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rencontre dans le train brive paris

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Après des vacances passé dans l’Aveyron je remontais à paris lieu de mes études.
A Brive changement de train, c’était à l’époque des wagons à compartiments.
Il y avait peu de monde, je dépose mes bagages et je m’installe avec mon walkman.
La porte du compartiment s’ouvrit et une Dame d’une bonne 40 années à la chevelure rousse,, des yeux verts cachés par des lunettes et un sourire à damner un curé de campagne, un léger rouge à lèvre. Elle me sourit et me demanda avec son sourire malicieux : Pouvez me monter ma valise svp ?
Avec plaisir Madame.
A l’époque j’étais musclé puisque je faisais en moyenne 4h à6h de sport par jour pour mes études. Ce fut avec une certaine facilité que sa valise monta rejoindre mon sac.
Elle s’installa en face de moi vêtu d’un chemisier blanc et d’un pantalon de cuir en daim marron.
Nous avons conversé un moment quand je lui ai proposé d’aller boire un café au wagon restaurant, à cet époque il y avait la possibilité de manger dans un wagon avec des tables et un service digne d’un restaurant.
Elle me dit non je vous invite à manger.
Nous nous installons à une table et nous commandons une assiette anglaise suivie d’une assiette de saumon fumé, un petit vin vient agrémenter le tout.
J’étais gêné je l’avoue mais j’étais fier d’être avec une femme si belle, d’autant plus que j’aurai pu être son fils. Durant le repas elle me souriait et ses yeux se fondaient dans les miens.
Le repas terminé nous avons regagné notre compartiment, je marchais devant elle quand soudain mettant poussait pour laisser passer des personnes, je sentis une main caressant mes fesses rondes et musclées de sportif. Je ne dis rien mais dans mon bassin un bouillonnement se fit sentir.
Je me suis retourné et nous nous sommes embrassés tendrement.
File que notre compartiment soit vide.
Il le fut et nous pouvions le fermer et vérifier si les places étaient réservées mais rien de réservé.
Elle ferma la porte et mis le loquet, elle ferma les rideaux.
Elle s’approcha de moi me caressa mon jean.
Hum tu es déjà dur, j’adore les petits jeunes sa bandes dur et sa rebande de suite.
Sort ton sexe.
J’enlevé mon polo et enlevé mon jean et mon caleçon.
J’étais nu devant elle.
Elle s’assit et me pris le sexe dans ses mains.
Tes copines doivent s’amuser tu es bien gaulé tu bandes dur. Sais-tu t en servir ????
Approche.
J’aimais ses petits ordres.
Elle approcha ses lèvres, tu sens bon.
Elle crachat dessus et me caressa le sexe sur toute sa longueur soupesa mes bourses.
Et d’un coup engloutit mon gland tout en me caressant les bourses.
Hum
Tu aimes ?
J’adore bien sûr.
Elle enfonça sa bouche autour de ma queue en me regardant dans les yeux. C’était magique.
Je m’abandonnais à ses caresses.
Elle se mit à me caresser ma raie culière, c’était agréable.
Elle retira sa bouche de mon sexe me regarda et lécha son majeur elle y mit beaucoup de salive puis elle reprit sa fellation. Je sentis son doigt caresser mon anus puis délicatement elle l’enfonça et elle vient me le mettre totalement
Elle le ressortit et lécha deux doigts le majeur et l’index qu’elle introduit dans ma rondelle elle les fit coulisser profondément, intensément.
Tourne-toi elle me lécha l’anus et introduisit sa langue dedans tout en me branlant puis elle me retourna.
Elle reprit sa pipe baveuse avec ses doigts dans mon anus. Elle me dit lâche toi.
Ose.
Crache ton jus
Montre-moi que tu aimes
Je pris sa tête et fis des va et viens. J’allaitais elle aspira et poussa ses doigts sur ma prostate.
J’éjaculais à grands traits je sentais mon gland grossir et avoir des spammes et des jets paraient dans sa bouche. Elle avala et continua à me sucer.
Tout homme qui a eu ce traitement sait qu’après l’éjaculation le gland est douloureux mais c’est si bon de se faire sucer encore et encore.
Elle me lâcha je tombais sur la banquette. Elle vint m’embrasser me dorloter pendant un moment.
