Suite de mes aventures avec Danielle….
Nous reprenons la route en silence… je ne peux pas m’empêcher de sentir mes doigts qui embaume le parfum de ma belle-mère…
Elle me fait vite remarquer qu’elle a chaud, mais je fais semblant de ne pas avoir de solution, bien que je pourrais couper le chauffage des sièges
Au bout d’1 quart d’heure, elle n’en peut plus, et toujours en m’ignorant, dégrafe son pantalon pour le descendre sous ses genoux… Puis après une brève hésitation, elle l’enlève complètement en remettant ses escarpins.
Elle pose les pieds sur le tableau de bord… Comment rester concentré sur la route, en ayant ses jambes et ses bas à porter de main. j’observe en permanence les talons qui bougent et le galbes de ses cuisses. les bas noirs contrastent avec sa peau blanche. L’odeur de sa culotte taché d’urine remonte dans la chaleur de l’habitable. Je suis dans un état second et je perds l’attention de la route une seconde… ce qui me fait faire un écart que je ratt**** aussitôt… malheureusement la brusquerie de mon geste fait renverser le thé de Danielle sur moi. Je suis trempé et je m’arrête immédiatement sur le bas côté… Danielle s’emporte en me traitant d’incapable, d’obsédé qui ne sait se contrôler, j’ai si honte que je l’écoute en baissant la tête.
-« je vais dans le coffre pour prendre un pantalon de rechange »
-« Hors de question, nous n’allons pas perdre notre temps. Enlevez votre pantalon si vous le voulez, mais repartons au plus vite… »
Je me dis que ce n’est pas possible, car je ne peux me dévoiler à elle. Elle ne sait pas quel secret je cache sous mon pantalon
-Allons, j’ai déjà vu d’autres verges que la votre, dépêchez vous »
Voyant que je reste immobile, une giffle s’abat sur la joue.
-Vous êtes sourd ? Allez enlevez moi cela.
Alors j’obéis fébrilement et enlève mon pantalon sur le siège conducteur. Et là double surprise pour Danielle : d’abord je ne porte pas de caleçon, et ma verge se présente petite et demi-flasque , mais surtout je porte des bas noirs… ce sont les mêmes qu’elle en plus
-Mais vous êtes encore plus pervers que je ne l’imaginais… vous devriez avoir honte… pas étonnant que….
Mais elle n’achève pas sa phrase…
-En route. Si vous quittez la route des yeux, il vous en cuira…
Nous reprenons le chemin. cette situation m’excite et ma verge est maintenant dur. Le gland brille de mon éjaculation précoce de tout à l’heure. En passant les vitesses, j’effleure régulièrement sa cuisse, à chaque fois un peu plus… Au bout d’un moment, elle prend ma main et la plaque directement sur l’intérieur de sa cuisse, juste à la frontière de sa peau et de la jarretelle…
– Au moins là, vous pourrez sentir la vrai douceur d’une femme… depuis quand n’avez vous pas toucher l’intérieur d’une cuisse gainée de nylon ?
Je n’ose répondre 3 mois, date de mon aventure avec ma femme Joelle, et je décide la franchise en pensant à ma compagne qui est sa fille
– Au moins 3 ans, Danielle.
Elle rit car elle voit mon sexe se raidir encore plus. Elle prends ma main et l’emmène sur ses lèvres épaisses à travers le nylon de sa culotte
– Et toucher les lèvres juteuses d’une femme ?
– 3 ans aussi, Danielle,
Alors elle prends doucement mes doigts, écarte sa culotte, et les utilise comme un godemichet. Je suis un objet entre ses mains, et elle m’interdit toute initiative. Elle se caresse ainsi le clitoris et fait entrer 1 puis 2 doigts. Sa chatte est trempée et glisse fort. En moins de 5 minutes, elle jouit en murmurant, sans cris. Aussitôt elle me rend ma main et renfile son pantalon
Je tente délicatement de me masturber à mon tour.
– N’y pensez même pas.
Ses mots suffisent, j’ai trop peur de reprendre une giffle… Mon excitation est à son comble.. Pour augmenter sa torture, elle me caresse les bas, sans toucher ma peau…
– Pitié Danielle, arrêtez cette torture.
Elle ne répond pas… elle pose un doigt sur le bout de mon gland. Il n’en faut pas plus pour provoquer une éjaculation spontanée qui éclabousse ma chemise, sans que j’ai pu vraiment jouir….
– Nous arrivons à l’hotel…..
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