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Partie 3: Julie la CPE aime la grosse bite de son

Partie 3: Julie la CPE aime la grosse bite de son



Partie 3:

Point de vue de Julie:

Rappel de l’episôde precedent:
Julie la CPE invita de force Antoine à venir chez elle après les cours, pour un « after » un peu particulier. Après lui avoir dévoré la bite en voiture, il ne put résister à l’envie de la défoncer dans l’ascenseur jusqu’à chez elle, et de l’enculer comme elle le méritais, avant de vider toute sa semence en elle. Ils s’endorment ensuite ensembles, épuisés.

Partie 3: Julie, au lit, dans les bras d’Antoine, son élève, qui dort, épuisé après la soiree qu’il a passé.
Julie, elle, ayant un peu trop mal pour s’endormir si vite, se perd dans ses pensées.

« Ça y est, il m’as enculée. C’était encore mieux que ce que j’imaginais.Ca y est, j’ai fait ma première sodomie. Et quelle sodomie…

Ce gosse est incroyable… quand je pense qu’il y a encore une semaine ce n’était pour moi qu’un élève comme les autres, avant que par hasard , j’aperçoive son sexe… couvert de vase mais enorme, et magnifique. Bien plus beau, vigoureux, et gros que tout ce que j’ai connus jusqu’à aujourd’hui…
Ça me désole de le penser, mais Rien a voir Avec boubakar, mon compagnon. Il a peut être 18 centimetres, mais avec Lui le sexe est froid et terne. On ne fait l’amour qu’une fois toute les deux à 3 semaines et c’est bien assez. C’est un garçon stable et équilibré, mais quel ennui en comparaison… et quel pot de colle…
Ce jeune mâle, en revanche… Quel potentiel énorme… une chance d’être tombée dessus si tôt. Je ne veux pas le perdre. Il dois être à moi. Rien que pour moi. Comment faire?
Et boubakar, que dois-je faire de lui…
Je suis perdue. Je n’ai plus aucune envie de le voir. Ce gosse le surclasse en tout et je culpabilise de penser ça de lui… on a quand même vécu un an « ensembles »

Bref… Ces ejaculation… cette bite, cette manière de baiser, de me traiter, le fait qu’il soit beaucoup plus jeune que moi… et qu’il me défonce comme si j’etait sa petite amie et sa pute à la fois…
Je ne sens plus mes fesses, et je sens encore son sperme chaud plein ma chatte… j’ai les fesses rouges, la gorge irritée, la chatte en miettes, et le cul béant… il m’as défoncee les seins, gifflee, étranglée, et remplie de sa semence…

J’adore!!!!!!!
Il est parfait…. exactement le genre de petit poney que je dois prendre sous mon aile et garder… je veux en faire mon étalon de demain, je veux en faire mon mâle,mon maitre, mon putain de dieu.
Grrrr…. je dois tout lui apprendre… tout ce qu’il ne sais pas deja. Je dois en faire mon mâle reproducteur sur meusure. Je ferait tout pour lui. Je veux être sa chienne, sa pute, son vulgaire sac à foutre… »
Elle se retourna pour faire face à antoine, endormi. Elle lui palpa le sexe, au repos, avec envie…
antoine souris.
« J’en connais un qui dois faire de beaux rêves sans se poser de questions, lui, au moin. Pas vrai mon petit poney?» pensa elle Affectueusement.
Elle passa dans son dos, plaquât ses seins contre son dos, l’attrapat d’une par le torse, en position « calins » et de l’autre par le sexe, pour lui faire des papouilles, puis elle s’endormie à son tour, blottie contre son élève.

Retour a mon point de vue:

Le lendemain, je me réveillat vers 6 heures, épuisé. A mon réveil, je ne compris pas ou j’etait. Qu’avait-je faite la veille?

En regardant autour de moi, je vis que j’etait nu . Une sensation très agréable de chaleur moelleuse contre mon dos, un bras qui m’ enlassait le torse, et une petite main vers mes testicules.

Un léger ronflement féminin derrière moi.
Je compris la situation aussitôt. J’avais baise avec ma CPE et je me retrouvais chez elle..: je trouvais ça terriblement excitant. Par chance, je commençait seulement à 14heures, et elle n’avait pas cours.
Heureusement que j’avais dit à mes parents que je dormirais chez un ami…

