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Ceci est une aventure assez extraordinaire qui m’est arrivé lorsque que j’avais 17 ans, je vivais encore chez mes parents dans un endroit perdu du centre de la France.
A cette époque j’avais une petite amie qui habitait à une vingtaine de kilomètres de chez moi. A 17 ans on a pas le permis de conduire donc une des solutions pour aller la voir était de me faire emmener par un copain plus vieux qui possédait une voiture, c’est généralement ce que je faisais tous les samedi soir, il me déposait chez elle et revenait généralement vers 1h ou 2h du matin pour me récupérer ; elle vivait avec son père et sa sœur qui qui était mariée dans une grande maison , un ancien presbytère avec de grands couloirs et de nombreuses pièces.
Quand nous arrivions chez elle vers 21h30 22h, j’allais saluer son papa et sa sœur et nous partions avec mon copain en voiture, il nous laissait à 200 mètres de chez elle afin que nous puissions revenir chez elle discrètement en passant par le jardin a l’arrière de la maison, il y avait une porte et un escalier qui nous permettait d’accéder à une chambre ou nous passions la soirée à nos jeux sexuels, nous étions en pleine découverte de nos corps et de la sexualité. Nous faisions le moins de bruit possible afin de ne pas être découvert par son père.
Ce préambule permet de situer et de mieux comprendre pourquoi il m’est arrivé cette aventure très particulière.
Un samedi soir comme les autres mon copain me dit qu’il ne pourrait pas passer me chercher dans la nuit, il m’emmena quand même chez ma petite amie, je lui dis que je me débrouillerai pour rentrer, en l’occurrence ce ne pouvait être qu’avec le solex de ma copine ; je n’avais pas pensé à une chose c’est que la nuit il fait froid et que je n’avais rien pris de chaud et faire 20 kms, en petit pull quand il fait 5 ou 6 degrés ce n’est plutôt éprouvant.
Après avoir passé la soirée avec ma chérie, vers 2h du matin je me résignais à rentrer chez mes parents en solex ; évidemment je descendis avec grande discrétion au sous-sol pour prendre le solex et sortir par l’arrière de la maison et poussait l’engin assez loin du presbytère pour que son père ne puisse pas l’entendre démarrer.
Au bout de quelques kilomètres j’étais déjà gelé, je fis 7 ou 8 kms, je n’en pouvais plus, je me dis que jamais je ne pourrai arriver chez moi en ayant aussi froid, je savais qu’il y avait une petite boite de nuit qui était ouverte dans une petite commune que je traverserai, je me résignais donc à m’y arrêter pour me réchauffer car j’étais transis de froid, j’étais allé 2ou 3 fois dans ce lieu. Je rentrais donc dans ce night club, je me sentis ‘sauvé’ en rentrant par une chaleur qui me faisait un bien immense.
Il n’y avait pas beaucoup de clients , peut-être 5 ou 6, je me dirigeais vers le bar , la patronne était la, son berger allemand couché derrière le comptoir. C’était une petite femme de 40 ans environ, elle vint me voir et vit que j’étais frigorifié, je lui dis que j’étais en solex et qu’avec ce froid je ne pouvais pas continuer sans me réchauffer un peu, je lui dis ou j’habitais ; alors elle me dit : Tu ne vas pas terminer avec ton solex tu auras encore trop froid, je te propose de te remmener en voiture mais il faut attendre que les derniers clients soient partis, tu viendras chercher le solex demain soir, elle se tourna vers son mari et lui dit, tu es d’accord mon chéri, il acquiesça et dit : pas de soucis . Me voilà donc installé sur un tabouret au bar en train de déguster un whisky que la patronne m’a offert.
Vers 2h30 le dernier couple s’en va, je me suis dit super ils vont me remmener mais rien ne se passa comme prévu. La patronne m’offrit un 3ème verre et mit un slows , elle m’invita à danser, comment refuser même si le mari n’était pas loin ni le berger allemand, je n’étais pas très rassuré, tout de suite elle se colla à moi, je sentais toutes ses formes généreuses contre moi, elle se frottai contre moi et évidemment à 17 ans je me mis à bander rapidement, elle relava la tête vers moi et me tendit sa bouche que je pris sans hésiter tellement j’étais excité, je bandais très dur et elle sentait ma queue bien raide contre son ventre, elle me dit : et bien le jeune homme est déjà tout dur et elle commença à me caresser la queue à travers mon pantalon et aussi à bien me palper les couilles, j’étais aux anges , elle m’embrassait goulument et sa langue pénétrait ma bouche avec appétit ; je glissais ma jambe entre ses cuisses qu’elle ouvrait volontairement ; au bout d’un moment comme cela ça à s’échauffer à fond, elle me dit : viens avec moi dans un petit salon à coté je vais te la sucer la bite je vois bien que tu en as très envie ; évidemment que j’en avais envie après ce slows plus qu’érotique mais je savais que monsieur était la alors je lui dis : et ton mari ? elle répondit ne t’inquiètes pas ça ne le dérange pas,,,, mais en plus je savais qu’il y avait ce gros berger allemand qui m’impressionnait mais bon l’envie était plus grande que la peur, je la suivis donc dans un petit salon aménagé avec une banquette et un tonneau qui faisait office de table. Dès que nous sommes rentrés elle commença par se mettre à genoux devant moi et a déboutonner mon pantalon et à vite baisser mon slip, je bandais toujours fort, tout de suite elle me prit la queue dans sa main et l’enfourna dans sa bouche ,,, wouah comme c’était bon elle me la lima comme ça pendant un moment puis avec plus de délicatesse me suça longuement le gland entre ses lèvres c’était sublime, puis elle se déshabilla et me dis d’en faire autant et me fit allongé sur la banquette
