La culpabilité d’Eva.
Chapitre 3
Une histoire érotique écrite par xicemanx
Fantasme publié le 15 août 2019
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Trash
Une fois Carole partie, Eva prit une douche.
Lorsqu’elle se savonna le crâne, maintenant et à jamais dépourvu de tout cheveu, cela lui fit bizarre. Son corps entier n’était que douceur. Certes, le traitement au laser qu’elle avait subi lui laissait encore des traces rougeâtres, mais cette sensation d’être dépouillée de tous poils lui plaisait.
Lorsqu’elle sortit de la douche, elle se sécha et se regarda dans le miroir. L’image qui lui était renvoyée l’excita en quelque sorte. Elle se caressa les seins, qu’elle trouvait beaux. L’excitation lui fit tendre ses tétons. Elle les roula dans ses doigts. Puis elle soupesa ses seins en les pelotant assez fermement. Elle se dit que finalement, vu son nouveau statut de soumise, il ne fallait pas qu’elle se soucie de son corps. Quitte à perdre ses seins…
Bien entendu, elle ne s’habilla pas en retournant dans la pièce de vie. Elle prit la perruque et la mit en place. Puis elle s’approcha de Christian.
— « Merci maître de m’avoir fait tout cela. Je sens bien que mon corps ne m’appartient plus. Il est à vous et je vous demande d’en user et d’en abuser comme vous le souhaitez ».
— « C’est bien Eva. Tu comprends vite et bien. Je vais faire de toi un modèle d’esclave, une soumise exceptionnelle. Cependant, enlève ta perruque. J’aime voir ton crâne chauve et luisant d’esclave. Tu ne la mettras que sur mon ordre ».
— « Bien maitre. Sinon, que puis-je faire pour vous ? »
— « Là, tu vas aller à la cuisine me faire un café. Ensuite, tu feras du ménage. Je veux que la maison soit rutilante. Toute faute sera punie. Pendant ce temps, je vais appeler mon collègue agriculteur, Jeremy. »
— « Votre collègue Jeremy, c’est pour mes seins ? »
— « Oui, je vais lui demander de passer. C’est un vieux garçon, pas très beau, gros, dégarni qui n’a pas connu beaucoup de femme… voire pas du tout. Cependant, je sais qu’il est très axé sur le sexe, qu’il est pervers et qu’il a une trayeuse portative pour ses chèvres. »
— « Donc, vous allez me traire ? »
— « Avec le nouveau traitement hormonal que tu prends, tu me supplieras de te traire. Ah, au fait, pendant que j’y pense, tu ne prendras plus de pilule contraceptive. Je vais t’engrosser au plus vite. »
— « De toutes façons, je ne les ai pas sur moi. Elles sont dans mon ancienne maison et d’ailleurs, il faudrait qu’on y passe, histoire de couper l’électricité, fermer l’eau, récupérer certaines affaires »
— « Oui, j’ai prévu qu’on y fasse un saut… chez moi. Plus tard, en début de soirée. En attendant, range et nettoie la baraque. Jeremy ne devrait pas tarder. »
Eva s’affaira à ses tâches.
Vers 15h00, soit environ 1 heure après, Jeremy arriva.
Effectivement, quand Eva le vit, elle ne put que constater les faits. L’homme qui se trouvait devant elle était petit, gros, gras, chauve. Il n’avait plus toutes ses dents. Il suait et puait.
Cependant, c’est lui qui commença à parler. S’adressant à Christian :
— « C’est une bien belle pouliche que tu as dégotée mon salaud. Et déjà dressée en plus ! »
— « Oui. C’est elle qui a tué Rachel et ma fille. Elle se fait donc pardonner. Elle est devenue mon esclave à vie. »
— « Esclave !!! Ça veut dire que tu peux lui faire ce que tu veux ? »
— « Oui, évidemment. As-tu apporté la trayeuse ? »
— « Oui, elle est dans la voiture. »
— « Vas la chercher stp. J’aimerais que tu me montres comment cela fonctionne. »
— « Ok, mais après, tu me prêtes ton esclave ?! »
— « J’avais prévu que tu puisses jouer avec elle, sois rassuré. »
Jeremy effectua un aller-retour à sa fourgonnette et revint avec la trayeuse.
— « voilà l’engin ! »
— « Comment ça fonctionne ton truc ? »
— « Je vais te montrer, mais j’ai besoin d’elle. »
— « Eva, viens ici. »
— « Oui maitre Christian »
— « Eva. Jeremy a besoin de toi pour me montrer comment te traire. Tu vas donc faire ce qu’il te dit. »
— « Oui. »
— « Monte sur la table et mets-toi à 4 pattes. »
Eva monta sur la table et se positionna comme demandé.
