Je m’appelle Cédric, j’ai 33 ans, homme plutôt quelconque, mais soignant un peu son apparence, ce qui plaît généralement aux femmes… On fait ce qu’on peut. Bref, cela faisait quelques mois que j’étais célibataire, et disons que la chose commençait à me démanger…
J’avais beaucoup de fantasmes différents, aussi avais-je décidé de passer plusieurs annonces sur divers sites spécialisés : relations de domination/soumission, échangisme, etc. Après quelques contacts peu prometteurs car sans feeling initial (ça ne se contrôle pas, ces choses-là…), je démarrai une correspondance avec une certaine Séverine, qui souhaitait mieux me connaître afin de mieux me cibler par rapport au fétichisme du site sur lequel elle m’avait contacté : le candaulisme.
Elle était assez dirigiste, et me semblait du genre « caractère bien trempé ». Ses photos non coquines me plaisaient, et apparemment mes photos avaient sur elle le même effet. Elle me demanda – ou plutôt elle ordonna – rapidement de voir des photos de ma personne dans le plus simple appareil. Je lui donnai satisfaction et fus ravi d’entendre qu’elle trouvait mes attributs très désirables, et qu’elle souhaitait me rencontrer.
La rencontre fut planifiée rapidement, dans un restaurant dans lequel nous passâmes une excellente soirée. Elle était arrivée en retard, sans s’excuser, mais était à la hauteur de mes espérances : aussi charmante et sexy que sur ses photos. Petite, brune, yeux marron, assez hispanique en fait, avec une jolie petite paire de seins dissimulés sous un pull très serré (hiver oblige…) Ses yeux étaient très expressifs, ce que j’aime beaucoup, et tout en elle était grâce et sensualité.
La soirée fut placée sous le signe de la détente, de l’humour, avec comme une tension sous-jacente de sexe… Ses regards semblaient me dire qu’elle me voulait, et je la dévorais moi aussi des yeux. Nous nous entendions bien, et c’était très agréable. Après ce plaisant dîner, elle refusa poliment mon invitation à venir prendre un café chez moi. Pendant que je réglais l’addition, elle s’absenta aux toilettes et revint avec un air coquin que je ne compris pas… Jusqu’à ce que dehors, en nous séparant devant la bouche de métro, elle ne me demande de fermer les yeux et de tendre la main, ce que je fis bien évidemment. Je sentis du tissu se placer dans ma main, tandis que ses lèvres effleuraient les miennes en un doux baiser très sensuel.
— À très bientôt, la prochaine fois on se voit chez toi… En attendant, tu as de quoi jouer…
Elle me laissa ainsi assez surpris, avec, vous l’aviez compris, son string dans la main gauche… Personne autour, j’inspectai immédiatement l’intérieur, pour découvrir avec délice qu’il était légèrement humide…
De retour chez moi, je pense que j’eus la réaction classique de tout homme en pareille situation : je reniflai ce string orange adorable, en humai l’intérieur, et saisis l’énorme érection qu’il provoquait pour commencer à me branler. Et éjaculer rapidement dedans, en m’imaginant en train de jouir dans la chatte de Séverine…
Ce fut sa première question lors de la discussion sur MSN qui suivit le lendemain :
— Alors, tu t’es branlé en pensant à moi ?
Ma réponse étant affirmative, elle me dit que ça l’excitait beaucoup, puis elle me demanda comment j’avais procédé… Description faite, elle me troubla en me disant :
— C’est bien, mais la prochaine fois, enfile le string pour te branler dedans, je veux que tu le portes, et que tu sentes ce string te séparer les fesses, tu verras, c’est très agréable… Et puis moi, ça m’excite. D’ailleurs, tu le porteras quand je viendrai chez toi, ce soir.
Ce ton qui ne me laissait pas le choix me plaisait bien. Et j’avais déjà porté la petite culotte d’une ex, à sa demande, ça ne m’avait pas dérangé plus que ça.
La journée fut interminable évidemment, me laissant en demi-érection quasi tout le temps, pas du tout l’esprit à mon travail…
Le soir arriva, et Séverine vint en retard, pour changer… Et sans s’excuser, bien évidemment. Sa première phrase fut :
— M’as-tu obéi ?
