Je présente mes excuses les plus plates à toutes celles et ceux qui attendaient le chapitre suivant.
un certain manque d’inspiration et les vacances ont fait que c’est seulement aujourd’hui que je poste la suite des aventure d’Aurélie.
bonne lecture à tous, et n’hésitez pas à me faire connaître vos satisfactions ou vos frustrations
D’avance, merci!
Chapitre 7
Le dimanche matin se traîna en longueur. A part la toilette de ma maîtresse, je n’eus pas grand-chose à faire. Désœuvrée, je m’allongeai sur mon lit et me mis à rêver, à rêver de ma situation prochaine. Je me voyais me faire prendre par beaucoup d’hommes, par tous les trous. Mon sexe s’humidifiait et j’avais une forte envie de me branler. Je me retins, sachant que cela risquait de me valoir une punition. Mes rêves m’emportaient si loin que je n’entendis pas la sonnette de ma maîtresse. Ce ne fût que lorsqu’elle cria mon nom que je repris conscience et me précipitai vers elle. Devant son regard courroucé, je me jetai à ses pieds et les lui baisai en disant :
Pardon, maîtresse. J’étais distraite !
Qu’est-ce qui pouvait bien te distraire, au point de ne pas entendre la sonnette ? dit-elle sur un ton peu amène.
Je rêvais que j’étais entre les mains de nombreux hommes, maîtresse !
Espèce de salope. Ça te fait mouiller, n’est-ce pas ?
Oui maîtresse !
Relève-toi ! Cuisses écartées, mains derrière la tête !
Je m’exécutai avec célérité. Lorsque je fus dans la position demandée, ma maîtresse passa derrière moi et je n’attendis pas longtemps avant de sentir une main flatter mon cul. Je me cambrai, offrant ma croupe à la caresse. Je sentis un doigt s’insinuer dans ma raie, flirter avec ma rondelle et jouer avec mes lèvres.
Tu aimes cela, petite salope, fit Véronique d’une voix rauque.
Oui, maîtresse, répondis-je d’une voix voilée par le plaisir.
Tu as envie de jouir ?
Oui maîtresse. Si tel est votre désir !
Tu es vraiment une belle putain !
Oui maîtresse !
Oui, quoi ?
Je suis une putain, maîtresse !
Qui aime se faire doigter par n’importe qui !
Je suis une putain, qui aime se faire doigter par n’importe qui !
Suis-moi, putain !
Oui maîtresse !
Elle abandonna mon sexe et se dirigea vers mon armoire. Elle sortit une robe et me demanda de la passer. Ainsi, nous allions sortir. Pour aller où ? Pour quoi faire ? Je n’en avais aucune idée. Lorsque je fus habillée, elle me fit signe de la suivre. Toujours à deux pas derrière elle, elle me conduisit jusqu’à la voiture où je montai à l’avant, près d’elle. Sans un mot, elle démarra et sortit du parking.
Nous roulâmes durant un bon quart d’heure avant de se ranger sur le parking d’une auberge, au bord d’une rivière. Toujours précédée de ma maîtresse, j’entrai dans une grande salle. Il ne restait que quelques tables de libre, dont une près de la verrière donnant sur l’eau. C’est celle-ci que ma maîtresse choisit. J’attendis que Véronique s’asseye avant d’en faire autant. Sans me demander mon avis, elle commanda pour nous deux.
En attendant les plats, elle darda son regard sur moi, guettant la faille. A aucun moment, je ne tournai la tête pour regarder autour de moi. Je savais qu’une telle impudence me vaudrait une punition. D’ailleurs, je me tenais bien droite, yeux baissés, les mains croisées dans le dos, à la surprise de la serveuse qui vint déposer les assiettes devant nous. J’attendis l’autorisation de ma maîtresse pour commencer à manger.
A l’issue du repas, nous sortîmes. Au lieu de se rendre à la voiture, Véronique partit vers le fond du parking, là où un chemin s’enfonçait dans la forêt.
Je la suivis en silence, les bras dans le dos, tête baissée. Au bout de quelques minutes, elle se retourna vers moi et me dit :
Retire ta robe et donne-la-moi !
Sans aucune hésitation, je me retrouvai nue et remis la robe à ma maîtresse. Ensuite, elle me fit
signe de passer devant elle. En marchant, je sentais son regard sur mes fesses et cela commença à m’exciter.
Sais-tu où mène ce chemin, Cybèle ?
Non, maîtresse, répondis-je sans me retourner.
