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Mûres37 Deux éjacs pour une grosse pute

Mûres37 Deux éjacs pour une grosse pute



Quand on se branle avec Marlène, histoire de sortir nos fantasmes et de se regarder, on ne peut pas tout le temps évoquer les mêmes sujets.
Ma rousse amie perverse adore me branlotter en imaginant mon gland dans le cul de la vieille Brigitte, mais elle est ravie d’apprendre que j’ai aussi baisé de toutes jeunes putes.
Elle me félicite et m’encourage.
Au plus fort de mes plus douloureuses histoires sentimentales, elle se réjouit sincèrement de savoir que cette slovaque brune de vingt ans ne s’est pas pas fait prier pour très gentiment me sucer nature.
Une perle, dis-je à Marlène…jolie, gentille…
j’ai plusieurs fois monté quatre à quatre l’escalier qui mène à sa porte garnie de petites lumières kitsch.
La première fois, elle m’avait donné à lire les prestations de la maison sur une petite feuille plastifiée. Le tarif le plus bas commençait avec le rapport et la fellation nature. je n’en demandais pas plus!
La gentille fille aux longs cheveux m’embrassait à pleine bouche. Debout, l’un face à l’autre, elle m’enlaçait, comme une amante éperdue.
Ensuite, elle s’agenouillait, et tout en gardant ses mains dans les miennes, prenait ma queue en bouche. C’était toujours avec une surprise incrédule que je voyais la tête de la douce jeune fille onduler sur mon membre, et surtout monter la sensation tiède et caressante de sa bouche qui m’enveloppait.
Une fois sur le lit, elle était tout à fait d’accord de me gober les boules. L’adorable demoiselle me les suçotait si gentiment..comment ne pas lui offrir ensuite une érection à toute épreuve, qui aurait été parfaite pour une sodomie, laquelle m’aurait coûté trop cher. Mais qu’importe! C’est avec enthousiasme que je me positionnait sur la jeune fille maintenant couchée, prête à se faire pénétrer dans la bonne humeur. Positionné à l’entrée de sa vulve, je ne fus pas déçu par l’accueil de sa chatte, d’autant plus que la belle continuait à m’embrasser pendant que je l’enfilais.
De telles occasions ne se présentent pas tous les jours.
Marlène m’encourage à baiser de jeunes putes. Si ces demoiselles ne demandaient pas systématiquement le double du prix, Marlène adorerait venir se branler en me regardant labourer ces filles qui pourraient être de jeunes étudiantes.
La plus vicieuse, la plus pute parmi les pute, je l’ai rencontrée dernièrement.
Marlène a les yeux qui brillent, et la vulve qui mouille.
Cette archiputain se trouve dans un bordel de la ville de ….,quatre étages reliés par un escalier étroit qui craque à chaque pas, quatre étages donnant sur plusieurs couloirs, avec des portes qui peuvent s’ouvrir pour laisser entrevoir toute sorte de dames et de filles que l’on peut voir s’activer sur sa queue l’instant d’après, moyennant finance.
Lorsque je vois « Analina », avec la photo d’une grosse pute très vulgaire, une caricature de pute à très gros seins, je ne peux m’empêcher de sonner.
Analina est effectivement la putain la plus vulgaire qu’on puisse imaginer. Quarante ans, des appâts sans retenue, un oeil plein de vice, une bouche pulpeuse.
J’apprends qu’elle est de passage. Elle travaille à Hambourg. A peine me suis-je décidé d’entrer que la salope me baisse mon pantalon. Nous sommes dans l’entrée de son studio, elle est encore habillée, et la voilà qui me fourre sa langue dans la bouche.
Je suis comme ça, une grosse pute à gros nichons qui me lèche la langue comme une salope, c’est un alcool fort qui m’enivre immédiatement, même cette ivresse manque de toute subtilité.
La salope s’est agenouillée et me suce, fort, fort, comme une grosse salope qu’elle est jusqu’à la folie.
Je n’ai encore rien vu.
une fois au lit, cette femme aux seins énormes, aux formes sans retenue, me propose de l’enfiler sans capote, que ce soit dans la chatte ou dans le cul.
J’aimerais bien me réjouir le gland dans ce cul de pute, mais je tiens quand même à la vie. J’impose alors le port d’une capote.
La grosse chienne propose de se mettre à genoux pour que je l’encule. Cette position ne m’enchante pas.Je ne vois plus rien, juste un énorme cul, et des formes sans grâce.
J’aime mieux qu’elle se mette sur le côté, et me positionner à ma guise pour lui poinçonner le trou du cul.
J’enfile mon gland dans son oeillet, mais curieusement, l’anus d’Analina ne me fait pas vibrer.
On discute un peu tandis que je l’encule.
Sa mère est espagnole. Elle est aussi du métier. Analina a fait des passes avec sa mère. Il me semble qu’elles ont souvent travaillé ensemble.
Elle a léché sa mère.
Elle s’est fait lécher pendant que sa mère se faisait prendre.
Elles ont léché des bites ensemble.
Je sors ma bite de son trou, et me couche pour me faire sucer.
La grosse femme continue de me raconter ses exploits, en passant sa grosse langue humide sur ma queue. Elle gobe vigoureusement les couilles.
A ma demande, elle accepte de me lécher le cul. Je vais vite prendre une douche, et reviens me positionner.
J’ai débandé entretemps, mais Analina reprends sa pipe d’enfer, et me voilà dur comme en un rien de temps.
Langue de pute sur les boules, langue de pute dans le cul… et de nouveau la pipe la plus énergique.
Elle me dit qu’elle aime le sperme. Je lui en donne. Elle s’en barbouille les lèvres et la langue, elle avale.
J’ai joui avec des onomatopées d’encouragement.
La tension est un peu tombée. Analina garde ma queue dans sa bouche. Je n’y crois pas, elle veut continuer…
elle suce encore, elle lèche, mais un peu différemment, progressivement. Elle en veut encore.
Putain, je débande très fort. Je sens que le feu se rallume dans mes couilles. Ce n’est pas seulement un écho de la précédente jouissance, mais les prémices d’une nouvelle.
Alors la pute me fout un ou deux doigts dans le cul.
elle va droit à ma prostate, et appuye là où il faut.
De temps en temps, elle lèche le gland. Parfois elle reprends les couilles en bouche.
Et toujours ces doigts efficaces qui m’enculent.
Aucun doute, la jouissance revient. analina est ravie de mon étonnement. oui, je vais jouir encore, lui envoyer encore de la semence sur sa langue de pute.
Elle continue de bien m’enculer pendant que je gicle sur sa langue.
Putain, putain…c’est cas de le dire…Analina, j’espère retrouver ton nom sur un des portes de ce bordel. On peut dire que tu as su me traire la bite. Deux bonnes giclées d’un coup! Et tout est parti sur ta langue!

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