Évidemment. J’avais enfilé le string juste avant son arrivée, et le portais sous mon pantalon de ville. Elle m’embrassa fougueusement une bonne minute, je pensais qu’elle allait vouloir voir le string tout de suite mais elle fit durer l’attente. Nous prîmes un apéritif en continuant les discussions anodines du restaurant. J’allais commencer à faire la cuisine (du moins, faire réchauffer des plats du traiteur…) quand elle me dit lentement :
— Cédric, j’ai envie de… te voir, maintenant… Retire tout sauf le string, et fais la cuisine comme ça, ça m’excite beaucoup… Et tu ne seras pas déçu de m’obéir, crois-moi…
— Ok Séverine, comme tu veux… Mais si des choses sortent du string ce n’est pas ma faute, il est un peu trop étroit…
— J’aime ça, ça me fait… mouiller.
Et hop, je me retrouvai illico en string, debout devant elle, qui me regardait de haut en bas comme si j’étais un morceau de viande… D’ailleurs, je passai très vite à la cuisine pour préparer le dîner. Cela ne servit à rien : avant même de commencer, elle me suivit et vint s’agenouiller devant moi. Pour me palper à travers le string, puis pour le faire basculer sur le côté, révélant ma bite et mes couilles à son regard. Après m’avoir souri, elle se passa la langue sur les lèvres, et commença à me branler doucement. Puis elle m’embrassa longuement, elle aimait embrasser et était très douée, et ses baisers étaient toujours très excitants. Elle revint vers ma bite, je me laissai faire, tout à cette branlette divine, quand elle posa ses lèvres sur ma queue et commença à me sucer. Elle était très douée, j’avais rarement été sucé avec autant d’expertise. Au bout de quelques minutes, je lui en fis part :
— Hmmm Séverine… Tu es une experte de la pipe, hmmmm…
— Merci, mais je n’ai pas de mérite : je suce tellement de bites…
Là, c’en était trop : j’éjaculai immédiatement, de copieuses quantités de sperme, qui vinrent éclabousser son visage. Elle avait senti mon éjaculation arriver et avait retiré sa bouche pour que je décharge sur elle.
— J’aime trop ça, voir de belles bites jouir de ma bouche, et… de mes autres trous, quand je le décide. Mais pour ce soir, c’est fini, je dois y aller… À demain soir, ici, mais tu mettras en plus des bas et un porte-jarretelles !
— Pardon ? Écoute, le string c’est marrant mais là…
— Cédric… Mon chéri… Tu voudrais ne jamais profiter de ma chatte, peut-être de mon cul ? Je te garantis qu’ils sont tout aussi doués que ma bouche…
— Non bien sûr, j’ai envie de toi…
— Eh bien moi, j’ai envie de toi comme ça. Ne fais pas l’enfant, tu es adulte, sois un homme.
Sur ces mots, elle partit, me laissant seul, en string mais apaisé sexuellement, et heureux de l’entendre m’appeler « chéri »…
Le lendemain, je dus quitter le travail plus tôt… pour aller acheter des bas et un porte-jarretelles dans un magasin de lingerie. Je les pris noirs, sans penser que cela n’irait pas trop avec le fameux string orange…
Un retard de Séverine plus tard, après de longues embrassades, j’étais devant elle, chez moi, en string orange, bas noirs, porte-jarretelles noir… Elle était très excitée. Elle me fit me retourner plusieurs fois sur moi-même, palpant mes fesses qu’elle jugeait « très désirables », mes couilles, ma bite… Elle retira alors ses vêtements, et j’eus enfin loisir de constater qu’elle était aussi bien roulée que ce que je pensais. Elle me faisait bander très fort, et après s’être mise totalement nue, elle me fit la suivre pour aller dans la chambre. Elle s’allongea au bord du lit, sa belle chatte épilée invitant au regard.
— Viens là, mon chéri, mets-toi à genoux, viens me lécher les seins… Et si tu le fais bien, tu auras le droit de lécher ma petite chatte…
Aussitôt dit aussitôt fait : je lui léchai délicatement les seins, ses tétons fièrement dressés, et me régalai en prenant mon temps, attentif à faire monter le désir en elle progressivement.
— Hmmmmm c’est bon, descends maintenant, bouffe-moi la chatte.
