Émilie était une belle jeune femme de 25 ans, la peau très blanche, contrastant avec ses yeux bleus magnifiques et ses longs cheveux bruns presque noirs.
Elle était mince et galbée, le ventre plat sans être musclé , elle ne pesait pas plus de 55 kg pour 1m70.
Elle était dotée d’un très beau visage fin, et d’un sourire charmeur, très excitant pour la gente masculine.
Ses longues jambes fine et élancées rendent fou les hommes lorsqu’en été elle porte des petites jupes courtes dont elle raffole.
La jeune femme aime la séduction, elle est belle, et son être tout entier est une invitation au sexe.
Elle fait partie de la catégorie des femmes que l’on peut décrire de la façon très flatteuse suivante : » bonne à en faire bander les morts «
Elle sait jouer de cette situation qui l’amuse, mais jusque là, elle n’a finalement connu que très peu d’activité sexuelle importante.
Elle vivait seule dans son petit appartement
Emilie avait rencontré John en soirée en boite de nuit.
Elle avait tout de suite accroché lorsqu’il s’était approché d’elle pour la draguer, avec sa voie grave d’homme secrètement blessé et mystérieux. Son charisme avait plu à Emilie qui l’avait laissé entrer dans sa vie et notamment devenir son plan …cul.
Et puis voilà ce qu’elle découvrit auprès de John :
Chapitre 1 : excitation
Elle tenait sa hampe d’une main, et caressait de l’autre avec beaucoup de douceur ses deux grosses boules gorgées de vie et de désir.
Ses lèvres se refermaient avec vigueur sur la bite qu’elle adorait tant tandis que sa langue se baladait avec dextérité autour de son gland. L’unique but de ses mouvements était de procurer un maximum de plaisir.
Elle était amoureuse. Et elle adorait lui procurer du plaisir de cette façon. Elle était profondément excitée par les petits sursauts et spasmes qui le prenait lorsque qu’il se faisait sucer le dard avec telle passion. Les mains chaudes d’Emile Sur ses boules et la douceur de ses lèvres qui parcourent sa bite rendaient l’excitation très difficile à contenir.
Il bandait comme jamais. Son pénis était si dur qu’il ressentait une sorte de douleur mélangée à la sensation de plaisir qu’Emilie s’efforçait de procurer.
Elle senti les spasmes s’accélérer et son gland grossir encore d’avantage dans sa bouche, elle savait qu’il était Sur le point de se lâcher. Sa chatte était tellement mouillée qu’elle dégoulinait. Mais cette fois-ci, elle cessa brutalement tout mouvement et retira de sa bouche le pénis turgescent bandé comme une barre de fer.
Elle se redressa et déposa avec délicatesse ses seins sur la bite tandis qu’elle vint embrasser du bout des lèvres ses abdominaux bien tracés. Cette courte pause permis à son homme de contenir son excitation encore un peu et de ne pas éjaculer tout son désir tout de suite.
Mais la pause ne dura pas longtemps. Elle a avait envie de se la prendre. Il savait précisément ce qui allait venir. Elle enjamba ses genoux pour venir déposer délicatement son petit cul parfaitement galbé sur sa tige dressée et dure comme du bois. Sa chatte était tellement trempée qu’elle glissa comme une bouche dessus, ce qui lui arracha un petit cri de plaisir, tandis que sa chatte dégoulinait déjà sur les grosses couilles bouillonnantes de son amant.
Elle enfoui le visage de son amant dans sa paire de seins et commença à bouger le bassin sur la longue bite profondément enfoncée en elle, ce qui fit monter en elle une puissante excitation si bien qu’elle commençait à crier son désir dans la pièce.
John n’en pouvait plus. Il attrapait ce magnifique fessier qui l’excitait tant avec vigueur et le faisait frapper sur ses cuisses en donnant de grands coups de butoirs.
Émilie était heureuse, elle sautait sur cette bite dure comme de l’acier qui s’enfonçait profondément en elle à chaque coup, et lui procurait un plaisir presque insoutenable. Elle fut pris d’un orgasme foudroyant. Sa chatte fut pris de spasmes qui venaient se resserrer sur la bite de John, comme pour tenter de la traire et d’en extraire tout le jus.
