Je m’appelle Marc, j’ai 61 ans et je suis retraité.
Je tchatte avec une grosse coquine : Marie, belle femme même si je n’ai jamais vu son visage, 41 ans, de beaux petits seins, un beau petit cul. Bref, l’idéal pour un vieux de mon âge !
Comme j’aimerai avoir un RDV avec elle, mais elle refuse, car elle est mariée et fidèle !
Je désespère de pouvoir la rencontrer pour de vrai pour la baiser comme elle le mérite et comme elle en rêve.
Et si elle savait à quel point j’en ai envie moi aussi ! Elle hante mes pensées jour et surtout la nuit !
Un jour par hasard, je me promène lors d’un vide grenier, c’est la fin de journée, tout le monde commence à remballer ses affaires.
Je vois une vieille lampe à huile qui me rappelle celle d’Aladin.
Je demande combien elle coûte, l’homme qui souhaite s’en débarrasser et me la cède pour 5 euros.
Content, je rentre chez moi et commence à la nettoyer quand un génie sort de la lampe.
Surpris, j’ai l’impression d’avoir fumé, de rêver.
Il me dit « allez, tu as le droit à 3 vœux, c’est ton jour de chance »
Je réfléchis rapidement, je luis dis « mon 1er vœux, c’est que je veux 10 vœux par jour »
Le génie réfléchit et me répond « OK »
Puis je dis « je veux que Marie accepte un RDV avec moi »
« OK »
« Je veux qu’elle soit folle de moi, qu’elle veuille me faire l’amour tout le temps, qu’elle obéisse à tous mes fantasmes »
« OK, OK, OK »
Je vais sur l’ordinateur et envoie un mail pour demander à Marie de venir demain chez moi.
Elle me répond « OK, je viens demain »
Je suis super excité, ça marche, c’est trop bon ce génie.
Je suis tout excité à l’idée de pouvoir la rencontrer, mais je ne veux pas me masturber, je veux garder toute mon énergie et ma semence pour elle. Mais je bande comme un cheval, et le refus de me branler pour lui garder tout mon jus m’empêche de dormir !
Le lendemain, on sonne à la porte. C’est elle. Elle est encore plus belle que je me l’imaginais dans mes rêves les plus érotiques.
Elle fait même plus jeune que son âge. Bien plus jeune ! Et quelle allure sexy ! Quel cul ! Et quelle poitrine, petite mais qui semble très ferme et haut placée !
J’ouvre, elle m’embrasse sur la joue
« Bonjour Marc »
Je dis « non, sur les lèvres ma beauté, ma bouche n’attend que ça »
Et nous nous embrassons sur la bouche, avec tant de passion, de fougue, que cela me rappelle mon 1er baiser.
Nos bouches s’aspirent, nos langues se tournent autour, nos dents s’entrechoquent, nos salives se mélangent. Mes mains sont déjà sur ses seins, sur ses fesses que je pétris sans vergogne mais avec une infinie douceur, je ne peux plus résister. Je veux goûter son corps tout de suite. Elle m’avait tellement chauffé avec ses histoires coquines et son envie de vieille queue, que je vais lui donner ce qu’elle a toujours voulu virtuellement.
Ms mains remontent sous son chemisier et je sors ses seins des bonnets de son soutien gorge. Je les prends à pleine main. Je sens ses tétons tous durs rouler sous mes doigts et ses seins durcir de plaisir.
J’ai la queue en feu tellement elle est dressée à l’étroit dans mon pantalon, tellement elle est gonflée d’excitation.
Je lui dis « suce-moi maintenant » ma chérie.
Elle s’agenouille directement, elle sort ma bite de mon pantalon, la branle un peu de ses 2 mains et la met directement entre ses lèvres si douces.
Mon sexe a l’air énorme dans sa bouche.
On peut vraiment dire que je bande comme un taureau car mon sexe doit ressembler à celui du taureau vu la taille qu’il atteint exceptionnellement aujourd’hui.
