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La diplomate (2e partie)

La diplomate (2e partie)



Valerie avait complétement perdu la notion du temps. Elle ne savait pas si des heures, ou des jours, s’étaient écoulés depuis qu’elle avait été enfermée dans cette pièce complètement obscure. Elle pensait que ses yeux auraient pu s’habituer au manque de lumière pour discerner les murs et le sol, mais ce n’était pas le cas. Elle était vraiment dans le noir le plus complet. Elle savait qu’elle était au moins au deuxième sous-sol de ce batiment, et une odeur de moisi trainait dans la pièce.

Elle s’endormit à deux reprises. En se réveillant, elle se souvint de son second rêve. Elle était chez elle, avec son mari et sa fille, et passait une journée heureuse, à préparer des affaires pour passer la journée autour d’un lac.
Elle n’avait pas pu se laver depuis que Micheal lui avait éjaculé dessus. Elle se sentait humiliée et dégradée, elle qui avait toujours été une femme assez forte. Car il faut une certaine force de caractère pour devenir diplomate, ainsi qu’un haut niveau intellectuel.

La porte s’ouvrit en un bruit sourd et lourd. Elle fut un peu éblouie par la lumière, tandis que deux soldats vinrent la saisir, et la firent se lever. Elle sortit de sa grande cellule, et elle traversa le même couloir que la fois précédente. Mais cette fois-ci, une fois aux escaliers, au lieu de la faire monter, on lui fit descendre un étage.
Les soldats ne se privaient pas de la regarder, et de lancer des petits commentaires, en regardant ses seins et sa chatte. Valerie ne comprenait pas la langue locale, mais elle se doutait de la nature de ces propos.
Elle fut amenée dans une pièce où se trouvait un officier. Elle le reconnut, il était déjà présent la première fois, aux cotés du capitaine, mais il n’avait pas pris la parole.

Dans un coin, elle vit une petite table sur laquelle était posé quelques dattes, une bouteille d’eau, et quelques fruits. Les soldats lui indiquèrent de se placer au centre de la pièce. Valerie, nue, s’avança, et fit face à l’officier.
Ce dernier posa une tablette tactile devant lui, et commença à faire des recherches. Il alla rapidement sur facebook, et tapa le nom de la diplomate. Puis il montra la tablette en étant sur son profile.
– C’est bien vous ?
Valerie hocha la tête.
L’homme replongea son regard sur l’appareil.
– Jolies photos… Bien jolie famille… Ils vous manquent ?
– Beaucoup…
Valerie put apercevoir un post de son mari annonçant sa disparition. Mais elle était trop loin pour en lire plus, et l’officier ne cessait de faire bouger la tablette.
– Votre mot de passe ?
Valerie n’était pas vraiment en position de contester, elle donna son mot de passe, qui par ailleurs, était son mot de passe pour tous ses différents comptes sur internet. L’officier se connecta.
– J’utilise un VPN… murmura t-il.

Il regardait differentes photos, et s’arrêta sur une en particulier, de sa fille en maillot de bain.
– Sonia, 18 ans… fit l’officier, en regardant le profile. Très belle. Je vais me branler pour votre fille.
L’officier posa la tablette, en mettant la photo de Sonia en plein écran, et sortit sa queue de son pantalon. Il commença à se carresser doucement, faisant durcir sa queue, et se masturba de plus en plus activement.
Valerie ne voulait pas regarder ce spectacle, mais l’officier lui lança des yeux noirs.
– Regarde comme elle me rend dur ta fille.
L’homme se branlait en prenant son temps, savourant l’instant.
– Branle toi, fit l’homme.
Valerie sentit les regards des soldats fondre sur elle. Il y en avait une dizaine dans la pièce. Elle amena doucement sa main sur son intimité, et fit doucement bouger ses doigts dans sa toison, sur sa fente et sur son clitoris.
– C’est bien, fit l’officier, en continuant de se branler en regardant la fille de Valerie en maillot. Plus vite !
Valerie agita ses doigts un peu plus rapidement. Elle fermait ses yeux, se sentait honteuse, et humiliée, d’être réduite à ça, face à autant d’hommes.
– Plus vite !
Valerie agitait maintenant frénétiquement ses doigts sur son clitoris. Elle sentit que son corps était sur le point de jouir. Mais elle se sentait tellement en déconnection avec ce plaisir. Elle ouvrit les yeux. L’officier était en train de la filmer avec sa tablette. Elle arrêta de se masturber aussitôt. L’officier arrêta l’enregistrement. Il fit quelques manipulations sur la tablette, et montra à nouveau l’écran. Il venait de publier la vidéo sur le profile facebook de Valerie. A la vue de tous… De ses parents, de sa fille, de ses amis, de ses collègues, de ses voisins… Elle, la diplomate… En train de se masturber.
– Nous devions envoyer preuve de vie, fit l’officier. Voilà qui est fait.

