Cette histoire date de quelques année.
Je cherchais du travail et avais envoyé de multiples CV. Un soir, je reçois un courrier d’une grande surface. J’ouvre fébrilement l’enveloppe et suis surprise par la façon dont ce patron écrit mais heureuse d’avoir un entretient.
« Tu vas venir à mes bureaux car tu cherches un stage. Après mûre réflexion, je décide de te faire passer l’entrevue. Nous verrons bien.
Je te fais passer celle-ci une fois que les employés sont partis.
J’ai vu ta photo, tu es belle. »
La lettre est curieuse. Mais j’ai tant besoin de boulot que le lendemain soir je me présente à l’entretient d’embauche. Je me suis habillée sexy mais BCBG. Il ouvre la porte et je rentre dans son bureau un peu angoissée.
« Bonjour jeune fille » dit-il d’un ton ferme et autoritaire.
C’est un assez bel homme de la cinquantaine mais qui porte sur lui l’autorité.
D’emblée, le ton est directe et choquant.
« J’aime les filles qui savent se faire sexy. Tu es provocante et j’aime les petites coquines. »
Je rougis et ne réponds pas de plus en plus angoissée par le ton que prend cette entrevue.
« Asseyez-vous ! Michèle ? C’est ça ? »
Timidement je réponds :
« Oui monsieur »
Je m’assoie dans un fauteuil profond qui me fait remonter ma robe bien trop haute.
« Vous étés vraiment une très belle jeune femme habillé très sexy. Décidément, je sens que je vais profiter de la situation. »
Sur ces mots, je suis terrorisée et prête à m’enfuir. Je n’ose pas le regarder. Je ne suis pas du genre à me soumettre mais j’ai terriblement besoin de cet emploie. D’un ton assez dur, il me dit :
« Pourquoi tu te présentes ici. »
Je tente de répondre mais il me coupe fermement la parole. Je baisse la tête et ne sais quelle attitude adopter. Je sens son regard sur mes cuisses dénudées. J’essaye un sourire un peu timide. Mais c’est la gêne que mes yeux trahissent. Il s’approche de moi. Je me force à le regarder en rougissant.
Il s’assoit devant moi et ne se gêne pas de lorgner mes cuisses et mon décolleté.
« Alors Michèle, pourquoi devrais-je t’embaucher ? »
Je le regarde fixement. Je me mords la lèvre et je lui dis :
« Parce que j’ai absolument besoin d’un travail. »
« Que sais-tu faire ? »
En me disant çà, il s’approche et pose une main sur mon genoux. Je sursaute et me crispe.
« Allons détend toi ! »
Et il monte sa main au niveau de ma petite jupe. Je repousse timidement cette main audacieuse mais elle reste fermement sur ma cuisse.
« J’ai une bonne expérience de secrétaire monsieur. »
Il sourit et me dit :
« Cà ne suffit pas jeune fille. Il faut être obéissante et te plier à tous mes désirs. »
En disant ses mots sa main remonte sur ma cuisse. Je le repousse. Il recule et d’un ton péremptoire :
« Salope ! Si tu veux bosser va falloir être plus obéissante que çà ! »
j’ai envie de sortir en lui foutant une paire de baffes mais j’ai trop besoin de ce taf, Alors à contre cœur, je le laisse faire.
« Voilà qui est mieux ! »
Sa main remonte jusqu’à mon string qu’il écarte et je sens ses doigt investir ma chatte qui malgré moi est humide . Je me mords la lèvre pour ne pas gémir sous cette caresse mais je craque.
« Ta petite chatte est trempée ! Tu es chaude et humide comme une chienne en chaleur. C’est un vrai plaisir. »
Il me fixe. Je suis paralysée. D’un coup, il se lève. Me prends les bras et me plaque contre son bureau. D’une main il relève ma jupe. Il me caresse la chatte humide et me fous une grande claque sur les fesses. Je pousse un cri de surprise et de douleur. Alors, Il me prend par les cheveux, il me redresse en tirant dessus et d’un coup, il m’enfile son braquemart dans la chatte sans ménagement. Je crie et tente de me débattre mais il me tient fermement. J’ai peur, j’ai honte de me laisser faire ainsi et en même temps, je sens comme une vague d’excitation qui monte en moi. Il me besogne dure et tout compte fait, j’aime çà.