Je me retournât, et me blotti contre elle en lui attrapant les fesses. Ses seins contre mon torse.
J’étais bien. Je décidât de prendre quelques photos de notre baise « pour le souvenir « , discretement avec mon téléphone. Elle entendit le petit « clic », souria, et murmura « hmmmmm, interdiction de montrer ça aux copains…. » tout en tendant inconsciemment les bras dans mà direction pour me resserrer contre elle et ses gros seins. Je la trouvait mignonne.
Mais également extrêmement bonne. Une combinaison étrange, mais particulièrement efficace,car quelques secondes plus tard, mon gland se redressa et vint racler contre sa peau… elle souris, et plaisanta: « ooooouuuhhh… Déjà lèves, vous deux? »
Elle ouvris les yeux, attrapa mon sexe à deux mains, mis son visage à hauteur du mien, et dit en souriant : « coucou, mon poney… » et m’embrassa de ses lèvres charnues, Tout en caressant mon sexe, Qu’elle ne pouvais décidément pas s’empêcher de palper. Curieusement,j’appréciât beaucoup ce baiser.

Elle se mit face à moi, et glissa lentement mon sexe au repos dans sa chatte, instinctivement je donnait automatiquement de petits coups de bassin. Elle poussa de petits gémissement. Je sentais Sa chatte encore éprouvé par mon passage la veille.
Pendant ce temps je lui attrapat ses seins fascinants, que je léchait, pinçait, mordais, suçais suconnais, caressait, etc. Je bandais comme un diable, je voulais lui faire du vice.
Elle couina quand elle sentit ma queue de l’intérieur, prendre énormément en volume en peu de temps, lui écartant les chairs au maximum au passage.
Elle commençât a donner des coups de bassins sur mon sexe pour m’exciter encore, tout en écrasant ses seins sur mon visage.

Nous étions presque partis dans une petite baise matinale, quand au bout d’un peu plus de 5 minutes,Soudain, on entendit « toc toc toc… »
Boubakar, le « copain » de Julie, était à la porte. « Oh putain pas lui… » me dit elle…
« Julie, tu est la? Ça fait presque deux semaines que je n’ai pas eu de tes nouvelles… tout se passe bien?
Surpris, je ne dit mot. Toujours la queue bien enfoncee dans la bonne petite chatte de Julie. A la fois surprise et Agacée, elle essaya d’avoir l’air naturelle et dit: « je vais bien mon chéri, seulement un peu malade… je suis désolée j’ai besoin d’être seule et me reposer ces temps ci. »
Il repondit: « tu te fiches de moi? Ça fait une semaine que tu te repose… j’ai l’impression de compter pour du beurre! »

Visiblement Agacée par ces mots, et sentant mes petits coups de bassins impatients, Julie fronçât les sourcils et me fit un sourire complice. Elle me mis sur le dos sur le bord de son lit, sexe bien en l’air, puis vint à genoux devant moi, au bord de Son lit, pour me faire une superbe branlette espagnole avec ses énormes seins…. elle crachait sur ma queue pour lubrifier. hmmmmm… j’eu du mal à retenir mes gémissements, mais elle me fit un clin d’œil et signe de me taire.
Elle repondit « mais non cheri. J’ai simplement besoin de prendre un peu de temps avec moi même ces temps ci… *slurp* je suis tres fatiguée, *slurp* j’ai dû att****r une mauvaise*slurp* «grippe. Repasse plutôt cet après midi, *sluuuurp* je serais plus en forme. »
Lui dit elle tout en me suçant le gland à grands coups de langue tout en me branlant abondamment entre ses gros seins.
Surpris, je pensât « mais quelle énorme salope…. j’adore. »
Le fond musical du réveil devait probablement couvrir les bruits de ses seins qui claquent contre mes cuisses et masquer ses bruits de suscion. Elle me branlait sans aucun complexe. Très excité je dois l’admettre, par la situation, je bandait d’une érection extrêmement puissante, toutes veines dehors.

il repondit, «  bien tu est sure? Si Je peux faire quoi que ce soit pour t’aider… »
elle me fit signe de m’allonger au fond du lit, le sexe extrêmement tendu, puis elle vient au dessus de moi. Elle lui repondit « merci mon chéri, c’est si gentil… tu pourrais peut être me faire quelques courses? » Je l’attrapât par les fesses, et l’asseyat au dessus de mon sexe. Je voulais l’enculer. Elle chuchotât en riant « antoine, tu exagere… » mais son sourire disait le contraire. Elle se mis en position sur mon sexe avec un sourire coquin, et monta légèrement le volume de la musique. Il répondit, « bien sur Julie, qu’est-ce qui te ferait plaisir? »
Elle poussa sa chatte sur mon sexe,en fermant les yeux et chuchotât « que tu ferme ta gueule, et que tu me laisse me faire engrosser… » mon gland forçat l’entrée de son anus. Elle poussa un petit cri de douleur.
Il l’entendit et dit:
«  tu vas bien cherie? On dirais que tu viens de te faire mal.. »
Elle improvisa tant bien que mal: « c’est mes jambes, depuis quelques jours j’ai des (outchhhh…) douleurs articulaires… je marche trop en ce moment. tu pourrais me rapporter de la crème hydratante, (ourrrghhh…) et… Lubrifiante! pour soulager ma douleur la (ouh…) prochaine fois? Et… (elle me demanda si je voulais quelque chose, je reondit sans réfléchir des croissants) des croissants! Tu serais si mignon. (Ouille) »