Nous sommes à l’opposé de l’endroit où tu t’es faite baiser hier !
Le frisson qui parcourut mon corps ne lui échappa pas et elle reprit :
Tu es vraiment une salope. Ça te plairait d’y retourner ?
Comme il vous plaira, maîtresse !
Tu parles ! ce n’est pas moi qui me fais saillir, c’est toi !
Oui maîtresse.
Tu es une véritable chienne en chaleur.
Oui maîtresse !
Bien ! puisque tu es une chienne, je t’interdis de parler. Les chiens ne parlent pas, n’est-ce pas ?
Je ne répondis pas à cette question piège, et elle continua :
Deux choses, Cybèle. La première, une chienne ne porte pas de chaussures. La seconde, une chienne ne marche pas sur deux pieds. Donc, tu retires tes chaussures, tu marches à quatre pattes, et tu ne parles plus. Une chienne aboit pour se faire comprendre, compris ?
Ouaf ! répondis-je en retirant mes chaussures et me mettant à quatre pattes.
Je vis ma maîtresse jeter ma robe et mes chaussures dans le fossé, sur le côté du chemin. Je commençai à me déplacer à quatre pattes. Ce n’était pas douloureux, vu que le sol était sablonneux et je pris bien vite mes marques.
Au bout de dix minutes de marche, je ressentis l’envie d’uriner. Je me dirigeai vers le bord du chemin, sous l’œil intrigué de Véronique. Lorsqu’elle comprit ce que je voulais, un sourire se dessina sur ses lèvres.
Bien sûr, en tant que chienne, je ne pouvais pas m’accroupir. Aussi, je me redressai sur mes bras tendus et j’écartai les cuisses, talons aux fesses. Le jet ne tarda pas à jaillir, sous l’œil ironique de ma maîtresse. Je me soulageai ainsi, éclaboussant quelque peu mes pieds, les dernières gouttes ruisselants le long de mes fesses et mouillant mon anus. Ensuite, je repartis en gambadant.
Véronique ramassa un morceau de bois et le lança devant elle, pas très loin. Je me précipitai pour le ramasser. Pour courir comme il faut, j’avais le cul plus haut que la tête, jambes tendues, ce qui fit rire ma maîtresse. J’avais conscience du ridicule de ma situation, et pourtant, ma chatte était trempée. Je ramassai le morceau de bois avec les dents, souillant mea bouche avec le sable du sentier. Je fis demi-tour et vint le déposer aux pieds de Véronique, qui riait aux éclats. A plusieurs reprises elle relança le bâton. A chaque fois, j’allai le rechercher et le déposer à ses pieds. J’avais conscience du ridicule de ma course, le cul levé, la tête baissée. Je faisais en sorte d’écarter les cuisses, dans le but, tout d’abord de stabiliser ma course, mais aussi, d’exhiber carrément ma foufoune glabre et, j’en étais persuadée, l’anneau sombre de mon anus.
En continuant ce jeu, je me rendis compte que je n’étais guère pressée de me rendre là où j’avais été baisée, hier encore. D’ailleurs, Véronique semblait avoir oublié cette perspective, puisqu’elle bifurqua vers un chemin transversal, continuant à lancer le bâton et me disant, en riant :
Rapporte, Cybèle ! Va chercher !
A chaque fois que je déposais le bâton devant elle, elle me caressait les cheveux, avant de ramasser le morceau de bois et le relancer.
Le jeu dura encore quelques minutes, avant que Véronique le lance avec une vigueur encore inusitée jusqu’alors. Le morceau de bois décrivit une courbe haute et retomba en dehors du chemin, derrière un bosquet. Interloquée, je me retournai vers elle.
Rapporte, Cybèle, vite !
Je me dirigeai avec circonspection vers le lieu probable de la chute. J’eus beau explorer le bosquet des yeux, je ne vis pas le bâton. Je regardai vers ma maîtresse qui n’avait pas bougé et qui me fit signe d’avancer. Je descendis dans le talus et m’enfonçai doucement dans le taillis. Ne voyant toujours rien, je plaquai mon buste au sol. Enfin, je le vis. Il était debout, de l’autre côté du bosquet. J’en fis le tour et avançai la bouche pour le prendre.
C’est alors que je sentis une présence derrière moi. Je tournai la tête et vis un chien qui me fixait. C’était un chien magnifique, noir et feu, trop gros à mon goût. Je voulus me redresser, mais il gronda et montra les dents. Chaque mouvement que je faisais apportait la même réponse. Alors, je me résolus à rester à quatre pattes, attendant ses réactions.
