Chapitre 3 : Ma sœur craque !
Le lendemain matin…
Cinq femmes sont assises dans la cuisine, entrain de papoter devant leur café, et se demandant quand l’homme de la maison allait se réveiller. Enfin, ma tante Janine dit :
– je vais aller le réveiller car j’ai quelques questions à lui poser sur mon ordinateur et qu’il me montre comment faire. Sans attendre un quelconque avis, elle prend deux tasses de café et se dirige vers ma chambre.
Je n’ai pas vraiment vu qui est entré, mais par contre, j’ai bien senti une bouche réveiller ma bite qui c’est mise debout pour ensuite aller se mettre au chaud dans une chatte qui ne demandait que ça !
Ouvrant les yeux je vois que mon PC est allumé et je me demande pourquoi alors que le chaud vagin avale ma bite entièrement.
– Ooooooh, Mike, Qu’est ce que je la sens bien moi ! Nous devons faire ça rapidement, je leur ai dit nous serions sur votre ordinateur et dans le cas où quelqu’un viendrait mais pour l’instant c’est autre chose que je veux !
Et elle commence sa sarabande sur ma queue qui bien sur se laisse faire !
Je la bascule sous moi et c’est moi qui prends les rênes. Je martèle sa chatte de toute la longueur de ma grosse bite et j’apprécie de reprendre sa belle chatte que je n’ai pas eue depuis plus de 18 heures !
J’aime bien reprendre le contrôle de ma bite car après avoir jouis plusieurs fois sous les impulsions de Marilyn et de ma sœur, c’est maintenant à moi de décider de quelle façon je vais baiser bien profondément, et à ma cadence, une chatte en chaleur.
Bien sûr, Janine a ses propres idées et ne manque pas de m’encourager à lui faire certaine choses comme lui mettre deux doigts dans le cul.
Sachant que nous avons peu de temps, j’ai utilisé tous les trucs de ma jeune expérience pour la faire jouir rapidement. Janine remue aussi ses fesses comme elle peut sous mon assaut viril afin qu’elle sente le mieux possible ma bite dans son vagin et ses muscles intimes ne ménage pas ma queue. Je retourne un peu brutalement et je lui dis :
– A genoux salope ! Je vais te baiser comme une chienne en chaleur que tu es !
Putain… son cul en l’air augmente encore ma trique et sans ménagement j’enfonce mon pieu dans ce trou à bite, grand ouvert !
Et vas-y que je te la ramone à fond en cognant contre son utérus, puis bien empalé, j’att**** de mes doigts sa vulve que je malaxe sans précautions ainsi que son clito que je fais rouler sous mes doigts.
Sa chatte se resserre autour de mon sexe et elle s’éclate de plaisir en même temps que moi qui lui envoie des salves de foutre dans son con malmené.
Janine se désaccouple en se retournant mais m’attire aussi vite sur elle en guidant mon phallus qui se remet au chaud. Elle att**** mes fesses et tout en me les malaxant elle me tire encore plus profondément dans son sexe.
– Oh mon Dieu, Tu y es allé fort ! J’ai bien crus que tu allais me défoncer le ventre… Mais pour une baise rapide, elle est salement bonne.
Janine me dit tout ça entre des baisers baveux dans ma bouche.
– Je ne peux plus me passer de toi et de ta belle bite !
Nous avons câliné pendant quelques instants avant que je me retire à regret, de sa chatte accueillante. Après quelque coups de langue sur sa chatte je prends un kleenex pour essuyer le reste de mon sperme qui continu de couler de sa chatte.
En quelques minutes, nous sommes tous deux présentables avant d’entendre des pas dans le couloir.
Assis devant mon ordi je fais semblant de lui expliquer quelque chose quand Elodie a frappé une fois et en même temps ouvert ma porte, probablement pour nous surprendre en action.
– Oh, vous êtes sur l’ordinateur! dit-elle surprise. Maman et Marilyn vont faire des courses. Vous voulez les accompagner ?
Nous avons tous deux répondu « Non » et Elodie crie dans l’escalier qu’elles peuvent partir sans nous.