C’était le point de non-retour pour John. Elle le savait, et comme pour décupler la force de son orgasme à lui, elle vint lui dire à l’oreille d’une voix doucereuse et haletante , qui coulait comme du miel dans ses oreilles : » Vasy mon coeur, jouis, donne moi tout … «
Cette phrase eût l’effet escompté et plus encore.
John raidit tout son corps et dans un dernier coup de reins d’Emilie , il soulagea enfin son érection et répandit tout son désir en elle.
Elle sentit de puissants jets de sperme chaud remplir entièrement sa chatte jusqu’à déborder. Il se lâchait complètement en elle et un profond sentiment de soulagement pris John, qui ne retenait plus rien et laissait sa bite projeter dans la chatte d’Emilie tout son liquide sans aucun contrôle. Elle se retira avant qu’il n’ait fini puis plongea sa bouche la première sur sa tige en éruption afin d’avaler le jet de sperme suivant qui vint s’écraser sur son palet, tandis qu’elle masturbait la bite, le bouche bien scellée dessus pour être Sur de ne pas en louper une goutte.
Elle sentit 4 autres explosions de sperme remplir sa bouche tandis qu’elle branlait la bite avec vigueur et massait doucement ses grosses couilles qui terminaient de se vider dans sa gorge. Les couilles étaient bouillantes et elle sentait le sperme contenu dans ces deux grosses boules se vider au travers de la bite. Elle avalait chaque gorgée de sperme chaud avec gourmandise et s’assura de bien nettoyer et lécher le pénis jusqu’à à la dernière goutte. Elle ne quitta pas sa bite tant qu’il n’avait pas ramolli, puis vint s’allonger sur le dos, emplie d’un profond sentiment de bonheur. Elle aimait ces cessions de sexe avec John, et commençait à devenir accro …
Chapitre 2 : pipe sous la douche
L’eau de la douche coulait sur leur corps nus, tandis qu’ils se regardaient avec envie …
Les abdos saillants de John faisaient ruisseler l’eau chaude de la douche jusqu’à sa bite, déjà presque dure et pointée vers Émilie, qui finissait de rincer les dernières traces de savon sur ses fines jambes élancées , tout en cambrant son cul comme pour exciter son amant, en lui jetant des regards aguicheurs tintés de défis.
Puis ils s’enlacèrent passionnément , et faisaient jouer de leur langue dans leur bouche.
Il maintenait Émilie avec ses bras musclés contre lui, sa bite collée contre le ventre de la belle jeune femme, qu’elle sentait se durcir contre elle. Cette atmosphère tendre et chaude commençait à l’exciter beaucoup.
Elle pris dans ses mains chaude son engin déjà bien bandé pour le caresser doucement tout en continuant d’embrasser son amant.
John l’embrassait en lui caressant délicatement l’arrière de la tête , puis il s’écarta délicatement de ses lèvres , et regarda Émilie avec un regard de braise , et posant très doucement sa main sur le haut de la longue chevelure noire ruisselante.
Il était très excité et son envie ne se voyait pas que dans le regard. Sa bite était maintenant dure comme du bois et fièrement dressée en direction d’Emilie. Il voulait sentir la douceur de ses lèvres si attirantes sur sa bite, et également soulager son érection puissante.
Elle compris rapidement et s’agenouilla devant lui. Repris le bâton dressé d’une main et commença à le caresser doucement tandis que son autre main vint chatouiller et soupeser ses grosses couilles noires parfaitement rondes et lourdes. Elle imaginait la quantité de sperme qu’elles pouvaient contenir et cela l’excitait au plus haut point.
Puis elle commença à le pomper.
Elle savait y faire et s’appliquait à bien resserrer ses lèvres autour du bâton d’amour de son partenaire de jeu …
On entendait plus dans la douche que l’eau chaude couler doucement et les bruits de bouche et de langue d’Emilie qui suçait John avec passion. Elle s’arrêtait de temps en temps pour gober une partie de ses grosses couilles pleines du liquide précieux qui constitue une grande partie de son régime depuis qu’elle a rencontré John.