Jeremy s’approcha d’elle et lui malaxa les seins. Puis il tira sur ses mamelons. Il cracha dans ses mains et enduisit les tétons de bave.
— « Tu peux utiliser n’importe quoi d’autre qui fasse un peu glisser les buses d’aspiration » dit-il à Christian.
Puis Jeremy alluma la trayeuse. Il récupéra une première buse d’aspiration et la plaça sur le téton. Ce dernier fut aspiré, puis relâché, puis aspiré. A chaque cycle d’aspiration, la buse essayait de prendre un peu plus du sein d’Eva. Il fit de même avec l’autre mamelle.
Au bout de 5 minutes, c’est tout le téton et toute la partie de l’aréole qui étaient prisonniers de chaque buse. Cela lui tirait clairement sur les seins, et Eva avait mal. Mais encore une fois, être traitée comme un a****l l’excitait. Sa vulve luisait à nouveau.
Jeremy s’en aperçut.
— « Mais dis-moi, elle mouille ta cochonne. Ça semble lui plaire de se faire traire ? »
Christian s’adressa alors à Eva :
— « Alors soumise, tu aimes ce traitement ? ça te plait et ça t’excite ? »
— « Cela me fait mal, mais oui, je reconnais que cela m’excite. J’aime être traitée comme ça. Surtout, cela me plait que vous soyez heureux. »
— « A la bonne heure. Putain, comme tu vas déguster. Je vais te traire et extraire tout le lait que tu donneras. Tu seras traite tous les jours. »
— « Mais, à force d’être traite, comme ça, tous les jours, mes seins ne risquent-ils pas de tomber complètement, de devenir des gants de toilette ? »
— « A toi de les masser tous les jours pour éviter qu’ils ne tombent. De faire de l’exercice pour les entretenir. Par contre, le jour où ils tombent complètement, sache que je n’hésiterai pas à les couper ! »
— « Je ferais ce qu’il faut Maitre Christian. »
Jeremy s’enhardit et demanda s’il pouvait prendre la jeune soumise.
— « Sa bouche et son cul sont à ta disposition. Sa chatte, par contre, m’est réservée. »
Jeremy se défroqua. Il avait beau être gros, laid, puant, le membre qui pendait entre ses jambes était un véritable monstre de chair.
Il se positionna devant Eva, lui releva la tête en la prenant par le menton et lui demanda d’ouvrir la bouche.
Ce qu’elle fit. Alors, il lui cracha un gros molard dans la bouche.
— « Avale, c’est bon pour toi. »
Puis il présenta son sexe démesuré à sa bouche. Il n’était pas encore totalement bandé, mais déjà, elle avait du mal à tout prendre en bouche.
Elle s’efforça de faire au mieux, essayant d’agrandir sa mâchoire à son maximum. Sa bouche était maintenant totalement pleine. Pourtant le monstre de chair n’était rentré qu’à moitié !
Elle faisait tant bien que mal, coulisser ses lèvres sur le sexe géant. Jeremy lui tenait la tête et imprimait des mouvements de va et vient. Plus qu’il ne se faisait sucer, il lui baisait la bouche, cherchant à aller toujours plus loin.
Eva suffoquait. Il ressortait. Elle crachait tant et plus. Elle était à la limite du supportable. Il recommença, encore et encore. Jeremy voulait qu’elle prenne tout. Eva n’y arrivait pas malgré ses efforts.
Quand il tapait sur la luette, elle régurgitait. Jeremy s’en foutait. Christian, lui, rigolait. Jeremy continua sa besogne. Petit à petit, il allait plus loin. Eva avait l’impression que sa mâchoire était maintenant disloquée. Des larmes coulaient tant et plus sur ses joues. Elle était couverte de vomit.
Jeremy ôta d’un coup sec les buses d’aspiration de la trayeuse. Eva voulut hurler mais de sa bouche ne pouvait sortir aucun son. Puis, il lui gifla les seins, les malaxa fermement, fit rouler ses tétons, tira dessus. Il remit alors les buses en place.
Voir cette chienne se faire traiter de la sorte l’excitait terriblement. La sauce montait et il se déversa à grandes lampées directement dans l’œsophage d’Eva. Elle n’eut même pas à déglutir. Elle avait cependant l’impression que la source ne se tarissait pas, tant il jouissait.
— « Ça fait du bien de se faire remplir par autant de jus de corps d’homme, hein petite chienne ! »
Eva ne dit rien. Elle ne pouvait de toutes façons rien dire. Enfin, il sortit de sa bouche. Eva eut l’impression d’être libérée.
Elle se massa la mâchoire, endolorie.
