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Réveillon, cotillons, la suite…

Réveillon, cotillons, la suite…



Réveillon, cotillons, et la suite…

Je viens de vivre un des plus merveilleux moments de ma vie de femme…
Pierre…

Il est devenu mon amant… Ce matin…
Je n’ai pas répondu aux questions que je me posais quelques minutes plus tôt…

Connaître ce plaisir de faire l’amour avec un être plus jeune de 40 ans…

En ai-je le droit ?
En ai-je l’envie ?

Il est majeur, il est homme, il est beau, il est sensuel puisque j’ai rêvé de lui la nuit passée…
Il m’a charmée, une cour toute en douceur, des mots par-ci, des regards par-là…

J’ai trouvé la réponse dans ses yeux…

J’ai repris sa main en revenant vers lui… Au lieu de m’assoir, je l’ai emmené dans ma chambre…

J’ai fait glisser ma robe à terre, je n’avais rien dessous…

Il s’est approché, on s’est embrassés. Longuement…
Un baiser de feu, un baiser d’amants…

J’ai passé mes doigts dans ses cheveux, j’ai humé sa poitrine, ai enlevé son maillot, défait la ceinture, baissé le pantalon et j’ai fait le tour du lit, nue, face à lui…

Sans parler je me suis installée dans mon lit, dans mon esprit, dans mon âme.

Il s’est allongé à mon côté, et sa nudité s’est imposée comme la beauté…

La beauté de l’homme, du mâle… Le sexe dressé, le regard bleu, sérieux, droit dans mes yeux…

Je les ai fermés…

J’ai senti sa bouche sur ma poitrine et mes pointes se sont dressées, mes cuisses se sont ouvertes, mon ventre s’est soulevé, tout mon être avait répondu aux questions…

Sa bouche m’a donné le top de départ… J’ai cherché ce dard dont j’avais rêvé la veille…
Tandis que sa langue tournait autour de mes aréoles, chatouillant, excitant, j’ai pris son membre dans la main, et l’ai bercé lentement, puis en le serrant un peu, j’ai donné des impulsions, provoquant des spasmes de plaisir dans sa verge, dans son ventre…
Là je me suis tournée vers lui et l’ai pris entre mes lèvres et ma bouche lui a fait un fourreau tendre et brûlant…
Il a fermé les yeux, massant mes seins, s’est tourné et sa tête a parcouru la distance qui la séparait de mon sexe et s’est lovée entre mes cuisses…

J’étais partie… Je le savais…
Je disais ce que je ressentais et mes râles montaient dans la pièce, résonnaient, en écho…

Je fondais de plus belle, j’étais à lui…
Son sexe coulissait dans ma bouche, je pouvais toucher ses testicules, les serrer dans mes paumes… Il grognait…

Et sa langue repartait, dansait avec ma chatte, lui apprenait l’amour, la valse, le tango… Mon bassin se soulevait vers lui, mes cuisses s’écartelaient, indisciplinées, félonnes…

Ma grotte s’est ouverte, luisante de miel, inondée de désir…
Elle me délira… Venue autour de mon clitoris, elle le prit en otage…
J’exultais… Vibrais, griffais, le voulant, en pleurant de tout mon être…

Je passais ma langue autour de son gland pour le punir…
Ma main serrait cette hampe de chair que je venais de savourer…

Il était énorme, tendu, droit, fier, comme un pantin désarticulé il oscillait, je l’attrapais avec mes lèvres et aspirais…
Il s’enfonça dans ma gorge…

– Oh ! Je…
– Chut, débrouille-toi…

Alors il voulut se venger, ayant failli tout déballer…
Rater son premier virage, couler une bielle…
Mais non, tout rentra dans l’ordre…

Je n’osais plus le toucher, je lui laissais le temps…
Il glissa ses doigts dans mon antre… Nos lèvres se joignirent…

Le baiser était magique et les étoiles venaient briller en cette matinée superbe…

Il sentait bon, un parfum de classe, un parfum d’homme…
Il était sur moi, lentement il massait mes seins, ses doigts découvrirent ma vallée…
Son sexe retrouva son fourreau, j’ouvris mes lèvres, et me fis douce…