La porte de la salle s’ouvrit et le capitaine entra. Les soldats le saluèrent en se mettant au garde à vous. Il alla directement face à Valerie, et la regarda avec défiance.
– Tu veux manger, et revoir tes amis ?
– Oui, murmura t-elle.
La capitaine donna une petite claque précise sur le bout du sein droit de Valerie. Qu’il répéta encore, et encore. Et il passa sur son sein gauche. Le bruit des claques était fort à chaque fois.
– Oui qui ?
– Oui… Oui capitaine.
Satisfait, ce dernier montra la petite table où étaient posées les fruits et l’eau, et invita Valerie à se sustenter. Elle n’avait rien bu ni mangé depuis son arrivée. Elle commença par boire, et même si l’eau était chaude et avait un mauvais goût, elle fut enfin désaltérée.
Elle mangea une banane, sous les sourire moqueurs des gardes qui faisaient des allusions sexuelles.
– Toilettes ? , demanda le capitaine.
Valerie avait envi d’uriner, et elle hocha la tête. Le capitaine la prit par le bras et la fit remonter d’un étage, ils traversèrent un couloir qu’elle ne connaissait pas, et il demanda à un garde d’ouvrir une porte. Elle entra dans une pièce lumineuse, au milieu de laquelle se tenait Micheal, assis par terre. La lumière venait d’une petite fenetre taillée dans le mur épais, en hauteur, large d’une vingtaine de centimètres. Une chaleur extrême régnait dans la pièce.

– Valerie, lança t-il d’une voix fatiguée, vous êtes là… J’étais inquiet pour vous…
– Micheal ? Ils vous ont fait quoi ?
L’homme avait triste allure, ses vêtements étaient déchirés, il semblait avoir reçu des coups, ses lèvres étaient gercées, son regard n’était plus pétillant comme il l’était auparavant. Il semblait si fatigué.
– Il a soif, répliqua le capitaine.
– Je n’ai rien bu depuis que je suis là… et j’ai si chaud…
– Je… je suis désolée Micheal, tellement désolée….
– Ce… ce n’est pas de votre faute… Valerie.
Valerie savait pourquoi le capitaine l’avait amené précisement ici. Elle s’approcha de Micheal, et lui présenta sa chatte. Lui, assis, se redressa un peu, ouvrit sa bouche pateuse, et colla ses lèvres séches contre le pubis de la diplomate. Cette dernière controla sa vessie pour ne pas pisser trop fort d’un coup. Elle urina un peu dans la bouche de Micheal, qui but aussitôt. Elle se relacha à nouveau, pissa, et Micheal se remit à boire. Elle se relacha complètement. L’urine gicla de la bouche de Micheal, coula sur ses lèvres gercées et son menton, puis il avala, et ouvrit à nouveau la bouche pour recevoir le jet de Valerie.
Elle sentit qu’elle terminait de pisser, et Micheal resta sous elle jusqu’aux dernières gouttes. Puis il recula un peu, restant assis, et prit sa tête entre ses mains. Il lacha quelques sanglots.
– Pardon, pardon Micheal….
– Non… Merci à vous Valerie… j’avais tellement soif… Essayez de revenir me donner à boire… Quand vous le pourrez.
– Vous pourrez le demander au garde de votre cellule. Il vous conduira ici, fit le capitaine.
Valerie considéra Micheal en sortant de la pièce. Il n’osait pas la regarder, restant prostré au milieu de la pièce.

– Accepteriez-vous d’être mon invitée ce soir ? fit le capitaine. Ce serait l’occasion d’une douche et de quelques habits propres.
Valerie hocha la tête, étant toujours en train de penser à sa vidéo d’elle en train de se masturber sur facebook, de l’officier qui se masturbe sur la photo de sa fille, d’elle en train de pisser dans la bouche de Micheal.
Le capitaine se plaça devant elle, et sans un mot, lui administra des claques sur les mamelons, encore et encore.
– Oui capitaine, oui capitaine…. répéta t-elle.
Elle fut poussée dans sa cellule, et la lourde porte se ferma.
Elle se retrouva dans le noir absolu.

A suivre.

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