Lui dit elle tout en enfonçant petit à petit toute la longueur de mon sexe sans son anus. Elle se mis ensuite à twerker douloureusement sur mon sexe en totale érection. Je bandait a mort.
Beaucoup trop excitée et excité par la situation, je lui attrapis ses longues mèches de cheveux à pleine mains, et je donnât de grands coups de bassins pour lui défoncer le fion. Elle twerkait en même temps. C’était si bon… ma queue claquait contre son cul. Je l’enculais a mort. Elle eu un puissant orgasme. Elle dû att****r un coussin pour atenuer ses gémissements de plaisir et de douleur.

Il lui repondit « entendu Julie. Mais Tu ne peux même pas sortir me dire bonjours? »

Je sortit de son cul, et lui defoncait la chatte a une vitesse folle. Jnetait a deux doigts de jouir. Ce à quoi elle reponda avec une voix qui peinait à camoufler le plaisir qu’elle ressentait, « désolée mais ce matin je ne suis vraiment paaah presentaaaaaaahhhhhble » nous étions sur le point de jouir. D’un coup j’explose. Je lui inonde une nouvelle fois la chatte de mon sperme. Dans un long rale à peine discret… Comme à notre habitude, mes spasmes et la sensation de mon sperme chaud en elle, lui procure un orgasmes particulièrement violent.

Tout en achevant de lui ravager la chatte à grands coups de reins, Je lui enfonçât la tête dans l’oreiller pour qu’elle baisse un minimum le volume.

N’entendant probablement rien d’autre que quelques gémissements, il dit, ne comprenant surement rien à la situation, et un peu perdu,  « bon, j’y vais. A tout à l’heure, ou à demain, Julie et soigne toi bien. Tu a l’air de souffrir le martyre. »

Nous ne répondions même plus, assommés par l’orgasme.
Une fois de plus je lui avais littéralement injectée une enorme quantité de sperme bien au fond de la chatte. Et ça aux oreilles de son compagnon, qui accessoirement était aussi mon prof d’eps, avec qui je m’entendais si bien. J’aurais presque culpabilisé si elle n’était pas si bonne, que je m’en soit totalement battu les couilles.

Elle gémissait de plaisir tout en léchant le sperme qui coulait abondamment sur ses jambes .
Quelle grosse chienne. Je lui fit nettoyer ma bite.

Finalement, elle se bloti de nouveau contre moi, et je me rendormis de nouveau, avec elle, toujour une main sur mon sexe ou les fesses, jusqu’à midi. Je riais intérieurement bien qu’ayant un peu honte, de me faire livrer du lubrifiant et des croissants par mon prof d’EPS, pour que je puisse mieux baiser ma chienne, qui s avérait aussi être « sa copine ».
——

Un peu avant midi, je me réveilla et vit Julie toute propre et toute lavée, dzns une superbe tenue blanche très classe et très sexy, avec un superbe haut dont je n’avais qu’une envie, faire sauter les boutons pour libérer son énorme décolleté,
Et une petite jupe mi courte, très classe, et qui semblait ne pas avoir de culotte… intéressant.

Elle me réveilla avec un superbe plat de pâtes à la viande faite maison dans les mains.
« Coucou mon poney! Bien dormi? J’ai fait à manger pour ce midi et pour ce soir! Me dit elle avec un grand sourire en apportant un énorme plat de pâtes avec énormément de viande dedans. J’adore!

Ça tombe bien, jetait affamé!
Elle pris deux plateaux et me rejoignat au lit, et s’installât à côté de moi, pour manger.
Je dévore literralement 3 assiettes de pâtes. (J’ai un très gros appétit, et je suis ce genre de mec qui mange tout ce qu’il veux sans jamais prendre un gramme de gras.) sous le regard choqué de Julie.
C’était délicieux!!! Repu et le ventre bien rond et bien plein, je la remerciait pour le bon repas et la félicitât de ses talents de cuisinière.
Ce à quoi elle repondit un peu genee, « merci antoine, mais tu a dévoré notre repas du midi ET mes repas de demain! soir…!! C’était sensé être pour 5 assiettées Espèce de morfale…» s’agaçat elle…

oups…

« Mais tu a gros appetit. C’est normal, pour ton âge, après tout. Enfin à ce point… mais Je suis flattée! J’espère que tu aura récupéré des forces grâce à moi mon poulain… » dit elle en riant, et en tapotant avec amusement la peau tendue de mon ventre gonflé son repas.

