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Monsieur P. (épilogue)

Monsieur P. (épilogue)



Monsieur P. (épilogue)

Il ne voulait que regarder pendant la tétée !
Hé, Ho ! Qu’est-ce qu’il te prend, là ?
Et bien… Tu n’avais pas besoin de tout le reste…
C’est toi qui as voulu que je te raconte… Et, il me semble que ça t’excite grave !

Nous étions au lit, Didier et moi, nus. Fanny dormait placidement. Didier m’avait demandé de lui raconter tout, au moindre détail. Et là, il faisait semblant d’être outré par mon comportement auprès de Monsieur P. Mais son érection le trahissait :

Suce-moi, Sandrita !
Et je ne te raconte pas la suite ?
Oh, non… je pense que j’en ai assez…
Figure-toi, que moi, j’ai très envie de t’expliquer ce qu’on a fait dans la salle de bains !
Putain, Sandra ! Il t’a bouffé la chatte, il t’a fouillée avec sa paluche, tu lui as pissé dessus… Il n’était pas content, au quoi ?
Très… Il était aux anges, chéri… C’est moi qui voulais le récompenser de toutes ses attentions… En plus, tu as oublié qu’il m’a fait plein de bonnes choses aux pieds !
Bah ! Des conneries… Que des conneries.
Que tu peux être bête quand tu t’y mets !
Sûr ! Tu sais très bien qu’il y a que moi qui te fais jouir comme une… Ouf ! Allez, suce-moi !
Avant, tu vas m’entendre… Branle-toi, si tu veux, en attendant.
Salope !

«  Je mis un peignoir et j’avais conduis Gilles à la salle de bains, le lui avait donné une serviette et montrai où était le savon et le shampoing. Je retournai dans la chambre et après passer la serpillière, ouvris les fenêtres pour aérer notre dortoir. Fanny continuait de dormir comme dorment les bébés comblés. Je pris son petit lit et le transportai dans la pièce qui était placée en face de la salle de bain et qui nous servait de bureau. Je laissai la porte ouverte et, sans toquer, entrai dans la salle d’eau. Monsieur P. était encore dans la baignoire, sous la douche, entièrement savonné, de la tête aux pieds. Un énorme ours polaire !

ça vous prend du temps, la toilette, Gilles !
Oh ! Vous êtes là… Je m’excuse… Je finis tout de suite.
Ne vous inquiétez pas… Coupez l’eau, s’il vous plaît… Je vais vous savonner le dos.
C’est très gentil à vous… Permettez-moi de me rincer la tête, au moins…J’ai les yeux qui me picotent…

Il le fit et, ensuite, me demanda de lui passer ses lunettes. J’ôtai mon peignoir et entrai dans la baignoire. Il fit un geste pour me toucher, mais je l’arrêtai net :

Chut ! C’est moi qui vais s’occuper de votre corps dodu… Passez de l’autre coté…Oui, comme ça. Appuyez vos mains contre le carrelage… Hum, parfait !

Son dos était immense, tel un tapis persan. Il n’ y avait un seul centimètre de peau qui ne soit pas recouvert de poil. Il avait des fesses rebondies comme celles d’une grosse maman africaine. Je pris une bonne dose de savon dans ma main et lui étalai en long et en large, de sa nuque jusqu’au creux de ses reins. Il ronronnait de plaisir. Pour moi, c’était très agréable. Mais, ma face la plus coquine, commençait à me dicter d’autres consignes, plus sadiques. J’avais les ongles un peu plus longs que d’habitude et, presque sans m’en rendre compte, je me suis mise à le griffer, avec les deux mains, du haut en bas, pas trop fort, mais…

Aïe ! Qu’est-ce que vous faites ?
Je vous frotte le dos, nounours ! Ça ne vous plaît pas ?
Je… Aïe ! Siii ! Ça me plait… C’est bizarre…
Nounours, je crois savoir ce dont vous avez besoin !
Madame…Sandra… Je suis très confus…
Chut ! Penchez-vous en avant … Écartez les jambes !

Le volume corporel de ce gros géant poilu occupait trois quarts de la surface de la baignoire. Nous avions de l’eau savonneuse à hauteur de nos genoux. Je l’observai quelques instants. J’avais réussi à lui laisser le dos couvert d’égratignures, certaines saignantes. Je trempai mes mains dans l’eau et les lui rinçai. Il geignait faiblement. Ensuite, je lui saisi les longs cheveux et tirai sa tête vers moi :

Je veux que vous disiez une chose, Gilles…
Aaouh ! Oui…Que voulez-vous que je vous dise ?
Que vous êtes ma petite chose ! Que je peux faire tout, absolument tout, avec vous !
Ouiii ! Je suis votre chose ! Votre esclave !
Bien, très bien… »

