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Une maman comblée (Vu sur internet)

Une maman comblée (Vu sur internet)



1
Séverine est une maman heureuse. Voilà presque deux mois qu’elle a donné naissance à une magnifique petite Émilie. Déjà, il y avait Thomas, l’aîné qui faisait la fierté de ses parents grâce à de brillants résultats dans son école d’ingénieurs. En ce moment, elle ne travaille pas puisqu’elle profite d’un congé d’allaitement. Comme elle l’avait fait pour Thomas, elle nourrit sa fille au lait maternel. Il faut dire qu’elle est gâtée, son lait est d’excellente qualité et en abondance au point qu’il va sans doute falloir louer un tire lait pour en faire profiter d’autres enfants!
Aujourd’hui, elle est contente, son grand Thomas va venir pour le week-end. Son école étant loin de leur domicile, ils ont dû, à contrecœur, Hervé son mari et elle, le mettre pensionnaire. De ce fait, elle est souvent seule à la maison puisqu’Hervé est souvent en déplacement pour son travail, il est représentant.
Elle a mis les petits plats dans les grands à cette occasion. Sachant la gourmandise de Thomas, elle lui a préparé un gâteau au chocolat et pour son mari, qui rentre, lui aussi d’une tournée de plusieurs jours, un coq au vin, son plat préféré.
Il est bientôt 16h et elle se prépare pour aller chercher Thomas au train, à la petite gare non loin de chez eux. Pour cela, elle a dû réveiller Émilie mais, qu’importe, à son retour il va falloir lui donner à téter!
Une fois rentrée, Séverine s’installe dans le canapé pour donner le sein à sa fille.
Tiens, viens à côté de moi pour me raconter ta semaine, dit-elle!
Thomas s’assoit et regarde sa mère en train d’ouvrir son corsage sous lequel elle porte un soutien-gorge d’allaitement.
Alors, as-tu bien travaillé cette semaine? Ton prof de techno est revenu de maladie?
Oui, ça a été bien que nous n’avons toujours pas de cours en techno! Le prof n’a pas repris et on parle d’un remplaçant! répond Thomas les yeux rivés sur la poitrine de sa mère.
Elle soulève l’extrémité du bonnet pour découvrir un mamelon raide et tendu comme une phalange d’index. Le sein, bien que partiellement masqué, parait lourd et gonflé. A l’aide d’une compresse, elle nettoie l’embout où, déjà, perle une goutte de lait. Dès qu’elle approche Émilie de son sein, la petite happe le téton et suce avec passion.
Elle a l’air d’avoir faim, dit Thomas
Oui, d’habitude elle mange plus tôt mais comme j’ai dû aller te chercher…
Elle est mignonne quand même, elle n’a pas pleuré! Dis donc, Maman, moi aussi tu m’as nourri au sein?
Oui, mon chéri, tu sais j’ai beaucoup de lait et il est, parait-il, très bon!
Tu ne l’as jamais goûté?
Non, quand je dis très bon, je veux dire très nourrissant et il est préférable, dans ce cas de nourrir son bébé. Certains disent que ça abîme la poitrine, ce n’est pas vrai et le bébé démarre mieux qu’avec les laits en poudre.
Dis Maman, ton lait à bon goût?
Bof… je ne sais pas! Bien sûr, j’en ai mis sur mon doigt pour voir quel goût ça avait mais je n’ai pas trouvé ça terrible!
Tu me laisseras y goûter?
En voilà, une drôle d’idée, mon chéri! Bon laisse ta sœur manger, on verra après!
En attendant, je peux prendre une part de gâteau au chocolat que j’ai vu dans la cuisine?
Bien sûr mon grand!
Thomas dévore son gâteau préféré tandis que Séverine allaite sa sœur. Thomas ne quitte pas des yeux sa mère ou plus exactement la petite en train de téter. Quand Émilie fût repue, Séverine propose à Thomas de prendre sa sœur pendant qu’elle commence à se rhabiller.
Mais, Maman, tu m’as promis de me faire goûter ton lait!
Ah, c’est vrai, tu as envie de redevenir le bébé que j’ai nourri! dit Séverine amusée.
Posant son index à l’extrémité du mamelon, elle presse son sein et une giclée de lait fuse, droit devant elle mais, rien sur le doigt! Tous deux rient de la mésaventure et Thomas dit:
Laisse-moi le mettre dans la bouche, comme quand j’étais petit!
Bah, ce n’est pas banal, mais pourquoi pas, si tu veux! Allez, vient mon grand bébé!
Thomas ne se le fait pas dire deux fois et déjà, il est à genoux devant sa mère toujours installée dans le canapé, Émilie ayant rejoint son petit lit. Il pose sa bouche sur le téton de Séverine et suce goulument.
Et, doucement mon gros bébé! C’est fragile tu sais!
De fait, du lait coule à la commissure des lèvres de son fils. Il pose ses mains de chaque côté du sein qu’il tête. Tandis que ses lèvres en ventouse, aspire l’embout dur, les mains caressent la peau tiède et douce. Séverine ressent une étrange sensation, pas du tout comme quand Émilie la tête. Là, une douce torpeur l’embrase. La bouche de son fils suce, aspire, mordille et bien malgré elle, un peu honteuse, elle a envie qu’il continue.
Alors, comment tu trouves mon lait, dit-elle pour se donner une contenance?
Super répond-il sans même quitter le mamelon d’entre ses lèvres, super!
Elle est partagée entre la raison qui devrait faire qu’elle arrête Thomas et le plaisir qu’elle trouve à cet acte. Pourtant, nous ne faisons rien de mal se dit elle, comme pour justifier son attitude face au plaisir qui semble naître en elle. Une bouffée de chaleur monte doucement en elle qui la grise, l’empêchant d’agir pour faire arrêter son fils.
Fais doucement mon poulet, même si tu aimes!
Humm grogne Thomas, qui lève les yeux vers sa mère pour y voir le consentement qu’elle semble lui donner. J’adore Maman… hum!
Honteusement, Séverine se laisse faire, enveloppée par ce plaisir naissant. Ses reins s’embrasent et elle sent bien que cette bouffée de chaleur n’a rien à voir avec l’amour filial!
L’humidité qu’elle sent sourdre entre ses cuisses lui donne raison. Non, il faut que je me ressaisisse se dit-elle.
Alors que son cerveau fonctionne prodigieusement vite, son corps réagit à contrario, acceptant complaisamment le plaisir qu’elle ressent. Elle se voit incapable de repousser Thomas dont les lèvres, arrondies autour de son téton, étire exagérément celui-ci tandis que ses mains malaxent et pétrissent la masse gorgée de lait.
Finalement, c’est le bruit de la voiture d’Hervé, son mari, qui fait sortir les deux protagonistes de la douce torpeur dans laquelle ils étaient plongés inconsciemment!
