Viens voir ici Thomas !
Oui Madame Annie.
Assied toi non avons à parler tous les deux.
Je m’installe sur le fauteuil en face d’elle. Elle porte un chemisier blanc qui laisse deviner, un soutien gorge noir et une jupe suffisamment relevée pour que mon regard soit attiré, mais ses jambes sont croisées.
Tu sais j’ai parlé avec ta tante , une femme charmante avec laquelle je me suis très bien entendue, et elle m’a révélée de drôles de choses à ton sujet.
Comment cela, Madame ?
Elle m’a dit que tu étais un petit vicieux.
Je deviens tout rouge et en sais pas quoi dire, mais malgré la honte Je ressens immédiatement une lourdeur agréable dans le bas-ventre.
Elle m’a en effet parlé de ton goût immodéré pour les culottes de femmes. Surtout paraît il, celles des femmes mures.
Mais, c’est à dire que …
Allons, allons, tu ne va pas me dire, que c’est faux, ta tante été assez explicite à ce sujet.
Elle m’a même avouée t’avoir surpris en train de fouiller son petit linge intime, d’en le but inavouable de te masturber en le reniflant.
Et d’après elle tu ferais la même chose avec mes petites culottes ?
Je n’ose imaginer que c’est vrai Thomas !
Elle croise puis décroise plusieurs fois les jambes en passant négligemment une main sur ses cuisses pleines…sa jupe remonte de plus en plus, laissant presque voir sa petite culotte.
Thomas répond moi ! Est ce vrai ?
Je baisse les yeux n’osant lui avouer la vérité.
En tous cas je vois que tu ne proteste pas, petit vicieux !
Tu te rends compte si Elodie était mise au courrant de cela ?
Vous ne feriez pas ça ?
Ce serait pourtant de mon devoir de mère de le faire.
Je vous en prie je ferais ce que vous voulez !
En tous cas tu mérite une punition ! N’est ce pas Thomas ?
Certainement madame Annie.
Alors regarde.
Elle écarte lentement les cuisses, et je peux apercevoir le renflement de son sexe enveloppé dans une culotte blanche. Je suis pris d’une érection foudroyante.
Mes yeux son fixés sur l’empiècement de sa culotte, le tissu du slip moule étroitement sa motte bombée, épousant les bourrelets de sa chatte, s’enfonçant même légèrement dans sa fente.
j’essaie d’imaginer la chatte qu’il cache. Comment est son sexe? A-t-elle de grosses lèvres? Son clitoris est-il très développé, comme celui d’Elodie? Ou bien possède-t-elle un bouton minuscule? Ces pensées me plongent dans un trouble indéfinissable.
Alors que j’ébauche un mouvement pour me lever et aller vers elle,
elle m’arrête aussitôt :
Reste à ta place…s’il te plaît!
Malgré le sourire, le ton est plutôt autoritaire et je reste prudemment assis. Où veut-elle en venir ?
Elle ouvre encore plus grand le compas de ses jolies cuisses. Bon dieu qu’elle est bandante dans cette position, offerte sans aucune pudeur ! Le bombé de son entre jambes me fascine.
Le tissu moule si étroitement sa chatte qu’il ne cache absolument plus rien ! Au contraire, il épouse si bien le sillon de ses lèvres intimes que la vérité m’apparaît soudain : sa chatte est rasée! jamais je n’avais imaginer, la mère d’Elodie ainsi.
Mon sexe de plus en plus douloureux soulève mon pantalon léger par saccades. J’esquisse un geste pour l’empoigner lorsqu’elle me lance en riant.
N’y pense même pas !
Le ton est toujours aussi ferme.
Elle est sûre de son pouvoir, cela se lit dans ses yeux.
C’est ma règle du jeu…si tu te touches, avant que je te l’ordonne j’arrête tout !
A suivre…
Je suis sur qu’elle en serait parfaitement capable et je me garde bien de tenter quoique ce soit !
Maintenant ta punition va commencer, Tu va subir l’épreuve du tourniquet !
– Le tourniquet ?
– Oui le tourniquet. C’est comme cela qu’on dresse les chevaux et les garçons vicieux comme toi.
Elle saisi une chaise qu’elle place au milieu de la pièce, puis une autre qu’elle place à environ deux mètres. Elle s’ assoie sur une et me dit.
– Allez, approche !
Place-toi debout devant moi !
Je me lève et me plante devant elle, le cœur battant en attendant ses instructions.
-Baisse ton pantalon !
Celui-ci se retrouve vite en tas à mes pieds, je suis entièrement nu devant elle, le sexe complètement tendu.
-Oh mais tu sais que tu es très désirable ainsi et je vois que tu mouilles déjà. C’est mal parti pour toi.
Elle a effectivement raison, une grosse larme transparente est en train de sourdre au bout du gland.