A cette hauteur du récit, Didier ne put s’empêcher de me sauter dessus. Moi, j’étais tellement chaude que je ne lui offris aucune résistance. Il m’écarta les cuisses et plaça mes jambes sur ses épaules. La pénétration fut brutale, aucune caresse, aucun mot doux, aucun préliminaire. Il me pilonna comme un fauve pendant quelques minutes, en me regardant droit dans les yeux, en me répétant sans cesse : « Tu es ma pute, tu es ma pute… Ma pute à moi ! » Je gardais, aussi, les yeux grand ouverts…
Je sentais l’orgasme arriver au galop. J’avais envie de mordre, de griffer. Il le vit et me tint mes bras par les poignets contre le lit. Je lui criais : « Ne jouis pas dans moi, salaud ! Je suis en pleine ovulation ! » Il respecta ma demande car il sortit de moi ipso-facto, coupant net ma jouissance…Mais pas la sienne : « Vite, vite ! Donne-moi ta bouche !
Que c’est bon d’être jeune ; tu es dans une position tout à fait acrobatique et, à la seconde qui suit, tu te retrouves à genoux, te tenant les seins à deux mains, prête à te faire arroser de sperme chaud !
Didier m’avait toujours surpris par ses puissantes éjaculations, pas seulement par la quantité de jus qu’il était capable d’expulser, mais par la force et la consistance de ses jets ! Je n’eus presque le temps de fermer les yeux que mon front reçut l’impacte de son foutre. Je ouvris la bouche tant comme je pus, mais, décidément, ce ne fut que mon visage qui ramassa toute sa semence.
« Tu l’as fait jouir, au moins, le gros lard ? » Je ramassai le sperme avec mes doigts et le portai à ma bouche gourmande, savourant son goût acidulé : « Enfoiré, bah !, bien sûr que je l’ai fait jouir ! »

Didier momentanément calmé, je me suis levée et suis allée me rincer la figure. En revenant dans la chambre, je le trouvai assis sur le lit, en train de fumer un joint. Je lui pris et après en tirer deux taffes, je continuai mon récit :

Par derrière, je m’étais collée à lui, frottant mon minou contre ses fesses. Je me suis penchée en avant, écrasant mes seins contre son dos. Je passai mes bras autour de son torse et saisis sa poitrine, deux mamelles flasques, presque aussi grosses que les miennes. Avec mes pouces, indexes et majeurs, je lui pinçai et tortillai ses tétons ; très fort, aussi fort que ma force me le permettait. Il criait comme un cochon à l’abattoir. Mais, je savais reconnaître ce genre de cris. Je savais qu’il voulait que j’aille encore plus loin, qu’il y prenait un plaisir inouï. Néanmoins, je voulus vérifier l’état de son excitation et, cherchant sa bite sous le ballon de son ventre, je pus vérifier qu’il bandait comme un âne, un petit équidé, certes, mais bien trempé. Je lui branlai énergiquement sans arrèter de lui torturer le mamelon.

Oh ! Que c’est bon, Sandra ! Mmm ! Continuez, continuez ! Je vous en priiiie !
Doucement, nounours… Je n’ai pas encore fini. Il essaya de se relever et se retourner. Non, reste comme ça ! Je vais m’occuper de ton gros fessier !
Qu’est-ce que vous allez faire, Sandra ? Me donner une fessée ?
Tiens, tiens… Je n’y avais pas pensé… Vous pensez la mériter, la fessée ?
Oui, Madame… Je suis votre chose. Je mérite tous les supplices.

Je n’avais jamais mis des claques sur les fesses d’un homme. J’en avais reçues, maintes fois… J’adorais ! Gilles, aussi, il avait adoré ! Je ne sais plus combien de fois mes mains l’avaient claqué, mais je sais, par contre, que j’arrêtai parce que j’avais mal… Lui, il reniflait comme un bœuf, sanglotait comme une mauviette et suppliait comme un accusé passé aux aveux. Je pris pitié de lui et lui caressai les fesses joufflues et rougies. Alors, je pris un peu de savon et le mouillant de mes doigts, je me suis mise à lui fouiller l’anus :

ça va vous plaire, mon nounours !
Tout mon être vous appartient, Madame… Est-ce que je peux vous appeler « Maîtresse »
Oui. Non seulement tu peux, mais tu dois m’appeler ainsi !
Hum ! J’adore ce que vous faites, là, ma maîtresse !

Ainsi, petit à petit, je lui dilatai sa petite fleur noir. Je lui demandai de s’écarter les fesses, mais pour ceci, il fallait rectifier nos positions. Je sortis de la baignoire et il se plaça assis sur ses cuisses et son cul vers le haut. Je pris, d’un tiroir en dessous du lavabo, le tube de vaseline et lui appliquai directement dans son anus. Ensuite, mon pouce collé au bout de mes doigts, je procédai à lui insérer lentement, donnant à ma main le mouvement de rotation gauche-droite, droite gauche :

ça me fait un peu de mal, maîtresse.
Voulez-vous que j’arrête ?
Non…Vous savez ce qui est bon pour moi, n’est-ce pas ?
C’est très bon pour moi, aussi, je vous assure.

Je restai un petit instant avec la partie la plus large de ma main tournant autour de son sphincter. La douleur avait déjà cédé sa place au plaisir. Il murmurait des voyelles liquides, ses chairs trémoussaient . Le moment était venu d’enfoncer ma main en lui :

Arrrrgggg ! Maitreeeeesse ! Que c’est booooon !

