Histoire d’une rencontre, sur une plage
Passion de femmes
Par Laura
« Nous avons repris notre souffle toutes les deux, dans les bras l’une de l’autre, assises sur le sol carrelé des toilettes, coincées entre la cuvette et le mur. La jeune gouine avait posé sa tête sur mon épaule et me caressait doucement les cuisses. Je faisais passer mes doigts encore maculés de sa mouille dans ses cheveux, à la base de sa nuque. Je me sentais extrêmement bien maintenant que la v******e de mon orgasme m’avait enfin libérée du désir trop intense que je ressentais pour elle. Pourtant, je savais qu’il aurait suffit d’un rien, d’une toute petite étincelle, pour que celui-ci revienne me hanter, aussi fort qu’avant si ce n’est plus.
Le plaisir que nous venions de nous donner avait agi comme un antidote énergique mais ses effets seraient de courte durée, j’en avais bien peur. Malheureusement, nous ne pouvions pas prendre le risque de demeurer beaucoup plus longtemps réunies dans les toilettes pour handicapés. Sa famille allait finir par s’inquiéter de ne pas la voir revenir et quelqu’un pouvait arriver à tout moment et nous surprendre. Nous avions déjà été bien assez imprudentes en nous masturbant mutuellement dans les chiottes, il était temps de revenir à plus de raison.
A contrecœur, je lui ai fait comprendre que nous devions nous quitter. Elle a posé un regard enamouré vers moi et je l’ai trouvée à nouveau très désirable. Je lui ai demandé son prénom. Elle m’a répondu qu’elle s’appelait Maude. C’était peu courant pour une fille de son âge et j’ai trouvé que ça ajoutait encore à la sensualité qui se dégageait de tout son être. J’aurai été prête à toutes les compromissions pour lui faire l’amour sur place mais, déjà, elle se levait et se dégageait de mon emprise. Alors, j’ai joué le tout pour le tout et je lui ai proposé de nous revoir le soir même, si c’était possible pour elle. J’étais troublée comme une jeune adolescente à son premier rendez-vous. Ca faisait bien longtemps que je n’avais pas vécu pareille expérience. En l’entendant me donner son accord, j’ai été prise de palpitations. Je tremblais sur mes jambes. Nous avons convenu ensemble de notre lien de rencontre, dans un bar branché de la station et elle m’a donné un baiser langoureux avant de s’éloigner de moi. Elle a eu du mal à sortir sa langue de ma bouche, tellement j’aurai aimé la garder, l’emporter avec moi.
Nous sommes sorties du bloc sanitaire séparément pour ne pas éveiller les soupçons. J’ai attendu seule dans les WC pendant quelques minutes après son départ. Il me fallait bien ça pour me remettre correctement de mes émotions. J’ai remis mon maillot de bain en place, couvert mon sexe apaisé et rajusté mon soutien-gorge sur mes gros lolos que Maude avait si bien su manger. Je n’ai pas pu résister à l’envie de me passer les mains dessus, en imaginant que c’était ses doigts qui me touchaient. J’ai dû me forcer à arrêter. Sans cela, je crois que je me serai encore branlée. Quand j’ai estimé qu’il était temps, je suis retournée à ma serviette. Le père de Maude était en train de plier son parasol. Elle et sa maman rangeaient leurs affaires tandis que ses trois jeunes frères continuaient à jouer jusqu’au dernier moment. Je me suis installée sur mon transat pour profiter encore un peu du soleil et, surtout, du calme qui revenait peu à peu sur la plage. Mes yeux ont croisé le regard de Maude à une ou deux reprises pendant qu’elle s’éloignait vers l’escalier. J’étais heureuse de voir les sourires qu’elle me faisait et déjà impatiente de la retrouver dans quelques heures.
Je ne me suis pas attardée trop longtemps sur le sable. Quand je suis rentrée chez moi, dans mon petit appartement, je me suis fait couler un bon bain parfumé. Avant de rentrer dans la baignoire, j’ai regardé mon corps dans la glace et ça m’a donné envie de me caresser. Je me suis branlée dans l’eau, sous la mousse. Cela faisait des anées que je ne m’étais pas autant touchée en l’espace d’un après-midi. C’était à ma belle ingénue de la plage que je le devais et je frémissais à l’idée de la revoir bientôt. Je savais ce que j’attendais de cette soirée, de cette nuit et je ne me posais même pas la question de savoir ce qu’elle espérait, elle. A la façon dont elle s’était comportée dans les toilettes, je me doutais bien qu’elle n’était pas très prude et qu’elle mettait autant d’espoirs que moi dans notre rencontre.
