Leslie est sortie de la salle de bains. Après s’être maquillée d’un mascara sombre, elle s’admire dans le miroir. Elle arrange ses cheveux blonds en un savant chignon puis masse ses seins aux tétons perpétuellement dardées, touche sa chatte déjà trempée. Leslie vérifie si elle a bien attaché sa chaîne de cheville ainsi que son collier de perles puis se pare de sa guêpière rouge. Comme elle dit, c’est sa première arme de garce. C’est un modèle rouge à huit jarretelles mais il faut ça pour bien tenir ses bas coutures noirs, sa seconde arme de salope. Elle les enfile avec délicatesse.
Sur le lit en désordre, souvenir de la nuit dernière où elle s’est faite baiser par deux hommes vigoureux, il y a aussi sa jupe noire. C’est une jupe droite qui, elle le sait d’avance, sera très tendue sur ses hanches et ses cuisses pleines, laissant bien deviner la marque des jarretelles. Puis c’est au tour de la veste du tailleur, un modèle gris souris qui lui a toujours assuré du succès auprès de la gent masculine.
Enfin, elle choisit ses escarpins, sa dernière arme. Leslie opte pour des Louboutin vernis avec un talon aiguille de dix centimètres. Elle est prête à sortir avec son uniforme de bourgeoise.
Elle gagne la station de métro puis prend la première rame, direction son agence immobilière proche des Champs-Élysées. Dans le wagon, Leslie prend toujours soin de rester debout afin de sentir sur elle les regards des mâles sur ses bas, sur ses fesses, sur sa bouche gourmande. Elle sait qu’elle mouille déjà.
Dans l’espace d’attente de l’agence immobilière, deux hommes. Les deux derniers candidats retenus pour le poste de conseiller immobilier. Il leur reste une épreuve à passer. Leslie décide de les faire patienter un peu. Elle gagne son bureau en dodelinant du cul. La bourgeoise ferme la porte, baisse les stores, prend place derrière son bureau. Elle allume son ordinateur dont le fond d’écran est un cliché d’elle en train de se faire prendre par trois hommes. Heureusement que la session Windows est habituellement verrouillée !
Dans un geste qui n’a plus de secret pour elle, Leslie remonte sa jupe et écarte bien les cuisses sur le bureau. Sa chatte dégoulinante de cyprine est directement accessible. Leslie ne porte jamais de culotte, ni string. Ses doigts aux ongles vernis d’un rouge profond partent directement à l’assaut de son clitoris qui ne demande que ça. Elle accélère rapidement la caresse en songeant aux deux grosses queues qui ont investi tous ses orifices hier soir avant de gicler sur son visage et ses bas.
Dix minutes, avec une attitude totalement professionnelle, elle ouvre la porte de son bureau et invite les deux candidats à y entrer. Ils s’installent face à elle et ne peuvent rien louper du spectacle. En effet, le meuble sur lequel trônent quelques dossiers n’est pas en bois mais en verre. Les deux hommes ont ainsi une vue plongeante sur les jambes de Leslie qu’elle croise et recroise à loisir. Le premier candidat, un dénommé Paul, a déjà des sueurs chaudes et dessert sa cravate. Le second, Romain, a les yeux complètement exorbités.
Bonjour messieurs, il vous reste une dernière épreuve à passer afin d’obtenir le poste. Rien de plus simple, il faudra me satisfaire.
Les deux hommes se regardent, le visage partagé entre incompréhension et excitation.
Allez, messieurs, montrez-moi vos bites !
Leslie passe une langue gourmande sur ses lèvres pendant que les candidats s’exécutent. La bourgeoise est rassurée. Ils bandent déjà et sont bien montés. De concert, ils se lèvent et viennent se positionner face à la directrice de l’agence. Maîtresse de la situation, Leslie agace d’abord le gland de Paul, puis par petits coups de langue, descend jusqu’à ses couilles pleines. Puis sans lâcher la belle bite, elle renouvelle l’opération avec celle de Romain. Un peu de bave s’échappe de la bouche de la garce et atterrit sur la veste de son tailleur. Son premier jeu dure une bonne vingtaine de minutes. Les deux hommes n’en peuvent presque plus. Ils n’ont jamais vu une salope pareille, même dans leurs désirs les plus fous.
Leslie, satisfaite de cette première joute, se lève à son tour et, après repoussé quelques dossiers, s’installe, le cul à même le bureau. Panorama total sur sa chatte trempée. Paul a capté le message. Sa langue vient se poser sur la fleur imbibée de cyprine et totalement épilée. De son côté, Romain continue de se faire sucer avec avidité. Le jeune homme en profite pour caresser les bas de Leslie. Puis, toujours plongés dans une excitation totale, les deux hommes échangent leur rôle. Leslie gémit, s’accroche à la table.
Romain est le premier à la pénétrer. Il se lâche vraiment et n’hésite pas à la traiter de salope, de chienne, de garce. Paul ne perd rien du spectacle et se sent grossir encore plus dans la bouche de Leslie. La patronne est une experte de le fellation.
Mais la bourgeoise en veut plus. Il faut qu’elle sente ces deux bites dans son corps.
Paul, tu vas m’enculer, lâche-t-elle entre deux râles.
Le jeune homme ne se fait pas prier. Leslie descend de la table, s’accroupit, bien campée sur ses Louboutin et suce les deux bites à tour de rôle. Son abricot est tellement trempé que son jus de chienne, de pute des beaux quartiers dégouline sur le parquet neuf.
Elle se met à quatre pattes, son cul de bourgeoise dévergondée bien tendu vers ses deux tourmenteurs. Romain vient se placer sous elle tandis que Paul va s’emploie à lécher son petit trou déjà dilaté. Sa bite rentre sans le moindre effort.
Leslie est au nirvana. Elle se fait pilonner, elle se fait défoncer. Sa raison de vivre, sa raison d’être. Cette chienne dépravée ne vit que pour le sexe, que pour la luxure.
Leslie gémit, crie son plaisir, hurle. Elle n’en a pas fini avec les deux hommes qui échangent leur place. Leslie se cabre, demande qu’on la baise encore plus fort, qu’on la défonce sans la moindre retenue. Elle sent qu’ils sont à point. Ils se retirent.
Leslie reprend sa place sur la table, le corps totalement offert. Romain et Paul se branlent devant elle. Ils ne vont pas tarder à gicler.
Paul est le premier à rendre grâce. Il lâche une semence lourde sur le visage de la bourgeoise ainsi que sur ses seins. Romain est un peu plus long à venir mais pour se vider, il a choisi un bel emplacement : les bas couture de Leslie. Son sperme épais vient atterrir en longues giclées sur les jambes de la belle.
Paul, Romain et Leslie sont essoufflés. Il leur faut du temps pour reprendre leurs esprits.
– Vous êtes embauchés tous les deux, fait-elle, totalement satisfaite de leur investissement. À une seule condition. Il faudra me défoncer tous les jours, matin, midi et soir !
Ajouter un commentaire