Ma main avait disparue totalement dans ses entrailles, mais elle ne voulait pas s’arrêter. Je lui enfonçai jusqu’à la base de mon coude, pour, ensuite la retirer et renfoncer successivement… Dix, douze… quinze fois ! Finalement, je la lui enlevai.

Quel cochon que vous faites, Gilles ! Il continuait dans la même position, les mains toujours en train d’écarter ses fesses. Levez-vous, je vais vous rincer.

Je me suis lavé la main et le bras, pris le pommeau de la douche, ajustai la température de l’eau et le rinçai comme j’avais vu le faire aux hippopotames au Zoo de Mulhouse.

Ça va, Gilles ? Vous n’avez pas froid ?
Non, je n’ai jamais froid.
D’accord… Je le disais parce que votre zizi est tout rétréci. Ça ne vous a pas plu mon traitement, Monsieur P ?
Oh que si ! Excusez-moi, j’ai eu un coup de blues.
Eh, bien… pourquoi ça ?
Je vais bientôt y aller… retrouver ma vie de m…
Vous regrettez d’être venu ? Je lui posai la question en lui caressant le ventre.
Non, ma chère Madame. Ni dans le meilleurs de mes rêves, j’aurais imaginé autant de bonheur.
Restez comme ça, ne bougez pas. J’arrive…

Je pris un petit tabouret de la pièce à coté et en passant zieutai que pour ma petite fille tout allait bien. C’était le cas. Je me suis assise en face de Monsieur P. Je levai la vue vers lui et compris que quelque chose le gênait.

Attendez, je comprends… Vous voulez me voir faire et la glace elle est toute embuée.
Oui… Mais aussi… Mon gros ventre ne me laisse pas vous voir…
Ha, ha, ha ! Coquin ! Venez, sortez de la baignoire et mettez vous ici, à coté de moi.

Tandis qu’il sortait, avec grande difficulté, de la baignoire, je pris la serviette et essuyai toute la vapeur qui couvrait le grand miroir du lavabo. Une fois bien installés, je lui pris le sexe et lui décalottai. Je le soulevai et lui léchai les testicules, presque aussi gros,voire plus, que son pénis. Je tournai la tête vers le miroir et vis que son regard fixait mes seins. Mon horloge mammaire m’indiquait que l’heure de la prochaine tétée était en train d’arriver : des fines gouttelettes perlaient de chacun de mes mamelons :

Maintenant, c’est moi qui veux votre lait, mon nounours !

J’espère que le pauvre Monsieur P. ait eu la chance de se faire sucer comme je l’avais sucé. J’ai mes doutes, mais, la vie est comme ça et les événements qui suivirent à cette rencontre ne me permirent de le savoir.

Je pris toute sa bite dans ma bouche et ma langue habile ne tarda pas à la faire grossir. Mes mains lui caressaient les fesses. Je l’entendais gémir. Son gland n’arrivait à peine à me caresser la glotte mais je sentais qu’il gonflait et que bientôt il allait décharger :

Sandra… Maîtresse… Je vais jouir !

Il fit un geste, comme s’il voulait se retirer de ma bouche, mais je lui enfonçai mes ongles sur ses fesses le poussant dans moi, davantage. Et il éjacula. Et je fus surprise par la quantité de sperme qui se déversa dans ma gorge. Si surprise, qu’une bonne partie de son foutre erra le chemin vers l’œsophage et me sortit par les narines, me provoquant une quinté de toux automatique.

Putain, nounours ! Oups ! Pardon… La citerne était pleine, mon gros !
Excusez-moi, Madame… Je ne savais pas…

Je me suis mouchée avec la serviette et je lui nettoyai la queue avec ma langue. Presque au même moment, les pleurs de Fanny nous retournèrent à la réalité de mon rôle de maman.

Et c’est tout ?
Ça ne te paraît pas assez, Didi ?
Ha, ha ! Tiens, touche mon petit frère ! Il est à nouveau d’attaque !
Tu es un obsédé… Tu ne me demandais même pas pour l’argent du loyer !
C’est vrai… Mais j’ai vu, en rentrant, que l’enveloppe était posée au même endroit que je l’avait laissée.
Certes, mon maquereau ! Il n’a rien voulu savoir de l’argent et il nous a promis de garder le même loyer, sans aucune augmentation et pour le temps que l’on voudra.
Et sans aucune autre prestation en espèces de ta part, je suppose…
Tu supposes mal, salopard !
Houuuu ! Raconte, bébé !
C’est plutôt toi qui devrait me raconter…
Arrête tes simagrées ! Que t’a-t-il demandé d’autre, ce gros lard ?
Avant partir, il m’a dit que tu lui avais raconté que j’aimais beaucoup les chiens !
Oups !
Oui, oui…Oups ! Et il a ajouté qu’il avait un très beau berger allemand…

Est-ce que cette histoire se termine comme ça ? A vous de me le dire.

Bisous,

Sandra M.

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