Tiens, voilà ton père, dit Séverine en écartant son buste de la bouche de Thomas. Ne dis rien à Papa de tout ça, continue-t-elle, les joues rosies par l’émotion. Il ne comprendrait pas que tu aies eu envie de reconnaître tes premiers jours de vie!
Tu me permettras de recommencer alors?
Je sais pas, dit la mère, on verra… tu sais, ça ne se fait pas ce qu’on vient de faire! Je l’ai fait, pour te faire plaisir.
Tu es la première à dire que tu as trop de lait et qu’il coule, seul!
Oui, mais il est préférable de le tirer pour l’offrir à d’autres bébés dont la Maman manque de lait.
Pour l’instant, tu ne peux pas, on n’est pas encore allé chercher la machine chez le pharmacien!
Oui c’est bien pour ça que je t’ai laissé faire, réponds faussement Séverine en réajustant son corsage. Essuie-toi la bouche, tu as plein de lait autour! Et n’oublie pas, c’est notre secret!
Promis Maman.
Dans la douceur feutrée du cocon familial, la soirée se passe avec les banalités des questions habituelles:
Ta semaine a été productive, demande Séverine à Hervé?
Et toi, mon grand, Émilie ne t’a pas trop manqué?
… … … … la routine, quoi!
Une fois l’émission à la télé terminée, dans la soirée, Hervé monte dans sa chambre disant combien il est fatigué de la semaine.
Je donne le sein à Émilie, qui pleure déjà, et je te rejoins chéri!
Dis, Maman, tu me permets de rester un peu avec toi pour regarder ma petite sœur?
Non, répond abruptement Séverine!
Pourquoi tu ne veux pas, demande Hervé qui s’apprête à quitter la pièce?
Il doit être fatigué!
Mais non, Maman, je te tiens compagnie le temps de la tétée et après je monte!
Bon, promis, tu vas te coucher tout de suite après, sans t’attarder devant la télé!
Oui, M’an!
Je monte changer la petite et la mettre en pyjama. Tu devrais, toi aussi, te mettre en pyjama, ce sera fait!
Quand Thomas redescend, il constate que sa mère aussi, s’est mise en tenue de nuit. Elle a enfilé, par-dessus sa chemise de nuit courte, une robe de chambre en soie. Il s’installe dans le fauteuil qu’utilise son père, habituellement. Séverine, elle, se met sur le canapé, face à son fils.
Tiens, change de chaîne, mon grand, il y a des variétés sur la 2! Ça t’intéresse?
Bof, tu sais, moi la télé…
Bon, et bien éteins-la, moi non plus ça ne me passionne pas!
Et, ce disant, Séverine ôte sa robe de chambre et parait juste vêtue de sa chemise de nuit qui lui arrive à mi-cuisses. Elle baisse les bretelles pour dégager son buste revêtu du soutien-gorge d’allaitement, tout en retenant le vêtement de nuit à la taille.
Tu ne veux pas m’aider, mon chéri, dégrafe mon soutien-gorge.
Et elle se place dos à lui pour lui faciliter la tâche tandis qu’elle retient toujours sa chemise de nuit sur les hanches. Thomas s’exécute et dès l’attache défaite, les seins lourds et gonflés se libèrent.
Ouf, ça fait du bien, dit Séverine, ils sont tellement gonflés que ça me fait mal!
Si tu veux, Maman, comme cet après-midi, je boirais un peu de ton lait pour te les dégonfler!
Tu crois que je n’ai pas compris ton manège, tout à l’heure, devant ton père! Je ne suis pas dupe, tu sais…
Mais Maman, je ne suis pas là souvent! Laisse-moi un peu profiter de toi et de ma sœur!
Oui, oui, mais tu sais, ça ne se fait pas qu’un grand dadais comme toi, tête sa mère! D’abord, je n’en ai pas parlé à ton père car il n’aurait pas apprécié!
Séverine se garde, disant cela, de faire état du trouble qu’elle a ressenti quand Thomas lui a sucé le sein. Elle se demande même si, inconsciemment elle ne souhaite pas recommencer quand elle a accepté.
Pourtant, M’an, il me semble que cet après-midi tu as aimé, autant que moi!
M’ouais, rétorque Séverine en rougissant, mais c’est parce que j’ai tellement de lait que ça me soulage!
Et moi, j’ai l’impression d’être redevenu ton petit bébé.
Oui, un gros bébé, reprend la mère en riant.
Tout en parlant, Séverine s’est retournée et elle est, à présent, face à son fils, les seins à l’air. Il n’en perd pas une miette, les yeux rivés sur la poitrine de sa mère. Elle sent bien le regard acéré, mais elle fait mine de ne se rendre compte de rien. Quand elle se penche pour prendre la petite, Thomas peut voir les deux seins finement veinés, pendre de façon excitante. Les mamelons sont très gros à cause de la succion du bébé. Aussitôt dans les bras, Émilie happe l’embout offert.
Et bien, on dirait qu’elle a faim, ma petite sœur! ….
Oui mais ne t’inquiète pas, mon chéri, elle t’en laissera suffisamment!
Décidément, on dirait que Séverine fait tout pour exciter son fils! Telle qu’elle est assise, face à Thomas, elle dévoile très haut ses cuisses et, les yeux de ce dernier pétillent de désir. Aussi incroyable qu’il ne parait, Séverine ne fait rien pour empêcher cela. Il semble même que ça lui plait d’être, ainsi, dévorée des yeux, quand bien même il s’agit de son fils!
Tandis que Séverine, songeuse, allaite son enfant, un phénomène fréquent se produit: la succion d’Émilie sur le sein qu’elle tête provoque l’écoulement de lait, sur l’autre sein.
Tiens, regarde, mon grand, si tu veux venir en profiter, dépêche-toi, le lait coule seul.
Thomas ne se fait pas prier et, s’agenouillant devant sa mère, il embouche, comme cet après-midi le mamelon libre et aspire goulûment.
Doucement, petit goinfre! Regarde ta sœur comme elle est délicate, elle!
Décidément, ils paraissent aimer ça tous les deux! Le fils palpe des deux mains le sein qu’il suce tandis que, déjà, la mère parait prendre du plaisir à sa façon de tendre son sein en avant. De son côté, la petite Émilie s’endort sur l’autre sein, visiblement repue.
Attends, mon chéri, je vais mettre ta sœur dans son lit et je reviens de suite.
Effectivement, Thomas n’a pas à attendre longtemps pour voir revenir sa mère. Comme il s’est remis dans le fauteuil, Séverine dit:
Ne bouge pas mon poulet, je vais m’asseoir sur tes genoux.