Là-bas, Véronique m’appelait :
Cybèle, viens ma belle !
J’allais l’appeler, de ma voix humaine, lorsque j’entendis une voix d’homme la héler. Je me fis toute petite et me tut, écoutant leur dialogue.
Ah, bonjour ! Vous aussi, vous chercher votre chien ?
Plusieurs secondes passèrent avant que je n’entende Véronique répondre.
Oui, enfin, ma chienne ! je lui ai lancé un morceau de bois mais elle n’a pas l’air de le trouver. Cybèle ?
Moi, c’est mon chien que je cherche, un superbe Beauceron. Voulez-vous que nous les cherchions ensemble ?
D’accord ! j’ai lancé le bâton par là.
Je les entendais approcher, mais je n’osais bouger à cause du chien. Soudain, il se déplaça sur ma gauche, hors de mon champ de vision. Le temps que je tourne la tête et je sentis une truffe fraîche se poser sur mes fesses. Une langue râpeuse commença à lécher ma raie, s’attardant sur ma chatte, la position écrasée que j’avais dû prendre facilitant la caresse. Je fis un mouvement pour me dégager, ce qui eut pour résultat, un grognement plus fort que les autres.
Ce chien me prenait pour une chienne. Ce qui avait commencé comme un jeu ne m’amusait plus. Il avait été attiré par l’odeur de ma chatte et ne désirait pas autre chose que me la lécher. Enfin, pour le moment.
Le grognement que le chien avait poussé fit reconnaître notre position à nos maîtres respectifs. C’est alors que l’homme aperçut le genre de chienne que j’étais. Un moment surpris, il s’esclaffa, en disant :
Ainsi donc, voilà votre chienne. Quelle drôle de race. En tout cas, Rex a l’air de la trouver à son goût.
En effet, Rex ne cessait de me lécher le cul avec délice.si, au début, cela m’avait choquée, je me tendais de plus en plus vers sa langue râpeuse, qui me faisait mouiller comme une salope, que j’étais, d’ailleurs. Les deux personnes restèrent un long moment à nous regarder, moi, tendant mon cul sous la caresse, et Rex, me léchant ma rondelle et la chatte gloutonnement.
Enfin, l’homme rappela son chien et je pus sortir de sous le bosquet. C’est alors que je vis le bout rouge du chien, pointer hors de son fourreau. Il avait d’autres projets pour moi, sans doute. Heureusement que son maître l’avait rappelé.
Eh bien, dit l’homme en montrant le sexe de son chien, votre chienne a fait de l’effet à mon chien !
Je regardai ma maîtresse, ne sachant ce que je devais faire. Je restai à quatre pattes derrière elle, me blottissant contre ses cuisses, ne quittant pas des yeux le chien, et surtout, une partie de son anatomie.
Un désir trouble sourdait dans mes reins. Et si… j’étais vraiment dépravée. Avoir l’envie de me faire saillir comme une chienne.
Trouvons un endroit tranquille, dit calmement ma maîtresse, en me flattant la tête.
Ainsi, elle avait pris la décision. Si Rex le désirait, et son sexe sorti laissait à penser qu’il était prêt, j’allais me faire saillir comme une chienne, j’allais devenir sa femelle.
Venez, dit l’homme, il y a, pas loin d’ici, une clairière. Rex pourra saillir sa chienne. Vous êtes sûre qu’elle va l’accepter ?
Oh, ne vous faites pas de soucis pour cela, répondit Véronique, n’est-ce pas, Cybèle ?
Ouaf ! répondis-je, en fixant celui qui allait devenir mon mâle d’ici peu.
Durant tout le trajet, que je fis à quatre pattes, comme une bonne chienne, Rex ne cessa de me tourner autour, flairant mon cul, cherchant à insinuer sa langue entre mes fesses. A plusieurs reprises, je dû m’arrêter et aboyer pour alerter ma maîtresse, le chien essayant maladroitement de me monter.
