Ouiii, je te sens mieux! C’est bon… Tu apprends vite. C’est bien ! Oh, je te sens, oui, vas-y limes, limes bien à fond. Oui vas-y c’est bon ! … Je sens tes couilles qui tapent sur mon clito… Oui c’est ça, prends-moi les seins, fais-moi les bouts… Ah! je sens ma chatte qui coule, mon foutre lubrifie ta queue. Ca fait « flic floc ». Ah le salaud, baiser l’amie de ta mère. Tu n’as pas pu résister à mon cul sans culotte hein ?

Vincent avait de plus de mal à se retenir de jouir : Madame je… Madame, je sens que ça vient!… J’ai du mal à me retenir…. Votre cul, votre… Qu’est-ce que je fais ? Il faut que j’arrête sinon je jute…

– Non, attends que je vienne moi d’abord. Sinon après ta bite sera toute molle et je n’ai pas encore joui assez. La légère vexation causée par le doute émis sur ses capacités fit que Vincent put mieux contrôler son excitation.

Il protesta néanmoins: – Toute molle?… Ah non! Normalement ma b.. euh! Elle va rester dure
– Ah! cochon, c’est vrai que tu es jeune. Alors vas-y accélères… D’ailleurs ça vient, je sens que je vais jouir. Ouiiii, vas’y plus vite. De grands coups, ouiiii, c’est ça! Aaaah ça y est je jouis. Oh que c’est bon. Je jouiiiiis, tu sens mon foutre qui coule ?

Un orgasme violent secouait Denise des pieds à la tête. Elle lançait son cul vers la verge qui lui pilonnait la chatte. Son corps se tordait de plaisir, elle mordait les draps et des larmes de bonheur coulaient sur ses joues Vincent qui avait enregistré la déclaration de la femme sur les vrais hommes qui devaient d’abord faire jouir leur partenaire, se tenait à quatre pour ne pas éjaculer à son tour. D’autant qu’il sentait le vagin tout chaud et dégoulinant de foutre se resserrer autour de son sexe comme un fourreau de soie. Son sexe y glissait avec délices, c’était à la fois doux et si enveloppant… Le foutre éjecté par la chatte de Denise était si abondant que ses couilles en étaient recouvertes. Serrant les dents, il parvenait difficilement à retenir sa décharge. Ses testicules commençaient à lui faire mal… Et Denise jouissait toujours. Sa tête roulait de droite et de gauche tandis qu’elle gémissait sans arrêt. Son foutre continuait à sourdre de son vagin, irisé, chaud et d’odeur un peu poivrée. Il semblait à Vincent qu’elle ne s’arrêterait jamais. Enfin l’orgasme décrut lentement et le gémissement de Denise se transforma en un râle de gorge. Son corps s’affala doucement sur le lit, libérant la queue du garçon de son fourreau de chair juteuse. Vincent avait apprécié le goût des secrétions féminines lorsqu’il avait sucé sa mère. Aussi, oubliant pour un temps son envie de décharger, il voulut profiter de l’aubaine.. Denise s’était retournée sur le dos et toujours impudique, remontait les genoux écartés jusqu’à ses seins. Elle offrait ainsi largement sa chatte à son amant. Sans attendre, Vincent enfouit son visage dans la vallée torride, dont les poils luisants de cyprine étaient collés ensemble. Il se mit à brouter la motte offerte, labourant de sa langue rigide, le clitoris sensible et gonflé par l’orgasme, aspirant les longues traînées de foutre qui s’étiraient en fils qui adhéraient encore quelques instants à la chair en feu. Denise sous la caresse rugit férocement. Son plaisir, un instant en sommeil, se réveilla brutalement et un nouvel orgasme la secoua. De son vagin sortit une nouvelle coulée de foutre que Vincent s’empressa d’avaler. Cette nouvelle jouissance anéantit complètement la femme, et bien que le gamin soit toujours en train de lui lécher le clitoris, elle n’eut plus aucune réaction. Lorsque son jeune amant s’arracha aux délices des chairs vaginales, Denise refit surface lentement.

– Oh!… Il me semble que je n’ai jamais joui comme cela… Tu es doué pour un jeune…. Mais dis donc, tu n’as pas joui toi?
– Ben… non, pas encore. Vous aviez dit que je devais m’occuper de vous avant…
– Bravo, tu iras loin… A moi de te faire jouir maintenant. Où et comment veux-tu décharger mon chéri ? Mes seins ? Veux-tu que je te fasse jouir en te masturbant avec mes seins ?… Viens ! Couches-toi sur le dos, je vais m’en occuper.

Elle positionna Vincent allongé les jambes pendantes hors du lit puis, redressant la queue qui battait contre son ventre, elle la plaça entre ses seins de manière à ce que le gland montre juste sa petite bouche dans le haut de la vallée. Puis doucement, pressant de ses deux mains ses seins magnifiques, elle se mit à monter et descendre, faisant frotter toute la longueur du sexe contre sa chair chaude et douce. Vincent fermait les yeux, savourant la nouvelle sensation. Un frisson de plaisir s’irradiait depuis son sexe dans tout son corps.

– C’est bon hein mes seins ? J’ai mes gros seins autour de ta bite pour te branler, et tu vas bientôt juter. Ton sperme vas gicler entre mes seins et couler partout, jusque sur les bouts…. Ah! le salaud ! je sens la décharge qui vient… Oui c’est ça! Oh que ça gicle fort, j’en prends plein le menton! Oh les giclées qui se suivent…Tes couilles étaient bien pleines. Ca me coule dans le cou et sur mes seins. C’est gluant et chaud huuuum !

Alors que les dernières gouttes de sperme jaillissaient du gland de Vincent, Elizabeth qui attendait depuis un moment en regardant l’évolution de la situation par la porte entrebaillée, entra.

– Ca alors: Ne vous gênez pas ! Ma meilleure amie et mon fils. Dis donc Vincent, il ne te suffit plus de baiser ta mère, il te faut mes amies aussi ? Et toi Denise, tu dévergondes mon fils ? Vincent, surpris comme un gamin pris en faute, eut un réflexe pour se retirer d’entre les seins de Denise. Mais celle-ci n’avait pas envie que la séance se termine si tôt. Aussi le retint-elle en lui prenant solidement les fesses à deux mains. – Non mon chéri, laisse-moi encore jouir de ta bite qui gicle entre mes seins… Elizabeth, arrête tes simagrées ! Viens nous rejoindre! … Tu avais raison, il est formidable. Il m’a fait jouir comme cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps. De plus il est endurant comme personne. Il m’a fait jouir comme une reine, et il n’a déchargé que lorsque je le lui ai permis. Il devait d’ailleurs avoir les couilles bien pleines car c’est particulièrement abondant. Tu veux en profiter ? Regarde mes seins, ils sont couverts du sperme de ton fils. Tu en veux ? Tiens lèche-moi !

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