Les seins toujours en dehors de la chemise de nuit, elle s’installe sur son fils et lui présente un mamelon turgide face à ses lèvres qui le happe aussitôt. Bien vite, comme la première fois la succion se transforme en caresse pour le plus grand plaisir, à peine dissimulé de sa mère. Elle tient, elle-même le dessous de son sein qu’elle caresse en même temps qu’elle en offre le bout tendu aux lèvres qui la tête. Thomas a les mains posées sur les cuisses largement dénudées de sa mère. On sent bien que les sens des deux protagonistes s’échauffent. La Maman respire de plus en plus fort et le fils tire et mâchonne vigoureusement l’embout caoutchouteux. Loin de le repousser, Séverine murmure doucement à son oreille:
Chut… doucement grand fou, suce bien mon chéri…
Et, ce qui devait arriver arriva, elle sentit doucement une raideur naître sous son fessier. Son fils bande! Elle est bouleversée croyant que son propre plaisir passerait inaperçu aux yeux de son fils! Non seulement Thomas ressent le plaisir qu’il donne à sa mère mais, en plus il en éprouve, lui aussi du plaisir! Elle n’a pas le courage de l’arrêter même si elle est honteuse de cette situation. De plus, la chaleur qui monte dans ses reins, la dissuade de toute velléité. Ses joues sont pourpres. La bouche ne cesse d’agacer son téton. Sous ses fesses, elle sent bien le membre raide de son fils. La main, posée sur sa cuisse caresse doucement la texture fine de la peau sans oser trop s’égarer plus haut. L’autre main s’est naturellement posé sur l’autre sein, libre et pétrit délicatement la masse souple. La seule chose qu’elle trouve à dire:
Tu te rends compte si ton père nous voyait!
Ce qu’elle n’a pas anticipé c’est qu’en disant ces mots, elle se rend complice de la situation et par conséquent, consentante. Aussitôt, la main de Thomas, glisse doucement de la cuisse vers l’entrejambe que Séverine, par sa position tient écartée.
Non, non Thomas, fais pas ça… arrête… je suis ta mère…
Mais elle ne fait rien pour empêcher la progression des doigts vers sa chatte. Ils sont déjà arrivés à l’endroit, de l’entrecuisse où la peau est si douce.
C’est pas bien, mon chéri, ne fais pas ça, hahh… …
La main est enfin arrivée là où elle a envie de se trouver; sur la chatte maternelle. Thomas la trouve trempée, les grandes lèvres toutes ouvertes, brûlantes de désir. Délicatement, pour lui c’est une découverte, il va à la découverte de la géographie de la vulve d’où il est sorti, voilà quelques années. Son index longe la fente humide et collante. Il est étonné de ne sentir aucun poil. Ce qu’il ignore c’est que, sa mère est une adepte des sexes glabres comme son père le lui a demandé. Les cuisses se resserrent sur la main fouilleuse, non pas pour l’empêcher de progresser, mais pour mieux la sentir.
Qu’est ce que tu me fais là? Hum tu sens comme j’ai envie… murmure tout doucement Séverine. Va doucement, mon garçon!
En fait, depuis la naissance d’Émilie, Séverine n’a pas connu de plaisir, ni de son époux ni de sa propre main, comme elle le fait parfois. Elle ne se reconnaît pas!
Sans beaucoup d’expérience Thomas glisse ses doigts dans cet antre visqueux. Bien sûr il a déjà chatouillé l’abricot de petites copines mais aucune ne mouillait autant que sa mère!
Mumm, gémit-elle, tu ne devrais pas faire ça… oui, vas-y, caresse-moi loin, j’aime… tu sens comme je m’ouvre pour toi, chéri… et toi, tu aimes donner du plaisir à ta petite Maman… hum, plus haut, branle mon bouton…
Dis Maman, je voudrais te voir…
Sans dire un mot, Séverine se lève devant Thomas, sa chemise de nuit dont le haut est, déjà baissé, ne tient que par les hanches, tombe à ses pieds. La voilà nue devant son fils aux yeux écarquillés. Elle porte, sur le ventre, les marques de son récent accouchement. Sans doute un peu honteuse de cette exhibition, elle se plaque à Thomas, toujours assis dans le fauteuil, et l’enserre de ses bras. Son visage est plaqué à son ventre et, déjà, elle sent les lèvres humides sur sa peau. Tel qu’elle est placée, debout entre les jambes de son fils, elle sent la verge tendue le long de sa jambe. Elle est tellement excitée qu’elle sent sa chatte couler tandis que la main de Thomas remonte entre ses cuisses qu’elle écarte pour lui faciliter l’accès. Elle est tellement mouillée que l’index et le majeur de Thomas glissent, sans problème, dans son vagin dilaté. De plus, curieux de voir, enfin la chatte qu’il tripote, il courbe de plus en plus son visage vers le bas ventre de sa mère, en une longue trace humide de salive que laisse ses lèvres sur elle. Tassé sur le fauteuil, il arrive enfin, avec sa bouche, sur le mont de vénus qu’aucun poil ne masque. Elle frisonne mais se garde de l’empêcher d’aller plus bas. Il s’écarte un peu, pour enfin voir, l’objet de sa convoitise. Complaisamment, Séverine avance son bas ventre vers lui. Il peut, alors, voir nettement ses doigts enfoncés dans la chatte de sa mère. De la mouille lui coule dans la paume. Les grandes lèvres s’arrondissent autour de ses doigts. Au sommet de la fourche, il voit distinctement le clitoris qui émerge de son capuchon. Séverine tremble de désir mais se garde de faire le moindre geste, pour ne pas rompre la magie de l’instant.
Tu as froid, Maman, demande Thomas?
Non, mon chéri, j’ai très honte c’est tout!
Il ne faut pas, Maman, personne n’en saura jamais rien!
Et délicatement, sa bouche se pose sur la chatte offerte. Déjà, il pose quelques baisers pointus sur le bouton dardé, puis ses lèvres enrobent celui-ci, comme il a fait précédemment, avec le mamelon gorgé de lait, mais avec beaucoup plus de douceur. La mère se cabre sous la précision de la caresse.
Oh, que c’est bon ce que tu me fais là… Mumm…
La langue, à présent, vient de sa pointe tendue, balayer le bouton gorgé de sang. Elle joue avec, tournant autour, le soulevant, le titillant. Du jus lui coule sur le menton. Séverine, folle de plaisir, maintient fermement sa tête collée à son ventre dans une psalmodie de gémissements. Elle halète de plus en plus vite. Thomas a réussi à introduire deux autres doigts dans la chatte écartelée et gluante. C’est, maintenant, toute la main sauf le pouce, qui coulisse de haut en bas dans la vulve de sa mère. Sous la double caresse, elle gigote dans tous les sens,
N’arrête pas! Va branle-moi bien, j’aime beaucoup!
Elle se frotte sur la main tendue, comme une chienne en chaleur, tandis que, Thomas suce le bouton qui a encore grossi entre ses lèvres. On entend, dans la pièce, un bruit de chair mouillée et de gémissements. Séverine tend le bras vers l’entrejambe de son fils, et empoigne le sexe raide à travers la culotte pyjamas.
Comme tu bandes, dit-elle, je t’excite à ce point mon poulet?
M’oui, fait-il, sans pour autant abandonner sa succion sur l’organe érectile maternel.