J’étais Repu.

Elle semblait très flattée de me voir faire honneur à sa cuisine de la sorte.

A la voir dans sa petite tenue blanche, cette fois le décolleté bien ouvert, (quand l’avais elle ouvert? Je ne le saurais jamais.)
allongée devant moi, à me tapoter le ventre avec amusement, en ayant une vue plongeante sur ses énormes seins, je fit pris d’une nouvelle pulsion… je ressentit un nouveau shot de testostérone, et me mis à bander violemment.

Elle vit avec étonnement mon sexe se redresser devant ses yeux, et passer du repos a une solide érection veineuse en quelques instants… elle le fixa du regard, et souria d’un air perverse, et remis la musique…
« oh, putain antoine… tu sais que je ne pourrais plus te laisser repartir si facilement après avoir vu ça… aucune chance. » dit elle d’une voix rauque, en saisissant mon sexe de sa main droite.
Elle me mis un long coup de langue sous le gland. Hmmmmm…
Elle commença à me sucer en me fixant avec son sourire d’affamée, pendant que je matais ses seins en arrière plan de ma bite, dégoulinant de sa salive.
Grosse chienne. Elle adorais ça. Je la mis sur le dos, et lui enfonçât la tête sur ma queue. Elle fit de son mieux pour me sucer profondément, sans succès malheureusement, mais pas sans plaisir. Je sentait mon gland buter contre le fond de sa gorge.
Elle Mouillais a mort dans sa petite jupe serrée. Je la doigtait sans retenue et lui titillais le clito pour la motiver et la féliciter de ses progres.
Elle couinais sur ma bite, qui l’empêchais de dire des choses audibles. Je devinais quelques obscénités à demi étouffées.

Soudain, je lui attrapât les seins, et sortit de sa bouche. Je mis la tête entre deux et commença à lui bouffer et lui mordiller.
Elle poussa un soupir de plaisir,
Elle attrapa mon sexe et le pointa en direction de son vagin comme pour me suggérer la marche à suivre, et me chuchota à l’oreille:
« putain Enfonce là moi antoine. Vas y baise moi defonce moi detruit moi… détruis ta CPE antoine. S’il te plaiiiiis Mon poney…. vite on a plus beaucoup de temps… »
A ses mots, je ne me fit pas prier. Je la laissa guider mon sexe sous sa jupe jusqu’à l’entrée de son vagin, et je la pénétra, d’un long mouvement de bassin, centimètre par centimètre, pour qu’elle profite de la sensation.
Elle poussa un long couinement quand je lui enfonçât mon sexe.
« hm…hmmmmmmmm!! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii….aaaaaaaaaaahhhhhhhAAAAAAAAH PUTAIN! MON PONEY!!! VAS Y! MET MOI TOOOUUUUT! Ouuuuuuuuuhhhhhhh…. Ahhhhhhh!!! Putain putain, PUTAIN! »

Je pris un malin plaisir à l’empalée sur mon sexe. Je voulais la baiser comme jamais.
Je lui mît quelques coups de reins pour la réhabituer, puis je la retournât a 4 pattes pour la prendre en levrette.
Je lui saisis un bras dans le dos, et la tira vers moi pour bien l’enfoncer sur ma queue, et je commençât à la pillonner.
Son gros cul bien ferme ne demandait qu’à recevoir mes fessées. Je me fit pas prier.
Elle hurla. Elle enfonçât sa tête dans une pile de coussins pour ne pas faire de bruit.

Mes couilles claquaient violemment et bruyamment contre ses fesses, à chaque vas et viens. C’était jouissif.

Elle eue un orgasme rapidement, puis un deuxième quelques minutes plus tard.

Soudain, elle se retourna, me lécha la queue pour la nettoyer, m’installa sur le dos, et sortit ses seins par son col, et me fit une branlette espagnole exceptionnelle.
Hummm… la salope.

Soudain, bruits de pas dans le couloir. TocTocToc:
« oh non!!!! pas Déjà? » dit elle frustrée…
«c’est boubakar… il viens souvent regarder le match chez moi les premiers du mois… » dit elle en me palpant la bite avec frustration…

« Il vas falloir que tu te cache.. mais n’espère pas t’en tirer comme ça, tu en a pas encore fini avec moi… » me dit elle frustrée, en mettant un dernier coup de langue sur ma queue.