Après mon bain, je me suis habillée. Il faisait chaud et lourd alors j’ai choisi de rester très légèrement vêtue, comme en pleine journée. J’ai enfilé une petite robe à fleurs peut-être un peu trop fantaisiste pour une femme de mon âge, mais que j’aimais beaucoup. En dessous, j’ai mis des sous-vêtements très moulants couleur chair, les plus discrets possibles. Avec la paire de mamelles qui est la mienne, je peux difficilement me passer de soutien-gorge et puis, j’avais un peu peur des réactions imprévues de mon corps face à Maude. J’imaginais mes tétons recommencer à bander au souvenir de sa bouche et cela aurait été du plus mauvais effet à travers la fine étoffe de ma robe. Nul doute que cela aurait excité la jeune gouine, mais aussi les personnes qui auraient pu se trouver à proximité, ce qui n’était pas le but recherché. Pour finir, j’ai enfilé des chaussures à talons qui mettaient bien en valeur mes jambes à peine un peu fortes de femme mûre. En me regardant dans le miroir, je me suis trouvée particulièrement attirante.
Quand je suis arrivée au bar à cocktails ou nous avions convenu de nous retrouver, Maude n’était pas encore là. Au fur et à mesure que les minutes passaient, je commençais à sérieusement m’interroger quant au fait de savoir si elle honorerait la promesse qu’elle m’avait faite. Après tout, ce rendez-vous n’avait rien d’anodin et elle devait en être consciente autant que moi. Je n’ai été pleinement rassurée que quand j’ai vu apparaître son délicieux minois derrière la vitrine de l’établissement. Elle passa l’entrée et se dirigea vers moi d’un pas que je trouvai somme toute fort décidé pour une jeune fille de son âge ayant rendez-vous avec une vieille lesbienne comme moi. Elle était ravissante dans sa petite robe d’été, courte et évasée, mais ce que j’ai trouvé de plus troublant chez elle, c’était les deux couettes blondes qui encadraient admirablement son visage presque encore poupon. Aux pieds, elle avait quitté ses espadrilles pour des chaussures ouvertes au talon qui lui faisait de très beaux mollets et des cuisses fantastiques. J’ai remarqué tout de suite que, contrairement à moi, elle ne portait pas de soutien-gorge. Sa petite poitrine n’en avait guère besoin, même si je pouvais deviner le bout de ses seins à travers le tissu de sa robe.
Elle s’est assise et nous avons commandé une boisson. Au début nous étions un peu gênées l’une et l’autre. J’ai lancé la conversation. Après tout, c’était moi la femme adulte, censée être la plus à l’aise de nous deux. Nous avons discuté de ses vacances, des miennes, comme deux voisines qui lient connaissance en parlant de tout et de rien. Je voyais bien qu’elle attendait autre chose de moi. Quand nos énormes coupes à cocktails sont arrivées, j’ai décidé de lui faire comprendre que nous étions sur la même longueur d’onde mais au moment où j’allais commencer, elle m’a devancé exactement de la manière que je pensais utiliser.
Son pied déchaussé est venu se frotter contre ma cheville avant de remonter le long de ma jambe. Je sentais ses orteils qui me caressaient et qui montaient inexorablement vers mes cuisses. J’avais pris soin de choisir pour m’installer une table placée dans un coin un peu reculé et mal éclairé de la salle, déjà elle-même assez sombre. Personne ne pouvait voir ce qui se passait sous la table. Le jeune Maude était plus vicieuse que je le croyais ou alors, elle était encore très excitée par nos agissements de la journée. Elle me parlait comme si de rien n’était mais je voyais bien dans son regard un peu trouble qu’elle était échauffée par la situation. Ses doigts de pied étaient déjà en train de me caresser l’intérieur des cuisses. Je me suis un peu avancée sur mon siège, pour venir mettre mon cul tout au bord. Immédiatement, son pied est allé se coller entre mes jambes et elle s’est mise à me tripoter le sexe à travers mon slip. Je réalisai que je commençais à dégouliner. Bientôt, elle sentirait ma mouille sous ses orteils.
Pour la remercier de son geste si vicieux, j’ai touché mes seins tout en lui parlant comme si de rien n’était. Je voulais l’exciter encore plus qu’elle ne l’était déjà. J’ai pris mes bouts entre le pouce et l’index de chacune de mes mains et je les ai fait rouler sous ses yeux ébahis, à travers le tissu de ma robe. Elle s’est mise à rougir de désir et j’ai su alors que j’allais passer une nuit fantastique.
