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Une fille venue de l’Est

Une fille venue de l’Est



J’avais longtemps ramé pour qu’elle accepte de venir en France. Je lui envoyais de l’argent pour qu’elle ait une meilleure vie dans son pays de l’Est pourri puis un jour elle avait accepté de venir et je lui avais payé le billet d’avion. Entre temps, j’avais appris qu’à dix-neuf ans, elle avait déjà un enfant dont s’occupait sa mère mais ça n’avait pas d’importance, du moment qu’elle venait seule.
L’avion était en retard et je ne l’ai récupérée qu’à neuf heures du soir puis je l’ai ramenée chez moi. Elle avait mangé quelque chose dans l’avion. Je lui ai demandé si elle dort avec moi ou dans la chambre d’ami et elle n’a pas hésité. J’avais hâte de la voir toute nue car elle ne m’avait montré que des photos d’elle au minimum en maillot de bain.
Elle s’est déshabillée sans pudeur, me montrant tout de suite son corps nu et ses seins magnifiques et je me suis déshabillée moi aussi.
– Tu as envie, m’a-t-elle demandé en s’allongeant sur le lit ?
Bien sûr que j’avais envie et j’avais déjà fixé le gode ceinture autour de mes hanches. Elle a couvert ses cuisses et je me suis agenouillée entre ses jambes puis je me suis enfoncée. Ça entrait tout seul.
– Tu m’avais dit que je ne serais pas la première, m’a-t-elle dit ensuite ! Toi, à part celui qui m’a fait un bébé…
– Attends, a-t-elle ajouté quand j’ai voulu embrasser ses seins, je vais me mettre sur toi !
Nous avons changé de rôle et elle s’est empalée sur le gode puis elle m’a mis un sein dans la bouche. Je me suis étonnée qu’elle ait encore du lait.
– Tu n’aimes pas, m’a dit Vicky ? Tu peux téter ! C’est pour toi !
J’ai tété et son lait était différent de celui qu’on achète. Il était gras.
– Baise-moi, m’a demandé la fille et j’ai recommencé à la baiser. Je n’arrêtais pas de la regarder dans les yeux. Je lui ai demandé si elle aime ça.
– Oui, j’aime ça, m’a répondu la fille !
Je me rendais compte qu’elle n’était pas aussi innocente que ça et je lui ai demandé si elle voit encore le père de son bébé mais elle m’a répondu qu’elle ne le voit plus.
– Tu fais quoi, ai-je insisté, de tes journées. Tu m’avais dit que tu étais étudiante ?
– Oui, mais je n’ai pas pu continuer, m’a-t-elle répondu !
– Alors, tu fais quoi pour vivre ? J’imagine que ce n’est pas ta mère qui t’entretient ?
– Tu vas me gronder, a gémi Vicky !
– Non, mais si tu me dit la vérité, je te pardonne d’avance !
Elle a hésité.
– Pour survivre, je me prostitue, m’a-t-elle avouée !
Ça m’a fait un choc.
– Tu fais des passes avec des mecs, ai-je insisté ?
J’étais furieux. M’avait-elle menti ?
– Tu crois qu’il y a tant que ça de lesbiennes, a-t-elle ajouté ? Je préférerais faire l’amour avec des femmes…
– Et tu prends combien ?
La somme qu’elle m’a dite était ridicule, tout du moins pour l’Europe de l’Ouest.
– Et tu fais ça souvent, ai-je insisté ?
– Chaque fois que j’ai besoin d’argent, m’a-t-elle répondu !
– Et l’argent que je t’envoie ?
– Ton argent, je le mets de côté, m’a-t-elle répondu ! C’est des euros et je les mets à la banque.
– Tu aimes tant que ça de te faire baiser, ai-je encore demandé, furibarde ?
– Non, mais les femmes sont faites pour les hommes ? Ça n’a pas d’importance ! Je pense à autre chose et je pense aussi à toi !
Ce n’était pas ça qui pouvait me calmer.
– Est-ce que qu’on peut faire un soixante-neuf, m’a-t-elle réclamé ?
J’ai retiré le gode ceinture et je me suis mise en position avec elle. La salope savait y faire. Au bout d’un moment, elle m’a dit qu’elle a toujours rêvé de faire un fist et elle m’a proposé de m’en faire un en me promettant que je pourrais le lui faire à mon tour. Je me suis laissée faire et elle avait déjà sa main enfoncée dans mon vagin quand elle m’a dit qu’elle m’a apporté un album avec ses photos comme cadeau.
Je n’avais pas besoin de mes mains pour planer et je la suppliais de me faire jouir mais elle faisait tout pour retarder l’arriver de mon orgasme. Elle m’a encore dit que je dois connaître beaucoup de monde et elle a proposé que je lui trouve des clients.
-Je vais t’aider, tu verras, a-t-elle ajouté ! Je sais bien qu’au début ça te sera difficile mais tu finiras par aimer et si tu me trouves des clients, je veux bien que tu nous regarde ! Oh, putain, m’a-t-elle lancé quand j’ai eu mon orgasme ?
Je n’avais jamais joui aussi fort que cette fois-là. Je me suis endormie tout de suite et le lendemain je l’ai emmenée visiter la ville et nous sommes allées à la fête foraine et nous avons fait la même chose les jours suivants sans jamais reparler de ses projets. Il fallait déjà qu’elle reparte et je l’ai ramenée à l’aéroport. Elle m’a envoyé un mail quand elle est rentrée chez elle puis elle ne m’a plus écrit et tout ce qui me reste d’elle est cet album de photos où elle pose toute nue et dans les positions les plus saugrenues.

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