Il débusqua mon bouton d’amour, l’effleura, tournoya, souleva…

Je sentis mon heure proche…

J’étais à lui depuis longtemps… Et comme un pantin, il me tordit, me retourna et me suça en levrette, chatte et anus confondus, humidifiés, salivés…
Je me mis à gémir, feuler, lui dire des mots tendres, l’inviter à ne plus attendre…

La tête dans l’oreiller, je griffais les draps, il aspira mes entrailles, suça mes petites lèvres, puis mes grandes ailes, en les étirant, puis il revint dans mon calice, et récolta le suc qui s’écoulait, salivait, mouillait, recommençait…
Je pleurais comme une minette, les sens en émoi, tremblante de désir…

Je sentis le membre tout contre moi… Il suivit la vallée, ouvrant mon sexe, et glissa de quelques millimètres…
Je délirais… J’étais si trempée et si excitée que mon vagin s’ouvrit, libérant un flot d’amour…

Il n’eut plus qu’à pousser lentement…

– Oh ! Oui ! Viens !…

Le cri résonna, déchira le silence, se répercuta dans les autres pièces…

Je le sentais glisser…

Je jouissais sans détour, sans honte, sans arrêt…

Et il poussa, un grand coup de rein, lui non plus ne pouvait plus attendre et il me lutina !

Il me défonça, jusqu’au bout du bout, planté comme un pieu dans mes entrailles…

Lorsqu’il se retira, je poussais un cri de hyène, un cri de désespoir, en manque…

Alors il m’étreignit ; puis m’emporta, tel un marteau piqueur, tapant mon pubis, je sentais son dard perforer mon vagin, crever ma chair si tendre, arracher ma vulve, me faire jouir…

Oui, je jouissais, encore et encore et plus encore, jusqu’à fulminer mon plaisir, écartelée, ouverte, pantelante, les seins ballants, les yeux révulsés…

Il me reprit encore, de nouveau, en levrette, en capitaine de navire, me tenant par les genoux et pilotant son dard dans mes entrailles, jusqu’à ce que je perde l’équilibre et que le bateau chavire…

Sur le côté, échoué, la raie à l’air, il me reprit… En ciseau, il me baisa, j’atteignis le comble du plaisir, sentir son membre, ses doigts dans ma chatte, puis un doigt s’insinua dans l’anus et je perdis la notion des choses…

Il me posséda encore et encore…
J’eus des orgasmes magiques, des envolées lyriques, et je sentis son bâton me prendre par derrière et je jouis encore, relevant mes fesses comme une catin, aimant me faire défoncer le cul, jusqu’à ressentir son jus exploser en moi…

Pierre, 19 ans et quelques mois, venait de me faire l’amour comme un homme, m’envoyant au paradis, ivre de caresses, démontée, perforée, dégoulinante de jus divers, trempée de sueur, un combat de chien fou contre chatte meurtrie…

Je me glissais dans ses bras, épuisée…
Il me caressa longuement, il lécha ma chatte avec tant de tendresse que je me mis encore à jouir et pousser des « Heu !… » sans cesse…

Ecartelée et rougie, il calma mon intimité, mon anus grand ouvert, puis massa mes seins, suça mes tétons, arrivant à me procurer de merveilleux frissons…
Je ressentais dans ma main, l’émotion que je lui offrais, mais laissa sa fougue…

Je n’avais jamais été choyée ainsi, même avec mes amantes…
Il adorait me lécher, un hommage à cette partie de mon corps, si intensément féminin, si sensible, qu’il aima se perdre dans les méandres de mon intimité…

J’évitais de penser, en profitant de sa langue durant ces longues minutes…

Puis il me berça dans ses bras, heureux, en me bécotant partout, sans honte, jusqu’à reprendre mes esprits…

Il était gai, fier de lui, fatigué… Je lui donnais son après-midi…

Il était l’heure, 2 heures de radada… Et moi qui hésitais !

Le lendemain, il était là à 10 heures…

J’avais rêvé toute la nuit de son sexe…
Autant qu’il m’a faite jouir, autant il m’a apaisée ensuite, par sa langue, par ses bras puissants qui sont venus me faire oublier son âge.