J’aimais cette vulgarité. J’aimais décidément tout en elle. Je passai l’heure suivante à la lécher, la déguster, à jouer de la langue et des doigts avec ses lèvres, son clitoris, mais essuyai un refus lorsqu’un doigt inquisiteur se posa sur sa rosette.
— Juste la langue pour ce trou-là, ce soir, juste la langue, mon ange, hmmmmmm…
Je lui léchai donc la fente, alternant entre son anus et son sexe. Elle jouit plusieurs fois, mais lorsque je me redressai pour venir la prendre, elle me dit qu’elle devait y aller, qu’il était tard, qu’elle avait bien joui et que la prochaine fois ce serait encore meilleur. Elle m’acheva quand même avec une de ses branlettes/pipes mémorables avant de repartir :
— À demain… Et reste toujours en bas/string/porte-jarretelles quand tu me reçois, j’aime tellement ça, mon chéri…
Lendemain, même scénario… Accueil chez moi, déshabillage, excitation buccale… Elle se lâchait de plus en plus, devenant plus vulgaire dans ses propos, ce qui m’excitait encore plus, bien évidemment. Je pus enfin accéder virilement à sa petite chatte, ce soir-là, en levrette, pendant qu’elle me traitait de « salaud » et me suppliait de bien la « bourrer », de « lui en mettre plein la chatte »… Nous jouîmes puissamment, avant de faire une pause, pendant laquelle elle me fit un petit massage.
Très vite, ses mains restèrent sur mes fesses, à les caresser, les palper, puis elle me glissa un doigt qu’elle avait bien humidifié dans le fondement, et me branla tout en me doigtant le cul. Elle me fit me lever, me mettre debout devant elle, qui était assise sur le lit, pour mieux me doigter l’anus tout en me suçant. Je ne résistai pas longtemps…
— Hmmmmmmmmmm tu es une suceuse, une salope, tu me pompes trop bien la bite…
— Hmmmm oui chéri, je suis une suceuse, j’aime ça, je ne passe jamais plus d’une journée sans avoir une bite en bouche, et je suis sérieuse, tu sais, hmmmmmm…
Elle me fit jouir ainsi, et me quitta, cette fois-ci en me disant que nous allions nous revoir le week-end. Donc dans deux jours.
— Ah bon ? Eh ben alors ma coquine, ça veut dire pas de bite en bouche demain, ça ? Toi qui ne peux pas passer une journée sans…
— Non, ça ne veut pas dire ça, chéri… Je te laisse méditer, à après-demain.
Se pouvait-il ? Et maintenant j’y repensais : évidemment, nous ne nous étions pas fixé de règles du genre « exclusivité sexuelle », etc. Je la voyais maintenant sous un aspect différent : je l’imaginais en train de sucer une autre bite que la mienne, peut-être plus grosse, éjaculant plus, et que sais-je…
Ce fut long et je me branlais beaucoup en attendant la rencontre suivante avec Séverine.
Lorsqu’elle arriva chez moi, ce samedi soir, après un baiser passionné je pris le taureau par les cornes (si vous me permettez ce jeu de mot) :
— Alors Séverine… Tu as… sucé une bite, hier soir ?
— Oui Cédric, évidemment… Tu ne croyais quand même pas que je t’étais réservée ?
— Euuuuuh… Tu n’en restes pas à des pipes ? Tu te fais aussi… baiser par d’autres ?
— Oui. D’ailleurs, c’est amusant, certains hommes le remarquent mais pas toi : tu n’as jamais remarqué que quand j’arrive chez toi, je t’embrasse tout de suite, de façon très passionnée ? Pourquoi, à ton avis ?
— Euh… parce que tu aimes ça ?
— Oui bien sûr, chéri, mais aussi… pour te faire sentir que j’ai sucé une grosse bite juste avant de venir te voir.
Elle avait cet air sévère qui n’admet pas la réplique, et je ne savais pas quoi penser. En même temps, cela m’excitait beaucoup de l’imaginer sucer et se faire baiser par d’autres. Et puis bon, le site sur lequel je l’avais rencontrée était après tout un site de « cocus ».
— Alors tu… Comment tu vois la suite pour nous ?
— Je pensais que c’était clair : nous vivons une belle relation qui devient sérieuse, et je crois même que je suis en train de tomber amoureuse de toi. Mais même si je décidais de vivre avec toi un jour, je n’arrêterais pas mes petites coquineries avec d’autres.
