Elle est là, coiffée d’un bibi noir, la résille lui couvrant le visage laissant parfaitement voir l’éclat bleu de ses yeux. Ses lèvres rouge carmin coordonnées avec ses ongles.
Elle ne sourit pas ; elle est sérieuse et déterminée.
La peau blanche de son cou qui tranche avec un bustier noir mat, celui-ci enserrant de magnifiques seins lourds. Suivaient des bas noirs se terminant dans des talons aiguilles.
Mais entre les deux, il y avait la raison de ma présence chez elle : une ceinture phallique prête à me faire découvrir de nouveaux horizons.
Elle est exactement comme je lui avais demandé, avec en plus un parfum doux en enivrant.
Je tremblote un peu à l’idée que ce fantasme que j’ai depuis des années de me faire prendre par une bourgeoise va enfin se réaliser.
Elle me fait signe d’entrer ; comme convenu, aucun mot ne sera dit.
Je l’entends refermer la porte derrière moi, puis je sens sa main me pousser et j’avance donc sans me retourner. Elle me dirige comme ça jusqu’à arriver dans le lieu qu’elle a choisi pour officier, un voile couvrant les fenêtres laisse passer une douce lumière.
Je peux y voir une simple table, et rien d’autre.
Elle me fait signe de m’arrêter et commence par me tourner autour ; je peux à loisir profiter de sa plastique superbe, ses seins lourds se gonflant à chaque respiration.
Après quelques instants, elle commence par retirer mon tee-shirt et laisse sa main parcourir mon torse, mon dos.
Elle défait ma ceinture et me fait signe de retirer tout ce qu’il y a en dessous. Je m’exécute séance tenante : pantalon, slip, chaussures et chaussettes tombent sous son regard bleu acier.
Comme je suis tout de même un peu intimidé, mon sexe se fait tout petit ; cela a l’air de la faire sourire.
Une fois terminé, elle passe dernière moi et place ses seins contre mon dos. Je sens sa main qui s’empare de mon sexe ; il ne lui faut que quelques instants pour être dressé sous sa douce caresse.
Je m’attendais à ce qu’elle frotte son gode contre mes fesses, mais elle n’en fait rien.
Quelques instants plus tard, elle me fait asseoir sur la table, puis relever les jambes et s’en va.
Elle revient avec un pot que je suppose être de la crème ; elle fait passer mes jambes sur ses épaules. Son regard ne quitte pas le mien.
Je sens un de ses doigts qui caresse mes fesses, puis se fait plus précis : il titille, entre un peu, ressort, va plus loin. J’appréhendais, mais j’avoue que cela est très agréable. Je ne pensais pas que mon sexe puisse se dresser autant ; il en réclame plus.
Je vois qu’elle a du mal à garder un visage sérieux ; la situation à l’air de lui plaire : me dépuceler doit lui faire plaisir.
Le balancement de sa poitrine m’hypnotise, et je ne me rends même pas compte qu’elle a maintenant deux doigts en moi. Lorsqu’elle les retire, un sentiment de frustration s’empare de moi ; j’en veux plus.
Tout en gardant ses yeux rivés aux miens, elle enduit son membre, doucement, trop doucement. J’avance mes fesses mais elle me repousse ; elle les écarte et présente le gode.
C’est le seul moment où j’ai le droit de quitter ses yeux.
Je veux graver dans ma mémoire cet instant.
Je sens le gode tout contre moi ; il avance doucement.
Ça y est, je le sens contre moi ; il commence à entrer. Il y a une légère gêne ; cela doit être le gland qui passe. Je pousse un peu, j’essaie de me détendre ; le doux balancement de ses gros seins m’y aide beaucoup.
Et d’un coup, voilà, il est en moi. J’ai un hoquet de surprise et je me rends compte que c’est vraiment très agréable. Elle ressort, rentre à nouveau et va un peu plus loin. Je commence à être fébrile ; une chaleur monte de mon ventre, se propage en moi.
Elle me fait signe de reprendre contact avec ses yeux car elle est entièrement en moi, et elle commence un va-et-vient lent, régulier ; à ce rythme-là, il ne faut pas longtemps pour que mon sexe soit prêt à exploser.
Son mouvement s’accélère, elle me ramone le cul ; dès que je peux, j’agrippe ses cuisses pour qu’elle reste au fond de moi. Je jouis intensément et je la vois sourire.
Comme convenu, je souhaitais qu’elle aussi prenne du plaisir.
Elle arrête donc, me fait descendre de la table, me retourne, me plaque le torse sur la table.
Je sens ses mains qui prennent les miennes, les posent sur mes fesses : elle souhaite que je m’offre à elle.
Je les écarte le plus possible, lui montrant que je suis tout à elle, soumis et prêt à tout prendre.
Je l’entends quitter la pièce.
Elle revient et pose juste sous mes yeux le gode qu’elle vient d’utiliser.
Elle retourne derrière moi et je peux en sentir ses ongles parcourir mon dos, mes fesses ; de légères griffures ont sûrement apparu sur celles-ci.
Je sens quelque chose se présenter : c’est sûrement un nouveau gode ; il a l’air plus gros et est sûrement plus long, car son introduction me paraît durer une éternité. Mais c’est un pur plaisir ; je le sens avancer en moi tout doucement, elle prend son temps. J’ai l’impression qu’elle a envie de profiter elle aussi de chaque instant.
Une fois au fond de moi, elle commence des allers-retours de plus en plus rapides, si bien que la table bouge. Le claquement de ses cuisses sur mes fesses m’informe qu’elle y va bien à fond, et à chaque fois je ne peux m’empêcher de crier.
Je tente de me retenir aux bords de la table, mais dès qu’une de mes mains bouge, je sens s’abattre sur une de mes fesses une claque magistrale. Tant que ma main n’est pas revenue à son poste initial, cette fessée engodée ne s’arrête pas.
Elle se met à ralentir, puis s’arrête. Collant ses seins contre mon dos, elle fait tournoyer son membre en moi, ce qui me fait couiner de surprise.
Je la sens haleter ; ses seins s’écrasent contre mon dos, ce qui me fait frissonner de plaisir.
Puis elle reprend son rythme. Je me rends compte que j’ai à nouveau joui, et la table est toute maculée de ma semence.
Elle commence à gémir ; j’essaie d’aller à sa rencontre avec mes fesses, mais à nouveau elle me claque les fesses. Elle me veut offert, immobile, soumis, et surtout accueillant.
Elle accélère, me défonce, et je sens des spasmes. Elle se couche sur moi, gémissante ; je peux sentir des gouttelettes de transpiration passer de ses seins à mon dos.
Elle se retire doucement, me caresse les fesses, me flatte la croupe comme la bonne pouliche que je suis à ce moment-là.
Je sens une langue qui passe légèrement entre mon cul et mon sexe ; avec ce geste, elle m’indique que c’est la fin.
Elle m’accompagne pour prendre une douche, toujours sans un mot, mais elle a le sourire aux lèvres. Je ne quitte pas ses yeux ; je suis tout tremblant, je n’ai pas envie que ce moment s’arrête. J’ai fait jouir une femme avec mon cul et j’y ai pris du plaisir.
Une fois sorti de la douche et rhabillé, je me rends compte que j’ai passé plus d’une heure sur cette table ; celle-ci est maculée de sperme et autres : je ne pensais pas pouvoir jouir autant.
Elle me raccompagne à la porte et je peux enfin voir le second gode qu’elle a utilisé : je ne pensais pas, dans aucun de mes fantasmes, pouvoir prendre en moi quelque chose d’aussi gros.
Je la quitte heureux et comblé.
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