Son membre viril glissait dans ma bouche et je lui rendis ses caresses.
Il se laissa emporter, ne disait rien que des grognements épars…
Je poursuivis longtemps, dans le canapé du salon, la baie vitrée ouverte…

Ma tête dodelinait parfois, plus vite, plus fort, je le serrais entre mes lèvres, le sentais grossir, sentais le sang battre dans les veines grossies…
Puis, je reprenais ma fellation que je voulais dantesque…

Il massait mes seins, libérés, mais ne cherchait pas d’autres caresses sous ma robe d’intérieur…

Je prenais ses bourses dans ma main, en sentant mon ventre couler de désir dans ma culotte en dentelles, en hommage à hier…

Mais je continuais à honorer son attribut viril, changeant de position, ou méthode, minaudant avec ma langue chaque centimètre de sa hampe qui m’avait donné tant de plaisir hier…

J’étais agenouillée, il était à moi, à ma merci…
Je repliais ses cuisses, reprenais la direction de cet ébat tendresse…

Ma langue vibrait sur son gland majestueux. Elle faisait le tour, laissant perler quelques gouttes de liquide que je léchais avidement…

Je glissais alors vers le sombre, et d’un doigt léger, je vins flirter avec sa rondelle, son anus…
Une phalange glissa lentement, il me laissa faire, tendu, tandis que je mouillais le terrain…

Sa verge se dressait, et ma bouche la prenait comme un fourreau, mon doigt pénétrait lentement, il grogna plusieurs fois…

J’arrivais au bout, il respirait fort, la verge se tendit, le passais ma langue, une main enserrait le tout, mon doigt allait et venait dans son méat…

Je sentis la semence arriver, en jets puissants mais brefs, que je recueillais sur ma langue et avalais…
Il eut un orgasme aussi, prit ma main et sortit le doigt…
Il resta longuement dans ma bouche, comme un oiseau blessé…
Je cherchais alors sa bouche, puis lui offrit mon baiser, encore plein de semence…

Il me regarda, ses yeux bleus me fixaient…
– Tu es merveilleuse, c’est ma première sodo…
– En hommage à ton cuni d’hier…
– Ta fellation restera gravée à jamais, merci pour ce moment intense…
– Merci d’être là…

Il était presque midi, il revint l’après-midi, je devais faire des courses et la cuisine pour la soirée avec sa mère et Romain… On ne se vit que rapidement et il repartit tôt…

Je travaillais, je fis une pâte à pain, pizzas, puis un rôti de veau, haricots-verts en bocal, champignons des bois cueillis de mes mains dans le bois alentours…

Romain arriva le premier, constata le jardin…

Evelyne et Pierre entrèrent, nous buvions l’apéritif au salon, quelques images de l’après-midi se superposèrent, venant troubler mes paroles…
Alors que nous parlions de nos années, disant à Romain combien nous étions complices…

On évitait de se regarder, Evelyne parlait avec Romain, Pierre me sourit, je lui dis combien j’étais heureuse de retrouver un jardin bien soigné…
Il rougit…

Evelyne buvait trop, à la fin du repas, on regagna le salon, sa jupe remonta sur ses cuisses, elle était face à Romain qui n’osait le lui signaler, Pierre était tourné vers moi…

J’allais débarrasser la table, Romain vint faire le café…

– C’est normal ton amie ?
– Non, mais elle vit avec un mec, qui est souvent absent. Et qui ne s’entend pas avec Pierre… Pierre vit à Lyon, il est en fac.
– Elle me drague, je fais quoi ?
– Ce qu’il te semble opportun de faire…
– Pierre est bien jeune pour toi…
– J’irai au sous-sol faire un Lego avec le petit… Mais sois discret pour Pierre, va dans notre chambre…

Ses yeux m’en disent long… Il a lu dans les miens que je me mettrais au diapason, s’il baisait mon ex-amie…

J’entrainais Pierre au sous-sol et sortais la table de ping-pong…
Il me battit, alors je finassais, mais il me rebattit, je trichais et il me coinça sur la table et il arracha ma culotte et me baisa sauvagement, sans sommation, en faisant craquer la pauvre table qui en perdit son filet central…