Je sens ses dents qui frottent doucement contre ma verge qui baigne dans sa salive chaude, mais elle suce comme une déesse.
C’est mieux que tout ce que j’ai pu rêvé où je la baisais comme une salope par tous les trous.
« Oh ma Marie, que c’est bon. Tu l’aimes ma vieille queue ? »
« Oui Marc » me répond t’elle péniblement compte tenu du mandrin qu’elle a en bouche !
« Vas-y, continue, suce là bien, pompe-moi. Je vais te donner de la bonne crème à boire, tu vas voir »
Elle me suce avec force. Que c’est bon. Putain, quel pied !
Je lui caresse la tête en lui donnant le rythme et en la forçant à la mettre bien profond dans sa bouche. Que de sensations.
« Vas-y, regarde-moi mon amour » lui dis-je.
Elle lève les yeux, et me regarde, ma bite dans sa bouche.
Que c’est touchant de la voir agenouillée, la quarantaine avec ma bite de sexagénaire dans la bouche, à me pomper comme ça, prête à recevoir ma semence.
Je suis tellement excité que je vais déjà cracher tout mon jus dans sa petite bouche de suceuse.
« Aaahhhh » dis-je en larguant mes premières giclées.
« Avale tout » lui dis-je
Je la vois déglutir, la queue bien plantée dans sa bouche, et avaler consciencieusement chaque giclée de sperme que je crache dans sa bouche
Et elle continue de pomper comme pour aspirer tout le bon jus.
Une fois ma queue totalement vidée, je lui dis « tu as aimé mon sperme ma petite Marie ? »
« Oui Marc, c’était très bon »
« Déshabille-toi maintenant »
Marie se relève et déboutonne son chemisier, baisse son tailleur faisant apparaître un string blanc, l’enlève et dégrafe son soutien gorge.
Elle se retrouve entièrement nue comme un ver devant moi. Elle a un corps magnifique, mince, élancé, une belle petite poitrine bien ferme, avec de beaux mamelons marron et des tétons bien érigés, un ventre plat, une petite toison clairsemée, un beau petit cul avec des fesses bien rondes et fermes.
Elle attend sagement mes ordres pour obéir.
Dire qu’elle est à moi, rien qu’à moi. Je peux lui faire tout ce que je veux, en profiter du matin au soir, par tous les trous.
Je vais d’ailleurs recommencer tout de suite.
« Viens ma petite Marie, allonge-toi sur le dos sur la table ici » dis-je.
Elle obéit.
Je m’approche d’elle, je lui prends les jambes, pose ses pieds sur la table et écarte ses jambes et ses cuisses.
Quelle vue magnifique sur cette petite chatte. Ses poils sont si clairsemés que je vois parfaitement ses lèvres et son petit bouton qui pointe à peine.
Je pense, sans lui dire, que je préfèrerais qu’elle soir rasée.
Je plonge ma tête et colle mes lèvres contre ses lèvres comme pour un baiser langoureux.
Ma langue lèche et glisse le long de ses lèvres. Je goûte sa petite chatte. Je sens son humidité intérieure.
Ma langue bute sur son petit bouton d’amour, ce qui lui arrache un petit gémissement.
Ma langue continue son ouvrage et titille son clitoris qui commence à se durcir et à gonfler, un peu comme une toute petite bite. Ma bouche l’aspire. Ma langue glisse entre ses douces lèvres. Elle gémit de plus en plus. Sa chatte est de plus en plus mouillée. Je me régale à lécher son jus finement odorant.
Je décide de passer la vitesse supérieure : d’une main, je pénètre son anus avec un doigt, et de l’autre main, je rentre 2 doigts dans sa chatte mouillée pendant que je lui lèche son clitoris maintenant en totale érection.
Mes doigts ont été littéralement été aspirés entre ses lèvres tellement ça glisse bien.