Egalement Frustré, je n’en avais aucune envie, mais je fit ce qu’elle dit et me cachât sous la nappe de la table du salon…
Une longue et grande table, sous laquelle se trouvait deux bancs et quelques tabourets.
En m’allongeant sur un des bancs sous la table, il y avais la place de confortablement se cacher quelques minutes. Je m’allongeat donc confortablement sur un des bancs sous la table, complètement invisible.

La nappe pendait bien, on ne voyais que les pieds du banc, et je pouvais voir par semi transparence de la nappe, sans être vu.

Elle m’aide a me cacher, me fit un baiser sur le sexe en s’excusant, se rajustât, mis un vieux pull, et mît un petit coup de déodorant dans la pièce et allât ouvrir en essayant d’avoir l’air naturelle.

« Coucou julie , dit il. Ça s’arrange ? »
-Salut, dit elle mal à l’aise… un peu, mais je me sens encore fatiguée… j’ai besoin de calme et de silence… tu viens regarder ton match de foot?
-Allez julie, je capte pas cette chaîne chez moi. Je mettrais pas trop fort, promis!
– elle semblait embarrassée. « C’est que… j’ai vraiment besoin de calme… je crois que j’ai besoin d’une bonne sieste cet après midi… tu ne préfère pas aller le voir au bar du coin? » dit elle.
– Il insista: Je mettrais des écouteurs! Tu n’entendra presque rien! Tu pourra même laisser ta musique.
– Ils échangèrent un peu, puis Filament, elle lui répondît agacée,: « bon, d’accord… si tu met des écouteurs… mais attention, ne t’avise pas de les retirer! »Le menaçât elle.
– Promis. Ah oui, j’ai fait quelques courses pour toi… dit il.
– Ah! Très bien!
– Lubrifiant et croissants frais de la boulangerie, dit il.
– Merci, dit elle.
– J’en prendrais bien un avant le match, dit il, se dirigeant vers la table à manger sous laquelle j’étais caché, nu.
– Non! Heu… je veux dire, pourquoi pas, moi aussi, dit elle gênée, se précipitant pour s’assoir du côté de la table ou j’étais, pour le faire s’assoir de l’autre.
En se dirigeant vers moi, je la vis par semi transparence, faire un regard dans la direction et me faire un clin d’œil avec son sourire pervers que je connaissais si bien…
Je souris.
Ils s’installèrent. Julie se plaçât sur un dès tabourets juste en face de moi, jambes écartées, les genous quasiment contre mon banc, sa jupe sans culotte juste à portée de ma vue… la situation était très excitante.
Boubakar s’installa en face, caché derrière la plaque du centre de la table, aucune chance qu’il me touche ou me voie sous la table.

Julie me caressa la cuisse sous la table, tout en mangeant un croissant de l’autre main.

Boubakar alluma la télé, tout en mangeant son croissant, et regarda de loin le début du match tout en buvant un petit café.

Julie me tendit discrètement un croissant sous la table. Je l’engloutis avec plaisir.
Impatient,Je tendis un bras pour lui mettre la main au cul, et lui palper. Elle sursauta, puis laissa s’échapper un petit gémissement d’excitation..

Tout en maintenant une discussion de courtoisie sans intérêt avec boubakar, sa main continua de glisser le long de ma cuisse et vint au niveau de mes testicules, pleines à craquer, qu’elle palpa avec envie…
Elle remonta ensuite le long de mon sexe tout en parlant de la météo, me le saisis, et commençât a me masturber. Je voyais sa chatte commencer à mouiller abondamment. Ça l’excitait a mort.
La salope…
j’étais au moins autant excité qu’elle.
Je voulais la baiser.
Je lui rentra un doigt dans l’anus… le majeur. elle laissa s’échapper un « petit salaud… »qu’elle tentât d’étouffer, tout en s’agrippant à ma bite et en me branlant de plus belle.

Je voyais Sa mouille couler à flot.

J’entendais le match de foot commencer en même temps. J’avais ma petite idée derrière la tête…

Je dirigeât ma main vers son entre cuisse… le la sentis se crisper… je m’ amusais à passer ma main entre ses cuisses tout autour de sa chatte, sans jamais y aller… faire semblant d’y aller mais en fait non… l’effleurer une seconde, puis repartir… la pauvre, comme je devais la frustrer!
Elle tremblait de tout son corp… ses jambes, sa main sur mon sexe… sa chatte coulait à flots.
Elle fis mine de faire tomber sa petite cuillère, et descendit sous la table, me lançat un regard noir, me chuchotât, frustrée, « sale petit enfoiré! » et elle mis un énorme coup de langue sur mon sexe comme une affamée totale, et à contre cœur remontât pour faire comme si de rien était.
Hummm… brave chienne.