Venant derrière mon dos Elodie penche ostensiblement sa tête entre les nôtres, pour regarder l’écran et respiré profondément.
– Ooooooh, Mike, j’aime l’odeur de l’eau de Cologne que tu utilise ! Elle est vraiment sexy
Puis avant de nous quitter et passant ses mains sur mes épaules en glissant sur ma poitrine ;
– Bon… je vous attends tous les deux en bas. Ne soyez pas trop long, Nath veut vraiment faire connaissance avec toi, Mike. »
– OK… on n’en a pas pour très longtemps, petite sœur, on te rejoint rapidement.
Quelques instants après que la porte soit fermée, Janine me demande doucement :
– Quelle eau de Cologne utilises-tu ?
Je tourne la tête et souriant je lui dis :
– Le tiens ! Eau de cyprine avec un zeste de jus de mâle !
– OOOOooooooOOOOOH ! » Janine a répondu.
En moins de 10 minutes, je fini de lui montrer comment finaliser une vente d’un article sur un site et nous descendons rejoindre ma sœur et sa copine.
Sure que moi aussi je voudrais connaitre un peu mieux sa coloc de chambre.
Nath est vraiment très belle ! Brune les cheveux mi long, une taille très mince, pas très grande, environ 1 mètre 62 mais de longues jambes, une petite poitrine de belle tenue mais de belles fesses rebondie avec une belle chute de reins !
J’ai hâte d’approfondir ma relation avec cette nana.
Après des banalités d’usage je lui demande :
– Nath, tu n’es pas assez vieille pour aller à l’université, je te verrais plutôt au lycée ! Serais tu en avance pour ton âge ?
– Merci, t’es gentil mais je n’ai pas 15 ans ! je suis même légèrement plus âgée que ta sœur qui va avoir 18 ans !
– Pas possible !
– ET si…. et sans relation particulière car je consacre mon temps à mes études. Et pas de petit copain. Ce qui n’est pas le cas de ta sœur !
– NATH ! crie Elodie tu ne doit pas dire ça !
– Aller… te fâche pas, tu ne fais rien de mal à rencontrer des gars. Et tu as eu plus de 10 rendez vous alors que moi je reste dans mon coin.
– NATH ! Arrête ! Ce n’est pas la peine de raconter ma vie !
– Bof…des fois je me demande comment j’ai fais pour reste vierge à mon âge.
– NATH !
– Eh… ne joue pas la pucelle effarouchée.
Je suis malade d’être encore une jeune fille en fleur. Putain je ne vais quand même pas rester vierge jusqu’à mes vingt et un ans !
– Bon les filles, arrêtez toutes les deux ! Désolé d’avoir contribué à touché un point sensible avec toi, Nath. Quant à moi, je pense que tu as du sacrement ruser pour échapper à ça et les gars de votre école sont des abrutis de la dernière catégorie pour la laisser passer une leur chance avec toi !
Nath crie de joie en sautant du divan et venant vers moi elle saute sur mes genoux, me donne un gros câlin avant de dire :
– Mike t’es adorable… tu es encore plus gentil qu’Elodie m’a dit. C’est un gars comme toi qu’il faut que je rencontre.
Et elle approche ses lèvres des miennes, m’embrasse longuement puis d’un seul coup sa langue pénètre lentement ma bouche !
– NATH ! Ne joue pas à la salope ! Laisser mon frère tranquille pour l’amour de Dieu !
À contrecœur, Nath stop son baiser et descend de mes genoux puis elle regarde Elodie en disant :
– Merde Elodie, Tu agis drôlement ! On dirait que c’est ton copain au lieu de ton frère !
Elle se rassoie sur le canapé et dit :
– Par contre, Mike, tu sais bien te servir de ta langue quand tu embrasse une fille !
– Merci… mais tu te débrouille pas mal, toi aussi… pour une vierge !
– Mike ! Arrête, ça suffit… dit Elodie
Ce petit échange termine notre conversation et chacun vaque à ses occupations. Moi je vais laver ma voiture.
