J’ai toujours eu une vie parfaitement paisible, un beau mariage avec mon amour de jeunesse, une jolie maison dans un quartier résidentiel, et deux magnifiques enfants. Mais depuis leur départ de la maison familiale, celle-ci paraissait très grande et très vide. De plus, une certaine routine c’était installé depuis quelques semaines entre mon mari et moi. Sexuellement, c’était même de plus en plus calme entre nous. Et je finis par savoir le pourquoi du comment de cette routine.
Un samedi, je devais passer la journée avec ma meilleure amie de passage en ville mais celle-ci m’envoya un SMS alors que j’étais en chemin pour annuler sa visite. Du coup, je rentrais à la maison et une fois arrivé chez moi, j’entendis des bruits étrange venant du salon.
Et là, j’eus le choc de ma vie, mon mari était entrain de s’envoyer notre jeune voisine ! Elle s’appelle Amina, elle avait tout juste 18 ans, elle est plus jeune que notre fille, et était notre voisine depuis quelques mois seulement. Autant j’appréciais ses parents, un couple charmant, autant je ne supportais pas leur fille qui était vulgaire, hautaine, et insolente, bref c’était une vrai tête à claque.
J’étais tellement choqué que je n’eus même pas la force d’aller taper une crise, je sortis de chez moi et me rendis en voiture à divers endroit de la ville sans trop savoir pourquoi je devais aller à tel ou tel endroit. Il fallait juste que je me balade pour bien réaliser ce que je venais de voir chez moi.
Le lendemain matin, je sortis dans mon jardin pour faire du jardinage afin de penser à autre chose. J’entendis alors des bruits venant du jardin d’à coté. Au début, je ne faisais pas attention à ces bruits jusqu’à ce que j’entendis cette phrase.
– Oh oui vas-y ! Mets la moi bien George !
La garce ! C’était Amina allongée sur une chaise longue en maillot bain qui se caressait en fermant les yeux tout en prononçant le prénom de mon mari !
– Oh oui George, vas-y à fond je ne suis pas ta salope de femme !
Maintenant plus de doute, elle savait que j’étais là, elle me narguait, il fallait absolument que je me venge de mon mari et de cette connasse ! Le samedi suivant, je dis à mon mari que je devais rendre visite à ma mère. Une grosse demie-heure plus tard, je retournais chez moi. Comme je l’avais prévu, mon mari se tapait une nouvelle fois notre voisine Amina, je pris alors de très nombreuses photos compromettantes d’eux.
Amina était donc dans les bras de mon mari, sa bouche était prise d’assaut par celle de mon mari, comme le feraient deux jeunes amoureux. Puis mon mari commença à retirer la robe d’Amina, il libéra une poitrine ronde et ferme. Je dois bien avouer que cette petite garce avait un corps sublime qui devait faire rêver tous les mecs de son entourage.
Amina était à présent allongée sur le dos, écartant ses jambes. Elle laissait mon mari écarter son string afin de dégager sa chatte entièrement épilée, il lâcha même un gémissement de plaisir lorsqu’il débuta un cunni. Puis, elle se courba et baissa sa tête pour saisir le gland de mon époux entre ses lèvres avant de très vite l’engloutir. Sa langue enlaçait le pénis de mon mari pour le lécher sous toutes les coutures.
– Ca fait une semaine que tu dois te branler en m’imaginant nue alors prends moi !
Il ne fallu pas plus de temps à mon mari pour mettre Amina à quatre pattes et frotter sa chatte trempée du bout de son gland avant de débuter la pénétration. Amina poussait des cris surexcités tandis que la verge s’enfonçait toujours plus loin dans son vagin.
– Tu as été une vilaine fille ?
Je fus très surprise de voir mon mari parler ainsi, lui qui restait silencieux à chaque fois qu’on faisait l’amour.
– Oh oui vas-y ! Défonces moi ! Je ne suis qu’une vilaine qui ne mérite que ça !
Après plusieurs minutes d’intense pénétration, il se retira d’elle pour lui demander une fellation. Elle se mise tout de suite à la tâche, la grosse verge de mon mari dans le creux de sa main droite. Sa langue venait effleurer son gland avant de le gober totalement.
– Tu suces tellement bien !
Au bout de quelques minutes, elle se positionna à quatre pattes.
– Prends moi comme une chienne !