Je sens la peau devenir de plus en plus ferme et granuleuse au niveau de son point G..
Son petit cul est par contre bien serré, et mon doigt est comme emprisonné à l’intérieur, mais je m’en tape et je continue à lui caresser la peau qui sépare son boyau de son vagin.
Je la sens proche de l’orgasme.
Ses gémissements et son souffle court sont de plus en plus rapides.
Mes doigts coulissent sans relâche dans sa petite chatte, ma langue tourne autour de son clito pendant que ma bouche l’aspire. Elle se tend, se cambre et jouis. Je sens plus d’humidité au niveau de sa petite chatte Sa chatte se met à couler tellement elle mouille ! Oh, pas une fontaine comme dans les films de cul où c’est un truquage, mais je sens que son jus me coule dans la bouche, et je le bois avec une délectation vraiment réelle. J’ai ma queue qui me fait mal tellement elle est encore tendue d’excitation.
Alors je me relève, prend ma trique dans ma main, la frotte contre sa chatte toute humide et la rentre dans son minou. Ma grosse queue glisse en frottant contre ses parois vaginales pourtant très bien lubrifiée. Hmm ! Comme j’aime les chattes bien serrées. Je donne des grands coups de rein pour la prendre bien profondément à fond dans sa petite chatte. Ca glisse tout seul comme elle mouille bien, mais ça glisse serré, arrachant de fortes sensations au niveau de mon gland rouge violacé d’excitation.
Je l’entends gémir encore de plaisir, ma chère Marie.
« Tu aimes ma chérie »
« Oui » me répond t’elle.
« Tu la sens bien ? »
« Oui, je la sens bien. Elle est bien grosse mon Marc chéri »
D’entendre ses paroles redouble mon excitation. Je donne des coups de rein violents pour lui mettre bien profond. Mes couilles tapent sur ses petites fesses et son petit trou que je songe à honorer plus tard dans la journée. Ses petits seins tressautent à chaque coup de rein, lui arrachant un petit cri à chaque fois.
« Aaaahhh, je vais jouir, Marie »
« Aahh ouiii Marc »
Je gicle ma semence au plus profond d’elle et elle jouit en me recevant.
Quel bonheur de sentir sa bite bien au chaud dans cette petite grotte humide et soyeuse, en train de cracher sa purée, en voyant son visage inondé de bonheur, ses petits seins aux tétons si dressés, perlés de sueur.
Je suis heureux, heureux d’avoir joui avec elle, en elle, d’avoir giclé ma semence au fond de son ventre, de m’être vidé en elle en la faisant jouir.
La queue toujours plantée au fond d’elle, le la regarde qui me regarde en souriant.
Je me dis : elle est belle à 40 ans, je me demande quelle tête elle avait quand elle avait 18 ans. Une petite voix dans ma tête me répond « demande et tu l’auras »
Mais oui, suis-je bête, grâce au génie, je peux avoir tout ce que je veux. Alors je lui demande : je veux qu’elle retrouve ses 18 ans.
Je la vois se transformer en une poignée de secondes et rajeunir de 20 ans en 5 secondes. Je sens ma queue se comprimer, enserrée dans un minou plus serré qu’avant, moins élastique et avec des poils plus clairs et clairsemés. Ses seins ont diminué aussi, mais touts aussi excitants, et avec des tétons qui pointent autant d’excitation. Elle semble avoir minci, être plus petite, plus menue. Elle fait si jeune quand je la vois empalée sur ma queue qui semble énorme entre ses jambes.
Je me penche vers elle et l’embrasse. Je lui demande « tu m’aimes »
« Oui » me répond t’elle en répondant à mon baiser. Je redonne quelques coups de reins comme ça, pour voir. C’est serré, mais ça glisse bien.
Je me retire de sa jeune chatte. Ma queue sort, mouillée de mon sperme et de sa cyprine. Sa chatte reste ouverte, dilatée avant de se refermer doucement en laissant échapper des coulées de sperme.
