Qui vient là ? C’est quoi ça ?
Je sens un petit doigt qui me titille mon petit trou intime. Je mentirais si je disais que cela ne m’a pas plu, et c’est peut être pour cela que j’ai crié, doucement au début, puis de plus en plus fort, pour qu’on ne pense même pas à y aller plus loin. Je serrais alors mes fesses de toutes mes forces, pour bloquer cet accès.
A ma 3ème ou 4ème protestation, ce petit doigt, ou devrai – je dire index se retira. Et c’est alors que je réalisais que plus aucune queue ne s’occupait de moi. C’est alors que je relevais mon bandeau pour voir tous mes amants étaient affalés, qui sur le lit, qui sur une chaise et avaient la queue toute molle après une belle jouissance.
C’est alors que Philippe me tendit son préservatif et me dit :
– Tiens…….. Bois !
Le fixant d’un regard emmêlé d’amusement et de dégout, je pris cette fine membrane en plastique et la renversa dans mon gosier pour la vider jusqu’à la dernière goute.
– C’est une vraie salope ton amie, mais qu’est ce qu’elle est bonne…….. Putain ! Des comme ça j’en ai pas vu beaucoup !
Cette remarque fit l’approbation de toute l’assemblée, alors que moi je me délecté de cette semence prise au piège de mes fines lèvres.
Après une bonne ½ heure, et après que tout le monde se soit remis de ces émotions, de ces intenses jouissances, ils remirent le couvert.
Me soulageant de cette gaine, qui je dois dire m’étouffait un peu, je sentais toutes les mains caresser mon corps nu, mon corps qui est à leurs merci. Je prenais plaisir à ressentir ces doigts courir sur ma chair, sur ma peau, mon ventre, mes cuisses, ma chatte. Je tortillais du cul comme pour éteindre le feu qu’ils sont entrain de raviver tout au fond de moi. Mais cela n’a pas l’air de faire son effet, bien au contraire, je me sens de plus en plus enflammée, chaude, excitée.
C’est alors que mon ami s’allongea près de moi et me dit :
« Viens ! Pompe – moi la bite ! »
Je tendis mes lèvres vers son membre tout mou et commença à le lécher, le faire de petites bises toutes chaudes. Ce qui eu pour effet de lui redonner vigueur. Timidement au début, plus j’insistais et plus cette vigueur s’accentuait.
Je senti alors deux mains se poser sur mes hanches pour relever mon bassin. Une langue vint rajouter un peu de salive à ma sécrétion vaginale. Puis deux doigts ont pris place dans ma chatte pour s’assurer de la bonne température des lieux.
En ressortant tout humide de mon puits d’amour, il étala mon breuvage entre la raie de mes fesses. Je pompais du mieux que je pouvais le zob de mon ami ainsi qu’une autre bite qui vint se joindre aux festivités buccales que j’appliquais.
Les deux doigts, inquisiteurs disparurent, pour laisser champs libre à une bite bien chaude qui se logea entre les lèvres charnue de mon sexe. En poussant tendrement tout doucement, on combla le vide de mon jardin intime.
Mon producteur de plaisir pris son temps pour mettre bien à fond la tige toute raide qu’il avait entre ses jambes. Il imprima alors de doux et long va et vient dans mon fourreau tout humide et affamé.
Il quitta mon sexe pour y replonger quelques secondes plus tard en poussant bien profondément dans ma grotte secrète. A chaque nouvelle pénétration, une longue plainte de bien être s’échappait de mes lèvres alors que je continuais à sucer les deux queues qu’on m’avait offertes.
Ce jeu dura quelques minutes, il m’enfila bien à fond, pour ressortir sa queue de ma chatte et en voulant la remettre en place, il frappa à la porte étroite de mon cul, mais s’aidant de sa main, il replaça son membre à l’entrée de ma chatte pour me la mettre bien à fond.
Un plaisir, oui un vrai plaisir.
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J’étais tellement bien, des étoiles brillaient dans ma petite tête de jouisseuse, que je ne comptabilisais plus les passages répéter de cet acteur.