Elle fait lentement courir sa main de bas en haut, mais le contact, au travers de la toile, ne lui suffit pas! Le pantalon du vêtement de nuit est retenu à la taille par un élastique qu’elle écarte pour se frayer un passage vers l’organe érigé. Cette fois, c’est à main nue qu’elle saisit le membre. La chaleur et la vigueur de celui-ci embrase ses sens. Elle serre ses doigts le long de la hampe tout en savourant la langue qui continue à titiller son bouton. C’est, maintenant Thomas, qui avance le bassin au devant de la main qui le masturbe. La tension est au paroxysme et ce n’est que gémissements dans la pièce. C’est Thomas qui jouit le premier avec un jet de sperme qui embrase la main et le poignet de sa mère. Elle ne ralentit pas, immédiatement, la cadence, et l’émission continue, poissant toute sa main. A son tour elle se cabre, explosant sous la double caresse de la langue et de la main. Le corps est parcouru d’un long frisson, un feulement sauvage sort de sa bouche et ses cuisses se resserrent sur le visage et le poignet de Thomas. Ils restent quelques secondes, tous deux, figés par leur jouissance respective. Puis, avec douceur, la Maman prend le poignet de son fils pour retirer les doigts qui sont encore en elle. Ceux-ci sont recouverts d’une mousse blanchâtre, preuve du plaisir qu’elle a ressenti.
Sans commentaire, elle pose ses lèvres sur celles de Thomas, et l’embrasse tendrement…….
 
2
Le lendemain, Séverine descend dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner qu’ils ont pris l’habitude de prendre tous ensemble, le week-end. Elle est honteuse de ce qui s’est passé la veille avec son fils, Thomas. Elle sait qu’elle ne craint pas qu’il parle à Hervé, son père, c’est un garçon trop réservé et plein de sensibilité; il sait le tort qu’il peut porter à sa mère si il raconte ce qui s’est passé! Non, c’est plutôt qu’elle est honteuse de s’être laissée aller à subir les exigences de son corps que sa morale aurait dû empêcher! Aussi, elle est d’humeur chagrine quand Hervé entre dans la cuisine:
Bonjour, ma chérie, j’étais tellement crevé, hier soir que je ne t’ai même pas entendue monter, quand tu t’es couchée!
Tu n’as pas entendu, non plus, la petite pleurer, cette nuit, à l’heure de la tété!
Non, c’est vrai, et pourtant, hier au soir j’aurais bien aimé te faire un petit câlin, avant de dormir!
C’est vrai, en ce moment tu ne t’occupes pas beaucoup de moi, se plaint Séverine, mutine!!!
Pourtant, c’est pas l’envie qui me manque, réplique Hervé en prenant sa femme dans les bras et en l’embrassant. Regarde, dit-il, la preuve…
En effet, la toile de son pyjama est distendue au niveau de l’entre-jambe. Hervé a glissé sa main dans l’échancrure de la chemise de nuit et il cajole les seins gorgés de lait;
Tu es obligée de porter cet affreux soutien-gorge tout le temps?
Oui, ça soulage mon dos et empêche, que plus tard, mes seins me tombent sur le ventre! … Tu n’aimerais pas, j’imagine? Tiens, c’est ça l’objet de ton désir?
Et elle fait sauter l’attache, le sous vêtement chute sur le sol.
Comme son fils, hier soir, Hervé se précipite sur les seins nus de Séverine, et les caresse avec douceur. Séverine ne peut s’empêcher de faire le parallèle avec l’aventure qu’elle a connue, hier soir! Simplement, les gestes sont plus précis ce qui accroit le désir qu’elle ressent. La bouche s’empare, alternativement, des deux mamelons turgides, dans une succion qui provoque, inévitablement, la montée du lait.
Doucement, mon chéri, ou ta fille n’aura plus rien à manger, tout à l’heure!
Tu as tellement de lait que je suis bien tranquille, ma petite Émilie aura la quantité voulue, le moment venu!
Et si ton fils venait à rentrer dans la cuisine?
Et bien il verrait son père honorer sa mère! Ça ne lui ferait pas de mal de voir ce qu’un homme peut faire à une femme! Je le trouve bien prude, mon garçon! Il ne parle jamais d’éventuelles copines, il ne sort qu’avec des copains,
Je me demande même, s’il n’est pas encore puceau!
Mais, tu vas le laisser tranquille, mon grand bonhomme, ne t’inquiète pas pour lui, à son âge, on sait ce qu’on fait!
Toi, si tu me dis ça, c’est que tu en sais plus que tu le dis!
Non, pas précisément, seulement hier, j’ai bien vu qu’il me regardait allaiter Émilie avec concupiscence!
Et bien, ça prouve seulement que c’est un homme, sensible au charme féminin!
Oui mais je suis sa mère!
Tu n’en es pas moins femme… Ne dit-on pas que tous les garçons sont plus ou moins amoureux de leur mère et les filles de leur père!
Si tu veux parler de ta fille, tu vas attendre avant qu’elle soit amoureuse de toi! Par contre, puisque tu me parles de ça, je ne voulais pas te le dire mais ton fils m’a fait, hier soir, une demande curieuse: il m’a demandé si il pouvait goûter mon lait, à même le sein!
Ce n’est pas vrai! Mais c’est merveilleux! …. moi qui craignait de le savoir puceau, voilà qu’il ose faire ce que je n’ai jamais osé faire! …..
Comment ça?
Et bien, quand j’étais gamin, j’ai vu ma belle-mère allaiter mon demi-frère et mon rêve aurait été d’être à sa place! Tiens, regarde la preuve, ça me fait bander…
Et, de fait, une bosse sur le devant du pyjama, démontre son excitation.
Tu es en train de me dire que je dois accepter de me laisser téter par Thomas?
Oui, et alors? Si je n’avais pas peur de l’intimider, j’aimerai bien voir ça! Mais je crois que, dans un premier temps, il est préférable qu’il se sente seul, avec toi!
Je ne sais pas si j’oserai, ment avec affront Séverine, cachant ce qui s’était passé la veille au soir avec son fils.
Rien ne t’y oblige, mais, si tu le fais, je tiens à ce que tu me racontes ce qui s’est passé. Tu vois, tout ça m’a donné faim de ton petit corps…
Il soulève, alors, la fine chemise de nuit de sa femme sous laquelle, elle est nue et s’agenouille entre ses jambes.
Mais tu es fou, chéri, tu te rends compte si Bruno venait à rentrer?
Je ne suis pas sûr que ça te gêne beaucoup, dit Hervé tout en léchant la chatte offerte. A voir comment tu mouilles, la conversation que nous venons d’avoir semble t’avoir pas mal excitée!
Oh, arrête, c’est trop bon, hum… si tu continues ainsi, je vais jouir tout de suite!
Dis donc, ma cochonne, tu n’imaginerais pas, là, que c’est ton grand fils qui serait à ma place?…
Mais qu’est ce que tu vas penser? J’ai toujours aimé que tu me suces! Peut être, en effet, que le fait que Thomas puisse nous surprendre, rend la situation encore plus excitante…
Ouvre-toi bien, que ma langue puisse aller au fond de ta chatte! Tu coules comme une fontaine ma chérie!