Sa bite énorme s’enfonça sans mal, jusqu’au bout, j’étais dépoitraillée et il recommença à caresser mes seins, manger ma chatte, me soulevait…
Il me reprit sur la table, en levrette… Je jouissais sans relâche, il explosa encore, et j’en redemandais…

– Oh, oui… Encore… Baise-moi comme ta maîtresse, comme une pute, prends-moi encore, donne-moi ton foutre…
– Ma mère doit se faire sauter par ton Romain, elle bavait devant lui toute la soirée… Tu n’es pas jalouse ?
– Je te l’ai dit je vis au jour le jour, et aujourd’hui, comme hier et avant-hier c’est toi, et ce qu’ils font, bof, c’est la vie… Tu n’aimes pas sentir ta mère dans les bras d’un amant ?
– Ma mère est comme ça. Je sais qu’elle sort la semaine, des copains d’ici l’ont vue en boîte, à moitié ivre… Elle aime les jeunes de mon âge parait-il… Son mec ne la satisfait pas, il n’est jamais là… Elle en a marre de lui…
– Il t’arrive de la voir comme une femme et non comme ta mère ?
– Une fois ou deux, c’est arrivé… Elle a franchi la ligne et j’ai laissé faire, c’était bon. Elle m’a fait une fellation, je l’ai masturbée jusqu’à ce qu’elle jouisse… On n’a pas eu de rapport intime, mais j’ai aimé quand j’ai joui et à l’entendre hurler de plaisir entre mes doigts…
– Tu as joui dans sa bouche ?
– Oui… Comme hier avec toi… Mais toi, tu m’as sublimé hier… Je ne savais pas que l’on pouvait jouir autant… Tu m’as transformé… Je me sens adulte…
– Tu es adulte, crois-en mon expérience, et tu vas bien au-delà de la moyenne… Tu m’as transformée aussi, rajeunie de 40 années, prise comme une de tes conquêtes et portée à l’extase avec l’aplomb et l’expérience d’un amant bien plus âgé… Une expérience comme ça, pour une femme, c’est extraordinaire, cela tient du miracle…
– On pourra se revoir si tu le veux, juste pour ça. Je ne chercherai jamais à te séduire, juste un amant de passage, histoire de te donner toute ma virilité afin que tu vives ces merveilleux instants de plaisir…
– J’aime ton sexe, tu l’as vu, je l’ai honoré, chéri, à en mourir de désir et de plaisir…
– J’aime ton sexe aussi, j’y trouve toute ta féminité, le centre de la vie, de ta vie, car en le respectant, on te donne tous les cadeaux du monde, la jeunesse, la force, et ce plaisir qui t’emporte vers l’extase dans laquelle j’aime te voir et t’entendre plonger…

Notre baiser est langoureux et mes larmes ne sont pas du cinéma, mais ce qu’il me dit me touche… Je vais en tomber amoureuse…

Nous remontons boire un verre après avoir remis de l’ordre dans nos tenues. J’espère que tout est clean en haut. Je ne vois rien ni personne…
Juste deux verres sur la table de la cuisine…

« Je l’ai emmenée chez moi, on ira au cinéma après, raccompagne son fils, il a l’habitude des sorties nocturnes de sa mère… »