Christian dit alors à Jeremy :
— « Je ne pensais pas qu’elle y arriverait. Il va falloir que tu reviennes plus souvent pour qu’elle s’habitue. Maintenant, pètes lui le cul avec ta bite monstrueuse ! »
Jeremy prit un peu de vaseline, s’enduisit le sexe avec et tartina le fion d’Eva. Puis il se positionna sur sa rondelle et d’un coup sec, fit pénétrer son gland. Eva hurla ! Pour la faire taire, Christian lui présenta sa bite devant la bouche. Elle n’eut d’autre choix que d’accepter l’offrande de son maitre et le suça.
Pendant ce temps, Jeremy faisait entrer et sortir son gland du cul d’Eva. Toujours de manière brutale et sèche. Au bout du vingtième coup, il resta dans son cul et commença à la limer, là encore, en essayant de faire tout rentrer. Ce qui n’était pas chose facile.
Eva avait l’impression que tous ses organes intérieurs étaient bougés dans tous les sens. Cependant, elle commençait aussi à y trouver un certain plaisir. Et plus la baise durait, plus son plaisir augmentait. A tel point que quand Christian sortit de sa bouche, elle quémanda pour qu’on lui prenne la chatte.
— « Maitre, prenez moi la chatte, s’il vous plait. Venez en moi, jouissez en moi. J’ai envie de me sentir totalement remplie. »
Qu’à cela ne tienne. Christian se faufila sous Eva. Elle vint s’empaler sur la bite de son maitre. Ca rentrait et ca glissait tout seul. Elle était trempée.
A un moment, son regard croisa le miroir du salon. Elle se vit. Le crâne rasé, en train d’être traite, à 4 pattes et prise en double. Elle, la bourgeoise arriviste, qui n’avait eu que des coups d’un soir, elle était prise comme une chienne. et ça l’excitait !
Les 2 hommes jouirent quasiment en même temps. Eva aussi. Un orgasme puissant, dévastateur. Elle prenait vraiment son pied. Si elle avait pu s’imaginer cela. En être réduite à être une chienne soumise pour prendre autant de plaisir. Comme quoi, le sexe mène à tout.
Quand les 2 hommes ressortirent de leur trou respectif, ils passaient par sa bouche pour se faire nettoyer.
Son trou du cul était devenu béant.
— « Elle risque d’avoir mal au cul pendant quelques jours. Mais il fallait en passer par là pour que tu puisses l’amener à le ferme se faire prendre par Prince. » dit Jérémy.
— « Oui, c’est sûr. C’est encore un cran au-dessus. La bite de ce cheval est monstrueuse. Mais elle va y arriver, d’ici quelques temps. En attendant, je compte sur toi pour revenir de temps en temps lui élargir les orifices. »
— « Pas de soucis mon ami. Tu sais que je ne peux rien te refuser. »
— « Bon, c’est pas tout ça, mais je dois aller dans son ancienne maison récupérer des affaires et ensuite je voudrais l’amener se faire anneler et tatouer, voire la marquer au fer rouge. »
— « T’embête pas pour le marquage. J’ai tout le matos. La prochaine fois que je viens, je t’apporte tout ça et tu pourrais lui faire toi-même. »
— « Au top ! on fait comme ça ».
Jérémy, avec la douceur qui lui est propre, arracha les buses des seins d’Eva. Elle se permit un petit cri, ponctué d’une bonne gifle.
Christian lui demanda alors de nettoyer toutes ces cochonneries, et ensuite d’aller se laver. Pendant ce temps, les 2 hommes prirent une bière et s’installèrent dans le canapé.
Eva se releva de sa position. Tout son corps lui faisait mal… mais elle avait pris un pied phénoménal. Elle avait l’impression d’avoir enfin découvert la vraie jouissance. En ce sens, elle était contente.
Tant bien que mal, elle alla récupérer un seau et une serpillière et nettoya. Puis, elle se rendit sous la douche où l’eau bien chaude lui fit du bien. Elle y resta pendant quelques minutes, se relaxant.
Une fois lavée et propre, c’est nue qu’elle se rendit dans le salon.
— « Je suis propre, maitre Christian. Comment dois-je m’habiller ? »
Christian se leva et alla dans la chambre, demandant à Eva de le suivre. Il ouvrit une armoire et en sortit une petite robe, courte, saillante et fleurie.
— « Tiens. Mets ça. Elle est très près du corps. Ca mettra tes formes en valeurs. Surtout son cul. Et ca laissera entrevoir tes seins. C’est parfait. Bien évidemment, je te rappelle que tu n’as plus le droit de porter de sous-vêtements.
Eva enfila la robe printanière. Effectivement, son joli petit cul bombé était bien mis en valeur et le décolleté formé sur le devant laissait clairement apercevoir la naissance de ses seins. Ses tétons pointaient d’ailleurs à travers le tissu.
Quand elle fut prête, elle retourna dans le salon. Jérémy était sur le départ. Il s’approcha d’elle et lui roula une grosse pelle. Elle se laissa faire.