Assise sur le tabouret de cuisine, Séverine a passé ses jambes sur les épaules de son mari, toujours à genoux devant elle et appuie sur sa tête pour coller sa bouche à son sexe enflammé.
Hum, qu’est ce que tu me fais… Oh… lèche, lèche bien partout…
Soudain, Hervé de lève, descend sa culotte de pyjama dévoilant, ainsi un sexe furieusement turgide au gland rubicond. Il soulève sa femme du tabouret, la bascule sur la table de la cuisine, et enfonce sa bite dans le vagin trempé de Séverine. Elle ne peut s’empêcher de pousser un feulement de bête! Avec vigueur, Hervé la bouscule, laboure son ventre de ses coups de boutoir. Le va et vient fait trembler les tasses disposées sur la table et le gémissement, conjoints des deux protagonistes expriment l’épanouissement de leur plaisir commun. Séverine croise les jambes derrière Hervé et soutien la cadence, avançant son ventre au devant de l’engin qui la fouille. Tel un piston, il va et vient dans le sexe liquoreux. Bouche ouverte, yeux exorbités, Séverine sent le spasme lui broyer les reins. Elle respire de plus en plus vite et de plus en plus fort tandis, qu’Hervé ahane son effort violent. D’un seul coup, dos arqué enfonçant au plus profond, son sexe dans celui, béant, de sa femme, il rugit son plaisir au diapason de son éjaculation. Séverine, elle, le ventre rentré pour apprécier encore plus la vigueur qui la fouille, enfonce ses talons dans les fesses de son homme et explose son orgasme dans le tremblement de tout son corps.
Ils restent, soudés l’un à l’autre, un petit moment avant de reprendre leurs esprits. Les yeux plein d’amour et de reconnaissance ils s’embrassent longuement.
Heureusement que nous n’avons pas été dérangés, dit Séverine en réajustant ses effets de nuit.
Et alors, je crois bien que le pied que nous venons de prendre, nous le devons un peu à notre fils, tu ne crois pas???
Mais tu ne plaisantes pas alors?
Pas du tout! Je crois que si Thomas t’a exprimé ce désir, il n’y a pas lieu de ne pas le satisfaire! Je ne suis pas, et ne peut pas, être jaloux de mon fils! Que tu l’aides à mieux comprendre le mécanisme compliqué et parfois mystérieux du plaisir féminin ne peut que, lui rendre service. Et je ne te cache pas, au passage, que, loin d’en prendre ombrage, j’y trouverais même du plaisir!
Oui, mais la morale?…
Et alors, il est majeur, si tu es consentante où est le problème. Regarde, les pharaons, par exemple, ils ne s’empêtraient pas dans ces conceptions judéo-chrétiennes!
Bon, je vais réfléchir.
Séverine prépare le petit déjeuner de son fils et l’installe sur un plateau.
Je monte le petit déjeuner de Thomas puisqu’il n’est pas encore descendu, et après, je réveille Émilie pour lui donner à téter.
Thomas dort encore quand elle entre dans sa chambre. Elle pose le plateau sur la table de nuit et ouvre les volets.
Allez, mon garçon, il est l’heure! Le petit déjeuner de Monsieur et servi!
Bonjour Maman, répond Thomas en s’étirant.
Elle se penche vers son fils pour l’embrasser et Thomas ne peut s’empêcher de plonger son regard dans le décolleté de sa mère. Au moment où elle va poser ses lèvres sur la joue de son fils, il tourne la tête et les lèvres se posent sur les siennes. Elle tente bien de s’écarter mais la main de Thomas est posée sur sa nuque et l’en empêche. Néanmoins le baiser reste chaste, leurs lèvres restent serrées et seul le velours des lèvres de sa mère ravit de plaisir Thomas dont les yeux pétillent.
Et bien, mon grand, tu parais bien osé, ce matin! Ça te fait tant plaisir de me voir?
Tu ne peux pas savoir combien, Maman, après tout le plaisir que tu m’as donné hier soir! J’ai eu beaucoup de peine à m’endormir!
Et pourquoi donc, grand Dieu?
J’ai fantasmé sur tout ce que j’ai envie de faire avec toi!
Tais-toi, mon chéri, je ne suis pas sûre que ce que nous avons fait, hier soir, ne soit digne de ce qu’une mère donne à son fils!
Tu as raison, Maman, je suis persuadé que tu peux m’en offrir encore plus! Tiens, regarde comme j’ai envie de toi!
Il écarte les draps et dévoile son ventre nu duquel émerge une queue raide au gland légèrement décalotté.
Séverine est fascinée par ce qu’elle voit! Non pas seulement par la verge dure mais par le fait que, c’est elle qui provoque l’érection de son fils. Toujours debout le long du lit, elle sent la main de Thomas glisser sous son peignoir, frôlant les cuisses nues. Le regard toujours fixé sur le bas ventre de Thomas, elle ne bouge pas, ce que son fils reçoit comme un accord tacite. Elle ne réagit que quand elle sent la main se poser sur ses fesses nues.
Cesse, mon chéri, ton père peut rentrer d’un moment à l’autre.
Elle se garde bien de relater la conversation qu’elle a eue avec Hervé! Mais elle n’ôte pas la main pour autant.
Thomas, devant la passivité de sa mère, pousse son avantage et les doigts glissent à présent entre les cuisses de sa mère. Très vite, il constate que l’entrejambe maternel est trempé. Il prend cette humidité comme l’expression du désir de sa Maman, ne sachant pas qu’elle résulte d’un mélange de sperme paternel et de cyprine.
Tu vois, toi aussi tu mouilles pour moi, Maman!
Alors, sans vraiment se rendre compte de ce qu’elle fait, Séverine s’empare de la bouche de son fils sur laquelle elle applique ses lèvres que, cette fois-ci, elle ouvre pour glisser la langue dans la bouche de Thomas. Trop heureux, ce dernier reçoit, comme un présent, cette langue humide qui joue avec la sienne. Parallèlement, il sent une main enrober son membre et le flatter doucement. Son érection n’en devient que plus vigoureuse. De son côté, il a réussit à glisser deux doigts dans le vagin onctueux et glissant à merveille. La bouche de Séverine abandonne les lèvres de Thomas et, se penchant vers le ventre de son fils, elle embouche délicatement le sexe tendu. Thomas n’en croit pas ses yeux et ses sens! Sa mère le suce!