Ces petites pauses n’atténuaient en rien l’excitation de son amant qui commençait à l’amener vers le point de non-retour.
Émilie suçait, branlait, massait les couilles qui ne tenaient pas entièrement dans ses petites mains, et John n’en pouvait bientôt plus.
Il commença mécaniquement par poser sa main droite sur la nuque d’Emilie et guida sa bouche pour l’enfoncer plus loin encore sur son gros pénis et entreprit des vas-et-vient plus rapides.
Émilie ne contrôlait plus la vitesse des mouvements de sa fellation , John avait pris le contrôle. Ses deux mains étaient maintenant posées sur les côtés de sa tête et il lui baisait la bouche. Il était très excité et donnaient des coups de reins rapide pour enfoncer bien profondément sa bite dans la bouche d’Emilie.
La chaleur de sa bouche, les mouvements de sa langue autour de son gland et les va-et vient qu’il imposait à ses lèvres étaient sur le point d’obtenir le résultat qu’il souhaitait.
Émilie avait lâché prise, elle se laissait faire et subissait avec plaisir les assauts répétés de son amant qui pilonnait sa bouche.
Elle savait bien ce qui allait arriver. Il allait lui éjaculer dans la bouche. Au plus profond de sa bouche jusque dans sa gorge, dans un grand râle de soulagement, en pressant sa bouche contre sa bite comme pour être sur qu’elle avale bien tout le contenu de ses lourdes couilles qui n’attendaient que de se vider.
Un grand frisson parcouru tout le corps de John, lorsque la langue d’Emilie finit son énième tour autour de son gland gonflé a bloc au milieu de sa bouche.
Et exactement comme elle l’avait pensé, John laissa échapper un grand râle de jouissance lorsque son sexe bandé éjacula un premier puissant jet de sperme qui remplit presque entièrement la bouche de sa jolie partenaire. Avant même qu’elle n’ai eu le temps d’avaler, un deuxième jet suivi d’un troisième vinrent peindre de blanc son palais et sa gorge et s’échappa de la bouche d’Emilie tant la quantité était importante. Il pressa alors d’avantage la bouche de la jeune femme afin qu’elle engloutisse presque toute sa bite et continua de déverser le contenu de ses couilles encore et encore directement dans sa gorge.
Émilie étouffait presque mais était maintenant forcée d’avaler jet après jet de sperme qui se déversait dans son œsophage directement vers son estomac. John était tout tendu et maintenant fermement la tête d’Emilie contre sa bite, tandis que son orgasme continuait de le faire éjaculer et tapisser la bouche, la gorge et l’estomac de sa partenaire.
Émilie savait que John n’était pas dans la norme. Mais elle n’imaginait toujours pas qu’un homme puisse éjaculer autant.
Son ventre était presque gonflé de toute la quantité de sperme ingurgitée. Lorsque John lâcha enfin la tête d’Emilie, il avait fini de se vider entièrement les couilles dans sa bouche. Son visage était un beau bordel, elle en avait partout. Les giclées de sperme chaud étaient si fortes qu’elles avaient débordé abondamment sur les seins, le menton , les joues et les cuisses d’Emilie. Son mascara laissait de grosses traces noires sous ses yeux, ses cheveux et de grosses coulissures de sperme pendaient de ses lèvres jusqu’au menton. Ses deux beaux seins étaient également maculés de belles dégoulinures de sperme.
John la fixait avec un regard de satisfaction mêlé de soulagement. Il avait vraiment retenu cette éjaculation depuis un moment et cette séance l’avait vraiment détendu du stress qu’il avait accumulé depuis quelques jours.
Émilie en était consciente et était contente d’avoir servi de vide-couille destressant à son partenaire. Ils se rincèrent et irent se coucher l’un près de l’autre pour dormir et tranquillement récupérer de cette session épuisante.
Chapitre 3 : Nuit Chaude
Elle ne savait plus combien de fois il s’était vidé en elle cette nuit la.
Le lit craquait comme jamais sous les assauts de John.
La suite de ce chapitre au prochain épisode …. N’hésitez pas à me dire ce que vous pensez ce ces écrits 🙂
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