J’ai fini quand Nath sort de la maison et me rejoint.
– J’espère que je ne t’ai pas trop embarrassé tout à l’heure, Mike. Ce n’est pas tous les jours qu’on reçoit des compliments et j’ai bien aimé le tiens.
Je la regarde de bas en haut et vraiment elle est à croquer toute crue.
– Je continu de penser que les gars que tu connais sont stupides ! Une fille belle comme toi ne se croise pas à chaque coin de rue. Crois-moi, je sais de quoi je parle.
– Si tu continu comme ça je ne vais pas vouloir te quitter.
Elle fait un pas vers moi et se mettant sur la pointe des pieds elle m’embrasse sur la joue. – Je suppose que je dois rester fraternelle avec le petit ami d’Elodie ».
– « QUOI! »
Bon dieu, Elodie lui aurait-elle confié ses exploits buccaux avec ma bite ?
– Oh je te taquine… mais mon Dieu, elle c’est comportée comme une femme jalouse ! Excuse moi, mais elle aurait baisé avec toi ça n’aurait pas été pire. En tout cas, je ne voulais pas qu’elle soit fâchée.
– Bon maintenant j’ai qu’elle que chose à vous montrer.
Elle tourne les talons et se dirige vers la maison.
Je finis de ranger quand maman et Marilyn rentrent des courses.
Un peu lus tard……
Elodie et Nath nous réunissent pour une surprise.
– Maman, as-tu encore les photos de famille sur que cinq générations ?
– oui, je vais les chercher, mais que veux-tu en faire ?
Plaçant les photos sur la table, Élodie énumère le prénom des femmes sur les photos et retournant une photo elle dit :
– vous voyez le nom de la 3emme…et bien c’est mon arrière, arrière, grand mère et……à coté regarde Nath…
– Mais c’est…… mon arrière, arrière grand mère a moi !
– Exact dit Elodie et toutes les deux sont sœurs !
ET donc… nous sommes cousines !crie Elodie.
– Putain, tu peux le croire ?… ma coloc de chambre est une de mes cousines éloignées. Quand un jour tu m’as dis le nom d’une de tes grand mère il y a eu un déclic dans ma mémoire. Ca ma turlupiné et maintenant on est fixés.
Nath ressort de son sac une photo de sa grand-mère et la pose à coté de l’autre. A l’exception des marques d’usure, elle sont identiques !
Je n’ai jamais entendu autant de jurons qu’aujourd’hui
– Putain de merde… Mon dieu…Aahhhh la vache….
Tout le monde s’enlace et s’embrasse et quand c’est mon tour, Nath me prend dans ses bras tout en enroulant ses jambes autour des miennes, appuyant sa chatte sur mon pubis.
– Merde alors, je rencontre un gars sympa et nous sommes de la même famille ! Je ne vais pas pouvoir te séduire !
– Je ne suis pas sure, cousine car ma mère m’a seulement élevé !
– Est-ce une proposition sournoisement déguisée, beau cousin ?
– Eh bien, je ne sais pas. Il y a cet obstacle de ma sœur étonnamment jalouse, entre autres choses!.
– Quelles autres choses ?
– Nous en reparlerons si nécessaire
J’élude et la resserrant bien sur mon corps :
– Mais, hey… Bienvenue dans notre belle famille, cousine ! Je suis heureux de te connaître.
– Hoooooo ! Je pense que je vais t’adorer mon nouveau cousin ! Tu sais comment faire pour qu’une fille se sente bien dans tes bras !
Et Nath a ensuite incliné un peu la tête pour m’embrasser sur les lèvres, sa langue pénétrant avec force dans ma bouche. Nos langues s’enroulent autour de l’autre pendant plusieurs minutes avant qu’ Elodie attire notre attention en se raclant la gorge.
Nath se décolle de moi en frôlant ma bite discrètement et je l’entends murmurer :
– Oooooooooohhhh…
Par contre Elodie s’écrie avec une note de rancune dans la voix :
– Dis donc Nath, ce n’est pas pour autant que tu es maintenant un membre de la famille que tu dois te comporter comme une catin avec mon frère !