Je lui fais lire le SMS…

– Tu parles, Romain est un gentleman à côté de ceux qu’elle fréquente, des minets, des chefs de bande qui lui en mettent plein le cul… Un matin elle est sortie de sa chambre avec un jeune à l’allure agressive, mais elle le tenait, et il n’a pas moufté à mes sarcasmes… Elle m’a dit de me taire, je n’ai plus revu ce mec… Elle s’est excusée, me jurant de choisir des hommes plus murs… Elle s’est mise à pleurer ce soir-là, et c’est là que nous avons dérapé. J’ai compris qu’elle recherchait la tendresse que je ne lui apportais plus, ni son ami, mais aussi ce besoin qui la tenaillait et ce soir là je le lui ai apporté…
– Romain est un homme complet, amant et ami si on lui plaît… Il est tendre et intelligent, il aime la femme, l’amour, apporter sa tendresse… Je ne suis pas jalouse s’il la prend comme maîtresse, sans doute que je me joindrais même à eux un soir…
– Oh que j’aimerais que ma mère trouve ce réconfort, avec vous deux…
– Je pense qu’elle en a eu une démo et que cette nuit elle aura la panoplie complète…
– Alors je veux rester avec toi cette nuit, je veux vivre ce qu’elle partage avec Romain, ce plaisir des sens, cette dimension que vous apportez dans le sexe… Je t’aime comme un amant, et j’aimerais partager les râles de ma mère, l’entendre jouir, prise par un homme comme moi, comme il lui faut, généreux, honnête avec elle, respectueux… Je serais le plus heureux des fils…
– Tu aurais voulu la voir ?
– N… Non, enfin, ce n’est pas sexuel, oui, j’aimerais la voir jouir, la voir heureuse, la voir se donner, faire l’amour, comme tu disais, sans arrière-pensée…
– Si elle est d’accord de nous voir aussi…
– Tu penses la convaincre avec Romain ?

J’ai une idée, car il repart lundi ou mardi et le temps est compté…
Nos mangeons un peu, quelques restes de midi, avec un vin rosé délicieux…

– Allo ? Sylvette, c’est Marika… Je sais que tu es avec Romain, donc pas de souci… Je viens de discuter avec ton fils… Il t’adore. Nous avons parlé de toi, de tes ratés en ce qui concerne le choix de tes partenaires…
– Ah, oui, mais il…
– Ne dis rien, il aimerait te savoir heureuse, en fait, il propose que vous reveniez et que l’on parle ensemble, que l’on devienne amis tous les 4… Pas de tabou, juste du respect. Ton fils est merveilleux, je l’adore et j’aimerais qu’il reparte à Lyon rassuré sur ton mental et si Romain peut t’aider, je serai d’accord sans souci…
– C’est vrai ? Tu ne m’en veux pas ? Romain est merveilleux, je reste un peu encore, mais dans une heure, on vient… Pierre est là ? Il t’a prise ?
– Oh oui, bien vivant… Je ne pensais pas m’intéresser à un gamin de 20 ans, mais il m’a fait découvrir un monde si riche en émotions que j’en ai revoulu…
– Oui, je sais…Mon bébé est devenu un homme, dans tous les sens du terme, et de plus il est intelligent, tendre et généreux.

Une heure plus tard, ils entrent dans le salon où l’on regarde une émission de télé…

– Marika, tu es certaine, Romain est si distrayant…
– Et toi, me voir avec ton bébé…
– Ne crains rien, j’aie le savoir entre de bonnes mains…

On se regarde et on se met à rire….
Romain s’approche et me donne un baiser d’amour, tendre, devant Evelyne…
Elle discute avec Pierre. Il à l’air d’accord, il hoche la tête…

– Ma mère est trop, elle vient de baiser avec Romain et me demande si ça ne me dérange pas qu’elle le revoit…
– Plutôt sympa comme demande…
– C’est vrai, c’est la première fois… Et aussi, de le faire ensemble, enfin, sans se gêner… On n’aurait plus à se cacher tous les deux, Romain semble d’accord…
– Romain est généreux, comme toi, il veut le bonheur et le meilleur pour ses amis et amies. Tu en fais partie, et savoir Evelyne dans ses bras, avec moi, ne peut que te rassurer… Il aime ces situations claires, où le sexe est un élément réparateur, une thérapie…
– Viens me soigner alors, je n’ai pas encore mon diplôme…

Evelyne se pend au cou de Romain, l’embrasse avec tendresse… Pierre la regarde avec des yeux doux, tendres, il me serre dans ses bras.

J’apporte quelques boissons, des biscuits, et de quoi passer une grande nuit…

Evelyne vient vers moi….

– Romain t’adore, il te veut avec nous, pensant que quand il ne sera pas là, tu viendras le remplacer, il sait que je suis lesbienne parfois et connait aussi notre histoire…
– Oui, je ne lui cache rien et quand tu es réapparue, je lui ai tout dit de nous 2…
– Il me tarde de me retrouver seule avec toi…
– Je pense que tu ne tarderas pas longtemps. J’ai digéré notre histoire, et Pierre a fait le lien entre les deux époques… Nous avons quelque chose en commun maintenant.