Cela m’excite encore tellement de la voir là, totalement soumise, âgée de 18 ans, mais totalement salope, offerte à moi, les trous à l’air, alors que je suis passé de l’âge que pouvait avoir son père à l’âge que doit avoir son grand-père.
Ma queue qui avait ramolli un moment retrouve toute sa vigueur. Je n’ai qu’une envie, c’est de faire goûter ma bite à son jeune cul peut-être encore vierge de ce côté là. Je vais lui apprendre à aimer à se faire prendre par le cul, en y allant doucement pour ne pas la brusquer.
Jamais je n’avais imaginé, ni même rêvé de pouvoir, à mon âge, pouvoir me taper une aussi jeune femme, et cela m’excite énormément.
Je lui relève les jambes afin de faire apparaître son petit trou, je la recule sur le bord de la table et je lui dis « tu veux bien que je t’encule ma chérie »
« Oh oui mon Marc, j’ai encore envie de toi »
Je présente mon sexe à l’entrée de son petit trou et je commence à appuyer pour le faire entrer.
L’entrée résiste et elle commence à glisser sur la table, alors elle s’accroche sur le bord de la table afin de se bloquer. Je pousse de plus en plus fort. Je sens son petit trou commencer doucement à s’ouvrir. Je la vois froncer les sourcils. Je luis dit « attends ». Je vais chercher de l’huile d’olive que je mets sur mon doigt et je commence à l’enculer avec mon doigt, lubrifiant ses parois avec l’huile. J’en remets et recommence l’opération plusieurs fois.
Lorsque mon doigt peur aller et venir facilement dans son petit trou du cul, je mets de l’huile sur un deuxième doigt, et je l’encule avec mes deux doigts très doucement, mais fermement et sans jamais reculer.
Une fois bien huilée et dilatée avec mes deux doigts, je réessaie avec mon sexe toujours aussi gonflé de désir et que j’ai huilé pour faciliter la pénétration sans douleur. Le petit trou résiste un peu, mais là, il s’écarte plus rapidement et ma bite s’engouffre dans le petit conduit étroit. Il glisse tout seul jusqu’au bout de ma hampe. Je commence à glisser d’avant en arrière et vice-versa.
Y a pas à dire, un petit cul jeune comme ça, défoncé par un papy comme moi, c’est très excitant. Ca frotte, ça fait énormément d’effet tout le long de ma tige. Et j’adore défoncer son petit cul à ma jeune et belle Marie. Elle se caresse le clitoris avec sa main et me regarde en souriant
« Vas-y mon Marc, Mets-là moi bien profond. Je ne la sens pas ta queue. Défonce-moi bien mon cul vieux salaud. »
Ah que ces paroles m’excitent. Tiens, et tiens, prends-ça dans ton cul me dis-je en lui assénant des coups de reins à la faire décoller de la table.
Ses doigts s’excitent autour de son clitoris et entrent parfois à plusieurs dans sa chatte. Elle gémit de plus en plus fort, signe d’un orgasme approchant.
Moi aussi je vais jouir. Je sens ma sève monter pour la 3ème fois. Je ne pensais pas y arriver, mais avec cette petite pute, je vais le faire et lui inonder le cul.
« Ahhh » Ca y est. Je gicle mon jus dans son jeune cul. Cela m’excite encore plus de me dire que c’est peut-être la 1ère fois que du sperme lui inonde le cul.
Elle jouit aussi en serrant encore plus ma bite dans son étroit fourreau.
Je me retire et je me dis qu’il me reste plein de vœux pour satisfaire mes envies.
Je me sens l’âme d’un gros pervers. Elle est mon esclave sexuelle. Que vais-je faire avec elle…
Je l’aide à de mettre debout et la prends dans mes bras, Ses mains me caressent le cou, et les miennes le dos, le creux de ses reins et ses superbes fesses.
On s’embrasse comme au début de notre rencontre.