Elle parlât ensuite du produit lubrifiant avec boubakar: sa voix tremblait, ce qu’elle mis sur le compte de sa « maladie » imaginaire.
-c’est gentil de m’avoir apportée ça… ça me fera le plus grand bien, sache le…
-avec plaisir ma chérie! Dit il. (Je culpabiliserais presque…)
-je vais la tester dès maintenant pour voir si elle soulage… dit elle, en é prenant un peu sur ses mains et en faisant mine de s’en mettre autour des genoux:.. ce qu’elle fit de la main gauche, en prenant bien soin de me lubrifier abondamment le penis de la main droite, et de bien étaler en me branlant….. en s’attardant particulièrement sur mon frein, pour me frustrer à mon tour.
« Mais quelle chienne…. je vais lui trouer le cul… pensais je. »

A ce moment là, je commençât a cesser de tourner au tout du pot, et à lui titiller le clitoris. Elle en trembla de plus belle… elle mis sa tête dans la pile de linge propre sur la table pour étouffer ses gémissements, prétextant une fatigue.

Son mari, les yeux rivés sur le match, y faisais guère attention.
En entendant le penalty arriver, sur que les yeux du mari était sur la télévision, je me mis à doigter sans retenue Julie pour la faire craquer. Elle poussa un petit gémissement qu’elle étouffa du mieux possible et se mis à trembler enormement. Elle mouilla à fond. Elle eu un orgasme clitoridien violent, tout en me branlant a fond de sa main, au moment exact ou en entendit BUUUUUUTTTT!!!!!!!

Ne tenant plus; elle repris ses esprits, me fit signe de me tenir prêt, donna un casque à boubakar, avec le soin de prendre un casque qui coupe extrêmement bien le bruit ambiant, et de régler le son fortement, elle coupa son de la télé, pour qu’on réentende sa musique, et le fit s’installer sur le canapé.

Elle pris le lubrifiant dans sa poche.

Je me plaçât position « en depart de sprint » sous la table, et Elle m’attrapa par la main pour me tirer, toujours nu, hors de sous la table.
Je me levât a poil, et la queue tendue et parcourue de puissantes veines, et vu boubakar de dos, assis dans le canapé avec le casque.

Elle me dit avec sous sourire coquin « oh putain toi…. mon poney…. suis moi. »
Elle me pris par la bite et m’emmena dans la chambre à l’étage, puis cria à boubakar « je vais me coucher cheri, j’ai besoin de repos »
Il n’entendit rien.
Elle alla donc le voir pour le prévenir, et lui dit de ne pas la déranger.
Elle me rejoint.
Je pensais la défoncer dans sa chambre, quand soudain elle semblait avoir l’idée de sa vie…

Elle me fit redescendre l’escalier, et se mis derrière le canapé ou boubakar regardais son match, à 3 ou 4 mètres de lui.
Elle dit avec son sourrire de salope, et un soupçon de pitié: « eho, mon boubakar, tu m’entend mon cocu? Je suis désolée mon cocu. Mais on est plus compatibles.»elle le répéta 2 ou 3 fois de plus en plus fort,
Il n’entendis rien.
Parfait.
« J’arrive pas à croire de ce que je suis en train de faire… » me dit elle.
Elle s’agenouilla devant moi, et se jeta sur ma bite pour la dévorer. Grosse chienne…

Je lui malaxait les seins à pleine poigne et lui pelottais le cul comme si j’en avais pas vus depuis 3 ans. Je bandais a mort.
A chaque moment le risque de se faire griller rendait la situation encore plus excitante.
Je saisis le col décolleté de Julie et le déchira sur toute sa longeur, pour libérer ses grosses mamelles. Elle sembla choquée que je détruise son haut, mais également terriblement excitée. (Pour rappel, Elle n’avais plus de soutien gorge depuis la veille à 17h)
Et je me débarrassât de sa jupe en 2 mouvements.

Je l’embrassa à pleine bouche, elle me rendit mon baiser.
Putain, sa salive avais un mélange de goût de ma bite, de sa chatte, et de croissant… bref.

Je lui reappuya sur la tête pour la re agenouiller face à moi, et commença à la faire me sucer à pleine bouche, tout en jouant avec mes boules. On baisais sans se soucier le moins du monde du bruit qu’on faisais, ni des vibrations, absorbées par la moquette et le fauteuil, il ne les percevait pas.

Je lui attrapât les cheveux et lui tirais pour lui baiser la bouche comme la dernière des salopes. Elle en pouvais plus d’excitation.
Elle ne cessais d’essayer de parler pendant la pipe.
« Putain antoine slurp espèce de slurp salaud, slurp, toi et ta jeune bite monstruslurpmonstrueuse, je te sucerais pendant des slurp, mois si je pouvais slurp, à me faire étouffée slurp, par ta grosse queue épaisse, écrasée slurp contre ma langue slurp,… »

Elle pris ensuite le lubrifiant que son keum lui avais achetée, (ou plutôt m’avais acheté) et une grosse bouffée de poppers dans son sac. Elle me vida un quart du lub’ sur la queue.