Je m’assois avec Romain qui sirote un jus de fruits…

– Tu es un amour…
– Je t’aime aussi, très fort, plus qu’un amant…
– La vie nous soumet des épreuves, nous les vivons ensemble…
– Je ne pensais pas flirter avec un jeune garçon… Et puis il m’a fait voir autre chose… J’ai aimé cette intelligence… Le sexe n’est rien, c’est l’amour qu’il porte aux personnes qui l’entourent, sa mère, moi maintenant et ce depuis son adolescence… Notre différence d’âge a disparu en quelques minutes, dès lors qu’il m’a expliqué son trouble pour moi…
– Ah les rêves d’ado, une jeune mère, une amie qui ne voit pas les perturbations qu’elle génère dans la sexualité naissante de jeune garçon…
– Exactement…
– Evelyne s’en doutait, elle me l’a dit et puis qu’ils se sont soignés, sans tabou, juste de quoi passer une crise ou deux…
– Tu parles comme un livre… Vas-y, continue, je ne voulais pas reprendre une relation avec elle, mais je prendrai le relai quand elle sera seule… Pierre sera rassuré de la savoir avec nous 2…
– Elle va virer son voyageur de commerce… Tu aimes ce jeune homme ?
– Non, et tu le sais… Je l’apprécie, et prend ce qu’il me donne, autant que sa mère l’a fait, et puis il est médecin, non ?… Et toi tu as craqué pour elle ?
– Non. Juste comprise, elle s’est jetée dans mes bras… J’ai compris son manque, ses erreurs, ses déceptions, son fils au milieu… Je lui apporterai ce dont elle a besoin, comme pour Alice… Si ça te gêne, dis-le-moi…
– Nous n’avons pas besoin de nous parler Romain. Pierre part dans deux jours, nous reprendrons cette conversation à trois…
– Tu es coquine et magique… J’attendrais pour te remercier comme il se doit…

Je lui donne un long baiser, Evelyne et Pierre nous sourient…

Puis Evelyne rejoint Romain, me fixe et sa main caresse le pantalon de mon ami…

Je rejoins Pierre dans l’autre sofa… Je me retrouve dans ses bras, les boutons de mon peignoir s’ouvrent, mes seins deviennent libres, sa main est trop douce par qu’elle reste seule…

Evelyne est en train de manger Romain, avide, affamée de son sexe…

Nous flirtons merveilleusement, jusqu’à nous retrouver nus entièrement, et que nos esprits se libèrent, que nos désirs s’expriment, Pierre est un amant délicat, Romain aussi, nous passons les étapes des préliminaires, aspirées, tétées, masturbées, léchées et je sens le sexe me prendre, et mes yeux se révulsent et je jouis mon orgasme, chevauchée avec passion, offerte comme une catin, comme Evelyne que Romain fait délirer, une extase, des râles, un orgasme quand il la tétanise lentement et profondément et qu’elle s’allonge sur lui pour se délecter de ce sexe si puissant…

Pierre, transcendé par l’attitude de sa mère, me donne un récital, bandé au maximum, me prenant partout, il m’entraîne dans un tourbillon de sensations, sublimant chaque partie de mon corps, de mon sexe, de mes seins, et de mes intimes secrets, sans retenue ni pudeur, à me faire délirer, écartelée comme une poupée de chiffons, étendue à terre, épuisée de sentir son membre me rajeunir, jusqu’à l’explosion libératrice, un délire au réel, un bouquet final, conjointement à Evelyne, pleurant de plaisir dans les bras de Romain…

Nous les rejoignons, Romain m’embrasse, Pierre me tend à boire et sert sa mère…
Son sexe retombé, se promène devant nous… Elle me sourit et vient contre moi…
Pierre se colle à son côté, la prend dans ses bras et la serre avec passion…

