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La maitresse d’école

La maitresse d’école



Quand j’étais gamin, il m’est arrivé d’être amoureux de ma maîtresse d’école. Pas vous ? Enfin bref, évidemment ça ne restait que de l’ordre du fantasme de pervers, même si je me souviens parfaitement que déjà très jeune, je m’imaginais en train de mettre des bonnes femmes à poil et de leur enfiler ma bite dans la chatte, même si je n’étais pas encore équipé correctement. Collège, lycée, pareil, dès qu’il y avait une prof correcte, je me faisais des idées. Je voulais les sauter. Malheureusement, je n’y suis jamais arrivé. Je n’ai même pas vraiment essayé, mais à chaque sourire, je pensais qu’elle était open. J’étais vraiment con.

Mais j’ai quand même fini par me la faire, la maîtresse d’école. En tant qu’élève, ça aurait été évidemment plus glorieux, mais bon… J’étais à la fac et faisais des remplacements pour gagner de l’argent. Les gamins étaient parfois chiants mais bon, je commençais à m’y faire. Je remplaçais une vieille vache pas souriante. C’était pas elle que j’allais me faire, c’était clair. A la récréation, j’ai été boire un café à la salle des maîtres. Une belle brune, la quarantaine, cheveux courts et tailleur sexy est directement venue me draguer. Waw. Elle voulait savoir si je m’en sortais bien. Tout allait bien mais j’ai préféré mentir. Elle m’a alors dit qu’elle passerait me voir dans ma classe à la pause de midi pour m’aider et répondre à mes questions. J’ai alors abrégé ma pause pour retourner en classe. Il y avait un coin bibliothèque avec un matelas et des coussins. J’ai décidé de le rapprocher de mon bureau. J’attendais maintenant la nana de pied ferme.
Tout se passa très bien avec les gamins. La prof me rejoignit ensuite et nous bavardâmes. Elle finit par me demander ce que j’avais comme question. La seule qui me venait à l’esprit c’était si elle serait ok pour baiser avec moi. J’allais peut-être atteindre mon but, mon fantasme de gamin. Je me suis mis à trembler. Il ne fallait pas me louper. Elle souriait, comme toutes les maîtresses sympa. Mais j’étais un homme maintenant, c’était différent, j’avais plus de chances. Me lancer, la saisir, ne pas lui laisser le temps de réfléchir, glisser mes mains sur son cul… La manœuvre réussit. Et maintenant, il fallait assurer.

Alors que j’étais en train de lui ôter son chemisier pour mieux avoir accès à sa poitrine sympathique lorsque j’eus un bad trip qui faillit tout faire rater. La porte de la classe était ouverte. J’imaginais déjà une armée de mioches en train de nous mater. Ma couardise eut le dessus sur mon envie de baiser la prof. Je l’abandonnais quelques secondes, le temps de sprinter jusqu’à la porte, de la fermer et de revenir. Elle n’avait pas bougé, adossée contre la bibliothèque. Elle semblait amusée par la scène. Pour la récompenser de sa patience, je la fis se coucher sur le matelas et lui remontai sa jupe. Elle avait une jolie culotte noire, avec de la dentelle. Très jolie vue, mais il me fallait quand même l’ôter, ce que je fis avec les dents.

« T’es prête, maîtresse ? » J’étais tellement ravi que je savais que les conneries du genre n’allaient pas tarder à fuser. Une fois que j’aurais plongé ma bite dans l’enseignante, j’allais me replonger également dans tous mes souvenirs liés à ça, repenser à toutes les profs que j’avais voulu niquer dans mon enfance et dans mon adolescence. A peine pubère, je me voyais en train d’enfiler ma bite dans leur gosier, entre leurs nichons de jeunes mères, dans leur anus, surtout quand elles m’avaient collé des punitions. Je me voyais me venger en les prenant par derrière pendant ma retenue, leur demander si j’étais pas un bon élève en leur jutant à la face. Ouais, c’est à tout ça que j’ai pensé en baisant la prof sur le matelas du coin bibliothèque, mais bien sûr, elle n’en a rien su, bien qu’elle ait dû se douter que j’étais en train de réaliser un vieux fantasme, vu l’état d’excitation dans lequel j’étais.

Je réussis quand même à m’occuper d’elle correctement, en faisant plonger ma langue bien profondément dans sa chatte de fonctionnaire. Le goût, bien que similaire à celui d’autres femmes que j’avais léchées avant celle-ci, m’a pourtant paru meilleur, ce qui eut pour effet de me redonner de l’intérêt pour un exercice que je pratiquais de plus en plus pour faire plaisir à la nana plutôt que par plaisir personnel. Là, au contraire, je me concentrai à fond sur ce que je faisais tout en enfonçant mes doigts dans la peau charnue de ses cuisses. Les cris que je captai me firent comprendre que le fait que je sois si motivé par ce que je réalisais rendait mon cunni des plus réussis.

Les seins de la maîtresse étaient à moi. Leur propriétaire avait les yeux dans le vide, se remémorant sans doute l’orgasme que je venais de lui offrir. A moi les nichons de rêve, à moi le saint Graal qui me rendait fou depuis mon enfance, à moi les formes harmonieuses et bandantes, à moi… Je les malaxais avec toute la patience que méritait cet instant merveilleux, puis je menai ma bouche à eux et les savourai comme le plus délicieux des plats. Requinquée, mon amante se mit à se caresser le clitoris. Il était temps que nous passions aux choses sérieuse.

Elle avait un air de lesbienne avec sa coupe de cheveux à la garçonne. Ne voulait-elle pas nous ramener une de ses collègues ? Ainsi, je me ferais deux de ces salopes d’enseignantes à la fois. Paf, ma bite dans l’une, mes doigts dans l’autre. Mais il fallait déjà que je me montre à la hauteur de celle-là. Je l’ai donc défoncée contre le matelas, élargissant sa chatte comme un vrai malade, avant de me retirer et de lui inonder tout le ventre. Haha, elle était embêtée maintenant, mais en tant que prof, j’étais sûr qu’elle allait pouvoir résoudre ce problème.

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