— Je vois… C’est un peu… soudain pour moi… Mais moi je suis déjà amoureux de toi…
Elle m’embrassa passionnément, et cette fois-ci je saisis tout ce que ce baiser voulait dire : « Je t’aime mais… cette langue qui joue avec la tienne, elle jouait avec un gland il y a une demi-heure, elle a fait jouir une bite… la bite d’un autre… »
Finalement, nous passâmes une soirée calme, pour que j’ingurgite ces nouvelles données… En fin de soirée, je pris ma décision :
— Séverine, ça m’excite beaucoup tout ça… Je veux essayer de construire quelque chose avec toi, et te laisser vivre tes aventures… Mais à une condition : tu me racontes tout.
— Petit coquin… Tu veux m’entendre te parler des bites que je suce, et qui me baisent comme une chienne, pendant que tu m’attends ici ?
— Oui… Tu me racontes tout, sans rien omettre…
— Pas de problème, mon petit cochon… On va bien s’amuser… Je suis si heureuse que tu le prennes comme ça…
Elle m’embrassa encore, visiblement heureuse d’avoir conclu un genre de pacte amoureux et sexuel. Elle me fit jouir ce soir-là en me chevauchant, et son vocabulaire changea pendant qu’elle allait et venait sur moi :
— Hmmmm c’est bon… Hmmmmm… Tu me prends bien… J’aime ta bite… J’aime toutes les bites, je suis une salope oooooooh… Fais bien glisser ta queue là où tellement d’autres l’ont mise… Fourre bien mon garage à bites, mon cocu… Aaaaaaaaaaaaaahhhh !
Elle jouit ainsi, et moi aussi. J’étais si excité de jouir avec elle, dans cette chatte qui n’était pas totalement mienne. Et de l’entendre m’appeler son cocu.
Nous passâmes la nuit ensemble, cette fois-ci, et le lendemain matin, alors qu’elle me suçait, elle stoppa pour sortir un jouet inattendu de son sac à main : un gode ceinture. Elle avait prévu son coup, apparemment.
— Mon chéri, tu aimes bien avoir un doigt dans le cul, et moi, ça m’excite et j’ai envie de te baiser…
— Non ma douce, je ne le sens pas, ce plan-là…
— Cédric, tu sais bien que j’aurai toujours tout ce que je veux avec toi. Tu veux vraiment que j’aille me faire prendre ailleurs ce matin, alors que tu es là et que nous pouvons passer un moment agréable ?
— Non… mais… fais attention alors…
Elle s’occupa de mes fesses pendant quelques minutes, massages et caresses, lubrification de mon anus en passant de grandes doses d’une crème lubrifiante sur ma petite rondelle. Elle faisait aller et venir son doigt dans mon petit trou, et j’aimais ça.
— Mon chéri, allez, mets-toi en levrette, comme une salope, fais ça pour moi…
Je m’exécutai, et elle plaça le bout du gode contre mon anus. Elle s’introduisit en moi lentement, en m’encourageant :
— Tu vas aimer, tu vas voir, tu vas adorer être pris comme une chienne, tu es ma petite salope, mon petit cocu qui se fait baiser la rondelle !
Elle me baisa copieusement. Après la douleur initiale, c’était supportable. Je ne pris pas vraiment de plaisir mais finalement, je prenais du plaisir cérébral : je me faisais baiser comme une salope par Séverine. Cela dura quelques minutes, avant qu’elle ne décide d’arrêter, et de m’achever avec une bonne pipe.
Le ton changea encore au cours des jours suivants. Elle arrivait, et systématiquement elle avait une histoire à raconter :
— Aujourd’hui, j’ai croisé Jean, et comme je ne l’avais pas vu depuis quelques mois, nous sommes allés à l’hôtel à côté de son boulot. Il a une bite énoooorme, si tu la voyais tu aurais honte… J’ai du mal à le sucer, mais je le fais quand même… Par contre, quand il me ramone ohlala, qu’est-ce qu’il me met… J’ai la chatte encore tout endolorie, tu vas me la lécher pour que je me remette de cette bite monstrueuse, hein, mon petit cocu chéri…
Ou encore :
— Juste avant de venir, j’avais envie d’une belle bite, tu sais, mon chéri, une grosse bite bien large pour m’écarter la chatte et me remplir complètement… Si tu avais vu cet énorme membre s’enfoncer dans ma petite chatte, on aurait dit qu’il ne rentrerait jamais…
Elle me prenait systématiquement avec le gode ceinture, mais me laissait aussi la baiser. J’avais de plus en plus l’impression que c’était un privilège, et elle m’humiliait de plus en plus. J’aimais secrètement ça, et elle le savait : elle en rajoutait dès que possible. Elle commença aussi à me faire sucer le gode ceinture avant de me prendre.