Elle s’empare de ma queue et commence à monter et descendre, sans serrer, sa douce main le long de la hampe. De l’autre main, elle enveloppe entièrement mon gland turgescent et s’amuse à faire glisser son pouce sur le méat, étalant la gouttelette translucide qui en sort.
Un, deux, trois, quatre, cinq.
elle en rajoute encore en promenant tout doucement son index sur sa fente, grattant délicatement le tissu avec ses ongles parfaits.
Je suis sûre que tu m’imagines toute nue, hein, petit cochon, avec ma chatte exposée a ton regard , comme dans tes rêves les plus coquins ! Avoue-le et je t’en montre encore plus !
Oui Madame Annie, j’avoue vous me faites fantasmer oui madame Annie, je renifle vos culottes et votre odeur me fait jouir.
Je baisse les yeux, étonné mais plein d’excitation. Elle me relâche, me fait tourner sur place pour que je lui tourne le dos et place doucement mes mains derrière mon dos. Je la laisse faire, tellement je suis subjugué par son comportement. Elle se lève brusquement et quand j’entend le claquement des menottes, j’ai les mains attachées dans le dos.
– C’est mieux si tu es attaché pour faire ça. Ne te fais pas de soucis, ce sont des menottes protégées. Ça ne coupe pas. Allez, on commence, fais le tour de la chaise en face et reviens.
Au début, au moins, ce qui m’arrive ne me déplait pas et j’obéis. Le jeu consiste à faire le tour de la chaise et à revenir une fois en face d’elle, je l’entends compter « Un, deux, trois, quatre, cinq » pendant que sa main s’occupe de mon érection qui apprécie, puis je lui tourne le dos, je fais un petit tour en contournant la chaise et je reviens me faire caresser cinq fois. C’est bon et elle le voit. Au début, elle ne fait qu’attiser mes fantasmes. Je sens son regard se porter sur ma verge tendue et elle dit des choses comme.
-Tu ne trouves pas qu’elle serait plus excitante, ma petite chatte, si je tirais sur le tissu ?
Alors en me regardant droit dans les yeux, elle saisit délicatement sa petite culotte à la taille puis tire l’étoffe vers le haut, toujours plus loin…
comme ça ?
Ma queue tétanisée tressaute dangereusement, je suis au bord de l’éjaculation Je voudrais hurler, mais c’est un gémissement qui sort de ma bouche.
-Oh madame Annie vous me faites bander trop fort !
-Et ça ne fait que commencer !
Me répond-elle !
Cette fois-ci, elle tire si bien sur l’étoffe que celle-ci disparaît presque entièrement entre ses grandes lèvres pulpeuses, rasées aussi loin que je puisse voir. Elle ne semble pas complètement satisfaite du résultat car elle saisit délicatement ses lèvres l’une après l’autre pour les étirer au maximum et enfouir sa petite culotte devenue ficelle au plus profond de son intimité.
C’est encore plus obscène comme ça, tu ne trouves pas ?
À un passage, je viens de lui tourner le dos et j’ entend
– Ne serre pas tes petites fesses. C’est joli, ce petit cul d’éphèbe.
Pendant les premiers tours, je viens me placer face à elle. Elle me caresse la verge d’une main et vient placer l’autre sous mes testicules, comme pour les porter du bout de ses doigts. Inversement, d’autres fois, elle les pousse vers le bas. Il est vrai que je les sens venir se nouer sous ma verge tendue et j’en suis gêné pour me déplacer. Je ne sais plus combien de tours je fais entre ces deux chaises, mais ça dure très longtemps et c’est bon. Quand même, je sens que je vais bientôt jouir, surtout qu’à chaque passage j’ai les yeux rivés sur l’échancrure de sa robe, d’où dépasse la bretelle de son soutien-gorge rouge. Elle s’en aperçoit, et referme son bouton et me fait me placer devant elle, de profil cette fois-ci, en ajoutant :
– Je n’ai pas envie d’être trempée par une éjaculation intempestive !
Et le tourniquet infernal continue. En fait, je sens bien la jouissance me gagner, mais chaque fois tout s’interrompt avant. Je ne suis jamais caressé de la même façon. Tantôt, elle laisse glisser doucement ses doigts de la racine au bout de ma verge, tantôt elle la frictionne vigoureusement, mais toujours en comptant jusqu’à cinq. Elle m’a fait mettre de profil et il lui est facile de poser la main qui ne me branle pas sur mes fesses, en les faisant frissonner ou en y appliquant des claques, tout me disant :
– Cesse donc de serrer tes petites fesses comme ça ! Tu comprends bien que tu jouiras seulement quand je le voudrai.
Je me force à rester décontracté. Deux fois, je reçois de fermes claques sur les fesses parce qu’elle trouve que je reste trop longtemps devant elle après avoir reçu les cinq caresses. Les claques sont suivies de :
– Allez vite! Le tour de la chaise et reviens !
