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Une vocation contrariée

Une vocation contrariée



J’avais mis une petite annonce à la boulangerie pour trouver un locataire. Un ou une locataire. Depuis mon divorce, j’avais des difficultés à payer mes charges parce que je n’avais jamais travaillé et ce n’était pas ce poste de vendeuse qui payait beaucoup. Mes parents m’envoyaient de l’argent de temps en temps mais ils commençaient à manquer de liquidités.
Un soir, mon téléphone à sonné. C’était la voix d’une jeune femme qui se présenta comme étudiante. J’ai demandé à la rencontrer avec ses parents et nous avons pris rendez-vous.
J’ai bien vu que c’était une fille convenable. Ses parents l’étaient aussi. Ils étaient venus de leur petite ville province pour accompagner leur fille.
L’année universitaire était déjà commencée et la fille cherchait à se loger d’urgence. Nous nous sommes mis d’accord sur un loyer et le lendemain, la fille s’est installée dans la chambre.
Elle était un peu comme ma fille et j’ai cherché à m’intéresser à ses études mais je n’en avais pas fait par moi-même et quand cette fille me parlait, je me rendais bien compte qu’elle était plus intelligente que moi.
En octobre, elle a commencé par me dire qu’elle devra sortir le soir parce que, dans sa fac, ils font des cours le soir faute de place en journée. Pourquoi ne l’aurais-je pas crue ?
Un soir, elle est rentrée avec un œil au beurre noir et quand je lui ai demandé elle m’a dit qu’elle s’était cognée. Je voyais bien qu’elle était de plus en plus secrète. Elle ne me disait plus rien, si bien que j’ai décidé de tirer ça au clair et un matin, je suis allée dans sa chambre et j’ai trouvé une petite culotte avec des traces de sperme séché et un soutien-gorge déchiré.
Il m’était arrivé d’entrer dans la salle de bains parce qu’elle avait oublié de tirer le verrou et je l’avais vue toute nue et je m’étais dite que j’aurais bien voulu être aussi bien faite qu’elle quand j’avais son âge et plus tard, je m’étais masturbée en pensant à cette fille.
Quand j’étais entrée dans la salle de bains, j’avais d’abord vu son reflet dans le miroir puis elle s’était retournée et elle avait rougi et je lui avais dit qu’après tout, nous sommes toutes les deux des femmes.
J’avais pu voir aussi qu’elle était entièrement rasée sur le pubis, ce qui pour une fille de son âge me semblait bizarre. Elle avait aussi un piercing au clitoris, un anneau avec une perle de jade.
Je n’arrêtais plus de penser au spectacle que j’avais vu. Cette fille me faisait fantasmer et je me masturbais de plus en plus en pensant à elle.
Un soir, alors qu’elle venait de rentrer de la fac, la fille m’a dit qu’elle doit aller à un cours et j’ai décidé de la suivre. Elle m’a entraînée dans les rues chaudes de notre ville et j’ai vu qu’elle connaissait bien certaines d’entre elles puis après avoir discuté, elle a pris place parmi elles, le corsage complètement ouvert pour montrer sa poitrine et sa jupe ultra courte.
Un type est arrivé et après une courte discussion, ils ont disparu dans un immeuble et un quart d’heure plus tard, ils sont ressortis. A peine était-elle sortie, qu’un autre client a surgi et aussi rapidement, ils sont entrés dans l’immeuble pour ressortir peu après.
Sur les une heure du matin, la fille a dit au revoir à ses collègues et elle a pris la direction de chez moi et je me suis dépêchée pour arriver avant elle et faire semblant de l’attendre.
– Ça va, lui ai-je demandé ? Ton cours était intéressant ?
La fille m’a répondu qu’elle est fatiguée et qu’elle va se coucher mais elle a passé une heure dans la salle de bains.
Le lendemain, elle m’a joué la même comédie et je n’ai pas eu le courage de la suivre mais quand elle est rentrée, je l’attendais et je lui ai posé les mêmes questions puis je lui ai dit que si elle a des problèmes, je suis là pour ça. Elle ne m’a pas répondu.
J’ai attendu une semaine pour avoir le courage de lui demander si elle se prostitue. Elle a blémi.
– Tu fais pas ça, quand même ?
Elle m’a regardé avec de grands yeux vides.
– Tu te prostitues, ai-je insisté ? Si tu m’en avais parlé, j’aurais pu t’aider ! Ça dure depuis combien de temps ?

La fille a fondu en larmes et je l’ai fait asseoir sur mes genoux. Je ne savais pas quoi dire et je lui ai dit que si j’avais eu une fille, j’aurais voulu qu’elle soit comme elle.
– Ah, ma chérie, ai-je ajouté !
Elle a tourné sa tête vers moi et je ne sais toujours pas comment, ses lèvres se sont collées sur les miennes et nos langues ont fini par s’emmêler. J’ai glissé la main entre ses cuisses. Au-delà du bas, sa peau était nue et j’ai trouvé ça agréable.
– Ma pauvre chérie !
Mes doigts étaient sur sa petite culotte et je les ai glissés dessous et j’ai commencé à masturber et à mesure que je la masturbais, son corps s’est raidi et elle a fini par avoir un orgasme.
– Ah, chérie !
La fille est restée dans mes bras. Elle se laissait embrasser et je pouvais enfoncer ma langue puis je lui ai demandé si elle a encore envie et j’ai renfoncé la main entre ses cuisses et j’ai recommencé à la masturber et elle m’a attrapé la main pour m’accompagner.
C’était magnifique au point que j’ai ouvert mon peignoir. J’étais nue dessous et la fille m’a pris un sein dans ses lèves et elle m’a tétée, mais elle s’est affolée et elle s’est enfuie dans sa chambre et j’ai fait les cent pas dans ma chambre, ne sachant pas quoi penser et me masturbant en marchant puis je me suis couchée.
Le lendemain matin, quand je me suis levée, je me suis demandée ce que je pourrais dire à ma locataire. Je faisais le café quand elle a fait irruption dans la cuisine.
– Je te demande pardon, m’a-t-elle lancé !
– Pardon pourquoi, lui ai-je demandé ?
– De ne t’avoir pas prévenue que je faisais la putain, m’a répondu la fille ! Mais je vais arrêter ! Il faut que je trouve un vrai boulot !
– Je peux t’aider, lui ai-je proposé ! Je gagne un peu plus à mon boulot et je me passerai de loyer…
– Tu ferais ça, m’a demandé la fille ?
– Pourquoi pas, si ça peut t’aider, lui ai-je répondu ?
– Il y a sans doute une contrepartie, a-t-elle ajouté ! Il faudra que je couche avec toi ? Je ne savais pas que tu était lesbienne !
Il fallait que je dise quelque chose.
– Je ne le suis pas mais j’ai envie de toi !
– Tu as raison, m’a répondu la fille ! Ça me changera de ces sales cons avec leur grosse bite !

J’avais peut-être raison mais j’ai quand même acheté quelques jouets pour améliorer nos soirées et surtout ce gode ceinture avec lequel on se prend à tour de rôle. A la fin de ses études, la jeune putain était devenue une vraie lesbienne et elle est partie avec une femme qui n’était pas moi, hélas.

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