Cette bite sorti en énième fois de ma chatte, mon amant de la soirée la pris en main pour la faire passer entre mes fesses, pour mettre sa bite aux portes fermées de mon cul. Je senti alors un filet de salive qui s’écoula entre mes fesses et c’est alors qu’on me saisi fermement les hanches pour forcer la porte de mon petit trou.
En sentant le gland qui avait réussi à se frayer un passage entre les portes soudés de mon cul, une longue plainte s’échappa de mes lèvres :
« Nonnnnnnnnnnnnn !……. Nonnnnnnnnn »
Je voulu tomber sur le coté pour me dégager de cette introduction que j’avais interdite, mais on me maintenait si fermement les hanches, que je ne pus réussir mon évasion.
A chaque petite avancée de cette bite dans ses lieux interdits, je m’entendis crier et supplier de s’arrêter. Mais rien n’y fis
On me forçait, on me violait, on me déchirait, on m’arrachait le reste d’honneur que je croyais avoir préservé.
« Ouiiii va s’y Patrick, défonce lui le cul à cette salope ! »
« Encules la bien pour nous Patrick ! »
« Fais lui voir la douceur de ta bite à cette cochonne !)
Et encore, et encore pleines d’expressions plus cru les unes que les autres.
C’est à ce moment là que j’ai quitté mon corps, je me voyais solidement maintenu pour les haches par Patrick et ces amis qui le regardaient faire, qui le regardaient forcer mon cul.
Je sentais une douleur aigue, je sentais une terrible chaleur envahir mon bassin. J’aurai cru qu’on m’avait….. Je ne sais pas comment vous le dire…. C’est comme si je m’essuyais le cul avec du papier verre !!!
L’horreur !
Je ne sais plus combien de temps cela à duré, mais lorsque Patrick, me libéra les haches, je m’écroulais sur mon coté gauche me mis dans la posture du fœtus en ramenant mes cuisses à mon torse et en serrant mes jambes.
Des perles de larmes glissaient de mes yeux fermés. J’entendais les hommes qui riaient et s’esclaffaient.
Un à un, ils quittèrent la chambres, en me laissant ainsi sur le lit, comme un chien, comme une chienne, abattue.
Je laissé quelques minutes passées, et quand je senti, que plus personne n’était en ma présence, je me suis levé, et je tins devant le miroir fixé au mur et je me mis à contempler ce corps qui se reflète.
Je vis un corps souillé, sale, malade. Un corps inconnu et pourtant je me raisonnais en me disant : « c’est ton corps, c’est ton corps, c’est toi Douda, ce que tu vois là…. C’est toi ! Une trainée ! »
Je sorti de la chambre avec des larmes qui perlaient le coin de mes yeux et fis appelle à mon ami pour qu’il me ramène à son appart.
Tous les yeux étaient braqués sur mon corps, cette chienne, cette salope qui a voulu jouer à des jeux qui sont plus forts qu’elles, à des jeux qui l’ont souillé.
Une fois que mon ami ait fini de s’habiller et après m’avoir rendu mon manteau, nous partîmes, je me sauvais sans même leurs faire des adieux qu’ils espéraient tant avoir. Mon regard était fixé au sol en faisant attention de ne pas trébucher et tomber. Pas la peine de leurs faire encore plaisir, à ces gros cochons.
En franchissant la porte de l’appartement de mon ami, je me précipite sous la douche et reste sous l’eau chaude une bonne demi-heure. Puis je sors et me mets au lit. Depuis que nous avons quitté la maison, je n’échangeais aucun mot, aucune parole avec mon ami. Un silence de mort régnait entre nous. Je sentais aussi que mon ami se sentait mal lui aussi, car il n’arrêtait pas de dire « pardon, pardon !!! »
C’est plutôt à moi de dire pardon, de demander pardon à ce corps, à cette âme que j’ai souillé, maltraité et offerte aux pervers, offerte à un monde qui n’est pas mien, à un monde que je ne veux plus vivre ni partager !
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