Je sens ses petits seins durcir à nouveau, et les pointes ont du mal à grossir tant je la serre contre moi.
Je lui dis :
« Viens ma petite Marie, on va sur mon lit, on y sera mieux ».
« Oui mon Marc chéri » me répond elle.
Sur le lit, serrés l’un contre l’aitre, je lui demande :
« Tu as envie de quoi ma chérie ? »
« Devine ? De jouir encore bien entendu ! »
Moi « Tu as envie de quoi ? J’ai joui dans ta bouche et toi aussi grâce à la mienne, on a joui tous les deux quand je t’ai baisé et rempli la chatte de mon foutre, et aussi quand je t’ai enculé ».
Elle : « Je ne sais pas, tu as envie de quoi toi ? »
Moi : « Connais-tu le fist ? »
Elle : « Non, c’est quoi ? ».
Moi « Fister une fille, c’est lui enfoncer dans un de ses trou une main entièrement, ou un très gros objet. Il y a le fist vaginal, le fist anal, et le summum : le double fist ! ».
Elle « Je ne connais pas et je n’ai jamais fait ça. Ca doit faire mal ? ».
Moi : « Il faut bien lubrifier le trou qui va recevoir la main ou l’objet, et bien sur la main elle même et l’objet. Et puis nous, on va se faire aider par le Génie pour que tu prennes ton pieds sans avoir mal ».
Elle : « je veux bien mon Marc chéri, si c’est toi qui me le fait ! ».
Quelle petite salope cette Marie ! Je ne pensais vraiment pas qu’elle accepte aussi vite !
Je vais chercher une alèze dans l’armoire, la pose sur le lit, et allonge cette petite pute de Marie sur l’alèze, sur le dos.
Je lui relève les jambes en les écartant bien, et je lui demande le les retenir en l’air et bien écartées avec ses mains.
Je prends le flacon de lubrifiant sur la table de nuit, et je lui en mets abondamment sur le minou, extérieur et intérieur avec un doigt.
Même chose sur ma main droite que je vais utiliser car je suis droitier.
Et la séance commence : 1 doigt, puis deux et je les bouge à l’intérieur.
Marie respire un peu vite.
3ème doigt, et je caresse son point G que je sens durcir et devenir un peu râpeux.
Marie respire un peu plus vite et pousse de petits gémissements.
Je sors mes 3 doigts et lui en met 4. Seul le pouce est dehors. Ca rentre avec difficulté, mais ça rentre.
Cette petite salope de Marie a maintenant le souffle court, et gémit de plus en plus fort.
Je recule un peu mes 4 doigts, met mon pouce dans la bonne trajectoire pour entrer et je pousse ma main vers l’intérieur.
Elle ne veut pas entrer car son minou est trop étroit, alors j’implore le Génie.
Et hop, ma main entre subitement jusqu’au fond de sa chatte.
Marie pousse un cri perçant.
Je fais des vas et viens avec ma main, caressant à tout de rôle son point G maintenant dur comme du bois et râpeux comme une râpe à gruyère, et le col de son utérus tout au fond.
Marie lâche ses jambes qui retombent sur le lit, se tortille dans tous les sens, crie « ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! » et respire très vite maintenant.
Je mets ma tête entre ses cuisses et lui lèche le clito avec le plat de ma langue, en totale harmonie avec le mouvement de ma main.
Et soudain, un énorme cri et ma Marie chérie se crispe et deviens toute raide, ses cuisses serrant très fort ma tête.
J’arrête les mouvements (langue et main), et regarde son foutre couler de son minou.
Quel pied !
Quand elle a repris ses esprits, je retire ma main doucement.
« Je n’ai jamais joui aussi fort » me susurre Marie à l’oreille.
Moi : « tu verras quand je te ferai un fist anal tout à l’heure : je te ferai exploser le trou du cul de plaisir !!! ».
Elle : « Tu sais Marc, mon amour de papy, tu es vraiment une sacré affaire ! ».