Elle l’a été encore été bien au delà de mes espérances. Nous ne nous sommes pas attardées dans le bar, Maude et moi. Les caresses qu’elle me prodiguait avec son pied étaient bien trop excitantes pour que je puisse y résister et je ne voulais pas jouir dans le débit de boissons. Je craignais de rester sur ma faim, un peu comme dans les toilettes, sur la plage, l’après-midi même. Je voulais me consacrer entièrement à la jeune fille, pouvoir profiter pleinement de son corps magnifique et de l’incroyable sensualité qui s’en dégageait.
Je commençais à bien la cerner et je me rendais compte de tout le potentiel que recelait ma relation naissante avec elle. La manière très vicieuse qu’elle avait de me tripoter la chatte avec ses orteils laissait bien augurer des autres plaisirs que nous pourrions partager. Je l’ai laissée me branler pendant que nous terminions nos cocktails mais dès que j’ai eu fini mon verre, je lui ai demandé de me suivre. J’ai réglé nos consommations et nous sommes parties du bar précipitamment. Une fois dans la rue, nous sommes restées un peu distantes. Je ne tenais pas à rencontrer le reste de sa famille en me promenant main dans la main avec elle. Je lui ai dit de m’emboîter le pas en demeurant juste un ou deux mètres derrière moi. Nous sommes rapidement arrivées devant la porte de ma résidence de vacances. Le temps de monter les deux étages et nous sommes entrées toutes les deux dans mon appartement. J’ai allumé le lampadaire halogène et sa lumière tamisée puis j’ai mis la chaîne en route, de la musique douce et enveloppante.
Quand je me suis retournée vers Maude, elle m’attendait et me souriait. J’ai été émue de la voir, si jeune et si fragile dans sa petite robe légère, au milieu de mon salon. Je me suis approchée et je l’ai prise dans mes bras. Elle a commencé à bouger ses jambes, comme pour danser. Alors, je me suis laissée entraîner et j’ai dansé avec elle sur le rythme lent de la musique jazzy. Elle se serrait très fort contre moi et je me sentais protectrice, un peu comme une mère avec son enfant. Sauf que mes idées étaient tout sauf maternelles ! J’ai quand même été raisonnable au début, pour ne pas la bousculer. Mais elle se collait si fort contre moi que je sentais les pointes de ses petits seins qui appuyaient contre mes grosses mamelles. Ca me faisait beaucoup d’effet, tout comme son souffle court qui se perdait dans mon cou. Elle avait mis l’une de ses cuisses entre mes jambes et je mourais d’envie de me frotter dessus, comme elle l’avait fait l’après-midi même en se branlant sur la mienne. Brusquement, je sentis ses petites mains descendre dans mon dos et se rapprocher de mes fesses. Elle les caressa un moment, d’abord doucement puis de plus en plus énergiquement à mesure que le désir montait en elle. Bientôt, elle a saisit le bord de ma robe et elle a commencé à le faire remonter sur mes reins.
J’ai fait pareil dans son dos mais je suis allée jusqu’au bout. J’ai fait monter sa robette jusqu’à ses épaules et je l’ai complètement retirée. Comme elle ne portait pas le moindre sous-vêtement, elle s’est retrouvée entièrement nue. Elle ne portait plus que ses chaussures. Encouragée par mon geste fou, elle m’a déshabillée à mon tour. J’étais en soutien-gorge et en slip dans mon salon, avec une jeune fille à poil. Nous avons continué à danser ensemble encore un moment, tout en nous caressant de plus en plus. Elle avait remis ses mains sur mon cul et, toujours sans m’avoir retiré mon slip, elle la faisait glisser dans ma raie, là où la peau est très sensible, dans l’espace qui recouvre les abords immédiats de l’anus et le bas de l’orifice vaginal. Je la sentais très excitée et désireuse de me faire du bien. De mon côté, j’avais posé la paume d’une de mes mains sur l’un de ses seins et j’appuyais délicatement dessus, savourant le contact de ma peau sur le petit bouton dardé que je faisais tourner légèrement. Mon autre main reproduisait sur elle les attouchements scabreux qu’elle me faisait subir.