Une partie des fantasmes de la veille sont en train de devenir réalité! Doucement, comme si elle craignait de le blesser, Séverine commence par suçoter le gland écarlate, serrant bien les lèvres à l’ourlet du gland. Elle lisse du plat de la langue, la peau écarlate est tendue comme une peau de tambour, tant le gland est gonflé. Puis la langue s’effile pour venir titiller la petite bouche du méat. Elle poursuit en coulissant lentement ses lèvres vers le bas, absorbant, ainsi une grande partie de la verge. Puis, tout aussi doucement, elle remonte vers le gland. La bite est si raide qu’elle n’a même plus besoin de la tenir et, ses mains devenues inutiles, s’emparent des couilles gonflées qu’elle roule entre les doigts. La bouche continue à monter et descendre le long de la hampe que la salive rend luisante. A chaque va et vient, elle descend un peu plus bas. Thomas n’en peux plus. Il est tellement pris dans son désir de jouir qu’il a cessé de coulisser ses doigts dans la chatte maternelle pour venir poser sa main sur la nuque de Séverine. Au départ il accompagne seulement la montée et la descente mais, bien vite, la main se fait plus ferme, et appuie même, pour que la bouche l’absorbe encore plus! Séverine a un léger haut le cœur quand le gland bute au fond de son gosier mais, sentant le plaisir de son fils très proche, elle se garde de l’en empêcher. Les lèvres maternelles glissent, maintenant à une allure folle de haut en bas, jusqu’à buter sur le pubis de son fils. Alors que sa bouche remonte, elle perçoit le gonflement significatif du gland et, d’un seul coup, le sperme envahit sa bouche. Elle avale très vite, sachant que d’autres émissions ne tarderont pas à éclater. Le corps cassé en deux, Thomas jouit dans la bouche de sa mère qui le boit avec plaisir, déglutissant à chaque inondation de son palais.
Oh, Maman, c’est trop bon, gémit Thomas.
Séverine continue à boire son fils, dont l’épanchement commence à tarir.
Tu es merveilleuse, Maman, je t’aime pour tout ce que tu me donnes…
Déjeune, maintenant mon chéri, il faut que j’aille m’occuper de ta sœur!
 
3
Bonjour les enfants, vous avez fait bonne route?
Bonjour Papa, répond Séverine, oui très bonne; tu sais, maintenant ton petit-fils, Thomas, conduit avec la formule, conduite accompagnée.
Alors Hervé n’a pas pu venir? Interroge Margot, la mère de Séverine
Non, Maman, avec son boulot… …
Et toi, Thomas, comment vont tes études d’ingénieur?
Ça va, Mamie, mais je suis bien content d’être un peu en vacances!
Oui, tu profites ainsi de ta petite sœur que tu ne vois pas quand tu es en pension! poursuit Georges le grand-père.
Mon Dieu, quelle belle poupée vous avez là, dit Margot en sortant Émilie de son siège auto. Tu la nourris toujours?
Oui Maman, ça se voit, non, répond Séverine redressant sa poitrine généreuse!
Tu sais, moi je t’ai allaité jusqu’à 13 mois, à l’époque c’était courant!
Et tout notre petit monde se dirige vers le petit pavillon coquettement entretenu.
Comme Hervé l’avait prévu, Séverine son fils Thomas et Émilie sont hébergés dans la chambre de jeune fille de Séverine.
Vous allez être un peu serrés, précise Margot, lorsque tu étais seule, ma fille, la surface de cette chambre était suffisante mais maintenant, avec tes deux enfants… Et encore, ton mari n’est pas là! J’ai installé un lit pliant pour Thomas; il est trop grand pour dormir avec toi à présent! Au fait, mon grand, dit-elle en s’adressant à Thomas, son petit fils, toujours pas de copine?
Non Mamie répond-il en rougissant un peu, pour l’instant je me consacre plutôt à mes études!
Je mettrai Émilie dans son lit parapluie, vers l’armoire Maman, ne t’inquiète pas on va s’installer.
Comme prévu, Séverine téléphone à son mari, Hervé pour lui dire qu’ils sont bien arrivés. Après avoir demandé des nouvelles de sa fille, il poursuit ses recommandations au téléphone:
Surtout, faites attention Thomas et toi! Je doute que mon grand ne va pas se contenter de se faire dorloter par ses grands-parents! Où couche-t-il? Dans ta chambre de jeune fille, comme je me doutais, alors… prudence
Après avoir déjeuné à midi, Séverine s’installe dans le salon pour s’occuper de sa petite Émilie
Bien sûr, il y a là Margot, la mamie et Georges le grand-père. Quand Séverine ouvre son corsage pour allaiter le bébé, Georges, son père, n’en perd pas une miette! Il a les yeux rivés sur les gros seins gorgés de lait de sa fille.
Ben dis donc, tu en as une sacrée paire, dit-il en souriant! Elle ne doit pas être sevrée ta gamine! T’aurais pu avoir des jumelles qu’il y en aurait eu assez!
Ça c’est sûr, répond Séverine, il a même fallu que je loue un tire lait pour me soulager!
Tu veux que je te dise, intervient Margot, lorsque tu étais bébé, moi aussi je te donnais le sein, et c’était ton père qui finissait le lait que j’avais en trop! Et tu peux me croire, il aimait ça le coquin!
Séverine se mord la langue pour dire que, chez elle, il en est de même mais c’est son mari et son fils qui s’en occupent!
Le soir venu, toute ma petite famille s’égaye vers leur chambre respective. Déjà la petite avait été couchée, bien avant les aînés qui ont regardé un film à la télé.
Quel navet dit Thomas à sa mère, en parlant de ce qu’ils venaient de voir tous ensemble!
Il faut que tu sois plus tolérant, mon grand, vis-à-vis de tes grands-parents, ils sont d’une autre génération et ces vieux films leur rappellent leur jeunesse!
Oui mais nous, nous aurions pu venir nous coucher plus tôt!
Pourquoi, tu as sommeil? rétorque Séverine
Non, pas vraiment, mais je pense que nous avions quelque chose de mieux à faire, tu ne crois pas?
Et quoi donc, jeune homme, interroge-t-elle, un sourire canaille aux lèvres, tu ne crois pas que cette nuit va ressembler à la nuit passée?
Et pourquoi pas, dit Thomas?
Parce qu’ici, nous pouvons être surpris et tu sais les recommandations de ton père!
Tu penses, Papy et Mamie vont dormir comme des souches!
Il n’en est pas question, je veux bien, encore, te laisser me tirer un peu de lait, d’autant que je n’ai pas pris mon tire lait mais c’est tout!
Tu as vu comment Papy te regardait quand tu as donné le sein à ma sœur? On aurait dit qu’il avait les yeux qui allaient sortir de la tête!
Et toi, là, tu veux bien me dire ce que tu regardes pendant que je me déshabille, petit cochon?
Effectivement, tandis que Séverine se met en tenue de nuit, Thomas, son fils, assis sur le lit pliant, dressé à son attention, louche sur la poitrine nue de sa mère. Lui est déjà en pyjama mais le devant de la culotte est déjà déformé par une érection bien visible!
En tout cas, tu ne peux pas dire que toi, ça te laisse de marbre de voir mes seins dit Séverine.
Thomas s’agenouille devant sa mère, assise au bord de son lit de jeune fille et tamise la lampe de chevet en la recouvrant d’une serviette.
Juste une petite tétée murmure-t-elle à Thomas!