– Oh… allez, ça va… t’es juste jalouse parce que ce beau mal est ton frère et qu’il est inaccessible pour toi…mais pas pour moi!
Nath et Elodie se dévisagent mutuellement pendant quelques instants avant que Nath s’éloigne en grognant :
– Je jure que je ne serais plus vierge d’ici peu ! MERDE !
Marie qui s’était éloigné regarde sa fille puis moi avant de dire :
– Eh bien, quelle découverte n’est ce pas !
Le reste de la journée, Elodie suit Nath comme son ombre et ne la quitte pas des yeux.
La journée s’écoule plutôt calmement et tout le monde va se coucher.
Elodie après un baiser appuyé me murmure :
– J’ai besoin de te parler. Je viens te voir dans quelques minutes.
Apparemment tout le monde est couché et la maison est silencieuse. Je suis à peine déshabillé et dans mon lit quand Elodie se glisse dans ma chambre et verrouille la porte.
Je la regarde d’un air interrogateur mais elle ne me donne pas d’explication. Elodie est vêtue d’une chemise de nuit profondément décolletée et je vois très bien ses seins se trémousser quand elle s’approche de mon lit.
– Qu’est ce qui se passe petite sœur ?
Plaçant sa main sur l’intérieur de mon entrejambe elle murmure :
– Rien pour l’instant mais on va voir ce qu’on peut faire avec ça…
Et elle att**** à pleine main ma bite a moitié bandée et me branle avec acharnement.
– Aahhhh, c’est beaucoup mieux ! Dit-elle quand ma queue est bien dure et dressée vers elle.
– Voila de quoi je veux te parler, frangin, mais tu dois m’aider, je veux juste avoir ta bite en moi !
Elle avale mon gland qu’elle suce et lèche avec sa langue avant de me prendre entièrement jusqu’au fond de sa gorge dans sa bouche qui salive de plaisir.
J’att**** avec mes deux mains ses seins et je pince et tire sur ses mamelons, lui faisant légèrement mal. Après quelques minute de fellation et de caresses mutuelles ma sœur lève la tête et souriante me dit :
– Cher frère, Ta bite est surement la meilleure que j’ai jamais eu le plaisir de sucer ! Mais ce soir, j’ai envie d’elle autrement.
Elle m’embrasse amoureusement et retire son baby-doll.
Les jambes légèrement écartées j’aperçois au dessus de ses longues jambes sexys un petit triangle plus sombre
– J’espère que tu aimes ce que tu vois, frère chéri, et j’espère que tu vas essayer dans voir plus ! Je t’offre mon corps, il t’appartient à partir de maintenant. Fais-en ce que tu veux !
– Dieu Elodie, Ton corps est beau ! Tu es extrêmement belle ! Je ne peux pas croire que tu es là, devant moi, superbe et nue et que tu m’offre ce présent magnifique !
– Mais, Elodie, est-tu vraiment certaine de vouloir faire cela ? Une fois que nous l’aurons fait, il ne peut y avoir aucun retour en arrière! – Mon cher frère, je n’ai jamais été plus sûr de ma vie! Je t’aime et je veux que tu me prennes, que tu me fasses l’amour.
Je regardé cet ange devant moi qui se met au dessus de moi, prête à chevaucher mon pieu tendu et dur comme la pierre.
Les yeux fixée sur ma bite elle avance son pubis et murmure :
– Oooh, Mike »,
Et elle commence à frotter sa fente encore fermée sur ma bite.
– Après avoir gouté ta crème je ne peux plus attendre pour que ma chatte goute aussi à ton jus brulant. Je la veux dedans !
D’une main elle écarte ses grandes lèvres et introduit mon gland dans son vagin. Une seconde d’hésitation et elle commence à pousse ses hanches.
– OOOOOhhhhhhh… Putainnnn… t’es gros ! Oh Dieu, Mike, je ne te croyais pas si gros pour ma petite chatte !
Elle gémit de plus en plus et s’arrête à mi chemin.