A ce rythme là, les choses n’ont guère tardé à dégénérer. L’atmosphère de la pièce devenait très lourde et chargée en érotisme. Le doigt fureteur de Maude commençait à me faire couler et je sentais bien du bout de mon index que sa propre fente devenait également toute moite. Alors je me suis dégagée de l’emprise de ses bras et j’ai cessé de me trémousser. Au moment où je reculais, j’ai senti qu’elle voulait rester accrochée à moi, qu’elle désirait par-dessus tout conserver le contact de ma vieille chatte sur sa cuisse. J’ai quand même insisté pour prendre un peu de recul. Là, je l’ai regardée un bref instant, admirative de ses jeunes formes. Elle était vraiment troublante, toute nue sur ses hauts talons. Je notai avec satisfaction que, par rapport à l’après-midi, elle avait singulièrement diminué l’épaisseur de sa touffe. Il ne subsistait plus autour de sa vulve qu’un minuscule petit tapis de poils coupés très courts.
Echauffée tant par le spectacle indécent qu’elle me donnait que par les caresses impudiques qu’elle venait de me dispenser, je l’ai tiré derrière moi pour l’amener s’asseoir à mes côtés sur le canapé. Elle m’a suivie sans rien dire. Nous n’avions pas échangé plus de quelques mots depuis notre arrivée dans mon appartement. Je l’ai installée bien au bord du siège, tout comme moi. Dès qu’elle a été en place, j’ai lancé mes doigts à l’assaut de sa chatte. Pour pouvoir mieux m’occuper d’elle, j’ai eu l’idée de prendre sa jambe la plus proche de moi et de la passer par-dessus la mienne. Elle s’est laissée couler contre le dossier du canapé pour bien s’offrir à mes caresses mais son bras est parti entre mes cuisses. Elle n’était pas résignée à se laisser tripoter sans réagir. J’ai tourné la tête et j’ai fourré ma grosse langue entre ses lèvres pour aller chercher la sienne qu’elle s ‘est empressée de me donner.
Ma bouche n’a presque plus quitté la sienne pendant tout le temps où nous nous sommes masturbées réciproquement. Sa langue dansait avec la mienne, nos salives se mélangeaient. Elle embrassait bien pour une fille de son âge. Elle me fouillait entièrement la cavité buccale, l’intérieur des joues, tout en gémissant de plus en plus. J’avais moi-même beaucoup de mal à retenir mes propres gémissements. Nous respirions fort toutes les deux. J’étais surexcitée. Je sentais qu’elle était également très chaude car elle remuait du bassin sur le siège du canapé, pour venir à la rencontre de ma main avec son sexe. Elle faisait tourner son vagin autour de mes doigts qui s’y étaient introduits facilement. J’avais d’abord planté mon index dans son trou mais elle en a réclamé plus. Dans un souffle, elle m’a dit : » Mets-en encore un ! « . Trop heureuse de lui faire ce plaisir, je lui ai également enfilé le majeur voisin dans la chatte, jusqu’à la garde. Mes phalanges baignaient dans son jus brûlant. J’étais bien.
De son coté, elle ne restait pas inactive. Une main posée sur mon entrejambe, l’autre sur ma poitrine, elle semblait vouloir faire le maximum pour me contenter. Elle m’avait déjà avoué dans l’après-midi combien elle appréciait mes gros lolos et elle m’en donnait la preuve une fois de plus. Si, dans les toilettes de la plage, sa bouche avait honoré mes longues tétines brunes, ce soir, c’était ses doigts qui se montraient terriblement efficaces. Elle était très vicieuse car elle me caressait les bouts à travers mon soutif. Elle me l’avait laissé, tout comme mon slip. Mes sous-vêtements couleur chair devaient l’exciter car elle ne paraissait pas vraiment pressée de me les ôter. Plus bas, ses doigts me massaient les alentours immédiats de la vulve à travers mon slip dont l’intérieur était complètement barbouillé de mouille. Je ressentais des frissons à chaque fois qu’elle les faisait passer sur ma fente qui débordait de jus.
Finalement, elle a perdu patience et elle a introduit sa petite main dans ma culotte. Elle a formé une conque avec ses doigts et elle a appuyé sur ma motte avec. Elle pressait la partie dure de sa paume sur mes petites lèvres, au milieu desquelles mon clitoris réclamait sa dose de caresses. Il était raide et bandé. Elle devait sentir la pointe contre sa peau et c’est sans doute la raison pour laquelle elle fit un peu tourner sa main tout en enfilant ses doigts dans mon minou qui les avala avec gourmandise. J’étais folle de désir pour elle et je renversai la tête en arrière pour savourer ses attouchements exagérément troublants. Ses lèvres restèrent collées aux miennes même à cet instant et les mouvements de sa langue dans ma bouche se firent encore plus excitants. La soirée ne faisait que commencer mais j’étais déjà presque prête à jouir sous les caresses de Maude, ma jeune gouine perverse. »
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