Alors que j’étais nu avec comme seul protection mon slip où mon sexe n’avais jamais contenu autant de sang. Catherine commença à m’ausculter. La sensation de ses doigts contre ma peau me faisait frissonner. Je n’en pouvais plus. Elle me donnait tellement envie. Étant donné qu’elle était penchée sur moi j’avais en plus une magnifique vue sur ses seins.
– je ne vois rien d’anormal à l’auscultation. A part une chose.
En disant cela, elle prit dans ses mains mon sexe tout gonflé qu’elle serrait plus qu’il ne le fallait.
-Je peux te faire une confidence Hugo. La dernière fois que je suis venu t’ausculter. Tu avais déjà cette belle bosse qui était dessiné. Je n’attendais qu’une chose que la collègue ne soit pas la pour venir m’occuper de toi. Et j’ai vu comment tu me matais. Avoue tu t’es touché en pensant à moi ces dernières semaines.
-oui, c’est vrai je n’ai pas pu m’empêcher de me toucher en imaginant ta peau touche la mienne.
– j’en étais sur petit vicieux. Avant qu’on ne m’appelle, je me touchais justement en pensant à ta verge bien gonflé.
En prononçant ces mots qui auraient pu me faire exploser, Catherine prit ma main et la glissa dans son jean. Sa culotte était très humide.
-comme tu peux voir Hugo je ne te mettais pas en disant que je me touchais juste avant. J’adorais te voir goûter à mon jus.
-C’est avec plaisir que j’y trouverais.
Je mis mon doigt dans ma bouche et le lécha pour n’en perdre aucune goutte. C’était délicieux
Pendant ce temps, Catherine n’hésita pas à retirer son pantalon. Elle portait un tanga qui lui allait à ravir.
– ça a l’air de te plaire. Viens directement à la source ce sera meilleure.
J’hésitais beaucoup. Est-ce que c’est vraiment bien de faire ça. Mais Catherine ne me laissa pas le temps réfléchir. Elle prit mes cheveux et colla ma tête sur son sexe humide.
J’écarta son tanga de ses lèvres. Et je commençais par l’embrasser tout autour de son sexe.
Apparemment ça lui plaisait beaucoup, elle n’arrêtait pas de gémir. Je viens ensuite avec ma langue tournoyer au tour de son clito. Elle gémit de plus en plus fort. Juste avant son orgasme je viens insérer deux doigts dans son vagin faisant des allers-retours de plus en plus profonds. Au moment de jouir elle poussa un cri long et sourd.
Après quelques minutes de repos elle se rhabilla.
-Merci pour ce moment Hugo. N’hésite pas à changer d’infirmière pour que l’on finisse ce que l’on a commencé là je dois partir mais une prochaine fois je m’occupe de toi.
En prononçant ses paroles. Elle embrassé mon gland qui était très gonflé.
Au revoir Catherine. Je vais changer de ce pas.
Cela faisait maintenant plusieurs jours que Catherine était devenue mon aide-soignante à domicile attitrée. Notre relation n’avait pas vraiment évolué depuis les derniers événements. On aurait dit que ça ne s’était jamais passée. C’était énormément frustrant vu que je rêvais d’elle chaque nuit s’occupant de moi et de ma libido. Qu’attendait-elle pour me donner le feu vert je n’attendais que ça.
Cela faisait maintenant une semaine que j’avais passé un moment très intime avec mon aide-soignante. Elle devait venir dans l’après-midi. J’avais décidé de passer à l’action vu qu’elle ne montrait aucun signe j’allait la provoquer. Je mis mon jeans le plus moulant qui laissait une vue imprenable sur mes fesses bien rebondis. Si je devais avoir une érection, la bosse se dessinerait parfaitement sur mon pantalon. J’avais aussi enfilé ma plus belle chemise où comme par hasard j’avais oublié de faire quelques boutons ce qui laissait une vue imparable sur le haut de mon torse. Maintenant que je m’étais bien préparé, je n’attendais plus que l’arrivée de Catherine chez moi.
Elle sonna à la porte de ma maison vers 14h.
– Bonjour Hugo ! tu vas bien ? Wow tu es drôlement classe aujourd’hui.
– Oui bien sur et toi ça va ? merci pour le compliment. J’ai quelque chose à fêter aujourd’hui. Passe devant je te suis. Je peux t’offrir quelque chose à boire ?
– Oui. Je vais prendre de l’eau je suis exténuée. Je finis ma tournée du matin par toi.
Ce petit détail n’échappa pas à mes oreilles. C’était la première fois depuis que je l’avais engagé que j’étais le dernier patient de sa tournée. Était-ce un hasard mais des idées qui n’était pas très catholique me vinrent en tête. Alors qu’elle était passé devant moi pour aller dans la cuisine quelque chose me perturba. J’avais souvent tendance à observer les magnifiques courbes de son fessier quand elle venait me faire mes soins. Elle portait toujours une culotte dont on pouvoir apercevoir les contours à travers sa tenue de travail. Mais là aucun contour n’était visible. L’idée qu’elle ne portait rien traversa mon esprit. Cette idée m’excita terriblement. Et je sentis déjà mon sexe prendre de l’ampleur dans mon pantalon.
– Merci Beaucoup pour ce verre d’eau. Vient-on va dans ta chambre pour prendre les paramètres.
– Oui ça me permet de me sentir plus à l’aise.
Cette fois-ci, c’est moi qui enclenchai la marche. Je me retrouvais donc devant Catherine dans les escaliers. Alors que je montais les escaliers je me retournais. Et je vis Catherine qui était en train de reluquer mes fesses. Le jeans avait l’air de faire son effet.
Une fois arrivé dans ma chambre. Je me couchai dans mon lit. Catherine s’approcha de moi et commença à m’ausculter. Cela faisait près d’une semaine que je pensais seulement à elle et qu’elle hantait mes rêves. Alors sans réfléchir je pris sa main et la posa sur mon sexe.
– Ah Hugo, ce n’est pas trop tôt, cela fait une semaine que j’attends on va enfin pouvoir s’amuser
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