— Allez salope, suce, suce bien cette bite qui va te prendre le cul ! Utilise bien ta bouche de suceuse… Tu es une suceuse, comme moi, tu aimes ça, hmmmmmmm…
Ça l’excitait terriblement. Elle m’obligeait parfois à dire des choses, sinon elle arrêtait tout. Ainsi, je devais parfois répéter que j’étais une suceuse de bites, un trou à bites, une salope. Je le faisais avec plaisir.
Un soir, elle m’annonça une surprise pour le lendemain. Curieux, je passai la journée à attendre le soir, et elle arriva… accompagnée !
— Cédric, je te présente Jacques, Jacques, voici Cédric, mon chéri que j’aime…
Un sourire entendu entre eux deux m’apprit qu’elle avait dû lui parler de notre relation si particulière. Je repris contenance en allant à la cuisine chercher du vin, et en revenant je vis que Séverine et Jacques étaient déjà occupés : Séverine avait sorti la bite de Jacques, assis sur le divan, et elle était à genoux devant lui, en train de le sucer. Passer de l’imagination au réel me fit bander de façon surprenante : voir la bite de Jacques (qui était un peu plus petite que la mienne, notai-je au passage) dans la bouche de Séverine, et la voir sucer en me regardant m’excitait carrément. Elle suçait cette bite, mais n’avait d’yeux que pour moi. Son regard était sur moi en permanence pendant qu’elle avalait cette queue et qu’elle la faisait coulisser sur ses lèvres.
— Tu te rinces bien l’œil ? Approche, viens à côté de moi, mon chéri…
Je m’approchai, et me mis à genoux à côté d’elle, n’osant regarder Jacques, mais fasciné par sa bite et la bouche de ma chérie. Elle arrêta de le sucer, pour le branler doucement en se penchant vers moi pour m’embrasser. Nous nous roulâmes un patin enflammé, je bandais de ce baiser avec Séverine qui venait de sucer une queue quelques secondes auparavant. Elle prit doucement ma main pendant que nous nous embrassions, et je n’y faisais pas trop attention jusqu’à ce que je sente… une bite ! Séverine avait placé ma main sur la bite de Jacques et me regardait sévèrement.
— Branle-le, mon chéri, branle cette bite !
Et finalement, je ne trouvais pas ça dégoûtant comme je l’aurais pensé. Le contact de cette bite était agréable, et je commençais à la branler. Sensation très spéciale que de branler une bite qui n’est pas la sienne, mais j’adorais ça… Séverine était aux anges : son homme branlait la bite d’un de ses amants.
Je sentis la main de Séverine se poser à l’arrière de ma tête et exercer une pression que je compris tout de suite. Je la laissai faire, rapprochant ma bouche de cette bite. Je la regardai avec envie, et sans hésitation commençai à la lécher. Je démarrai en léchant cette bite des couilles au gland, puis après quelque temps passé à lécher le gland, je la pris totalement en bouche, la suçant comme Séverine aimait me le faire. Et elle m’encourageait :
— Oh chéri, tu suces une bite, tu te rends compte… Tu es une vraie salope, tu aimes ça, sucer des bites ! Tu as une bite en bouche…
Elle n’arrêtait pas, répétant « bite » toutes les deux secondes. Et Jacques confirmait. Il bandait très dur…
Et soudain je sentis les prémices de l’éjaculation. Je retirai ma bouche et continuai à le branler, plus rapidement. Il jouit en force, salissant mon pull…
Séverine était aux anges :
— Maintenant que tu es devenue une vraie suceuse de bites, on va vraiment s’amuser à l’avenir… Oooooh je t’aime…
Et pour la première fois, lorsque nous nous embrassâmes, nous avions tous les deux en bouche le goût d’une bite… qui n’était pas la mienne.
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