Le jeune homme, habitué maintenant à ce rite, pose délicatement ses lèvres sur l’embout gonflé et saillant. Ses mains enveloppent la masse chaude et souple pour en extraire le maximum en une très douce pression. Déjà le lait coule dans sa bouche et il le boit à toutes petites gorgées pour en profiter le plus longtemps possible. Séverine maintient la tête de son fils, collée à sa poitrine. Son geste est, encore maternel, pas encore sensuel mais son esprit apporte très vite, un élément qui embrase ses sens. Elle s’imagine être tétée par son père Georges! Déjà cet après-midi, lorsqu’il la regardait, elle ressentait une curieuse volupté l’envahir! Elle s’imaginait offrant le mamelon turgescent aux lèvres goulues paternelles et, cette simple évocation, l’a fait rougir. Pendant ce temps c’est Thomas qui en profite et ses lèvres aspirent avec plus de force le mamelon raide. Les dents viennent même racler l’embout tandis que les mains de son fils viennent de s’emparer de l’autre sein qu’elles malaxent.
Séverine ne peut ignorer la raide protubérance qui pointe sous le pyjama de son fils, à genoux entre ses jambes. Bien sûr, il y a, entre elle et son fils, l’épaisseur de deux pyjamas mais la situation l’échauffe et elle ne peut s’empêcher, contrairement à ses promesses, de glisser une main sous l’élastique de la culotte de pyjama de Thomas pour s’emparer de sa virilité.
Comme tu bandes, mon chéri, tu m’avais pourtant promis, juste téter!!!
Je ne t’ai rien promis du tout, Maman, c’est toi qui m’a dit ça!
Ben oui, mon chéri, je plaisante, d’abord je serais trop malheureuse de ne pas profiter de ce que j’ai dans la main! Mais surtout, faisons attention à ne pas faire de bruit!
Lentement, tout en parlant, Séverine fait coulisser sa main de haut en bas, de façon à entretenir la bandaison sans provoquer l’éjaculation. Son envie est tout autre! Elle se rappelle de la nuit passée, à l’hôtel. Thomas l’a fait jouir en la suçant et en lui caressant l’anus. Ce soir, elle a envie qu’il la sodomise! Malheureusement, il y a encore trop de réserve entre la mère et le fils et elle n’ose pas, encore exprimer clairement son désir à son fils!
Elle joue, du bout des doigts, sur le gland décalotté tandis que Thomas a, maintenant, glissé sa main lui aussi, à l’intérieur de la culotte de pyjama de Séverine. Il y trouve une chatte trempée d’excitation et déjà, bien ouverte. Ses doigts s’engluent le long de sa fente tandis qu’un miaulement sort, doucement, des lèvres de sa mère. Ils continuent de se caresser mutuellement et sont tellement occupés qu’ils ne s’aperçoivent pas de la présence du grand-père, Georges, dont la haute stature encadre la porte de la chambre.
Il reste, ainsi, un bon moment à observer les mains cachées sous les pyjamas mais qui ne laissent aucun doute sur l’utilisation qu’ils en font et la poitrine gorgée, exhibée entre les pans ouverts de la veste de pyjama de sa fille.
Je dois pouvoir, moi aussi, en profiter, vous ne croyez pas mes chéris, dit Georges.
D’un seul bond, la mère et le fils se dresse, le visage rouge de honte! Séverine ne prend même pas la peine de refermer la veste de son pyjama, exhibant ses gros nichons gonflés de lait mais aussi de désir à son père!
J’avais placé un babyphone dans la chambre, au cas où la petite viendrait à pleurer. J’ai tout entendu, et je dois reconnaître que ça m’a pas mal excité de vous voir, tous les deux! La mère et le fils, mais, je vous en prie, continuez, je ne voudrais pas vous empêcher de prendre votre plaisir, la seule chose que je revendique, ma grande, c’est d’y participer! Déjà cet après-midi tu m’as excité à mort quand tu as allaité la petite! J’ai eu brutalement envie d’être à la place de ma petite-fille!
Ça, je l’ai bien vu, réplique Séverine, tu avais les yeux qui sortaient de la tête!
Et bien, qu’en dirais-tu si je prenais, à l’instant, la place de mon petit fils?
J’aimerai beaucoup prendre, entre mes lèvres ce gros téton là.
Et, ce disant, il s’empare d’un mamelon bien gonflé, qu’il roule entre ses doigts sous le regard apeuré de Thomas.
Mais ne crains rien, mon grand, je ne veux pas t’empêcher de continuer ce que tu faisais, au contraire! J’ai juste envie d’y participer!
Tout en parlant il malaxe le téton de sa fille et, perfidement celui-ci répond à la caresse paternelle! Il bande de plus belle et Séverine ne dit rien quand son père se penche vers sa poitrine pour sucer le mamelon que ses doigts ont érigé.
Papa… semble se plaindre Séverine le ton contrarié!
Néanmoins elle n’empêche pas son père de prendre la place de Thomas, la bouche tout aussi gourmande que celle de son fils.
Le goût n’est pas terrible, avoue Georges mais bon sang, que c’est bandant de sucer tes gros tétons! Déjà, quand tu n’étais qu’un bout de chou, ta mère m’avait proposé de boire son lait; j’avoue que ce fût l’occasion d’une sacrée partie…
Arrête, Papa, gémit Séverine, pas devant ton petit-fils! Hum… doucement… s’il te plait…
Parce que tu faisais quoi, avec ton fils, avant que j’arrive, répond Georges, et toi mon grand, reste pas planté là, à nous regarder, continue ce que tu faisais si bien, en tétant chacun de notre côté nous soulagerons plus vite ta pauvre mère!
Et, derechef, il embouche le téton, sous l’œil ébahi de Thomas. Séverine ferme les yeux, comme pour se soustraire de ce que sa conscience juge comme une infamie (!..), mais après tout, se dit-elle, que faisais-je de plus, avec mon fils?
Elle prend le parti de se laisser faire!
Et si Mamie entend, murmure Thomas d’une petite voix, conscient qu’il adhère à la proposition de son grand père, en posant cette question.
Tu sais, avec le somnifère que prend ta grand-mère pour dormir, on ne risque rien!
Séverine commence à soupirer, titillée par la bouche rude et moins raffinée que celle de Thomas, tout à l’heure. Sans vraiment se rendre compte de ce qu’elle fait, elle pose la main sur la tête de Thomas et l’incite à prendre possession de l’autre sein, comme son grand-père lui avait proposé.
Elle est, maintenant, sucée simultanément des deux mamelles et elle parait savourer. D’un côté la rigueur de dents racleuses et, de l’autre, la succion douce d’une bouche qui aspire son embout. Elle a, chacune de ses mains, posées sur le crâne de ses lécheurs. Peu enclin à boire le lait aspiré, Georges le laisse couler le long de son menton tandis que Thomas, lui, n’en perd pas une goutte, avalant au fur et à mesure, le nectar de sa mère.