Enfin, nous parvînmes à la clairière. Pendant que ma maîtresse et l’homme s’asseyait sur un tronc couché, je me plaçai au milieu du dégagement, de profil par rapport à eux. Aussitôt, Rex reprit son manège. Sa langue fourragea entre mes cuisses, m’excitant encore plus. Au bout d’un moment, je n’y tins plus et je fis venir Rex au-dessus de moi. Je m’emparai moi-même de sa grosse tige et la guidai vers ma chatte. Le contact de sa verge et de mes lèvres faillit me faire jouir. Je m’énervai, car Rex, s’il était un bon lécheur, ne semblait pas être un bon baiseur. En effet, il restait immobile, ne faisant aucun effort pour me saillir. Je me reculai, faisant finalement pénétrer la verge dans mon vagin. Comprit-il, à ce moment, que j’étais sa chienne ? Il commença à se remuer. Il s’affala sur moi, manquant de me faire tomber, puis commença à donner de violents coups de reins, extrêmement rapide. En même temps, sa verge grossissait, jusqu’à me remplir la chatte. Son nœud grossissait et je sentais ma chatte se liquéfier au fur et à mesure de la pénétration. Je me mis à jouir et à aboyer, pas à crier. Pendant ce temps, Rex s’était arrêté et je sentis des jets ininterrompus de liquide me remplir la chatte. Une nouvelle jouissance me fit presque perdre connaissance. Je sentais sa bite me remplir entièrement, plus longue, plus dure que celle d’un homme.
Enfin, après quelques instants, il sortit de moi. Aussitôt, je m’affalai sur le sol, épuisée de jouissance. Entre mes cuisses, je sentais le sperme du chien coule et souiller la terre. Rex, repus, alla se coucher à mes côtés, en se léchant le sexe pas encore rentré.
Il me fallut un long moment pour reprendre mes esprits. Aucun homme ne m’avait baisée ainsi. J’avais été prise par un amant infatigable, qui avait déversé des litres de sperme dans ma chatte. J’avais joui deux ou trois fois, pendant la saillie.
Je regardais amoureusement Rex, ne faisant aucunement attention à ma maîtresse et à l’homme. C’est ainsi que je ne sus pas tout de suite que Véronique et l’homme avaient échangé leurs numéros de téléphone, sans doute pour me faire saillir une autre fois.
Ma maîtresse se releva, salua l’homme et m’appela :
Allez, Cybèle, en route ! au revoir, Gérard !
Bon retour, Véronique, au revoir ! allez, Rex, on y va !
Je rejoignis ma maîtresse, après un long regard énamouré vers mon mâle et nous repartîmes en sens inverse. Du sperme de Rex coulait encore de ma chatte. A cet instant, j’aurais voulu porter ses petits, bien que je sache que cela était impossible. Ma maîtresse me caressa, et dit, d’un air dégouté :
Pouah ! Tu sens le chien ! Il va falloir prendre une bonne douche ce soir !
Ouaf ! répondis-je, en lui léchant la main.
Ça t’as plu, de te faire saillir, salope ?
Ouaf !
Je crois que cela veut dire oui, en langage chien. N’aie crainte, tu auras d’autres occasions, avec Rex ou un autre. Viens, suis-moi !
Véronique s’écarta du chemin, se réfugia derrière un bosquet. S’appuyant contre un tronc d’arbre, elle déboutonna et retira son pantalon. Je compris ce qu’elle désirait lorsqu’elle fit glisser sa culotte sur ses cuisses. Je pus apercevoir une large tache humide qui en garnissait le fond. Elle écarta les jambes et commanda :
Viens, Cybèle, viens me lécher, ma belle !
Je m’approchai de son entrecuisse, comme Rex l’avait fait et je dardai ma langue, léchant les lèvres de ma maîtresse, du haut en bas, comme l’aurait fait un chien. D’ailleurs, je me sentais chienne. Il ne fallut pas longtemps, moins de deux minutes pour que Véronique parte dans un orgasme ravageur. Lorsqu’elle reprit ses esprits, elle me flatta le crâne en disant :
C’est bien, ma belle, tu es une bonne chienne !
En remerciement, je lui léchai la main. Véronique s’essuya la chatte avec sa culotte et, voyant son état, la jeta par terre, renfilant son pantalon sur ses fesses nues. Je m’approchai du sous-vêtement, le reniflai, le léchai et finit par le prendre dans ma bouche, ce qui fit rire ma maîtresse.
Nous retournâmes ainsi à la voiture, elle, le cul nu dans son pantalon, moi, à quatre pattes, tenant sa culotte dans la bouche, tel un trophée.
Heureusement, nous ne rencontrâmes personne sur le chemin du retour à notre véhicule. Véronique ouvrit le coffre et me fit monter dedans. Je fis le retour ainsi. La douche, froide, que je pris en rentrant me fit un pincement au cœur. Toute cette eau effaçait toute trace et odeur de mon mâle. Je me couchai rapidement, en chien de fusil et m’endormit tout aussi vite.
Demain, ma maîtresse reprenait le travail.
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