« Mais tu mouille comme une chienne salope ! »
Les mots qu’il prononce sont insultant et curieusement çà me plait. Il me laboure la chatte et je m’entends lui dire :
« Oui encore ouiiii »
Il me dit à l’oreille :
« Jeune salope !? Tu devras me servir comme je le souhaiterais et où je le souhaiterais OK ? »
Sous mon excitation montante, je luis répondis :
« Oui monsieur ! Je vous servirais comme vous voudrez ! »
Alors en me tenant toujours par les cheveux, il dirigeât ma tête vers sa grosse queue.
« Suces petite salope ! »
Tout en engouffrant sa grosse queue dans ma bouche, Il s’est mis à m’imprimer le mouvement en me tenant la tête et en enfonçant trop loin sa queue dans ma gorge me faisant tousser et avoir des hauts le cœur. Je ferme les yeux. Il baise carrément ma bouche avec sa verge dure comme du béton. Puis me tirant les cheveux, il se retire un instant pour me dire :
« Hum… Tu aimes ça…chiennasse ! »
Je bafouille humiliée et honteuse :
« Ahhhh, oui, oui monsieur ».
Là, il me soulève et m’assois sur le bureau. Il me bascule en arrière. Mon dos claque contre le bureau. Il me saisit les cuisses et plonge son visage dans ma chatte dégoulinante de cyprine.
« J’ai trop envie de te bouffer le minou !! »
Il le prend à pleine bouche. Il plonge sa langue dans ma fente juteuse. Je me cambre. Je tremble, je gémis. Je mouille tellement quel plaisir.
« Ouiiii encore oui c’est trop booon ! »
Il appuie sa langue fort sur mon clito. Il se met à le mordiller. Je gémis de plus en plus fort. Je sens cette chaleur me monter dans le ventre. Mon corps s’abandonne. Je vais jouir. Je le sens. Il accélère. Puis brusquement, alors que j’allais hurler de jouissance, il s’arrête net !
« Crois-tu avoir le droit de jouir si tôt ?! »
Son visage est rougi de plaisir. Je reste allongée sur le bureau, offerte. Il fait le tour du bureau et je reste frustrée de mon orgasme naissant. J’entrouvre la bouche pour gober se dard bien dressé qui se présente près de mon visage. Mais à la place, il me fourre ses doigts dans la bouche. Comme une salope dépravée, je me mets à lui sucer les doigts. Mes lèvres glissent sur ce doigt.
« S’il vous plait, monsieur, donnez-la-moi à sucer. »
Je prends sa queue dans la main mais il m’empêche de la rentrer dans ma bouche. Je lui fais un regard de petite sainte tellement j’ai envie de pomper cette hampe. Il me regarde fixement amusé de me faire ainsi languir. Il me frappe doucement la joue avec sa queue.
« C’est ça que tu veux ? »
« Oh oui monsieur donnez-moi votre queue à sucer s’il vous plait. »
Il me laisse alors prendre ce magnifique objet dans ma bouche et je commence une pipe comme je sais si bien les faire avec gourmandise. Je le regarde droits dans les yeux avec provocation.
« Tu aimes me sucer petite chienne ! Tu adores ça. Putain ! »
Il m’étouffe avec son sexe. Je sens qu’il est prêt à exploser. Il ressort de ma bouche. Je tousse et essaye de reprendre ma respiration. En restant la bouche ouverte, il se met à gicler une première fois fort et abondamment me remplissant la gorge de son sperme chaud et gluant.
« Quelle gourmande tu es! »
Il gicle encore et m’asperge le visage et les cheveux. Il me fixe avec malice.