– Je suis heureuse avec vous… J’ai entendu Marika jouir de plaisir en même temps que moi et que nos amants se libéraient, nous entraînant dans ce paradis du sexe, j’ai même ressenti un orgasme charnel… Je n’avais pas connu un tel moment de plaisir depuis au moins dix ans. Merci à tous les trois, merci mon fils de t’être joint à cette fête, pour me prouver ton affection et ta tendresse…
Romain tu es un ange qui traverse ma vie au bon moment, et toi Marika une merveilleuse amie, de nouveau à mon côté.
– Maman, je viens de vivre un instant d’exception.
Regarder jouir une femme sous le joug d’un amant n’est pas courant, surtout quand je suis son fils… Cela me demande un effort, une extrapolation de ma vision et de mes ressentis…
Ce voyeurisme, était pour moi malsain et réservé à des gens sans moralité, un tabou dans le cercle familial.
Mais pour toi, cet acte est libératoire et tu reprends en main ta sexualité, pour la confier à ces deux personnes rares, ce couple qui viendra te donner la tendresse que je ne peux te donner de loin…

Maintenant tu sais combien je t’aime, d’un amour filial fort et respectueux.
Tu as connu des périodes noires, de désarroi, de tristesse, livrée à toi-même, cherchant la sortie de cet imbroglio. Tu étais perdue, sans repère, et j’ai participé à une première résurrection…
Nous nous sommes rapprochés, nous avons parlé, et tu as réagi.
Mais tu avais besoin de tant d’amour que nous avons franchi une ligne, malgré nous, mais consciemment… Une parenthèse thé****utique… Cette parenthèse pourra désormais se refermer…
Vis ta vie de femme, savoure Romain tant qu’il te voudra, fais-en un exemple, un modèle pour plus tard…

Il est génial, parfait, comme Marika que j’accompagne dans une sorte de renouveau, et qui avait peur d’affronter ma jeunesse… Mais pour qui, d’un seul coup, 15 années se sont envolées dans les méandres de sa mémoire et elle a retrouvé ses sensations de jeune femme, comme une Cendrillon ayant peur du Prince et de sa baguette magique…
Pierre, je ne veux pas te voler Marika, juste lui dire que le sexe permet de soigner pas mal de maux…
Il ne faut pas avoir de préjugés avant d’avoir testé l’inconnu…
Romain a de la chance de t’avoir…

Je ne rajoute rien à leurs remarques très personnelles…
C’est Romain qui s’y colle…

– Pierre tu as prouvé toute ta clairvoyance et ton charisme, cette générosité qui te caractérise… Tu es jeune et si mature dans tes jugements que ta voie est tracée, tu l’as trouvée, tu seras un merveilleux praticien, surtout grâce à ta psychologie et à ton approche des gens…

Marika a découvert un nouveau monde grâce à toi, oublions la morale entre nous, seul votre lien vous unit, mais vous le respectez et devenir intimes comme ce soir m’a enchanté.
Evelyne a besoin de notre soutien, de nous trois, elle l’aura…

Je ne suis pas jaloux de toi, juste ébahi par ta maturité, et heureux que Marika en profite dans le cercle de notre couple dont vous savez les liens et les accords…
Je vous adore tous les trois.

Encore une dernière chose, tu as fait l’éloge de ta mère, c’est magnifique et à mots couverts tu as rompu le silence sur ses périodes confuses. Grâce à toi, elle est revenue dans le doit chemin. Ce que tu as accepté contre ta morale, au bénéfice de ton besoin d’aider, est magnifique, et ces heures volées ont repoussées ses tourments, calmés ses errements, car elle a trouvé en toi, cette générosité et cet amour que tu as apporté.

Laisse aller tes pulsions, tu ne risques rien entre nous…

Je me suis endormie, si heureuse que j’en ai rêvé…
J’ai ressenti le sexe de Romain lorsqu’il m’a prise dans la nuit…
J’ai vu Evelyne se donner à Pierre et le recevoir comme un hommage…

Au matin, j’étais belle, Evelyne avait rajeuni aussi, Pierre avait 10 ans et me reluquait souvent en douce quand je me changeais, nous avions été télétransportés dans le passé…
Romain, notre voisin, nous regarda faire l’amour dans mon salon, avec ses jumelles, pendant que Pierre était soi-disant, à l’école…

FIN

Marika842010
janvier 2019

A propos de l'auteur

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