Maintenant à toi de m’occuper de moi.
Elle se leva déboutonna son chemisier et enleva son pantalon de daim.
Elle m’apparut en lingerie de soie blanche, je n’en avais que dans les boutiques de lingerie, là je pouvais toucher sentir lécher.
Je l’ai prise dans mes bras et je l’embrassais tendrement, suavement, goulument.
Mes mains caressaient ses seins oh ils n’étaient pas gros mais le contact de la soie et dans mes mains les rendaient durs. Les mamelons pointaient, durcissaient, s’érigeaient.
Je me penchais et lui léchais les globes de seins sur son soutif que mes doigts dégrafaient.
Je glissais vers son entre jambe tout en la caressant je sentais ses fesses fermes rondes. Le tissu rendait ses caresses existantes depuis je suis devenu fétichistes de ses tissus que j’aime offrir à mes maitresses.
Ma main est partie à la conquête de son bouton de rose.
Je le sentais déjà dur sous le tissus et ses lèvres se gonflaient d’amour, la liqueur de son abricot humidifiait ce tissu si délicat.
Je me mis à genoux et lui demanda de s’assoir
La je puis approcher ma langue. Je ne pu résister à lécher se tissus c’était bon.
Le parfum de ce fruit si raffiné me rendait fou de désir mais je devais me retenir, j’écartais le tissu et là je vis pour la première fois de ma vie un sexe lisse, sans poil. Elle se leva et baissa sa culotte de soie. Elle écarta ses cuisses pris ma tête la posa sur son sexe que je bus.
Je le léchais doucement tendrement sans à-coup juste ce qu’il faut. Je rentrais la langue dans le sexe et je remontais aspirer cette tige turgescente qu’est le clitoris je le décalotte avec mes lèvres et l aspirais.
Elle jouit d’un coup et m’inonda ma bouche d’un jus sucre et acre à la fois elle m’imposa de l’avaler je le bus en entier c’était trop bon
Nous fîmes un tendre câlin puis elle se baissa et suça mon sexe.
Il se raidit assez vite.
Elle mit ses mains sur l’assise des fauteuils et m’offrit ses fesses. Le sida n’existait pas je m’introduis en elle c’était chaud suave
Je viens buter au fond de cet antre de l’amour et du désir et du plaisir. Elle gloussa.
Après quelques allez retour elle me dit lèche moi l’anus.
Je n’avais jamais fait ce style de caresse je le fis et découvris ce plaisir si agréable d’enfoncer ma langue dans l’anus et de voir une rondelle s’ouvrir sous mes yeux.
Maintenant sodomise moi.
je pris mon sexe dur comme du bois, l’avantage d’être jeune.
Et je le mis sur sa rondelle déjà bien humide de ma salive elle vient à la rencontre de mon gland turgescent je la saisie par les hanches et je m’enfonçais tout doucement dans ce conduit anal.
C’était brulant et serré. Maintenant laboure moi
Je lui ai maintenu les hanches et je me suis lâché comme jamais j’avais osé le faire. Si bien que je l attrapais par sa chevelure et je lui ai dit
Tu aimes ça salope tu aimes te faire enculer
Oui
Tu es une chienne
Oui je suis une chienne
J’aime ta bite que me défonce mon trou
Laboure moi salop
Je me suis pris au jeu l’insultant la labourant la pénétrant avec des coups de butoirs.
Puis dans un élan j’éjaculais dans ses entrailles elle se mordit la main et ses jambes flageolaient. Elle était prise de spammes je les sentais autour de mon sexe qui lui n’en finissait pas d’éjaculer des jets.
Elle ressortit mon sexe et le mis dans sa bouche je n’en croyais pas mes yeux.
Elle m embrassa
elle me tendit sa culotte
Cadeau
Tu te branleras dedans mon salop
Elle me donna le numéro de sa chambre d’hôtel et durant une semaine tous les soirs ce fut l’amour le désir partage/
J’ai découvert le fait de sentir un gode pénétrer mes entrailles.
Pour le dernier soir elle invita une collègue de travail et son mari et là ce fut une autre histoire.
Dites-moi mesdames et messieurs si vous aimez
osez me dire en PV vos désirs les plus secrets j’essaierai de les écrire///
bisous

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