Progressivement, j’en arrive à un point où je suis totalement sous sa dépendance. Elle m’arrache des gémissements, parfois des cris. Je me suis mis à marcher plus vite, croyant qu’ainsi j’arriverais à jouir… C’est inutile. Je ne récolte que des sécrétions prostatiques qui perlent au bout de mon gland et qui viennent se coller sur mon ventre ou mes cuisses lorsque je coure, la verge battante. Je veux saisir ma verge entre mes mains et la serrer fort, mais j’ai les mains attachées dans le dos. Je crois que courir est la solution. Je suis à bout de souffle et chacune de mes respirations n’est plus qu’un gémissement du plaisir qu’elle me donne et qu’elle contrôle totalement. Je suis son objet, et je n’existe plus que par le plaisir qu’elle veux bien me donner.
-Je suis sur que tu es à bout petit vicieux.
Elle se lève retire sa culotte et me l’enfile sur la tête, l’entrecuisse juste sur mon nez.
Humm son odeur puissante, m’amène aux portes de l’éjaculation
-C’est ce que tu aimes, petit vicieux cette bonne odeur de femelle en chaleur.
Elle s’est déjà rassise, les fesses cette fois-ci tout au bord de la chaise. Sans cesser de me regarder dans les yeux, elle s’adosse confortablement, très en arrière et remonte ses jambes lentement, les mains sous les genoux qui touchent bientôt sa poitrine. Cette fois-ci, il n’y a pas de slip pour m’empêcher de voir sa chatte totalement exhibée et son petit anus entouré d’une légère pilosité collée par le désir. La tension monte d’un cran lorsqu’elle saisit délicatement ses grandes lèvres en les écartant doucement, faisant apparaître le cratère rose de son vagin et dégageant son clitoris gonflé. Pendant tout ce temps, sa langue s’agite et me provoque.
Tu vois comme je suis mouillée petit vicieux.
Puis elle a prend ma verge entre son pouce et son majeur et, tout en en frottant le bout avec son index, elle me dit.
– Bon. Allez. Je veux que tu y arrives, maintenant. Je vais te faire jouir, mon bébé laisse toi aller. Je veux voir ta jute gicler pour moi !
Je me tend, poussant ma verge en avant et je suis pris d’un vertige proche de celui de mes tout premiers orgasmes ; sensation délicieuse qui me semble interminable. C’est divin ! Mon souffle s’accélère, à présent. Elle tire désormais avec énergie la peau de mon sexe jusqu’à tendre le frein, puis remonte doucement. Elle recommence encore, jusqu’à presque me faire mal, puis revient tout en douceur. Je me raidis, au bord de l’orgasme.
Elle arrête encore, mon ventre est un soufflet lancé à toute vitesse, mes poumons expulsent et inspirent de l’air comme si ils allaient en manquer, je crois que le supplice va continuer, mais elle replace ses doigts plus bas sur la hampe et mon gland moins sollicité semble consentir à surseoir à son envie de se lâcher.
Du bas de mon membre hypertendu, elle tire la peau élastique et sensible, puis la repousse. La lubrification massive assure la fluidité des mouvements, et si le plaisir est immense, il ne menace plus de tout faire exploser. Elle continue avec ce traitement, et je l’imagine suffisamment experte pour être satisfaite d’avoir pu retarder l’éruption finale.
Je m’aperçois alors que j’émets des râles discrets mais de plus en plus perceptibles, et je sais que la fin est proche.
Soudain, son pouce quitte le reste de ses doigts et vient appliquer une pression ferme sur le frein, à la base de mon gland décalotté, provoquant une décharge de plaisir et un râle plus fort.
Chut me dit elle, tandis que son pouce immobile et sa main active continuent de me masturber en accélérant le rythme. Chaque va-et-vient désormais risque de me faire exploser à tout instant. Le pouce titille une partie très sensible de mon sexe..
Je me contracte alors violemment quand, poussant un cri strident, je laisse éclater ma jouissance, propulsant avec force dans de multiples salves des jets de sperme chaud qui atterrissent sur le sol, pendant qu’elle accélère encore le mouvement sur ma verge, comme pour en extirper les restes de plaisir qui y seraient encore emprisonnés. Je sens son pouce inondé qui vacille un peu, caressant encore mon gland à vif. C’est comme une réaction en chaîne que rien ne semble pouvoir interrompre, la jouissance engendrant plus de jouissance encore.
Alors que cet excès de plaisir semble sur le point de se transformer en douleur et irritation, comme prévenue elle arrête ses mouvements. Elle fait glisser ses doigts au bout de mon pénis, et d’autorité recouvre de mon prépuce le gland fatigué, me donnant une impression agréable de sérénité et de sécurité, maintenant fermement l’incendie dans un puits humide qui l’apaise progressivement.
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