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Une petite salope

Une petite salope



Je croisais souvent ma petite voisine en rentrant du boulot le soir. Elle étudiante maintenant et ses parents m’avaient invité à la fête qu’il avaient fait pour fêter les dix-huit ans de leur fille.
Elle était mignonne. Je n’avais eu que des fils et je regrettais de ne pas avoir eu une fille. Quelques jours après son anniversaire, je l’avais croisée dans la rue et elle avait rabaissé les manches de son tricot sur son avant bras. Je lui ai demandé pourquoi elle avait rabaissé sa manche et elle avait rougi avant de remonter sa manche sur son bras et j’avais pu voir qu’elle s’était faite faire un tatouage. C’était assez joli, filiforme et ça représentait une fleur. Ma voisine m’a expliqué que ça voulait la représenter, elle et j’ai fait semblant de la comprendre. Elle est rentrée chez elle et je suis rentré chez moi.
Je préparais mon dîner quand j’ai jeté un œil par la fenêtre de la cuisine. La petite voisine était allongé dans un transat dans son jardin. Elle a regardé à droite et à gauche puis elle a retiré sa robe. Elle n’avait plus qu’un soutien-gorge et un string sur elle. Je n’ai pas vraiment vu ce que faisaient ses doigts mais j’ai vu le mouvement de son coude et j’ai compris qu’elle se caressait et ça a duré cinq minutes puis elle s’est à nouveau allongée dans le transat puis elle a descendu son string sur ses genoux et elle a passé les jambes de chaque côté du transat puis elle a accéléré le mouvement. De temps en temps, elle jetait la tête en avait comme si elle voulait voir le travail de ses doigts puis elle rejetait sa tête en arrière. Je suis allé chercher mon appareil photo. J’avais fait des photos d’oiseaux la semaine précédente et le 300mm était monté dessus et j’ai photographié la fille des voisins. Elle n’arrêtait pas de se masturber et elle y mettait une sorte de rage puis elle a écarté son soutien-gorge. Elle n’avait pas vraiment de poitrine mais ses mamelons valaient quand même le coup car ils étaient gros comme des dés à coudre. Une main entre les cuisses, une autre sur ses mamelons. Elle les pinçait et les roulait entre ses doigts puis tout à coup, son corps s’est tendu. La fille a soulevé les fesses et j’ai compris qu’elle avait joui. Elle a levé sa main droite. Je ne voyais pas très bien et c’était comme si un fil reliait le bout de ses doigts à sa chatte. Elle tirait dessus tout doucement puis elle a mis ses doigts dans sa bouche, tous ensemble.
J’ai jeté un œil à la pendule. Ça durait depuis une bonne demi-heure et sa mère a dû l’appeler parce que la fille s’est affolée. Elle a remis sa robe et elle a quitté la terrasse.
Fin de l’épisode.
J’ai vidé la carte dans mon ordinateur et j’ai imprimé quelques photos mais c’était quand même décevant parce qu’on ne voyait pas son visage. Quelques jours plus tard, j’ai croisé ma petite voisine dans la rue. Je lui ai demandé si elle a fait un nouveau tatouage mais elle n’en n’avait pas. Elle m’a dit que ça coûte cher si on veut quelque chose de bien.
– Combien ?
– Je ne sais pas ! Celui-ci m’a coûté cent euros, a-t-elle ajouté !
– Tu as besoin de combien ?
– Vous êtes fou ! Je ne vais pas vous demander de m’aider pour ça ! Je peux attendre !
– Non ! Ça me ferait plaisir de t’aider pour ça ! Avec cinq cents euros, tu pourrais faire quoi ?
Elle m’a expliqué qu’elle pourrait commencer une manche. Je ne comprenais pas ce que ça voulait dire et elle m’a décrit ce qu’elle voulait faire.
– Et tu crois qu’un garçon t’aimera parce que tu fais tout ça ?
Elle a haussé les épaules puis elle a ajouté que c’était tant pis pour eux. Je lui ai dit que je peux lui en donner mille.
– Vous feriez ça ? Qu’est-ce que vous voulez en échange ? Baiser avec moi ?
Je n’avais pas pensé à ça et je lui ai demandé si ça plairait à ses parents si elle avait le bras tatoué de l’épaule au poignet. Elle s’est contentée de rire puis elle m’a reparlé de l’argent.
– On passe à la banque et je coucherai avec vous, a ajouté ma petite voisine ! A moins que vous n’ayez quelqu’un dans votre vie ?
– Non, j’ai personne ! Je me branle !
– Quoi ? Ah, j’ai compris !
– Je te choque ? Tu ne fais jamais ça ?
– Si, parfois et j’aime bien, m’a répondu ma voisine ! Je vous choque ?
J’ai pris le chemin de la banque et elle m’a suivi. Elle m’a répété plusieurs fois qu’elle couchera avec moi en échange de l’argent pour ses tatouages. J’ai tiré mille euros et je les lui ai donnés tout en lui disant que si elle change d’avis, je ne lui en voudrai pas. Trois semaines plus tard, sa manche était complètement terminée. Au milieu de feuilles et de fleurs, il y avait un visage.
– J’en ai fait un autre rien que pour toi, m’a dit ma petite voisine alors qu’elle renfilait son gilet.
– Ah bon ! C’est quoi ?
Elle m’a répondu que je le verrai bien. Elle a ajouté que mercredi soir, elle sera seul et elle m’a invité à venir chez elle mais je lui ai répondu de venir plutôt chez moi.
Je l’ai fait entrer. Elle m’a tendu la joue et j’ai cherché en vain à coller mes lèvres sur ses lèvres puis elle a ajouté qu’on a le temps pour la suite et elle m’a proposé de me faire un strip-tease et elle s’est exécutée. Maintenant je l’avais vue de face et je ne pouvais plus lui cacher l’intérêt que j’avais pour elle. Ma bite faisait une énorme bosse dans mon pantalon. La fille s’est allongée sur le lit puis elle a écarté les cuisses et je l’ai pénétrée. Je ne lui en voulais pas de m’avoir menti sur le prétendu tatouage mais quelques semaines plus tard, elle me l’a montré. En travers de ses reins, elle s’était faite tatouer mon prénom. Je lui ai demandé si c’est vraiment moi. C’était bien ça.
Un soir, elle a fait irruption chez moi pour me dire que ses parents l’avaient mise à la porte et elle m’a demandé de l’héberger. Ça faisait plusieurs fois qu’elle venait faire l’amour avec moi et cette fois, elle a passé toute la nuit à faire des galipettes avec moi. Peu de temps après, j’ai eu l’occasion d’acheter un appartement à l’autre bout de la ville et j’ai mis ma maison en vente. Nous avons pu emménager ensemble. Au début, je l’ai faite passer pour ma fille mais quand il a été impossible de cacher sa grossesse, les voisins se sont mis à jaser. J’étais d’autant plus heureux que ma compagne attendait une fille. Etait-elle de moi ? J’avais peur de lui poser la question.
En tout cas, ça dure depuis plusieurs années.

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