– Stop, Elodie ! S’il te plaît, arrête ! Je sens que tu es très étroite et je ne veux pas te faire mal !
– Non, Je dois le faire et surtout je la veux en moi !
Elodie maintien la base de ma queue d’une main et elle glisse encore de quelques centimètres tout en bougeant ma bite dans un léger mouvement de rotation. Elle se retire presque complètement, le gland seulement emprisonné dans sa vulve qui commence maintenant à devenir bien humide.
Elle pompe ma bite avec sa chatte qui s’enfonce de plus en plus et frissonne à chaque pénétration.
– Oh, ouiiiii, baise ta sœur, Mike, ta bite commence à trouver sa place dans ma chatte qui s’ élargie de plus en plus pour te laisser le passage ! Mais putain… qu’elle bite tu as ! Non seulement elle est grosse mais elle est longue !
Elodie grogne et geint tout le temps, à chacune de ses poussées vers le bas de ce monstre pour sa petite chatte, pas vierge, mais surement pas habituée a des calibres comme la mienne.
Elle est presque arrivée à se l’enfiler entièrement et se relevant a moitié, elle s’arrête, regarde ma bite écarteler sa vulve d’une manière un peu obscène et dit :
– Je ne suis pas novice pour la baise, mais je n’ai jamais été aussi remplie avant toi ! Oh Dieu, ça fais mal et en même temps j’aime et j’ai envie d’aller toujours plus loin. Je la sens vachement et là… tu pénétrer dans un territoire vierge; aucune bite n’a jamais été plus profondément à l’intérieur de moi!
Elodie se penche et m’embrasse passionnément quand ses hanches redescendent sur mon pieu. Elodie enfonce sa langue profondément et écrase ma bouche en même temps qu’elle projette violemment sa chatte complètement sur moi, son cri étouffé par nos bouches jointes.
Ses mains tiennent fortement mes épaules, pour éviter que son corps, malgré elle, essaye d’expulser cet énorme envahisseur. Elodie frémit au-dessus de moi avant de soupirer :
– Oh mon Dieu, oh merde, Mike, c’est le pied… Oh !
Et ses hanches se mettent soudain à faire des mouvements rotatifs, ma queue toujours empalée complètement dans son con. Apres quelques secousses de plaisir elle se calme un peu et la regardant je lui dis :
– maintenant, il est temps que ma chère sœur découvre ce que c’est de se faire vraiment baiser par un mâle bien équipé !
Je la renverse facilement sans perdre son vagin étroit, j’écarte bien ses jambes et je lui dis :
– Sœurette, je t’aime depuis toujours. Maintenant tu es mienne et tu m’appartiens pour toujours. Je vais te rendre dépendante de ma bite.
Et je commence par la baiser lentement jusqu’à ce que son vagin accepte pleinement ma grosse bite et je peux enfin me laisser aller complètement et enfoncer toute la longueur de ma queue dans son corps.
Je me lâche complètement et je la laboure assez fortement mais apparemment elle est de bonne composition car elle en redemande :
– Oh Dieu ! Que c’est bon ! Oui vas-y à fond !
A chacune de mes poussées elle gémit quand ma bite compresse les parois de sa chatte en les écartant et son corps se torde et tremble sous moi.
– Oh putain, Mike, oh mon Dieu tu es entrain de me baiser, moi ta sœur !oui, continu ! Baise ta salope de frangine, oui… plus fort… fais moi mal c’est tout ce que je mérite ! …Là ! Ouiiiiii bouge plus …. Aaaahhhh, que c’est bon… putain, mon vagin va éclater ! Ouuuf… ça va, baise-moi encore plus fort ! C’est ça, comme ça ! Mike t’es un dieu ! Je sens que je viiieeennnns…. envoie ta sauce Mike, jouis avec moi !
Elle n’arrête pas de gémir tout à son plaisir et son orgasme éminent.
Il me semble entendre la poignée de la porte que l’on tourne mais celle-ci étant verrouillée, on ne peut l’ouvrir. Personne ne dit rien et le bruit s’arrête.
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