— « Tu vas faire encore un peu de rangement, le temps que je me prépare. Quand tu auras terminé, tu en profiteras pour aller promener le chien. » lui dit Christian.
Elle s’affaira à ses tâches.
A son retour de la petite promenade avec Rex, Christian était prêt. Ils ressortirent tous les deux et prirent place dans la Porsche.
— « Allez, on va chez toi. Enfin chez moi, mais dans ton ancienne maison. Indique moi la direction. »
— « Maitre Christian. je vous ai entendu dire que vous vouliez me faire prendre par un cheval. C’est une image ? »
— « Non ! Tu te feras prendre par Prince. C’est un magnifique étalon avec une queue énorme. Tu verras, tu aimeras ça. Et de toutes façons, tu n’as pas le choix, que je sache ! »
— « Oui, je n’ai pas d’autres choix que de vous obéir. »
Elle rajouta :
— « Et vous allez aussi me marquer me faire rouge ? »
— « Oui, ça aussi, tu vas y avoir droit. je ne sais pas encore sur quelle partie de ton corps, qui m’appartient, je vais faire ça. J’hésite entre bas du dos, tes fesses ou tes seins. »
— « Et c’est quoi se faire anneler ? »
— « Putain, mais t’es jamais sortie ou quoi ? Se faire anneler, c’est se faire poser des anneaux. Donc, je vais te faire poser des anneaux sur les seins, les tétons exactement, et certainement sur les lèvres de ta chatte. »
— « Ça fait mal ? »
— « Oui, mais on s’en fout. En tous cas, moi, je m’en fous ! »
Puis ce fut le silence durant le trajet, jusqu’à arriver chez à son ancienne demeure.
En arrivant, elle fut interpellée en sortant de la voiture.
— « Eva ? Eva ! »
Christian se retourna. Un jeune homme, en tenue de sport, transpirant de sueur s’approchait d’eux. Il demanda à Eva qui il était.
— « C’est Eric. Un voisin avec qui je vais courir tous les WE. »
Eric s’approcha d’elle. Il la dévisagea avec stupeur.
— « J’ai reconnu la voiture, mais j’ai eu du mal à te reconnaître. Qu’as-tu fait ? »
Eva ne répondit rien. Christian s’en chargea.
— « Ce qu’elle a fait. Elle a tué ma femme et ma fille. Et pour se faire pardonner, elle a décidé de tout abandonner et de devenir mon esclave. Voilà ce qu’elle a fait. »
— « C’est une blague ? N’est-ce pas Eva ? »
— « Non Eric, c’est vrai. »
— « Arrête, je ne te crois pas. Pas toi ? Pas la fille bourge qui avait un super poste ! »
— « Si si, c’est vraiment vrai ».
— « Ouais, tu essayes de me faire marcher. J’en suis sûr. »
Christian le coupa. « Ecoute jeune. Rentre avec nous dans la maison, tu verras par toi-même. »
— « Ok. J’ai hâte de voir ça ! »
Une fois à l’intérieur, Eric leur dit :
— « Alors, vas-y : prouve moi que ce que tu dis est vrai ? »
Christian se positionna derrière Eva et défit un à un les boutons de sa robe. Puis il la déshabilla, laissant choir la robe par terre.
— « Mets-toi à genoux et suce le ! » lui intima Christian.
Eva obéit. Elle s’agenouilla et approcha sa main du short d’Éric qui semblait totalement abasourdi par la situation.
— « Laisse toi faire, le jeune. Tu verras, c’est une bonne suceuse. En plus, elle avale tout. »
— « Vous savez quoi ? C’est pas de refus. Depuis que je cours avec elle, j’ai toujours espéré me la faire. »
Cette phrase surprit Eva. Mais Eric ne lui laissa pas le temps de cogiter et baissa son short de sport, laissant sortir son sexe déjà bien bandé.
— « Allez, vas-y, montre-moi que tu es une esclave et que tu obéis bien à ton maitre. Suce moi. »
Eva engouffra le sexe dans sa bouche. Il sentait fort la transpiration, mais s’appliqua à lui prodiguer une bonne pipe.
Eric n’était guère endurant, si bien qu’au bout de 3 minutes, il éjacula dans la bouche d’Eva, qui avala toute la semence qui lui était donnée.
Elle continua de le sucer pendant 30 secondes, lui nettoyant parfaitement le sexe de toutes traces.
Une fois fait, il remballa le matériel, puis s’adressant à Christian :
— « Monsieur, pensez-vous qu’il serait possible de renouveler ce genre de choses, voire plus ? »
— « Oui, pas de soucis. C’est une bonne chienne, bien obéissante. Je te laisse mon n° de portable. Appelle-moi. »
Sur ces entrefaites, Eric s’en alla, bien content.
Eva se rhabilla.
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