Mon mari ne se fit pas prier, il engagea son pénis à l’intérieure de notre jeune voisine qui émise des râles de plaisir à chacun de ses coups de reins. Au bout d’un certain temps, Amina bascula la tête en arrière, se laissant envahir par l’excitation de l’orgasme. Elle fut très vite rejointe par mon mari qui libéra sa semence à l’intérieur de son intimité. Je le regardais caresser le clitoris et la vulve de cette traîné avec la pointe de son sexe avant de quitter les lieux, j’avais en ma possession un nombre incalculable de photo.
Quelques jours plus tard, j’avais la maison pour moi toute seule, mon mari étant en déplacement pour son boulot pour tout le week-end. En début d’après midi je sortis dans mon jardin, j’aperçus alors Amina dans son jardin entrain de bronzer en maillot de bain. Après m’être rapproché de la clôture, je lui fis signe de la main de venir chez moi car j’avais quelque chose à lui dire.
– Alors ça t’amuse de coucher avec le mari des autres ?
– Je ne dis jamais non à une belle bite insatisfaite.
– Ah parce qu’en plus tu fais ta maligne ?!
– Ce n’est pas ma faute si je suis née pour bien baiser.
A ce moment là, je sortis mon portable pour lui montrer les photos que j’avais prise d’elle.
– Je pense que tu ne souhaites pas que de telles photos se retrouvent devant les yeux de tes parents, n’est-ce pas ?
Elle se contenta de hocher la tête, elle avait totalement perdue son assurance.
– Qu’attendez vous de moi ? Me demanda t-elle d’une voix assez basse.
Je lisais dans ces yeux une vraie terreur, ce qui étrangement fit monter d’un cran mon excitation. Je sentais ma vulve se remplir peu à peu de mouille. Ainsi, je devais me rendre à l’évidence, le fait de voir cette jeune fille sublime en bikini devant moi toute tremblante m’excitais terriblement. Et même si je n’ai jamais été attiré par les filles, je me suis toujours demandé ce que ça faisait d’avoir une relation saphique.
– Je vais te punir comme une gamine que tu es.
Je la fis se pencher en avant, les coudes appuyés sur une table afin de commencer à lui donner une bonne fessée, lentement d’abord, puis de plus en plus fort sur chacune de ses fesses qui devaient avoir commencé à rougir. Après un moment, je lui fis écarter les jambes tout en la cambrant un peu plus. De cette manière son sexe arrivait au même niveau que ses fesses. Je pris alors soin de ne pas frapper seulement une de ses fesses mais les deux en mêmes temps et son sexe était également parfois touché.
– Déshabille-toi !
– Mais je ne suis pas lesbienne du tout. Me dit-elle d’une voix presque apeurée.
– Moi non plus et pourtant si tu ne veux pas que je montre les photos à tes parents, tu vas devoir me laisser te baiser comme jamais on t’a baisé jusqu’à aujourd’hui !
D’une main tremblante, Amina enleva le haut de son maillot et le laissa tomber au sol. Je vis enfin de près sa poitrine qui était bien plus belle que la mienne, sûrement un bon bonnet C. Je posais ma bouche sur son téton, pour le lécher avant de le mordiller plus franchement. Dans le même temps, j’avais posé mes mains sur les hanches d’Amina que je sentais trembloter. Je fis tomber le bas de son maillot au sol et dirigeais aussitôt ma main vers sa chatte, cherchant son clitoris entre ses lèvres.
Elle ne mouillait pas, ce qui me déçue quelque peu. Je posais ensuite mes doigts à l’entrée de sa bouche pour l’obliger à bien les lécher. C’était donc avec des doigts mouillés de sa salive que j’entrepris de caresser son clitoris. Je l’entendis haleter de plus en plus fort. C’est alors que j’entrepris de poser ma bouche au niveau de sa chatte, mais Amina eut un mouvement de recul.
– Je ne me sens pas prête à me faire lécher par une autre femme.
– Ferme la et apprécie au lieu de geindre !
Je donnais aussitôt de grands coups de langue sur son clitoris puis l’aspirais entre mes lèvres. Amina poussa un gémissement et tenta encore de reculer tandis que je la ramenais plus fermement vers moi pour bien enfoncer ma langue dans son intimité. Je sentis rapidement ses parois vaginales se serrer autour de ma langue.
– Caresse moi et tu as plutôt intérêt à me faire jouir !