« Ma belle petite assistante. Tu as un bel avenir devant toi dans mon entreprise ! »
Je reprends alors son sexe qui débande dans ma bouche. Je le lèche délicatement et le nettoya consciencieusement.
« Tu es mon assistante personnelle désormais. Il nous reste beaucoup de chose à explorer. »
Il me donne une claque sur les fesses.
« Rhabille-toi ! Passe au secrétariat pour signer ton contrat et soit ici demain à 08h30. Ouste ! »
Je ressort du bureau les jambes encore flageolante et sentant le sexe. Au secrétariat, les filles me regardent bizarrement, Je signe mon contrat et m’enfuie très honteuse.
Le soir, chez moi, vers 09h00, Je reçois un e,mail :
« Viens au bureau demain à 10h00. Met juste un manteau et sois nue dessous »
Donc comme convenu, je me suis rendue au bureau pour l’heure dite et dans la tenue indiquée sur le mail. Je lui dis bonjour en lui tendant la main. Il l’a saisi et me tire à lui pour me rouler une pelle tout en vérifiant si je suis bien nue sous le manteau.
« Bien allons y et ne me déçois pas ! ».
Nous arrivons devant la banque de l’Ouest et montons vers le bureau du directeur. En entrant dans le bureau, je découvre une pièce très cossu où nous sommes accueillis comme des amis. Le directeur de la banque est très classe. Les deux hommes discutent finances..blablabla…Puis mon boss me dit soudain, alors que je rêvassais :
« Michèle ! Debout et enlèves ton manteau ! ».
J’en sursaute presque. Honteuse, je me lève et laisse tomber le manteau. Le directeur pousse un wahoo ! D’admiration. Malgré ma gêne je suis flattée.
« Vous me gâtez mon cher. » dit-il à mon boss.
« Il n’y a pas de quoi. Avec tous les services que vous m’apportez. C’est normal. ».
Il dit à sa secrétaire par l’interphone :
« Vous nous apportez du champagne mademoiselle ! »
Deux minutes après, alors que toujours nue, les deux hommes parlent de moi, de mes charmes et de la façon dont je peux être disponible, la secrétaire entre avec le champagne. Elle le dépose sur la table de salon en me regardant d’un air dédaigneux.
« Allez filez ! Vous n’avez jamais vue une fille nue ? » Dit-il à sa secrétaire.
J’étais rouge de honte. Ils se servent le champagne et m’en donent un verre. Eux dans des fauteuils et moi à genoux. Un verre, deux, trois et ma tête commence à tourner. Pendant ce temps ils parlent de moi comme d’un objet. Comme si je n’étais pas là. Puis le directeur se lève et commence à me palper partout en introduisant les doigts dans mon intimité puis dans ma bouche bien sûr avec les commentaires qui vont bien. Mon boss lui dit :
« Si vous voulez je peux vous laisser seul avec elle. ».
« Non non à deux on va mieux s’en occuper. » Répond-il en rigolant.
A force de me tripoter, je me mets à gémir et à mouiller énormément. Il s’essuie la main sur mon visage et me dit :
« Mettez-vous à 4 pattes et faites le tour plusieurs fois du bureau. »
Très humiliée, je m’exécute et bien sûr ils rigolent de me voire me trémousser comme çà.
« Allez venez me sucer »
Il dit à mon boss :
« Prenez la par derrière qu’on l’occupe bien cette petite. »
C’est ainsi que j’ai sucé jusqu’au bout le directeur qui s’est lâché dans ma bouche en me disant :
« Avale Michèle ! »
Mon boss lui s’est lâché sur mon dos. Ils m’ont nettoyé le dos au champagne et se sont amusé à me renter la bouteille dans le cul. Mon boss ensuite, me jette mon manteau sur le dos et nous prenons congé. Comme je suis saoule, c’est mon patron qui me ramène chez moi.