Elle semblait comme possédée quand elle courrue vers la table, (Derrière le canapé)

Se positionna au bord, mis son gros CUL bien ferme bien en l’air, et ses seins contre la table, bien cambrée, à gigoter son énorme cul, pour m’apater, en me réclamant de l’enculer comme jamais ici et maintenant, comme une chienne.

Je crois que je n’ai jamais bande aussi fort de toute ma vie.
Je me suis jette sur elle, et lui ai enfoncé ma queue en douceur, avec un effort extrême (il faut de la force mentale) pour ne pas lui exploser le cul direct, puis après 5 minutes « d’échauffement » je pu enfin me lâcher….
Je lui explosa le cul en la pilonnant comme une brute à grands coups de queue et claquait mes couilles le plus fort possible contre ses fesses. La table glissait à chaque coups de reins.

Je lui ai mis des fessées à lui en rougir le cul 3 semaines.
Je l’enculais a mort, la tonne de lubrifiant sur ma bite m’était bien utile.

Elle hurlais à la mort… sa chatte dégoulinait à n’en plus finir de mouille.«  PUTAIIIN OUIIIIII MON PONEY!!!!! ENCULEE MOI!!!! OUIIIIIIIiIII Antoine… ENCULE TA CHIENNE! ENCULE TA CPE!!!!!! TIRE MOI LES CHEVEUX !!! Défonce moi à sang avec ta putain de GROSSE POUTRE!!!! Étrangle moi… baise moi… féconde moi… »

Elle n’en pouvais plus.
Je la saisissais par les cheveux d’une main, lui faisant une clé de bras de l’autre, et je l’enculais à fond sur la table.
Complètement soumise, elle adorais ça plus que tout.

Je ne sais par quel prodige, Son mari ne semblait même pas nous entendre ni même regarder en notre direction de temps en temps, il était complètement absorbé par son match. Bah, après tout Tant mieux.
Je lui doigta la chatte tout en l’enculant pour lui déclencher de puissants orgasmes, qui me faisait un bien fou, ma queue bien enfoncée dans son cul, je les ressentait ses orgasmessous forme de vibrations, pression, etc, sur ma queue. Un délice.
Je passa à sa chatte pour me finir, en lui attrapant le cou à deux mains, pour lui maintenir.
Ma CPE était complètement soumise à moi, mes 18 ans, et ma grosse queue.

Je lui defoncais la chatte en lui doigtant l’anus d’une main et le clitoris de l autre…
Elle adorais ça.
Elle hurlais des obscénités comme à son habitude, pour mon plus grand plaisir, « feconde moi feconde moi feconde moi devant mon mari, salaud. Je veux que mes gosses aient tes gènes.
Oh OUIIIIIIIIiIIIIIIIiI PUTAAAAAIN MON PONEY!!!! JE SUIS TA PUTE TA CHIENNE JE TEFAIT TOUT CE QUE TU VeUX!!! »
Je lui bourra la chatte avec une intensité extrême. Je prenais en compte toutes ses recommandations…
Je larguât une première ejaculation bien au fond de son vagin irrité par la pénétration, en hurlant. Mes spasmes la firent jouir de nouveau.
Nous jouissons tout deux sur la table. (puis la laissant dans un sale état, pleine de mouille de sueur de cheveux arrachés et de sperme.)
J’essuyas à l’arrache la table de nos fluides corporels, nonchalamment avec les restes du haut que je lui avais déchirée.
je pris ensuite julie par les cuisses et la porta dans sa chambre.
La,on s’écroula sur le lit, sa chatte dégoulinant de sperme, ma bite irritée tant la baise a été longue et intense,
Son trou du cul toujours beant de la sodomie que je lui avais infligée, et sa chatte dégoulinant de mon jus. Ses énormes seins rouges à force d’avoir été malaxés, et son gros cul plein de traces rouges de mes doigts.

Je m’endormis à ses côtés, dans son lit, en lui faisant un bon câlin, derrière elle en l’attrapant par les seins, ma queue le long de sa cuisse.
Nous étions crevés…
Julie boitais énormément… de mon côté, je tenais à peine debout. Ma queue était douloureuse à force d’avoir baisé.

On fit un câlin une petite demi heure, puis elle me laissa pour aller nettoyer et ranger un minimum les résidus de notre baise.