Amina s’agenouilla devant moi, posa ses doigts sur mes lèvres gonflés puis, son pouce sur mon bouton, une décharge me fit me cambrer de plaisir. Amina plongea alors deux doigts en moi et commença par de lents allers retours. Je ne contenais plus mon souffle et des gémissements s’échappèrent du fond de ma gorge. Son autre main avait rejoint mon bouton et s’agitait dessus. Ses doigts en moi s’agitaient et me fouillaient plus profondément, son regard évitant consciencieusement le mien.
– Bouffe moi la chatte !
Après quelques secondes d’hésitation, ses lèvres s’approchèrent de mon sexe. Sa langue remplaça alors ses doigts sur mon clitoris. Je poussais un énorme soupir, sa langue me caressant très lentement. Je ne retenais plus mes gémissements, je m’aperçus alors qu’elle était entrain de se caresser, signe que la situation l’excitait enfin. Après quelques coup de langue supplémentaire, je finis par jouir. Je repoussais alors sa tête et sa langue loin de mon sexe et refermais mes cuisses.
– Je peux y aller, s’il vous plaît ?
Me dit-elle tout en restant à genoux devant moi sans oser me regarder. On pouvait lire sur son visage la honte d’avoir pris du plaisir avec une autre femme.
– Tu rigoles ?! Je n’ai pas fini de m’amuser avec toi alors mets toi dos à moi !
Je m’occupais maintenant de l’anus d’Amina qui se détendit alors instantanément, laissant la pointe de ma langue le pénétrer. Puis, mon index revint se poser à l’entrée de son cul qui s’ouvrit délicatement. Je m’y introduisis alors le plus lentement possible. Elle se cambrait au maximum, aspirant mon doigt au plus profond d’elle.
Je faisais aller et venir mon doigt en elle, je sentais mon autre main qui s’agitait sous son autre cavité quand, d’un coup, je sentis tous ses muscles se tétaniser et son jus couler le long de mes doigts puis dans ma paume. Je léchais alors sa cyprine tout en continuant de lui branler son autre trou. Puis, je sortis mon majeur et l’enfonçais dans son sexe, fouillant et récupérant son liquide. Je me redressais pour lui offrir mes doigts à lécher.
– Tu aimes ton goût ?
– C’est… C’est pas désagréable.
– Attends moi, je reviens dans un instant.
Je partis dans ma chambre chercher mon gode que je m’étais acheté pour me satisfaire lors des déplacements professionnel de mon époux. A mon retour dans le salon, je la fis se mettre à quatre pattes, et tandis que je passais deux doigts sur son sexe, je me rendis compte que ses lèvres étaient trempées.
– Mais tu aimes ça à ce que je vois, tu es bien plus salope que je ne le pensais !
– Je suis ta petite salope !
Ses mots me surprirent et firent grimper mon excitation d’un cran. Je m’enduis la main de lubrifiant avant de lui badigeonner la chatte avec.
– Avoues que tu en as envie !
– Oh oui, défonce moi avec ce gode ! Fais moi regretter d’avoir baisé ton mari !
J’enduisais le gode de lubrifiant avant de poser l’énorme gland sur ses grandes lèvres. Je tournais doucement le gland sur sa chatte en poussant doucement la tige. Millimètre par millimètre, l’énorme gland s’enfonça dans son vagin. Le gland pénétra cette chatte ouvrant la voie au reste du gode. Je poussais l’engin dans sa chatte jusqu’à que les couilles viennent toucher son cul. Elle était entièrement fourrée et haleté fort, la bouche grande ouverte et la langue pendante. Après plusieurs minutes de va-et-vient, je repris la parole.
– Lèche moi en même temps !
Du coup, on débuta un 69. Les minutes qui suivirent furent intenses de plaisir. Elle se déchaîna sur mon puits, signe d’une énorme excitation de sa part, pendant que le gode lui fourrait sa chatte avec puissance. On finit toutes les deux par jouir en même temps.
– Bon, tu as bien mérité que j’efface l’une des photos de mon téléphone.
– Comment ça qu’une seule ?
– Si tu veux que j’efface les autres, il va falloir que tu reviennes me donner du plaisir ! Et lorsque mon mari voudra te baiser, je veux que tu me prévienne pour que je puisse discrètement assister à vos ébats.
– C’est d’accord !
Me dit-elle avec un large sourire avant de s’empresser de m’embrasser. Puis, Amina sortit de mon domicile sans un autre mot.
Ajouter un commentaire