J’ai eu le droit à 300 euros de prime. En me déposant il me dit :
« Mon chauffeur te rapportera ta voiture ce soir. Je te demande d’être très gentille avec lui. »
Le soir, le chauffeur en prime du service me prend en levrette par le cul. Après lui avoir fait une superbe pipe, il se lâché sur ma figure. Voilà ma journée de travail. Je suis payée pour faire la salope soumise et curieusement j’y ai pris beaucoup de plaisir. Deux sentiments se bousculent en moi. La honte d’avoir fait çà et de retourner au travail avec se fardeau. Mais aussi le plaisir que m’a procuré cette utilisation de ma personne. Le lendemain mon patron me laissa en paix chez moi. Le téléphone sonne alors que je suis dans mes rêveries.
« Michèle ! Habille-toi sexy mon chauffeur passe te prendre ce soir. » Et il raccroche.
Docile et pensant à une autre belle prime, je me prépare. Le soir, comme prévu, le chauffeur vient me chercher. Je suis en robe fourreau lycra noire très moulante, mes cuisses, décotée. En dessous string noir et soutif pour bien mettre en valeur mes seins. Je suis surprise par la réaction du chauffeur qui me siffle et me dit :
« hé bien ils vont s’en payer une belle tranche les salauds ! ».
Je reste coite et rougit alors qu’en m’emmenant à la voiture et m’ouvrant la porte arrière, il me met ostensiblement la main aux fesses. Nous arrivons au resto super classe. Il m’ouvre la porte et recommence.
« tu ne perds rien pour attendre ! » me dit-il en me faisant un clin d’œil.
Le patron et deux gros porcs m’attendent avec des sourires de satyres. Le repas est génial et détendu puis au moment du digestif, mon boss dit :
« Bien messieurs on va passer aux choses sérieuse si vous le voulez bien. Je vous propose qu’on se retire dans une chambre où nous pourrons déguster un bon cognac et bien d’autres choses tout en signant au calme notre affaire. »
Les deux gros acquiescent avec un sourire approbateur. Nous rentrons dans la chambre. Mon boss ouvre un dossier et ils passent à la signature. Puis il se retourne vers moi et là froidement et sans ambages, il me dit :
« A poil ! Messieurs elle est à vous. »
Je suis pétrifiée. Ils allument de gros cigares et les gros me disent :
« Alors petite salope ! Tu te magnes le cul où on t’arrache les vêtements. »
Je me met nue fébrilement. Là ils s’approchent et se mettent à me caresser partout et même intimement. Malgré ma honte et la trouille, je me mets à mouiller et à gémir. Les réflexions fusent. On frappe à la porte. Mon boss dit :
« Entrez ! »
C’est le serveur qui apporte les cognacs. Je suis nue entrain de me faire tripoter et il n’en perd pas une goutte bien sûr. Je suis morte de honte. Ils me mettent à genoux et sortent leurs queues. En me tenant les cheveux, ils me poussent à les sucer. Je les suce tour à tour et mon patron regarde le spectacle en fumant son cigare. Les deux gros lui disent :
« çà c’est un contrat comme je les aime ! »
Puis l’un me pénètre et ils s’échangent la place à tour de rôle. Je reçois rapidement le jus d’un dans la bouche. L’autre qui a investi mon cul malgré mes réticences, s’épand dedans dans un grognement grotesque. Une fois qu’ils se sont bien occupés de moi, le boss téléphone à son chauffeur en lui disant :
« Venez à la chambre 202 récupérer votre colis. Raccompagnez la chez elle et payez-vous un pourboire si çà vous chante ! »
Je récupère mes affaire et :
« Non laissez çà là ! Vous les récupérerez dans mon bureau Mardi. »
« Mais monsieur ??? »
« Commence pas à faire ta mijaurée ! »
Le chauffeur est aux anges quand il m’a vu ainsi.
Au retour, j’ai dû rester nue dans la voiture et le sucer. Il s’est lâché dans ma bouche. Quand il m’a laissé chez moi il m’a dit :
« On se reverra ma belle !!!! »
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