Elle raccompagna ensuite son mari boubakar à la porte qui n’avais rien entendu. Elle revint ensuite,je dormais, elle s’installa en face de moi et s’amusa a me coincer le visage dans ses gros seins, puis me serrer contre elle.
J’ouvris les yeux, beaucoup Trop mignonne. (Voir une énorme paire de seins en gros plan en ouvrant les yeux, avec le visage d’un « ange » (ou démon, à mon plus grand plaisir, hehe…) tout sourire derrière… ) elle était parfaite. Parfaite pour moi.

Evidemment je lui dévorera les seins pendant son sommeil, puis

On s endormis comme des pierres, dans les bras l un de l’autre,
J’avais complètement raté les cours mais c’était le dernier de mes problèmes.

Finalement, On se réveilla à 18h. Mon bus pour rentrer chez moi arrivais dans 30 minutes… un peu en catastrophe, je me rhabillât, puis elle me stoppa et dit:

– j’ai trouvé ça au sexshop hier, en cherchant ce qui pourrait nous rapprocher… Et j’ai aussi trouvé d’autres gadjets que je te montrerais plus tard mon poney, me dit elle de sa voix rauque.

Intrigue et amusé, j’acceptat.
C’était une sorte de kit de moulage en silicone.
On fit un moulage de mon sexe en érection, jusqu’au testicules car elle tenais à ne pas les oublier, Puis on le démoulât.
La réplique exacte de mon sexe en silicone, à la moindre veine près, était la. C’était plutôt réaliste!
Elle souris.
« Je veux m’entraîner à la gorge profonde sur ta réplique exacte» me dit elle de sa voix perverse. En approchant le moulage de mon sexe, de son visage,
Ça me semblait moi même vraiment énorme en version gode. Eh oui, ok vois jamais sa propre bite de près.
Pas mal, pensais je, bêtement fier de moi.

Elle en fit un deuxième en dupliquant le premier, et me le donnât, pour me remercier. Elle dit « et parce que j’aurai besoin de ça pour ne pas devenir folle quand tu ne pourra pas être là, mon poney.»

Ceci fait, elle me raccompagnât en voiture, la main droite dans mon jean tout le long du trajet,
Le plaisir était tel que je finir par lui sauter à la gorge et lui dévorer une fois de plus les seins, tout en conduisant.
Je lui fit de nombreux suçons également.
On arrivât enfin au lycée.. à contre coeur je descendit.

On se dit : à demain, et on se programmât des petits rendez vous quasiment à chaque recrée et chaque midi de la semaine puis de la suivante.

C’est a partir de là que Julie commença à devenir officiellement ma plan cul (très) régulière, et plus si affinités.
Durant ces sessions, à chaque recree elle me sucait et je la doigtait. Parfois je lui mettait quelques coups de queue en lui bouffant les seins, puis nous disparissions comme si de rien était une fois la sonnerie retentie. On essayais de faire ça rapidement en journee, c’était les cours tout de même.

Le midi, il m’arrivais souvent de la baiser et d’ejaculer en elle. Elle adorait ça.
Durant ces 4 semaines, elle fut ma sac à foutre totale et absolue de chaque jours, pour notre plus grand plaisir.

Elle se levait le matin en ayant hâte de me palper le sexe, et je me levais dans la hate de la baiser.
Pendant ces 4 semaines, je tenais à la remodeler peu à peu à mes dimensions. elle s’habituait peu à peu a mon sexe.

Elle m’apprenais des positions et des gestes qu’elle aimais. Je lui apprenais des positions et les limites de son corps.

Je sentait Bein qu’elle voulais m’apprendre une certaine façon de la baiser. Cela m’amusait beaucoup, je jouât donc son jeu avec plaisir.

Durant ces 4 semaines, je fit également la « connaissance intime »de 2 filles de ma classe, lesbiennes, présentes lors de l’ « événement », et qui avais beaucoup insistées pour essayer mon sexe, à deux bouches, dans les WC. Elles étaient loin de valoir le quart du talent de Julie, mais elles avaient le mérite d’être plutôt mignonnes, deux, et d’essayer de toutes leurs forces. Elle me sucèrent à chaque cour d’eps, l’accro-sport se finissait en kamasutra derrière le tas de tapis de gym…
Bref, je vivait ma meilleure vie de lycéen.

J’étais encore loin de me douter de ce qui arriverais quelques semaines plus tard….

Fin de l’épisode 3.

(Cet épisode était plus long car il a résulté de la fusion de l’épisode 3 et de l’ancien épisode 4.)
Les prochains seront plus courts à nouveau pour être plus digestes.

Comme toujours,
—->N’hésitez pas à commenter ou à liker si ça vous plait!
Ouvert a la discussion .

ça me motivera à écrire la suite plus vite! 😉

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