Moi : « Oui, j’ai beaucoup plus d’expérience que toi. Une jeune devrait toujours commencer par baiser avec un vieux pour apprendre plein de choses et instruire ses jeunes amants par la suite ».
Je la retourne sur l’alèze, les épaules sur le lit, le cul en l’air et les reins creusés.
Moi : « Je vais m’occuper de ton petit trou tout de suite ! ».
Je reprends le flacon de lubrifiant sur la table de nuit, et je lui en mets abondamment dans son trou du cul, extérieur et intérieur avec un doigt.
Même chose sur ma main droite que je vais encore utiliser.
Et la séance commence : 1 doigt, puis deux et je les bouge à l’intérieur.
Marie respire un peu vite.
3ème doigt, mais il rentre difficilement et Marie dit « aïe, fais doucement »
Il est grand temps que je fasse appel au Génie !
Le 3ème doigt rentre à son tout, suivi du 4ème très doucement. Le pouce reste dehors
Marie n’a plus mal, et commence au contraire à très bien apprécier que son petit trou du cul soit aussi rempli !
Je recule un peu mes 4 doigts, met mon pouce dans la bonne trajectoire pour entrer et je pousse ma main vers l’intérieur.
Malgré le Génie, ma main a du mal à entrer et ma salope de Marie crie un peu de douleur.
Ca y est, ma main est entrée, et son cul est très resserré sur mon poignet dont le diamètre est plus petit que ma main à la hauteur du pouce.
Pas d’aller-retour pour ne pas faire mal, mais des mouvements de plus en plus rapides de mes doigts.
Je passe alors ma main gauche sur la gauche de Marie, et la glisse entre ses cuisses pour titiller son clito et sa chatte qui dégouline de foutre sur l’alèze. J’ai bien fait de la mettre cette alèze, sinon j’étais bon pour changer les draps !
Ma main dans son cul et celle qui caresse son minou bougent en harmonie de plus en plus vite, tandis que Marie a de plus en plus de mal à respirer et crie en cadence avec mes mouvements.
Soudain, elle se raidit, se crispe et se couche sur son coté droit.
Pour ne pas retirer ma main de son cul et lui faire mal, je suis son mouvement.
Je continue à bouger mes doigts dans son boyau, mais tout doucement.
Marie reprend petit à petit ses esprits et me dit :
« Tu as raison, c’est encore plus fort dans le cul mon Marc Chéri. Je ne regrette pas d’être venue chez toi ! ».
Moi : « Tu pourras demander ça à ton mari, je suis sur qu’il aimera te le faire ».
Moi : « remet toi dans la position de levrette que je retire doucement ma main »
Elle se positionne et je retire ma main, avec beaucoup de difficultés pour l’extraire à la hauteur du pouce.
Je reste un peu avec ma main plantée à ce niveau dans son cul pour bien le dilater.
Une fois retirée, je lui écarte le plus possible ses fesses pour voir l’extrême dilatation de ce trou qui était si petit il y a encore peu de temps.
En voyant ce spectacle, je suis pris d’une violente érection et j’encule ma Marie.
Je sens son anneau culier se refermer doucement sur ma bite tout en continuant mes vas et viens jusqu’à exploser et lui remplir son boyau de mon sperme.
Toujours la bite plantée dans son cul, je la redresse, et la serre contre moi tout en caressant ses petits seins.
« Merci ma chérie » je lui murmure à l’oreille.
Moi : « veux-tu essayer le double fist ? »
Elle : « Marc mon amour, fais ce que tu veux, je suis ton esclave, je suis ta chose. Je n’ai jamais autant joui ave un mec ».
Moi « même pas avec ton mari ? »
Elle : « non, mais je vais lui apprendre à faire comme toi ! »
Moi : « remets toi comme dans la position que tu avais pour recevoir ma main dans le cul, mais écarte encore plus tes cuisses et tes genoux pour que le puisse passer ma main entre tes cuisses et te l’enfoncer dans ta chatte ».