Elle vint sur moi et s’empala sur ma bite bien raide, elle se mit à me monter rapidement en bougeant bien son petit cul et se calma , je me demandais pourquoi, c’est alors que je vis la porte s’entrouvrir et le berger qui rentrait, elle me dit : sois calme et tu verras quelquechose que tu n’as jamais vu, elle ne bougeait plus bien plantée sur ma queue, c’est alors que le chien vint juste derrière elle et commença à lui lécher le cul, je n’en revenais pas , , elle s’extirpa de sa position me dit de m’assoir et elle s’allongea sur le dos les cuisses bien ouverte, le berger sans doute habitué savait ce qu’il avait à faire et était sans doute attiré par cette chatte odorante et toute mouillée , il lui lécha la fente avec application et elle se pamait et me dit : tu vois tu n’avais rien a craindre ;;;; comme elle voulait absolument jouir avec la langue du chien qui lapait sa cyprine elle se branla le clito et jouit au bout de 2 minutes tellement elle était excitée ; elle se releva et me dit : et bien tu bandes encore t’es un vrai chien ! tu vois il m’a fait jouir le toutou et bien la moindre des choses c’est que je lui fasse un peu plaisir ; elle alla vers lui et le caressa entre les 2 oreilles puis glissa son autre main sous son ventre elle prit son fourreau entre sa main et commença à le branler il oscillait un max du cul, son bout rouge pointa , elle insista et il sortit un peu plus c’est à ce moment la qu’elle tira bien sur le fourreau et fit sortir entièrement sa bite toute rouge, j’étais subjugué bien que je sache comment était une bite de chien car a la campagne on a tous vu cela, elle lui saisit juste derrière le nœud et le tint bon comme ç , sa queue n’arrêtait pas de gicler ;;; elle me dit tu vois il a une belle queue et des fois c’est moi qu’il saillit et pas les chiennes des voisins !!! sa queue était devenue énorme quand il s’arrêta de gicler au bout de 5 minutes, elle lui lacha la pine qui continuait a être saccadée par sa jouissance, je n’en croyais pas mes yeux, il se calma au bout de 10 minutes et elle le fit sortir par la porte , c’est la que je vis son mari par la porte entrebâillée, il avait tout maté depuis le début le bougre.
Je bandais toujours fort j’avais même failli tout largué quand je l’avais vu jouir avec le chien qui la léchait, alors elle me dit : je vais être ta chienne et tu vas me fourrer ta queue bien profond mon petit salop , elle se mit 4 pattes au bord de la banquette et me dit : allez baise ta chienne vas y baise la ,,, je lui enfournais ma queue raide dans sa chatte dégoulinante et je la pilonnais ainsi et sans arrêt elle me répétais mets la moi ta queue mets la moi baise ta chienne saillit la bien ,,,je lui bourrais la chatte violemment , elle jouit assez rapidement et moi je lâchais tout mon foutre bien au fond de son vagin humide.
Il y avait tout ce qu’il fallait dans le petit salon pour faire un petit peu de toilette, elle prit un gant humide et m’essuya bien la bite après nous nous rhabillames et nous nous sommes dirigés vers la bar ou nous attendait son mari, je n’étais pas fier mais il nous accueillit chaleureusement et me dit : alors jeune homme elle est bonne me femme, j’acquiesçai d’un hochement de tête, il me servit un verre que nous avons dégusté pendant un petit quart d’heure, sa femme était la derrière moi a me tenir par la taille juste vêtue d’un pantalon et d’un châle sans rien d’autre, il était 5h du matin.
Son mari finit par me dire : bon nous allons te raccompagner maintenant,, je dis oui avec plaisir, nous nous dirigeâmes vers sa voiture garée devant la boite, il me fit monter à l’arrière avec sa femme moitié nue, il commença à rouler et lui dit : occupe toi un peu de la queue du jeune homme je suis sur qu’il en a envie, il roula très doucement car il n’y avait que 10 kms à faire ;;; elle se pencha sur moi déboutonna mon pantalon et baissa bien mon slip pour bien faire sortie ma queue qui était redevenue toute raide, elle se frotta les seins sur ce phallus et m embrassa à pleine bouche puis redescendit vers ma bite en feu, elle la happa promptement, la saisit d’une main et la branla vigoureusement tout en la gardant un peu dans sa bouche ,, son mari de dire à l’avant : vas-y ma chérie suce lui bien le dard au jeune homme, fais lui gicler tout son foutre dans ta bouche, ce qui ne tarda pas après une telle activation sur ma queue, elle avala tout remonta mon slip et mon pantalon et referma tout. Quelques minutes après la voiture s’arrêta devant chez moi, je les remerciais, ils me dire de passer chercher le solex le dimanche pour 17 h et ils répartirent, je rentrais chez moi en faisant le moins de bruit possible.
Je venais de vivre des évènements auxquels je n’avais jamais pensé ou imaginé, j’étais un peu troublé par tout ce que je venais de voir.
Le lendemain mon frère me conduit à l’heure dite pour récupérer le solex , je vis la patronne qui voulut encore que je la saute dans le couloir ou était stationné le 2 roues mais il n’en fut rien et je ramenais le solex à ma copine qui me demandait si je n’avais pas eu trop froid , je lui dis que ‘si’ mais que j’avais tenu le coup et je repartis avec mon frère qui m’attendait ….

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