Alors que Thomas, pétrit des deux mains, le nichon maternel, n’osant sans doute pas plonger sa main sous la culotte de pyjama de Séverine, comme il a été surpris, tout à l’heure, Georges a une main qui soutien le dessous du sein de sa fille alors que, son autre main, caresse pour l’instant, le ventre de Séverine sans, pour autant, passer sous la soie du vêtement.
Thomas observe son grand-père et constate, avec surprise, que son Papy ne porte, pour tout vêtement, qu’un peignoir. Pour preuve, entre les plis de celui-ci émerge un énorme membre rouge et tendu. Thomas n’a jamais vu une bite aussi développée que celle-ci! Même pas celle de son père qu’il connaît bien, maintenant! Curieusement, la vue du sexe l’excite et, alors qu’il avait débandé dès l’intrusion de son grand-père, il a, de nouveau, une érection.
La douce mélopée qui coule de la bouche entrouverte de Séverine, précise aux protagonistes, le plaisir qu’elle ressent.
Cette information permet à son père de prendre l’initiative de faire glisser la culotte de pyjama de Séverine jusqu’ à ses pieds. Consentante, elle se soulève pour faciliter la tâche. Elle est à présent toujours assise au bord du lit, ses deux hommes à ses genoux. Une main ferme, celle de Georges, lui ouvre les jambes découvrant son coquillage glabre, déjà tout humide.
Hum, tu es épilée ma douce, ta mère n’a jamais accédé à mon souhait!
Et, sans attendre une quelconque réponse il se baisse pour lécher la chatte écartée.
Le bruit des chairs mouillées excite de plus en plus Thomas qui se sent frustré de ne pas être à la place de son grand-père. Sans doute Séverine le devine car, bien vite, elle coulisse sa main sous le pyjama et s’empare de la verge tendue qu’elle y trouve.
Les pans du peignoir de Georges sont maintenant suffisamment écartés pour que le chibre noueux soit visible et Séverine pose son autre main dessus. Elle aussi parait surprise par la grosseur de celui-ci.
Doucement elle manœuvre un va-et-vient sur les sexes tendus. Pour mieux sucer sa fille, Georges place les cuisses de celle-ci sur ses épaules et, ce faisant, son peignoir choit sur le sol, découvrant son corps nu, malgré l’âge encore très bien proportionné. Sa bouche vorace grignote les grandes lèvres, aspire le clitoris tendu ou bien de sa langue enroulée pistonne le vagin ouvert. Séverine est à la fête et elle ne se cache pas de le faire savoir:
Oh, Papa, qu’est-ce que tu me fais là… Hum, c’est bon, tu sens comme je coule… vas-y, continue encore… j’aime…
Encouragé, Georges broute de plus belle la chatte baveuse de sa fille. Dans le même temps, Séverine tire la bite de son fils vers ses lèvres pour lui faire comprendre qu’elle a envie de le sucer. Thomas se positionne alors debout devant sa mère, avec entre ses jambes son grand-père toujours agenouillé entre les cuisses écartées de sa fille. Aussitôt Séverine embouche le membre raide de Thomas et le fait aller et venir dans sa bouche. Soudain, une langue se rajoute à la bouche suceuse maternelle, c’est le grand-père qui gratifie de quelques coups de langue les couilles pendantes au dessus de lui. L’esprit des trois protagonistes s’échauffe de plus en plus. La plus excitée des trois décide alors de prendre l’initiative et ce, pour ne frustrer personne.
Papa, j’ai envie que tu me prennes avec cette grosse queue…
Quand tu veux, ma chérie, moi aussi j’ai envie de me glisser dans ta petite chatte toute lisse.
Alors, viens t’asseoir à ma place sur le lit…
Georges s’exécute, Séverine enjambe son père et s’assoit face à lui en ayant soin de placer le gros chibre paternel face à sa fente écartée, et, doucement elle s’empale elle-même. Une fois bien installée, elle ouvre largement ses fesses à l’aide de ses mains, invitant ainsi Thomas à prendre place. Bien vite Thomas à compris l’invite muette de sa mère, il s’agenouille déjà vers l’orifice offert, et, de la langue, vient lubrifier l’endroit. L’affaire étant entendue, Séverine peut à présent lâcher ses fesses maintenues écartées par les mains de Thomas pour prendre appui sur les épaules de son père et entamer le va-et-vient souhaité.
Thomas graisse le conduit qu’il ambitionne d’occuper et, de temps à autre sa langue dé**** vers les couilles velues et immenses, de son grand-père. Petit à petit, l’orifice sollicité, par la position écartée de sa mère, et aussi grâce à l’excitation et la lubrification de son fils, s’ouvre doucement. Thomas se redresse et, après avoir positionné son gland face à l’anus dilaté, il avance le bassin, enculant ainsi fort délicatement Séverine. Celle-ci, pour aider à la pénétration, s’est davantage couchée sur le torse paternel.
Oh oui, c’est bon mon chéri, doucement c’est encore meilleur, Oh mes cochons, comme vous me remplissez! Comme j’aime ça… N’allez pas trop vite…
Je n’aurais jamais pensé que mon vieux fantasme se réaliserait un jour, poursuit Georges, baiser une femme à deux! Ce n’est pourtant pas faute de l’avoir proposé à ta mère qui n’a jamais voulu! On voit bien que tu es de ma chair, toi, ma chérie.
Lentement, et grâce à Séverine qui parvient à coordonner les mouvements du fils et du grand-père, tous les trois s’envolent vers une prochaine jouissance!
Les gémissements des uns se mêlent aux ahanements des autres, auquel se joint le bruit des chairs mouillées.
De temps en temps l’un ou l’autre intervient par rapport à son propre ressenti.
Oh oui, encule-moi bien mon chéri, va au fond de moi! J’aime te sentir si loin…
Que ta chatte est serrée ma puce, il est vrai que je nage un peu dans celle de ta mère!
Maman, comme tu es serrée… jamais j’ai eu un tel plaisir!
C’est sans doute Séverine qui a donné le signal de l’apothéose! Elle s’est soudain tendue, son corps pris de grands frémissements, ses gémissements plus énergiques, ses yeux à demi révulsés
Ah, je jouis… allez-y… allez-y, jutez mes chéris… je vous aime tous les deux, coulez dans moi… inondez-moi de votre sperme…ah
En effet, presque à l’unisson, Séverine a ressenti un chaud jaillissement dans son fondement alors que Thomas s’effondre à moitié sur son dos et sa chatte dégorge du trop plein que le chibre géant qui l’occupe déverse en elle.
Prostrés, les trois protagonistes ont mis un moment avant de reprendre leur esprit. Bien sûr, en se soulevant du pivot qui la maintenait à cheval sur son père, Séverine laisse couler un paquet de sperme sur les couilles paternelles, ce qui les fait rire tous les trois, masquant ainsi la gêne réciproque de ce qui vient de se passer entre eux!
Allez, au lit recommande le doyen, à demain les enfants!

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