Rebelote et dix de der : je recommence à bien lui lubrifier le trou du cul d’abord, et ensuite sa chatte.
J’en mets bien sur mes deux mains cette fois.
Et c’est reparti : d’abord ma main droite dans son petit trou du cul, mais elle rentre plus facilement que tout à l’heure car la première séance a fait son œuvre de dilatation.
Ensuite ma main gauche dans sa chatte.
3 doigts rentent sans difficulté, et je sens ma main droite qui bouge dans son boyau culier.
Le 4ème doigt à plus de mal à entrer, cat le petit corps de ma Marie est maintenant vraiment rempli !!!
Ca y est, il est rentré dans un petit cri de ma chérie.
Et alors, pas moyen de faire rentrer le pouce : c’est totalement rempli !
Alors j’appelle le génie qui fait le nécessaire, et j’arrive enfin à mettre ma main gauche dans sa chatte.
Je commence alors les mouvements des doigts de ma main droite dans son cul, et des petits aller retour da ma main gauche dans sa chatte, depuis le col de l’utérus (j’y enfonce parfois mon majeur !) jusqu’à son point hyper excité, dur et râpeux comme jamais !
« ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Marc ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »
J’assiste alors à la plus forte jouissance que j’ai pu observer dans ma vie sexuelle pourtant longue et bien remplie vu mon grand âge.
Ma Marie n’en peut plus, et a besoin de souffler.
Je retire doucement ma main gauche de sa chatte, puis ma main droite de son cul, avec beaucoup de délicatesse au passage du pouce.
Il est l’heure de prendre l’apéro, alors je lui propose d’en prendre un ensemble. Marie accepte, et on opte tous les deux pour un pastis 51 bien frais dans le salon.
Elle me dit qu’il est tant qu’elle rentre chez elle car son mari va s’inquiéter.
Avant de partir, je lui propose une expérience : « vu que la bouteille de pastis est encore sur la table, as tu envie que j’essaye de te fister avec elle, d’abord dans ton minou, puis dans ton cul ? »
Elle : « Marc, mon amour chéri, fais ce que tu veux, mais fais vite maintenant ».
Allongée sur le dos, chatte et bouteille bien lubrifiée, la bouteille rentre sans trop de difficultés. Et quel spectacle de sa chatte dilatée quand je retire la bouteille !!!
Par contre, je n’arrive pas à la faire rentrer dans son cul qui est vraiment trop étroit, et ce malgré l’aide su Génie.
Il me suggère de dilater le trou du cul de Marie avec un spéculum, et c’est ce que je fais.
Spéculum retiré, j’approche la bouteille, appuie de plus en plus et la bouteille finit par rentrer dans un cri de Marie !!!!!!!
Moi : « tu vois mon amour, tu as réussi le test de la bouteille ! Tu es maintenant une vraie petite salope, roulure, trainée. Rentre vite chez toi, explique tout à ton mari, et tu verras qu’il adorera te faire ça lui aussi !!! »
Et je retire doucement la bouteille.
Et la prochaine fois que tu viendras me voir, j’inviterai quelques amis de la maison de retraite voisine, ceux avec qui je fais de temps en temps une partie de pétanque.
Malgré leur âge parfois bien avancé, ils sont encore bien verts les bougres !
Ils vont te remplit tous tes trous de litres de sperme bien chaud et gluant !!!!!!
Je laisse Marie se rhabiller, la prends dans mes bras, l’embrasse très tendrement, et lui murmure à l’oreille : « à demain ? ».
Elle me dit : « non, pas demain, après demain. Demain mon mari ne travaille pas et il sera à la maison : je vais lui consacrer cette journée pour refaire son éducation sexuelle comme tu m’as montré ».
Et elle s’en est allée ma Marie.
Mais elle reviendra voir son papy Marc pour se faire baiser partout !! J’en suis certain.
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